Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok
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Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 13:47 Citer EditerSupprimer
rumour has it
#LOYAL #FOURBE #SEDUCTEUR #POSSESSIF #BAVARD
#DROIT #AUTORITAIRE #MANIAQUE #SANS-GÊNE #SNOB
caractère
Il peut paraître un peu lisse de prime abord, genre le quaterback blond des films américains, mais tout ça n'est que de la ruse parce qu'en vrai, Jae Sun ne veut absolument pas avoir de problèmes. Il aime être en bon terme avec tout le monde même si au fond, il n'a besoin de personne. Pour tout le monde, Jae Sun c'est le gars qui se fringue tellement bien qu'on dirait qu'il se rend à un défilé de mode chaque jour, c'est celui qui va venir en aide à quiconque qui en a besoin, c'est celui qui va apaiser les tensions et qui n'hésitera pas à séparer des gens qui voudraient se battre. C'est aussi le gars qui acceptera toujours une invitation à une fête mais qui refusera d'ingérer toute forme de drogues. En fait, c'est le bon gars que tout le monde apprécie pour sa gentillesse et qui est respecté par sa droiture.
Personne n'imaginerait qu'au fond de lui se cache un bourreau qui à décider de prendre en main l’éducation de son frère jumeau parce que lui est tout sauf quelqu'un de droit. Jae Sun qui possède un fort sens moral ne supporte pas de voir son frère se faire du mal volontairement comme cela en se mettant dans un état lamentable. Et ses méthodes ne sont pas toujours très orthodoxes. Piétiner ses sentiments pour arriver à ses fins est monnaie courante, mais il est persuadé que tout ce qu'il fait pour lui, c'est pour son bien.
Lui qui est un fervent chrétien, il tente d’évangéliser son petit monde, quitte à passer pour le relou croyant de service.
Sinon, Jae Sun est plutôt à fond sur les filles et c'est bien son point faible. Lui qui se prend pour un vrai bonhomme, classe, digne, viril et compagnie, il devient un tout autre homme avec sa copine. En gros, c'est un canard qui devient très vite jaloux à la moindre occasion. Il ne supporte pas la trahison et il n'y a pas matière à négocier après coup.
Sinon en vrac, il a la dance dans la peau, aime bien se passer pour son frère de temps en temps, il est partisan du moindre effort, amoureux de boobs, allergique aux poils de chat, dépense pas mal de fric en vêtements de luxe ou accessoires de luxe parce qu'en skred, Jae Sun est un peu bling-bling dans l'âme. Il aime plaire et à l'art et la manière d'arriver à ses fins. Il aime glander, procrastiner, les jeux vidéos, grand fan de DBZ, DB, et DB-GT, il fait pas mal de sport et... n'a pas besoin de se raser puisqu'il n'a aucun poil qui pousse fufufu
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼CHOI SEUNG HYUN ( T.O.P, BIG BANG) ✎ park jae sun
park jae sun
CARTE D'IDENTITÉ DATE + ÂGE : 1 mai, 22 ans ORIENTATION + STATUT : Bitophobe + Forever alone ÉTUDES/MÉTIER : Master en quelque chose TU VEUX T'INVESTIR ? : Oué, avec plaisir |
rumour has it
Il est tellement fusionnel avec son jumeau qu'il a déjà eut des pensées cheloues ( ) FAUX Derrière son côté classe, c'est un énorme geek qui kiffe encore DBZ VRAI Son style de nana ce sont les occidentales VRAI Il ne se sent pas vraiment coréen, il s'y sent plutôt mal d'ailleurs VRAI Il a déjà fait de la chirurgie FAUX Il ne peut pas faire ses besoins ailleurs que chez lui VRAI Il n'a pas le permis, il peur de conduire... VRAI Il se drogue souvent comme son frère FAUX
caractère
Il peut paraître un peu lisse de prime abord, genre le quaterback blond des films américains, mais tout ça n'est que de la ruse parce qu'en vrai, Jae Sun ne veut absolument pas avoir de problèmes. Il aime être en bon terme avec tout le monde même si au fond, il n'a besoin de personne. Pour tout le monde, Jae Sun c'est le gars qui se fringue tellement bien qu'on dirait qu'il se rend à un défilé de mode chaque jour, c'est celui qui va venir en aide à quiconque qui en a besoin, c'est celui qui va apaiser les tensions et qui n'hésitera pas à séparer des gens qui voudraient se battre. C'est aussi le gars qui acceptera toujours une invitation à une fête mais qui refusera d'ingérer toute forme de drogues. En fait, c'est le bon gars que tout le monde apprécie pour sa gentillesse et qui est respecté par sa droiture.
Personne n'imaginerait qu'au fond de lui se cache un bourreau qui à décider de prendre en main l’éducation de son frère jumeau parce que lui est tout sauf quelqu'un de droit. Jae Sun qui possède un fort sens moral ne supporte pas de voir son frère se faire du mal volontairement comme cela en se mettant dans un état lamentable. Et ses méthodes ne sont pas toujours très orthodoxes. Piétiner ses sentiments pour arriver à ses fins est monnaie courante, mais il est persuadé que tout ce qu'il fait pour lui, c'est pour son bien.
Lui qui est un fervent chrétien, il tente d’évangéliser son petit monde, quitte à passer pour le relou croyant de service.
Sinon, Jae Sun est plutôt à fond sur les filles et c'est bien son point faible. Lui qui se prend pour un vrai bonhomme, classe, digne, viril et compagnie, il devient un tout autre homme avec sa copine. En gros, c'est un canard qui devient très vite jaloux à la moindre occasion. Il ne supporte pas la trahison et il n'y a pas matière à négocier après coup.
Sinon en vrac, il a la dance dans la peau, aime bien se passer pour son frère de temps en temps, il est partisan du moindre effort, amoureux de boobs, allergique aux poils de chat, dépense pas mal de fric en vêtements de luxe ou accessoires de luxe parce qu'en skred, Jae Sun est un peu bling-bling dans l'âme. Il aime plaire et à l'art et la manière d'arriver à ses fins. Il aime glander, procrastiner, les jeux vidéos, grand fan de DBZ, DB, et DB-GT, il fait pas mal de sport et... n'a pas besoin de se raser puisqu'il n'a aucun poil qui pousse fufufu
One upon a time
King of boobs× « Tiens, le Jae Sun ne finira pas par être une menace pour son frère Kwang Ho ? Tu sais rapport à la succession du clan … ? J'ai peur que ça éclate un jour avec cette histoire et nous, hop, au chômage technique... »
Lorsque je suis né mon frère jumeau et moi, des tas de commérages de ce genre s'étaient déversés au sein du clan. Peut-être devrais-je préciser que par clan, j'entends clan mafieux, un véritable gang et pas des moindres, vu que c'était le plus puissant de toute la Corée. Notre famille était connue dans le milieu comme celle qui avait la main mise sur tous les business souterrains et à l'étranger nous étions aussi reconnu. Voilà, tu places un peu mieux le contexte, hein ? Donc, au lieu de n'avoir qu'un seul successeur, on se retrouvait avec une paire de jumeaux et pour la majorité des gens, ça ne présageait rien de bon. Il fallait que le deuxième, moi, s'efface, qu'il ne fasse pas chier, qu'il reste dans son coin en silence. J'étais un peu le Monsieur, ce frère tapette de Louis XIV, qui ne devait jamais penser à être une menace pour son frère Kwangho, le successeur de tout le business.
Alors dans notre enfance, la différence je la sentais bien sûr, mais tout enfant que j'étais je ne me rendais pas bien compte de ce qu'il se tramait et l'amour fraternel pour mon aîné était bien là. Complètement fusionnels, on était inséparables même si les autres qui nous entouraient, comme nos tuteurs ou notre chien de grand-père, s'entêtaient à nous séparer. On ne devait pas avoir la même éducation, on devait tout faire pour me castrer, histoire que plus tard je n'aurai pas les couilles de défier mon frère. Mission accomplie puisque en grandissant je n'avais aucune prétention vis-à-vis de lui et je savais où était ma place. Ça m'allait, tout ça était trop de pression pour moi et puis surtout, le vieux papy me faisait trop flippé. Parce tu vois, petits, on n'était pas des enfants de chœurs et des bêtises on en faisait beaucoup. Mais pour une raison obscure, c'était toujours Kwang Ho qu'on grondait, qu'on punissait, qu'on frappait même. Même si parfois je voulais le sauver d'une énième séance de correction, on m'ignorait presque. A force, j'en venais à penser que j'étais devenu complètement invisible et j'en étais arrivé à vouloir droit à ma fessée à moi... Ça fait pitié, hein ? Que fallait-il faire pour que quelqu'un me remarque, hein ? Tuer Kwangho ? …. Même lorsqu'on se battait tous les deux, c'était lui et encore lui qu'on venait choper. J'avais des sentiments mitigés vis-à-vis de lui. Je l'aimais de tout mon cœur, je pouvais littéralement crever pour lui, mais il me gonflait énormément et m'exaspérait trop souvent par ses caprices. Mais on m'avait appris à le laisser faire et finalement, je m'en accommodait, pas le choix de toute façon.
Hors contexte familial, j'étais assez nul à l'école et j'avais pas mal de cours du soir parce que je m’intéressais bien plus à jouer au foot avec les copains. De toute manière, personne ne se souciait de mes notes, de mes absences, des mots des profs dans le carnet (loool « les mots », quoi... #deliresolo bonjour). Plus tard, je pouvais devenir balayeur de rue ou même caissier que ça n'avait pas la moindre importance.
Le drame de notre vie : l'accident de nos parents, nous avions 11 ans. Cette époque était des plus traumatisante pour moi qui se voyait déjà perdre les 3 personnes les plus importantes. La perte de nos parents étaient déjà une épreuve insoutenable mais voir Kwangho dans ce lit d’hôpital, inconscient est une image que je n'oublierais jamais. Chaque jour je me levais avec l'angoisse, avec ce mauvais pressentiment que c'était fini, que je ne le reverrais plus jamais sourire... A partir de ce jour, le revoir dans un lit d’hôpital est alors devenue une véritable angoisse pour moi, une phobie même, comme si désormais, il était devenu bien plus fragile que moi. Du haut de mes 11 ans, je venais tous les jours rendre visite à son corps inanimé jusqu'à ce qu'il se réveille. Il n'était plus le même, normal vous me diriez.
C'est avec le grand-père qu'on devait vivre à présent. La discipline y était reine et il ne fallait pas chahuter, pas rire, rien. Déjà que de base, ce vieux me faisait très peur, vivre avec lui s'était avéré être l'enfer sur Terre. Bordel, mais il ne peut pas se détendre, péter un coup, se rouler un joint ? Heureusement que moi, j'avais toute la liberté que je voulais -tant que c'est en dehors de la maison du vieux papy- et c'est d'ailleurs étonnant que ce ne soit pas moi qui ait mal tourné. Quoique moi, je n'utilisais pas cette liberté pour me shooter à l'héro ou à m'enivrer sur un trottoir comme un clodo, ou aller perdre mon pucelage avec une tapin. Nan, moi je sortais souvent avec mes potes et me créait des délires d'étudiants normaux, genre s'acheter des fringues Balmain ou changer sa Rolex en une autre Rolex. Des trucs normaux quoi.
A 14 ans, on décida pour moi que la Corée ce n'était plus fait pour moi et on m'envoya étudier en France, à Paris. C'était une décision des plus arbitraires et je n'avais pas compris le pourquoi du comment. Qu'est-ce que j'allais bien foutre en France, chez ces mangeurs de grenouilles et d'escargots ?! Quoique c'est là bas que je pourrais violer les magasins Dior, Vuitton et compagnie.
Je devais quitter mon frère qui s'était renfermer de plus en plus face à l'éducation cruelle du papy et c'était la chose la plus difficile à faire au monde. J'avais l'impression de laisser mon chaton inoffensif devant la tanière d'un vieux lion affamé... Le jour du départ, je m'étais juré de ne pas pleurer, que j'étais un bonhomme et qu'un homme ça ne pleure pas mais bordel, la douleur dépassait tout ce dont j'avais imaginé..
Me voilà partis à des milliers de kilomètres de mon pays natal pour un pays dont je ne connaissais rien à part que les Daft Punk et David Ghetta viennent de là-bas... Je n'avais comme interlocuteur coréen que ma tutrice, cette nounou qui m'avait quasiment élevé. Installé au pied de la Tour Eiffel, je devais me faire à cette nouvelle vie et surtout à l'absence du frangin. Je m'inquiétais beaucoup pour lui, certain qu'il ne survivrait pas sans moi, mais il y avait tellement de nouveautés dans ma vie que je n'avais plus trop loisir à penser à lui. Au début, j'étais au bord de la dépression certain que je ne me ferais jamais à cette vie parisienne. J'en venais à détester la France, les français, ses trottoirs pleins de cacas de chiens, son métro insalubre, son rock tout pourri et compagnie... Je ne savais pas ce que je foutais ici, je me sentais comme en prison mais en n'ayant aucune perspective de retour. J'avais une vie de merde, depuis ma naissance, moi cette brebis qu'on sacrifiait toujours, j'étais le connard qu'on écarte de tout, j'avais ce genre de pensée.
Mais petit à petit, je me faisais de nouveaux amis et j'apprenais à me faire à cette vie, pas le choix de toute manière.
J'étais dans une classe composée d'élèves étrangers et comme en Corée, je ne me défonçais pas dans mes études. Je n'étais pas trop occupé à jouer au foot comme avant, mais un peu trop occupé à faire le petit coréen perdu, qui ne sait pas parler français afin de draguer ces petites françaises, en feignant l'étranger faible et solitaire. Et le pire c'était que cette technique toute pourrie fonctionnait à merveille. A 14 ans, j'étais devenu un homme avec une parisienne, cte classe sérieux.
C'est en France que j'ai appris ce qu'était le romantisme à la française et faut dire que même aujourd'hui, ça me sert encore beaucoup. C'est là-bas aussi que j'appris à devenir très indépendant, à me démerder tout seul. Je me suis forgé le caractère, appris à défendre mon beefsteak (à ne pas hésiter à se battre pour la copine du moment en gros ), à ne pas me faire marcher sur les pieds. Petit à petit, moi qui vivait dans l'ombre constante de mon frère, j'avais enfin l'impression de ne vivre que pour moi et cette sensation était vraiment kiffante même si lui et tout ce qu'il était continuait de me manquer énormément. J'aimais ma liberté et je ne l'échangerais pas, même pour 1 million de dollars. Mais à force de se croire trop libre, trop au-dessus du lot, on s'attire les foudres des autres simples mortels et forcément, un jour ça casse. Une bagarre à l'école avait éclaté, et on s'était battu comme des chiens avec ce connard qui s'était permis de draguer ma copine. Une histoire complètement bête qui m'avait valu le renvoi immédiat. J'étais de retour en Corée après 4 ans et, c'est à l’hôpital que se sont fait les retrouvailles avec mon jumeau... Ma pire crainte s'était réalisée. Que s'était-il passé durant mon absence bon sang ?! Que lui était-il arrivé ? Ce n'est que bien plus tard que j'appris que c'était le papy qui avait fait ça à ce grand gaillard. A partir de là, j'ai décidé que je ne devais plus le laisser livré à lui même. On me dit aussi qu'il était à la tête d'un gang, ché pas quoi, qu'il se droguait, qu'il vivait une vie de débauché... Je ne comprenais rien à rien. Mais que lui était-il arrivé, merde ? Chef de gang ou quoi, j'en avais rien à foutre, je devais ramener mon frère à la raison. Je devais le travailler psychologiquement, y aller droit au but même si ça en lui plaît pas. J'avais même obtenu de lui qu'il aille consulter régulièrement un psy ce qui était un exploit en soit. Même moi, je n'y croyais pas pour tout dire.
Mais ce vieux qui ne veut pas casser la pipe qui nous sert de grand-père était contre ma présence à ses côtés, persuadé que je ne faisais que le rendre plus faible que jamais. En gros, je faisais de lui une tapette, puisque je suis moi-même une tapette selon lui... Donc, encore une fois, on m'exile en Australie, laissant encore Kwangho livré à lui-même... Je pressentais que quelque chose allait arrivé, mais lorsqu'on a une dizaine d'hommes de main du vieux qui me poussent gentiment vers la sortie, on se casse sans faire de bruit.
Nous, on ne perd pas notre temps dans un gang. Nous avons un clan à diriger... Je dis nous, mais je parle de lui, bien sûr, huhu. Parce qu'entendons nous, Kwang Ho est devenu dépendant de moi, je suis son pilier et j'aime ça. J'aime être celui qui dirige l'acteur principal de notre pièce de théâtre. Mais, plus le temps passe, plus je m'inquiète pour ma marionnette qui ne cesse de se mettre en danger. S'il continue comme ça, il finira bientôt coucher à terre à admirer les étoiles pour toujours... Tout ce qu'il fait m'inquiète, ça m'énerve, mais je ne lui en dirais rien... Mais ce qui m'énerve le plus, c'est que toute mon histoire ne parle que de lui....
Lorsque je suis né mon frère jumeau et moi, des tas de commérages de ce genre s'étaient déversés au sein du clan. Peut-être devrais-je préciser que par clan, j'entends clan mafieux, un véritable gang et pas des moindres, vu que c'était le plus puissant de toute la Corée. Notre famille était connue dans le milieu comme celle qui avait la main mise sur tous les business souterrains et à l'étranger nous étions aussi reconnu. Voilà, tu places un peu mieux le contexte, hein ? Donc, au lieu de n'avoir qu'un seul successeur, on se retrouvait avec une paire de jumeaux et pour la majorité des gens, ça ne présageait rien de bon. Il fallait que le deuxième, moi, s'efface, qu'il ne fasse pas chier, qu'il reste dans son coin en silence. J'étais un peu le Monsieur, ce frère tapette de Louis XIV, qui ne devait jamais penser à être une menace pour son frère Kwangho, le successeur de tout le business.
Alors dans notre enfance, la différence je la sentais bien sûr, mais tout enfant que j'étais je ne me rendais pas bien compte de ce qu'il se tramait et l'amour fraternel pour mon aîné était bien là. Complètement fusionnels, on était inséparables même si les autres qui nous entouraient, comme nos tuteurs ou notre chien de grand-père, s'entêtaient à nous séparer. On ne devait pas avoir la même éducation, on devait tout faire pour me castrer, histoire que plus tard je n'aurai pas les couilles de défier mon frère. Mission accomplie puisque en grandissant je n'avais aucune prétention vis-à-vis de lui et je savais où était ma place. Ça m'allait, tout ça était trop de pression pour moi et puis surtout, le vieux papy me faisait trop flippé. Parce tu vois, petits, on n'était pas des enfants de chœurs et des bêtises on en faisait beaucoup. Mais pour une raison obscure, c'était toujours Kwang Ho qu'on grondait, qu'on punissait, qu'on frappait même. Même si parfois je voulais le sauver d'une énième séance de correction, on m'ignorait presque. A force, j'en venais à penser que j'étais devenu complètement invisible et j'en étais arrivé à vouloir droit à ma fessée à moi... Ça fait pitié, hein ? Que fallait-il faire pour que quelqu'un me remarque, hein ? Tuer Kwangho ? …. Même lorsqu'on se battait tous les deux, c'était lui et encore lui qu'on venait choper. J'avais des sentiments mitigés vis-à-vis de lui. Je l'aimais de tout mon cœur, je pouvais littéralement crever pour lui, mais il me gonflait énormément et m'exaspérait trop souvent par ses caprices. Mais on m'avait appris à le laisser faire et finalement, je m'en accommodait, pas le choix de toute façon.
Hors contexte familial, j'étais assez nul à l'école et j'avais pas mal de cours du soir parce que je m’intéressais bien plus à jouer au foot avec les copains. De toute manière, personne ne se souciait de mes notes, de mes absences, des mots des profs dans le carnet (loool « les mots », quoi... #deliresolo bonjour). Plus tard, je pouvais devenir balayeur de rue ou même caissier que ça n'avait pas la moindre importance.
Le drame de notre vie : l'accident de nos parents, nous avions 11 ans. Cette époque était des plus traumatisante pour moi qui se voyait déjà perdre les 3 personnes les plus importantes. La perte de nos parents étaient déjà une épreuve insoutenable mais voir Kwangho dans ce lit d’hôpital, inconscient est une image que je n'oublierais jamais. Chaque jour je me levais avec l'angoisse, avec ce mauvais pressentiment que c'était fini, que je ne le reverrais plus jamais sourire... A partir de ce jour, le revoir dans un lit d’hôpital est alors devenue une véritable angoisse pour moi, une phobie même, comme si désormais, il était devenu bien plus fragile que moi. Du haut de mes 11 ans, je venais tous les jours rendre visite à son corps inanimé jusqu'à ce qu'il se réveille. Il n'était plus le même, normal vous me diriez.
C'est avec le grand-père qu'on devait vivre à présent. La discipline y était reine et il ne fallait pas chahuter, pas rire, rien. Déjà que de base, ce vieux me faisait très peur, vivre avec lui s'était avéré être l'enfer sur Terre. Bordel, mais il ne peut pas se détendre, péter un coup, se rouler un joint ? Heureusement que moi, j'avais toute la liberté que je voulais -tant que c'est en dehors de la maison du vieux papy- et c'est d'ailleurs étonnant que ce ne soit pas moi qui ait mal tourné. Quoique moi, je n'utilisais pas cette liberté pour me shooter à l'héro ou à m'enivrer sur un trottoir comme un clodo, ou aller perdre mon pucelage avec une tapin. Nan, moi je sortais souvent avec mes potes et me créait des délires d'étudiants normaux, genre s'acheter des fringues Balmain ou changer sa Rolex en une autre Rolex. Des trucs normaux quoi.
A 14 ans, on décida pour moi que la Corée ce n'était plus fait pour moi et on m'envoya étudier en France, à Paris. C'était une décision des plus arbitraires et je n'avais pas compris le pourquoi du comment. Qu'est-ce que j'allais bien foutre en France, chez ces mangeurs de grenouilles et d'escargots ?! Quoique c'est là bas que je pourrais violer les magasins Dior, Vuitton et compagnie.
Je devais quitter mon frère qui s'était renfermer de plus en plus face à l'éducation cruelle du papy et c'était la chose la plus difficile à faire au monde. J'avais l'impression de laisser mon chaton inoffensif devant la tanière d'un vieux lion affamé... Le jour du départ, je m'étais juré de ne pas pleurer, que j'étais un bonhomme et qu'un homme ça ne pleure pas mais bordel, la douleur dépassait tout ce dont j'avais imaginé..
Me voilà partis à des milliers de kilomètres de mon pays natal pour un pays dont je ne connaissais rien à part que les Daft Punk et David Ghetta viennent de là-bas... Je n'avais comme interlocuteur coréen que ma tutrice, cette nounou qui m'avait quasiment élevé. Installé au pied de la Tour Eiffel, je devais me faire à cette nouvelle vie et surtout à l'absence du frangin. Je m'inquiétais beaucoup pour lui, certain qu'il ne survivrait pas sans moi, mais il y avait tellement de nouveautés dans ma vie que je n'avais plus trop loisir à penser à lui. Au début, j'étais au bord de la dépression certain que je ne me ferais jamais à cette vie parisienne. J'en venais à détester la France, les français, ses trottoirs pleins de cacas de chiens, son métro insalubre, son rock tout pourri et compagnie... Je ne savais pas ce que je foutais ici, je me sentais comme en prison mais en n'ayant aucune perspective de retour. J'avais une vie de merde, depuis ma naissance, moi cette brebis qu'on sacrifiait toujours, j'étais le connard qu'on écarte de tout, j'avais ce genre de pensée.
Mais petit à petit, je me faisais de nouveaux amis et j'apprenais à me faire à cette vie, pas le choix de toute manière.
J'étais dans une classe composée d'élèves étrangers et comme en Corée, je ne me défonçais pas dans mes études. Je n'étais pas trop occupé à jouer au foot comme avant, mais un peu trop occupé à faire le petit coréen perdu, qui ne sait pas parler français afin de draguer ces petites françaises, en feignant l'étranger faible et solitaire. Et le pire c'était que cette technique toute pourrie fonctionnait à merveille. A 14 ans, j'étais devenu un homme avec une parisienne, cte classe sérieux.
C'est en France que j'ai appris ce qu'était le romantisme à la française et faut dire que même aujourd'hui, ça me sert encore beaucoup. C'est là-bas aussi que j'appris à devenir très indépendant, à me démerder tout seul. Je me suis forgé le caractère, appris à défendre mon beefsteak (à ne pas hésiter à se battre pour la copine du moment en gros ), à ne pas me faire marcher sur les pieds. Petit à petit, moi qui vivait dans l'ombre constante de mon frère, j'avais enfin l'impression de ne vivre que pour moi et cette sensation était vraiment kiffante même si lui et tout ce qu'il était continuait de me manquer énormément. J'aimais ma liberté et je ne l'échangerais pas, même pour 1 million de dollars. Mais à force de se croire trop libre, trop au-dessus du lot, on s'attire les foudres des autres simples mortels et forcément, un jour ça casse. Une bagarre à l'école avait éclaté, et on s'était battu comme des chiens avec ce connard qui s'était permis de draguer ma copine. Une histoire complètement bête qui m'avait valu le renvoi immédiat. J'étais de retour en Corée après 4 ans et, c'est à l’hôpital que se sont fait les retrouvailles avec mon jumeau... Ma pire crainte s'était réalisée. Que s'était-il passé durant mon absence bon sang ?! Que lui était-il arrivé ? Ce n'est que bien plus tard que j'appris que c'était le papy qui avait fait ça à ce grand gaillard. A partir de là, j'ai décidé que je ne devais plus le laisser livré à lui même. On me dit aussi qu'il était à la tête d'un gang, ché pas quoi, qu'il se droguait, qu'il vivait une vie de débauché... Je ne comprenais rien à rien. Mais que lui était-il arrivé, merde ? Chef de gang ou quoi, j'en avais rien à foutre, je devais ramener mon frère à la raison. Je devais le travailler psychologiquement, y aller droit au but même si ça en lui plaît pas. J'avais même obtenu de lui qu'il aille consulter régulièrement un psy ce qui était un exploit en soit. Même moi, je n'y croyais pas pour tout dire.
Mais ce vieux qui ne veut pas casser la pipe qui nous sert de grand-père était contre ma présence à ses côtés, persuadé que je ne faisais que le rendre plus faible que jamais. En gros, je faisais de lui une tapette, puisque je suis moi-même une tapette selon lui... Donc, encore une fois, on m'exile en Australie, laissant encore Kwangho livré à lui-même... Je pressentais que quelque chose allait arrivé, mais lorsqu'on a une dizaine d'hommes de main du vieux qui me poussent gentiment vers la sortie, on se casse sans faire de bruit.
Nous, on ne perd pas notre temps dans un gang. Nous avons un clan à diriger... Je dis nous, mais je parle de lui, bien sûr, huhu. Parce qu'entendons nous, Kwang Ho est devenu dépendant de moi, je suis son pilier et j'aime ça. J'aime être celui qui dirige l'acteur principal de notre pièce de théâtre. Mais, plus le temps passe, plus je m'inquiète pour ma marionnette qui ne cesse de se mettre en danger. S'il continue comme ça, il finira bientôt coucher à terre à admirer les étoiles pour toujours... Tout ce qu'il fait m'inquiète, ça m'énerve, mais je ne lui en dirais rien... Mais ce qui m'énerve le plus, c'est que toute mon histoire ne parle que de lui....
Derrick FFFF, juste, courage à la personne qui va lire en diagonal mon histoire, faut vraiment du courage. Je pense qu'il faut du courage pour valider autant de gens tout court, djà ! J'ai aucun DC, je me suis jamais inscrit ici d'ailleurs, donc c'est total brand new. |
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼
- Code:
[url=http://www.shaketheworld.net/u410][b]▲[/b][/url][url=http://www.shaketheworld.net/t2780-park-jae-sun-un-frere-jumeau-pas-si-angelique-que-ca-huhuh]▼[/url] <taken>CHOI SEUNG HYUN ( T.O.P, BIG BANG)</taken> ✎ park jae sun
MADE BY LIGHTLESS.TCHI
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 14:25 Citer EditerSupprimer
bieeeeeeeeeeenvenue
c'est super cool d'avoir pris ce pv ! j'ai hâte de voir les jumeaux ensemble
(dsl léa je t'aime boude pas)
c'est super cool d'avoir pris ce pv ! j'ai hâte de voir les jumeaux ensemble
(dsl léa je t'aime boude pas)
Invité
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 14:28 Citer EditerSupprimer
r....rag... ragnar toi jtm déjà
edit; avec ça, j'avais oublié xd bienvenuuuue
edit; avec ça, j'avais oublié xd bienvenuuuue
Invité
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 14:28 Citer EditerSupprimer
TOP
:god: :god: :god: Bon courage pour la fin de sa fiche !
:god: :god: :god: Bon courage pour la fin de sa fiche !
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 15:20 Citer EditerSupprimer
OH BORDEL FDKLSJFMJSQLFKJDSQ RAGNAR LODBROK RIEN QUE CA JE TAIME PUTAIN FDKJSLFMSQFJSDQKLFHS
DOPPELGANGER TAS VUUUUUU Y A RAGNAR DANS SON TITREUUUUH FDJSFKDQMFJSDQLKFMJ
WELCOOOOOOME <333333333333
DOPPELGANGER TAS VUUUUUU Y A RAGNAR DANS SON TITREUUUUH FDJSFKDQMFJSDQLKFMJ
WELCOOOOOOME <333333333333
Invité
Invité
Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 17:33 Citer EditerSupprimer
BINEVENUUUUUUUE !
J'ai hâte de lire la suite de ta fiche
J'ai hâte de lire la suite de ta fiche
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 19:23 Citer EditerSupprimer
bienvenue parmi nous mon petit
Invité
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Re: Park Jae Sun aka Ragnar Lodbrok | Mer 27 Mai - 21:23 Citer EditerSupprimer
YAY LE PV DE OUF
ALOHA A TOI MON CHER FRERE VIKING.
COMO ESTAS ?????
DES BSX SUR TOI
BIENVEUNE :D
ALOHA A TOI MON CHER FRERE VIKING.
COMO ESTAS ?????
DES BSX SUR TOI
BIENVEUNE :D
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