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bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher.
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bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Lun 17 Aoû - 22:49 Citer EditerSupprimer Bae Jo Mei
kiddy
la roue tourne a tourné (merci franck)
#CALME | #SARCASTIQUE | #CHALEUREUSE | #POSSESSIVE | #SOURIANTE |
#DESTRUCTRICE | #MALLÉABLE | #GUEULARDE | #ENJÔLEUSE | #EXCESSIVE |
NOM : bae. PRÉNOM : jo mei. mais 'y a des teubés qui l'appellent joe dalton. ÂGE : twenny two. ORIGINES : coréennes et coréennes, juste coréennes. NATIONALITÉ : sud-coréenne. CLASSE SOCIALE : tranquillement dans la moyenne. ORIENTATION SEXUELLE : plus ou moins hétérosexuelle. CURSUS UNIVERSITAIRE : arts plastiques, appliqués, design. MÉTIER : body painter dans un coin de hongdae, là où sur une vitrine 'y a écrit Naked Color. occasionnellement peintre aérographiste pour voitures dans un garage quand elle a le temps et l'envie. Code du règlement : code ok by spleen TU VEUX T'INVESTIR? : dah, j'suis dans l'game.
“ Rumour has it : "paraît qu'elle a joué dans un film porno quand elle avait dix-huit ans" + "paraît aussi que c'était une scène de sexe entre lesbiennes, c'est dégueulasse" + "j'ai entendu dire qu'elle était très artiste sur les bords, que quand elle est dans son truc elle est à fond dedans et que 'y a pas moyen de l'en sortir" + "moi on m'a dit qu'elle prenait des cours de yoga pour contenir sa colère et réduire ses sautes d'humeur violentes" + "tu sais pas quoi ? joe dalton c'est une fan de mangas apparemment, surtout de naruto et de one piece, ça craint" + "la vie d'ma mère c'te fille c'est une folle : elle séquestre des gens pour les foutre à poil et les colorier à la peinture après !" + "apparemment elle serait sortie avec une fille pendant deux ans et leur rupture lui aurait fait beaucoup de mal" + "askip elle a un rottweiler appelé Monster et il bouffe les trois quarts des gens qu'il croise".
“ Rumour has it : "paraît qu'elle a joué dans un film porno quand elle avait dix-huit ans" + "paraît aussi que c'était une scène de sexe entre lesbiennes, c'est dégueulasse" + "j'ai entendu dire qu'elle était très artiste sur les bords, que quand elle est dans son truc elle est à fond dedans et que 'y a pas moyen de l'en sortir" + "moi on m'a dit qu'elle prenait des cours de yoga pour contenir sa colère et réduire ses sautes d'humeur violentes" + "tu sais pas quoi ? joe dalton c'est une fan de mangas apparemment, surtout de naruto et de one piece, ça craint" + "la vie d'ma mère c'te fille c'est une folle : elle séquestre des gens pour les foutre à poil et les colorier à la peinture après !" + "apparemment elle serait sortie avec une fille pendant deux ans et leur rupture lui aurait fait beaucoup de mal" + "askip elle a un rottweiler appelé Monster et il bouffe les trois quarts des gens qu'il croise".
“ Caractère : charismatique ; c'est la première chose qu'on se dit à propos de mei. elle a de la présence, elle a de la classe, quelque chose qui fait que quand elle passe tu la suit du regard et que quand elle parle tu la ferme, tu l'écoute et tu la regarde. + spontanée, mei elle n'aime pas les prises de tête, elle suit le rythme, elle suit les flots sans essayer de faire autre chose. elle dit et fait ce dont elle a envie, c'est tout. + créative, mei c'est une artiste avant d'être un être humain. elle vit pour la création, elle vit pour l'art. elle respire l'odeur chimique de la peinture du matin au soir, elle a des idées dans la tête, toujours, tout le temps, elle a un crayon dans les mains, un calepin dans l'autre, et elle s'enferme dans sa bulle. + souriante et chaleureuse, jo mei ce n'est peut-être pas l'incarnation du soleil mais c'est quand même une source de chaleur. elle t'ouvre grand ses bras, elle te sourit, après tu viens ou tu ne viens pas. + enjôleuse, mei elle sait que l'apparence aide beaucoup, alors elle joue souvent les séductrices ou bien les ingénues pour obtenir une ou deux faveurs. + attentionnée, ses proches sont ce qu'elle a de plus précieux et elle n'a absolument pas peur de leur dire ou de leur montrer à quel point ils sont importants pour elle. + malléable, mei elle est capable de s'adapter à la personne qui se trouve en face d'elle. elle reste elle-même sans l'être vraiment, elle sait ce qu'elle peut dire et ne pas dire, elle sait ce qu'elle peut faire et ne pas faire. c'est comme un caméléon. + calme et posée, depuis qu'elle prend des cours de yoga mei elle est plus zen, plus sereine, plus tranquille. elle se contrôle. + sarcastique, jo mei elle a hérité d'un humour noir, subtil et cassant, celui qui fait mouche, celui qui fait rire tout le monde sauf le concerné. et même sans plaisanter elle est obligée de faire dans le sarcasme, il fait partie d'elle autant qu'elle a pu faire partie de l'utérus de sa mère. + possessive, ce qui est à jo mei n'est qu'à jo mei et seulement à jo mei. même les êtres humains. + rancunière et destructrice, jo mei si elle déteste bien un truc plus qu'un modèle qui ne sait pas rester immobile pendant quatre heures, c'est de se sentir trahie et blessée. elle ne sait pas pardonner complètement, elle reste toujours amère, et elle a tendance à vouloir se venger. mais tout le monde sait que jo mei ne fait pas dans la demi-mesure et que si elle se décide à rendre la pareille à quelqu'un qui l'aurait faite souffrir, même dix ans après, elle fera tout pour lui pourrir la vie jusqu'à sa mort. + colérique et excessive, avant mei avait de gros problèmes à cause de son tempérament emporté. elle ne faisait pas que s'énerver, elle devenait violente et incontrôlable. mais ça s'est calmé avec le yoga. elle reste quand même assez facile à agacer. + râleuse, mei fait partie de ces personnes qui se plaignent sans cesse, que tout fait chier. même en peignant elle râle ; son perfectionnisme extrême l'y pousse.
elle a souvent les doigts couverts de peinture, sèche ou non + elle a un rire très communicatif, il n'est pas discret pour un sous mais on s'en fout puisque tout le monde rit avec elle + elle voue un amour sans bornes aux motos, plus particulièrement aux harley davidson, mais a toujours eu peur de monter dessus + elle passe son temps à manger des figues + elle est végétarienne + elle est toujours en train de donner des surnoms à ses amis ; généralement c'est connasse ou pupute + elle a une trousse bob l'éponge et si tu la juge, elle te bouffe + elle a une collection impressionnante de doc martens et de nike, ces chaussures sont toute sa vie + c'est christina cordula en moins sophistiquée et en beaucoup plus classe. + quand elle est stressée elle mordille l'intérieur de ses joues + elle est toujours en train de taper un rythme dès qu'elle a un truc dans la main et quelque chose pour taper dessus.
elle a souvent les doigts couverts de peinture, sèche ou non + elle a un rire très communicatif, il n'est pas discret pour un sous mais on s'en fout puisque tout le monde rit avec elle + elle voue un amour sans bornes aux motos, plus particulièrement aux harley davidson, mais a toujours eu peur de monter dessus + elle passe son temps à manger des figues + elle est végétarienne + elle est toujours en train de donner des surnoms à ses amis ; généralement c'est connasse ou pupute + elle a une trousse bob l'éponge et si tu la juge, elle te bouffe + elle a une collection impressionnante de doc martens et de nike, ces chaussures sont toute sa vie + c'est christina cordula en moins sophistiquée et en beaucoup plus classe. + quand elle est stressée elle mordille l'intérieur de ses joues + elle est toujours en train de taper un rythme dès qu'elle a un truc dans la main et quelque chose pour taper dessus.
“ Once upon a time : « you were my heart and my soul, my strenght and my weakness. » + Jo Mei elle n’a jamais rien connu d’autre que la présence de sa mère. Elle n’a vu que son visage, elle n’a vu que ses sourires, n’a entendu que sa voix. Elle était la seule et l’unique. On en entend beaucoup au sujet des mères célibataires : la plupart sont fauchées, quelques unes finissent par faire le trottoir, elles n’ont pas de sécu, pas assez de tune pour payer les factures et le gosse finit généralement en foyer. Et tout autant au sujet des gamins qui n’ont jamais eu de figure paternelle : ils le vivent mal, ils se posent des questions, ‘y en a qui virent délinquants, ils sont mal éduqués. Mais que ce soit Jo Mei où sa mère, l’absence d’un homme ne les a jamais dérangées. Jo Mei n’a jamais prêté attention à ses camarades de classe qui sautaient au coup de leur père, elle avait sa mère et ça lui suffisait. De toute façon quand t’es gosse tu ne peux pas comprendre, tu vis dans ta bulle, dans ton ignorance, tu souris pour rien, tu penses que la vie c’est beau, que tout le monde est gentil et on ne te dit rien parce qu’un peu d’innocence, ça fait de mal à personne. Et puis un jour ta candeur tu la perdras, alors autant en profiter le temps qu’elle durera. Pour Jo Mei c’était normal de ne connaitre que sa mère, pour elle sa vie elle était comme les autres.
Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle a toujours été choyée par sa mère. Elle était son trésor, la prunelle de ses yeux, quelque chose de précieux. Elle n’a jamais eu l’impression de manquer de quoique ce soit : les sourires de sa mère et savoir qu’elle allait bien lui étaient amplement suffisants. Jo Mei elle n’a grandi ni dans un foyer riche, ni dans un foyer pauvre, alors elle a toujours su se contenter de ce qu’elle avait tout en se permettant d’en vouloir un peu plus parfois, rêvant secrètement au jour où sa mère rencontrerait un homme qui lui conviendrait. C’était une gamine qui fascinait ; elle était souvent dans la lune, elle regardait par la fenêtre de la salle de classe plutôt que d’écouter l’institutrice, mais elle était toujours entourée. Jo Mei n’était jamais seule. Et puis elle avait cette habitude un peu spéciale qui était de toujours dessiner sur tout et n’importe quoi. Une fois elle a dessiné à la craie sur le sol de la cour de récréation, une autre au feutre sur son bureau. Et quand tu lui parlais du dessin, de la peinture, elle stoppait tout et elle partait dans un autre monde. Elle avait les yeux grands ouverts et le sourire aux lèvres. C’était bizarre et adorable en même temps.
En somme son enfance a été très heureuse. Sa mère parvenait aussi bien à remplir son rôle que celui du père absent. Elle était toujours là, à s’occuper d’elle, à ne pas vouloir la délaisser. Jo Mei est capable de raconter tellement de choses à propos de sa mère. C’est son héros, son modèle. Elle en est fière, incroyablement fière, et aujourd’hui encore elle en parle avec des yeux d’enfant et des mots d’adulte. Elle avait beau savoir que n’importe quel homme de Séoul qu’elle croiserait pouvait être son père, elle s’en foutait. Elle était forcément obligée d’y penser, beaucoup plus en grandissant, à se demander comment il était, pourquoi il était parti, s’il l’avait vue au moins une fois, où est-ce qu’il était en ce moment, ce qu’il faisait et avec qui, mais tout partait en fumée quand elle entrevoyait les dents blanches de sa mère quand ses lèvres roses s’étiraient en un sourire infiniment tendre. Elles étaient deux. Juste deux. Seulement deux. Mais à leurs yeux c’était beaucoup, à leurs yeux chacune d’entre elles était un cadeau. Elles riaient ensemble, elles pleuraient ensemble. Elles étaient mère et fille, amies aussi. Ce qui les liait c’était plus que de l’amour maternel ; c’était quelque chose de fusionnel. Les gens étaient souvent troublés de les voir si complices et si proches. Il leur arrivait souvent d’êtres prises pour deux sœurs ou pour une tante et sa nièce ; après tout sa mère l’avait eue jeune, à tout juste dix-sept ans, et elles en riaient. C’était bon d’en rire, c’était mieux que d’en pleurer. Jo Mei avait déjà du essuyer les larmes de sa mère à cause de ça, à cause des critiques, des préjugés. Parce qu’elle avait eu un enfant alors qu’elle n’était encore que lycéenne, elle était forcément une inconsciente, une débile, un cas social, un déchet. Mais avec les années elle était devenue plus forte et Jo Mei l’avait suivie pour devenir un soutient, un pilier. Sa mère avait réussi à prouver qu’avoir une fille en étant jeune n’empêchait pas d’avoir un avenir. Il serait retardé, certes, mais il était quand même là, il suffisait d’avoir le courage de courir vers lui.
Quand Jo Mei a eu seize ans, elle a décidé de se faire émanciper. Au départ elle n’en avait pas très envie mais, en prenant du recul, elle s’est dit que c’était la meilleure solution : sa mère n’aurait plus à se soucier d’elle en rentrant du boulot, elle aurait plus de temps pour ses études qu’elle venait de reprendre et elle arrêterait de lui payer sa vie. Vivre seule n’a jamais effrayé Jo Mei, les responsabilités encore moins : elle est mature, elle a la tête sur les épaules, les décisions elle sait les prendre, les choses elle sait les gérer. Elle est restée dans Séoul : d’abord parce que son lycée s’y trouvait et ensuite parce qu’elle ne pouvait pas se résoudre à l’idée de trop s’éloigner de sa mère. On avait tendance à lui dire que c’était dangereux, la relation qu’elles entretenaient, qu’autant de complicité ça les empêchait de couper le cordon. Pourtant elles n’ont jamais eu de problème. Elles pouvaient passer des mois sans se voir en ne se téléphonant qu’une fois toutes les deux semaines. Mais se séparer réellement, c’était impensable. Même en ayant son propre appartement, même en ayant sa propre vie à mener, Jo Mei continuait de voir sa mère, de l’épauler. Et aujourd’hui c’est encore comme ça. Elles vivent leur vie chacune de leur côté, l’une à l’université, et sa mère en est d’ailleurs très fière, l’autre dans les bureaux du journal local, mais il ya toujours un moment où elles se voient, rien que quelques minutes, juste pour s’assurer qu’elles vont bien. Sa mère s’est remariée, son beau-père est quelqu’un de bien et Jo Mei ne peut qu’être ravie de voir sa mère si heureuse. Ce serait presque un accomplissement.
Aussi loin qu’elle s’en souvienne, elle a toujours été choyée par sa mère. Elle était son trésor, la prunelle de ses yeux, quelque chose de précieux. Elle n’a jamais eu l’impression de manquer de quoique ce soit : les sourires de sa mère et savoir qu’elle allait bien lui étaient amplement suffisants. Jo Mei elle n’a grandi ni dans un foyer riche, ni dans un foyer pauvre, alors elle a toujours su se contenter de ce qu’elle avait tout en se permettant d’en vouloir un peu plus parfois, rêvant secrètement au jour où sa mère rencontrerait un homme qui lui conviendrait. C’était une gamine qui fascinait ; elle était souvent dans la lune, elle regardait par la fenêtre de la salle de classe plutôt que d’écouter l’institutrice, mais elle était toujours entourée. Jo Mei n’était jamais seule. Et puis elle avait cette habitude un peu spéciale qui était de toujours dessiner sur tout et n’importe quoi. Une fois elle a dessiné à la craie sur le sol de la cour de récréation, une autre au feutre sur son bureau. Et quand tu lui parlais du dessin, de la peinture, elle stoppait tout et elle partait dans un autre monde. Elle avait les yeux grands ouverts et le sourire aux lèvres. C’était bizarre et adorable en même temps.
En somme son enfance a été très heureuse. Sa mère parvenait aussi bien à remplir son rôle que celui du père absent. Elle était toujours là, à s’occuper d’elle, à ne pas vouloir la délaisser. Jo Mei est capable de raconter tellement de choses à propos de sa mère. C’est son héros, son modèle. Elle en est fière, incroyablement fière, et aujourd’hui encore elle en parle avec des yeux d’enfant et des mots d’adulte. Elle avait beau savoir que n’importe quel homme de Séoul qu’elle croiserait pouvait être son père, elle s’en foutait. Elle était forcément obligée d’y penser, beaucoup plus en grandissant, à se demander comment il était, pourquoi il était parti, s’il l’avait vue au moins une fois, où est-ce qu’il était en ce moment, ce qu’il faisait et avec qui, mais tout partait en fumée quand elle entrevoyait les dents blanches de sa mère quand ses lèvres roses s’étiraient en un sourire infiniment tendre. Elles étaient deux. Juste deux. Seulement deux. Mais à leurs yeux c’était beaucoup, à leurs yeux chacune d’entre elles était un cadeau. Elles riaient ensemble, elles pleuraient ensemble. Elles étaient mère et fille, amies aussi. Ce qui les liait c’était plus que de l’amour maternel ; c’était quelque chose de fusionnel. Les gens étaient souvent troublés de les voir si complices et si proches. Il leur arrivait souvent d’êtres prises pour deux sœurs ou pour une tante et sa nièce ; après tout sa mère l’avait eue jeune, à tout juste dix-sept ans, et elles en riaient. C’était bon d’en rire, c’était mieux que d’en pleurer. Jo Mei avait déjà du essuyer les larmes de sa mère à cause de ça, à cause des critiques, des préjugés. Parce qu’elle avait eu un enfant alors qu’elle n’était encore que lycéenne, elle était forcément une inconsciente, une débile, un cas social, un déchet. Mais avec les années elle était devenue plus forte et Jo Mei l’avait suivie pour devenir un soutient, un pilier. Sa mère avait réussi à prouver qu’avoir une fille en étant jeune n’empêchait pas d’avoir un avenir. Il serait retardé, certes, mais il était quand même là, il suffisait d’avoir le courage de courir vers lui.
Quand Jo Mei a eu seize ans, elle a décidé de se faire émanciper. Au départ elle n’en avait pas très envie mais, en prenant du recul, elle s’est dit que c’était la meilleure solution : sa mère n’aurait plus à se soucier d’elle en rentrant du boulot, elle aurait plus de temps pour ses études qu’elle venait de reprendre et elle arrêterait de lui payer sa vie. Vivre seule n’a jamais effrayé Jo Mei, les responsabilités encore moins : elle est mature, elle a la tête sur les épaules, les décisions elle sait les prendre, les choses elle sait les gérer. Elle est restée dans Séoul : d’abord parce que son lycée s’y trouvait et ensuite parce qu’elle ne pouvait pas se résoudre à l’idée de trop s’éloigner de sa mère. On avait tendance à lui dire que c’était dangereux, la relation qu’elles entretenaient, qu’autant de complicité ça les empêchait de couper le cordon. Pourtant elles n’ont jamais eu de problème. Elles pouvaient passer des mois sans se voir en ne se téléphonant qu’une fois toutes les deux semaines. Mais se séparer réellement, c’était impensable. Même en ayant son propre appartement, même en ayant sa propre vie à mener, Jo Mei continuait de voir sa mère, de l’épauler. Et aujourd’hui c’est encore comme ça. Elles vivent leur vie chacune de leur côté, l’une à l’université, et sa mère en est d’ailleurs très fière, l’autre dans les bureaux du journal local, mais il ya toujours un moment où elles se voient, rien que quelques minutes, juste pour s’assurer qu’elles vont bien. Sa mère s’est remariée, son beau-père est quelqu’un de bien et Jo Mei ne peut qu’être ravie de voir sa mère si heureuse. Ce serait presque un accomplissement.
je suis assez ému, même si je ne le montre pas vis-à-vis de mes yeux (moundir)
yo les asticots. ça fait seize ans que j'existe, au plus grand malheur de tout le monde mais j'm'en balec frère , j'viens d'un pauvre trou paumé humide (ntm j'parle pas de ton cul ) et pis, ouais, j'me suis lavée sous les bras. avec du dop cerise même.
AH PTN DAT DESIGN QWAH.
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
code
AH PTN DAT DESIGN QWAH.
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Lun 17 Aoû - 23:05 Citer EditerSupprimer
Welcome here la demoiselle qui sent la cerise des aisselles
Bon courage pour ta fichette !
EDIT je te préférais en jap' poulette
Bon courage pour ta fichette !
EDIT je te préférais en jap' poulette
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Lun 17 Aoû - 23:20 Citer EditerSupprimer
bienvenue sur le forum
bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir vu tes points de cara
edit : idem que ma vdd
bon courage pour ta fiche, j'ai hâte de voir vu tes points de cara
edit : idem que ma vdd
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Lun 17 Aoû - 23:21 Citer EditerSupprimer
Ptn mais t'es jolie toi aussi :bago:
Bienvenue par ici et bon courage pour la suite
Bienvenue par ici et bon courage pour la suite
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Lun 17 Aoû - 23:36 Citer EditerSupprimer
....... moundir
BIENVENUE ICI TOI
bonne chance pour ta fiche ~
BIENVENUE ICI TOI
bonne chance pour ta fiche ~
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Mar 18 Aoû - 11:38 Citer EditerSupprimer
LA BIENVENUEEE
J'adore Exid, cette fille a le swag.
Fighting pour ta fiche poulette
J'adore Exid, cette fille a le swag.
Fighting pour ta fiche poulette
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Mar 18 Aoû - 11:43 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
Eh bein, d'après ses rumeurs, elle a du caractère et j'aaaaime les artistes
Je t'offre mon corps pour le body painting si tu veux
Fighting pour la suite !
Eh bein, d'après ses rumeurs, elle a du caractère et j'aaaaime les artistes
Je t'offre mon corps pour le body painting si tu veux
Fighting pour la suite !
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Mar 18 Aoû - 13:19 Citer EditerSupprimer
ouah, elle est trop jolie
j'adore le métier sinon, c'est pas commun et super classe !
bienvenue ici
j'adore le métier sinon, c'est pas commun et super classe !
bienvenue ici
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Mar 18 Aoû - 14:10 Citer EditerSupprimer
+ noriko & moeko (kiko, j'te fais des bb) ptn, vous m'avez troublée, j'savais pas de quoi vous parliez, j'ai du réfléchir jusqu'à au moins 1h du mat avant de tilter. anyways, ça m'brise le kokoro d'vous décevoir, mais j'vous dis quand même merci pour la bienvenue.
+ ji hoon j'suis sûre de te connaitre. un habitant de mocking jay ? breuf. merci bogoss.
+ reira gosh, xin yuan, la déesse de ma vie. laisse-moi t'aimer pls. meeeeerci.
moundir dabest.
+ il su roh. jong in. tuveuxmetuerc'estça? merci beaucoup. :pq:
+ so ra oh oui, offre-le moi, tant d'botey, j'peux pas passer à cotey. merci belle demoiselle.
+ hae won oké. toi, jtm. chae eun est tellement eugeury... t'vois, j'ai même pas d'mots. /out/ thanks cutie.
+ ji hoon j'suis sûre de te connaitre. un habitant de mocking jay ? breuf. merci bogoss.
+ reira gosh, xin yuan, la déesse de ma vie. laisse-moi t'aimer pls. meeeeerci.
moundir dabest.
+ il su roh. jong in. tuveuxmetuerc'estça? merci beaucoup. :pq:
+ so ra oh oui, offre-le moi, tant d'botey, j'peux pas passer à cotey. merci belle demoiselle.
+ hae won oké. toi, jtm. chae eun est tellement eugeury... t'vois, j'ai même pas d'mots. /out/ thanks cutie.
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Re: bae jo mei (+) skies on fire, flames burn higher. | Mar 18 Aoû - 14:25 Citer EditerSupprimer
ah j'aime tellement cette fille
bienvenue
bienvenue
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