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perkyu x did they ever hold each other tight like us ?
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perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 18 Oct 2015 - 17:27 
Did they ever fight like us ?
| ▼ ▲Anniversaire de merde. Mis à part vingt années horribles, qu'est-ce que j'ai à fêter aujourd'hui ? Rien du tout. J'ai toujours détesté les dix-huit octobre, parce que j'ai toujours détesté ma vie mais cette année est probablement la pire. Aujourd'hui, je me réveille à la ferme des Gumiho gelé et avec un mal de tête affreux. Hier soir était probablement l'une des pires soirées que j'ai pu vivre dernièrement entre Percy qui a été pris d'une soudaine envie d'enfoncer le couteau dans la plaie en m'envoyant des sms douteux et le fait qu'en rentrant enfin au dortoir après une semaine d'absence , j'ai découvert que ce connard de Il Su vivait à présent dans ma chambre, c'était la totale. Résultat des courses, j'ai beaucoup trop bu, c'était ça ou je laissais encore mes lames tailler ma peau et j'ai choisi l'alcool. Alors ce matin je décide de me rendre au dortoir. Il faut que je récupère certaines choses avant de partir définitivement. C'est donc encore tremblant à cause du froid que j'arrive finalement dans ma chambre qui est dieu merci vide de tous colocataires. Je n'ai pas envie de les voir. Pas même Myung Shin, parce que me voir dans cet état l'inquiéterait encore plus et ce n'est pas ce que je veux. J'enfile donc un gros pull après avoir pris une douche bouillante et commence donc à fouiller dans mon armoire avant que mon regard ne soit attiré par un papier sur mon lit. Un billet d'avion à mon nom, c'est quoi ce bordel ? Je relis plusieurs fois pour être certain de ne pas halluciner avant de froncer les sourcils. C'est probablement le cadeau de Aidan mais pourquoi ne m'a-t-il pas laissé de message ? Je suis sur le point de jeter le billet avec qu'une idée ne vienne traverser mon esprit. Si je pars là bas, tout seul, sans prévenir personne, alors je pourrais ne plus jamais revenir, m'échapper de cet enfer. J'ai donc passé l'heure suivante à faire ma valise, n'emportant que le strict minimum. Après tout, ce n'est pas comme si j'avais prévu de refaire ma vie là bas. Y mettre un terme serait sans doute plus proche de la réalité. ---------------------------------------- Je suis là, devant la porte d'une chambre d'un grand hôtel et honnêtement, je ne comprend plus rien. Impossible de joindre Aidan, je suis là, seul dans la jungle qu'est Vegas. Pour arriver jusqu'ici, j'ai du suivre un type qui tenait une pancarte avec mon nom dessus à la sortie de l'aéroport, il m'a laissé devant cet immeuble dans lequel une chambre était apparemment réservée à mon nom. C'est donc épuisé par le vol et le décalage horaire que j'ouvre enfin cette porte, entrant à moitié zombifié dans la pièce avant de m'arrêter net. Il y a quelqu'un sur le lit. Et ce n'est pas Aidan. Tout mon corps se met à trembler et je laisse mes valises tomber au sol. Pourquoi toi ? Percy, pourquoi t'es là, pourquoi tu me fais ça ? Tu ne m'as pas fait assez de mal ? Cesse de me hanter, tu vas finir par me tuer. Je me sens mal, mon souffle est court, ma gorge serrée et mes paupières inondées. Putain. Sans réfléchir, je m'avance vers lui et le tire par le col de son haut sans lui laisser de temps d'en placer une et lorsqu'il est enfin debout face à moi, je deviens dingue. Ma main claque avec force sa joue, et j'ai mis dans ce geste toute ma haine, toute cette colère et cette douleur qui s'est accumulée ces derniers jours. Et j'ai mal. Mal aux yeux qui brûlent à cause des larmes, mal à la tête à cause de toutes ces pensées qui la prennent d'assaut, mal au coeur de le voir ici. Je le déteste tellement mais putain, je l'aime. « Pourquoi t'es là ? Ça te plait tant que ça de me faire du mal ?! J't'ai dit de sortir de ma vie putain, casse toi ! » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 18 Oct 2015 - 18:07
toute ma vie se résumait à ça. agir comme un salopard, un connard, un chien. je n'ai jamais été doué en amour, la seule chose que je peux dire, c'est que je sais que je suis capable d'aimer quelqu'un à en crever. c'est le cas pour moon kyu. bien que notre précédente dispute reste bien amère au fond de ma gorge, je n'ai quand même pas hésité à lui faire ce que l'on peut dire être un cadeau. je dois l'avouer, laisser un billet d'avion sur son pieu pouvait avoir un double sens, pour ma part, ça n'était qu'une surprise. le connaissant, il serait bien capable d'imaginer milles et une histoire dans sa tête sur le pourquoi du comment de la présence de ce billet sur son lit. avec un peu de chance, il n'a pas réellement hésité et a pris cet avion pour me rejoindre, sans le savoir. je sais que ça peut paraitre désabusé, inappropriée, dingue ou même irrespectueux, surtout après nos derniers sms, mais je ne peux rien faire contre ça. si je ne l'aimais vraiment pas, pourquoi me fatiguerais-je à faire tout ça ? pourquoi serais-je là, à l'attendre comme un con sur le lit de cette foutue suite, en sachant que je ne suis même pas sûr qu'il mette un jour les pieds ici ? un autre n'aurait certainement pas fait autant. un autre se serait contenté d'un simple message, ou présent. je ne suis pas comme ça. en dépit de cette colère que je peux lui porter actuellement, l'amour que j'ai pour lui est certainement plus fort que tout au monde. le temps passe, ça fait exactement presque dix heures que je suis là à attendre comme un idiot. plutôt que m'endormir sur mes lauriers, je préfère prendre une douche, pensant que le temps passerait surement plus vite, au final, ça n'a durée qu'une poignée de minutes. retournant sur ce lit, digne de celui d'un roi, je m'allonge dessus, soupirant sans pour autant perdre espoir. il fuit toujours. il est en colère et cherche à s'isoler, il a forcément prit cet avion, il n'y a pas d'autre solution. au final, après quelques minutes supplémentaires à attendre, j'entends un bruit sourd raisonné derrière moi, je me tourne alors immédiatement, m’asseyant au bord du lit tout en fixant celui qui avait causé mon impatience. je ne m'attendais pas à ce qu'il me saute dans les bras, mais plutôt à un cris de surprise, ou que sais-je encore. finalement, le jeune homme a préféré me retirer de mon lit, m’infligeant la gifle du siècle qui n'a fait que me décrocher un faible rire. pourquoi rire ? simplement parce que son attitude est plus que ridicule, mais c'est la raison pour laquelle je l'aime, évidemment. « Pourquoi je sortirais de ta vie alors que toi même, tu n'es toujours pas sorti de la mienne ? » sourire victorieux sur les lèvres, je finis par glisser mes mains sur ses joues, rapprochant mon visage du sien pour finalement déposer tendrement mes lèvres sur les siennes. débutant ce nouveau baiser avec tendresse, je force son corps à se rapprocher du miens avant d'approfondir ce baiser. ce n'est qu'après une longue minute que j'y met fin, glissant ma langue sur mes propres lèvres avant de sourire à nouveau, chuchotant contre ses douces lèvres. « Monsieur le salopard te souhaite un joyeux anniversaire, mon amour. »
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toute ma vie se résumait à ça. agir comme un salopard, un connard, un chien. je n'ai jamais été doué en amour, la seule chose que je peux dire, c'est que je sais que je suis capable d'aimer quelqu'un à en crever. c'est le cas pour moon kyu. bien que notre précédente dispute reste bien amère au fond de ma gorge, je n'ai quand même pas hésité à lui faire ce que l'on peut dire être un cadeau. je dois l'avouer, laisser un billet d'avion sur son pieu pouvait avoir un double sens, pour ma part, ça n'était qu'une surprise. le connaissant, il serait bien capable d'imaginer milles et une histoire dans sa tête sur le pourquoi du comment de la présence de ce billet sur son lit. avec un peu de chance, il n'a pas réellement hésité et a pris cet avion pour me rejoindre, sans le savoir. je sais que ça peut paraitre désabusé, inappropriée, dingue ou même irrespectueux, surtout après nos derniers sms, mais je ne peux rien faire contre ça. si je ne l'aimais vraiment pas, pourquoi me fatiguerais-je à faire tout ça ? pourquoi serais-je là, à l'attendre comme un con sur le lit de cette foutue suite, en sachant que je ne suis même pas sûr qu'il mette un jour les pieds ici ? un autre n'aurait certainement pas fait autant. un autre se serait contenté d'un simple message, ou présent. je ne suis pas comme ça. en dépit de cette colère que je peux lui porter actuellement, l'amour que j'ai pour lui est certainement plus fort que tout au monde. le temps passe, ça fait exactement presque dix heures que je suis là à attendre comme un idiot. plutôt que m'endormir sur mes lauriers, je préfère prendre une douche, pensant que le temps passerait surement plus vite, au final, ça n'a durée qu'une poignée de minutes. retournant sur ce lit, digne de celui d'un roi, je m'allonge dessus, soupirant sans pour autant perdre espoir. il fuit toujours. il est en colère et cherche à s'isoler, il a forcément prit cet avion, il n'y a pas d'autre solution. au final, après quelques minutes supplémentaires à attendre, j'entends un bruit sourd raisonné derrière moi, je me tourne alors immédiatement, m’asseyant au bord du lit tout en fixant celui qui avait causé mon impatience. je ne m'attendais pas à ce qu'il me saute dans les bras, mais plutôt à un cris de surprise, ou que sais-je encore. finalement, le jeune homme a préféré me retirer de mon lit, m’infligeant la gifle du siècle qui n'a fait que me décrocher un faible rire. pourquoi rire ? simplement parce que son attitude est plus que ridicule, mais c'est la raison pour laquelle je l'aime, évidemment. « Pourquoi je sortirais de ta vie alors que toi même, tu n'es toujours pas sorti de la mienne ? » sourire victorieux sur les lèvres, je finis par glisser mes mains sur ses joues, rapprochant mon visage du sien pour finalement déposer tendrement mes lèvres sur les siennes. débutant ce nouveau baiser avec tendresse, je force son corps à se rapprocher du miens avant d'approfondir ce baiser. ce n'est qu'après une longue minute que j'y met fin, glissant ma langue sur mes propres lèvres avant de sourire à nouveau, chuchotant contre ses douces lèvres. « Monsieur le salopard te souhaite un joyeux anniversaire, mon amour. »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 18 Oct 2015 - 21:03
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| ▼ ▲Comment ai-je pu tomber si bas ? J'ai l'impression de n'être qu'un déchet, une erreur de la nature et que ma vie n'a aucun sens ni objectif à part peut-être celui de créer le chaos autour de moi et de faire souffrir tous ceux que j'aime. Je ne me suis jamais senti aussi mal que je depuis que je suis sorti de prison. Mon frère et mon meilleur ami m'ont pardonné mes erreurs certes, mais moi non. Moi je ne peux pas me pardonner ce que j'ai fait parce que à cause de moi ils ont souffert. Eux deux et pleins d'autres aussi, dont Percy qui s'est retrouvé embarqué dans toute cette histoire malgré lui. Il a du supporter mes excès de colère, mes pertes de contrôle, mes crises récurrentes et tout ce que je suis de façon générale. Et en plus de tout détruire autour de moi, je me suis détruit moi-même. Mes avant-bras et mes cuisses sont recouverts de cicatrices, certaines coupures sont même encore fraîches, l'anorexie me contrôle de nouveau avec cette voix qui me hurle que je suis hideux et que je le serais encore plus si je mange, alors je saute des repas, grignote à peine. Et je passe mon temps dehors, cherchant constamment la bagarre pour oublier mes démons. Et hier soir j'étais tellement mal que j'avais même oublié mon anniversaire et puis il faut dire que seul Ji Hoon me l'a souhaité. Après tout, tous les autres s'en moquent, je ne suis pas important et ils ont mieux à faire plutôt que de penser à l'anniversaire d'un raté comme moi. Alors lorsque j'ai vu ce billet d'avion sur mon lit en rentrant au dortoir, je n'y ai pas vraiment cru, surtout qu'avec Aidan, nous sommes censés rentrer sous peu en Tasmanie, où a-t-il trouvé l'argent pour en plus m'offrir un voyage aux États-Unis ? Tout ça me semblait si dingue que j'avais l'impression de rêver ou de faire une énième hallucination. Comme si ce papier n'avait jamais existé, que je n'avais jamais pris l'avion et que je n'étais pas dans cet hôtel luxueux en plein centre de Vegas. Tout ça ne peut pas être réel. Et pourtant si, je suis bien là, face à l'homme que j'aime, celui qui m'a dit il y a un peu plus d'une semaine de le laisser, sous entendant qu'il ne voulait plus de moi parce que je ne voulais pas qu'il se drogue. Mais il ne sait pas pourquoi ces substances me font peur et je ne peux pas le lui dire alors j'ai obéi, je suis parti puisque de toute évidence, je suis encore tombé amoureux du mauvais type. Et je ne comprend tellement pas ce qu'il fait là, à l'autre bout du monde avec moi. Ma tête est un bordel sans nom et la seule chose que je sais c'est que je suis énervé, que je lui en veux terriblement pour la semaine que je viens de vivre et que je n'ai pas la force de l'affronter si tôt. Et j'aimerais le rouer de coups avant de m'en aller mais je ne peux pas, parce que je l'aime et que l'amour rend faible. Alors je reste là comme un con à lui hurler dessus et je ne sais pas quoi faire, mais il ne me laisse pas le temps d'y réfléchir et scelle nos lèvres. Je reste un instant crispé, trop en colère pour répondre à cet échange avant de bien vite faiblir. Putain, ses lèvres m'avaient beaucoup trop manquées. Mes mains remontent jusqu'à ses épaules et je me met légèrement sur la pointe des pieds pour être plus proche de ce grand enfoiré, soupirant d'aise de pouvoir enfin goûter de nouveau à ses lippes si addictives. Je respire un peu trop fort lorsqu'il met un terme à ce baiser, sans doute parce que j'ai oublié comment respirer durant tout ce temps, ou peut-être pour pouvoir m'enivrer de son parfum. Probablement pour les deux. Et je reste figé à ses mots. Il s'en est souvenu ? Alors on est ici pour mon anniversaire ? Je le fixe sans comprendre, trop perturbé par tous ces événements. « Putain, t'es vraiment un connard. » Je tire un peu trop brusquement sur son haut pour le forcer à se mettre à ma hauteur et ainsi capturer de nouveau ses lèvres, les mordillant légèrement. « Tu m'as manqué, monsieur le salopard. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 18 Oct 2015 - 22:32
une addiction. un jeu. un trouble fait. une drogue. une dépendance. une obsession. tout ça. tout ça était la façon que j'avais de voir ce type. aux yeux de beaucoup, il n'est qu'un moins que rien, une déchet, voir même une honte pour l'humanité. à mes yeux c'est une personne qui possède un coeur pur qu'il cache derrière se corps torturé, brisé et détruit de milles et une façon. je l'aime malgré ses défauts, malgrés ce que l'on peut dire sur lui, sur sa famille, ses amis ou même sur nous deux. aucune personne ne pourra m'éloigner de lui, ni même mon pauvre esprit de connard ambulant. j'ai beau faire ce que je veux pour m'éloigner, le rejeter, l'oublier, rien ne fonctionne. toute mon âme, mon corps et tout le reste lui appartiennent. si il vient à me détruire ? tant mieux. je préfère être détruit par ce mec là, pour qui je donnerai ma vie, plutôt qu'un déchet qui est actuellement la plus grosse catin du campus. ma vie lui est consacré. ma richesse, mon amour, mon talent, tout est à lui. il a signé pour un aller simple vers l'enfer et son diable, pour ma part j'ai signé pour un aller simple vers l'amour, le véritable, celui que personne ne peut comprendre car il est tout bonnement impossible de comprendre une relation telle que la notre si l'on ne possède pas un quart de notre vécu actuel. au final, d'un simple statut d'amant taulard, on avait tous deux tournés dans cette relation à risque. on ne sait pas jusqu'où on ira comme ça, mais je ferais ce qu'il faut pour le sortir de toutes ses merdes, de tous ses démons qui le chassent sans arrêt. il n'appartient qu'à moi et seul ma personne est autorisé à lui faire du mal ou non. dans tous les cas, sa réaction, sa façon de répondre à ce baiser parle d'elle même. « Tu m'as manqué aussi gueule d'ange. » sourire aux lèvres, je me redresse calmement, inversant discrètement nos places alors que mon regard venait à se plonger dans le sien. hypnotisant. dans un élan plus que calculé, je glisse mes bras au niveau de ses fines cuisses et le balance sur le lit, venant le rejoindre lentement à quatre pattes. une fois placé au dessus de lui, je glisse deux de mes doigts entre la peau de son cou et son collier tout en souriant fourbement. « C'est pour moi ça ?.. Je trouve ça bien excitant. » je hausse finalement les épaules, me fichant de sa réponse, préférant me concentrer sur mon activité favorite, à savoir le torturer. je porte mes lèvres sur sa joue, glissant jusqu'à son oreille avant de la mordiller faiblement, descendant jusqu'à son cou avant de retirer l'objet un peu trop encombrant présent sur ce dernier. la peau définitivement libre, je m'attaque à cette dernier de multiples façons. la mordillant, la taquinant même de ma langue, la marquant une nouvelle fois, tout était désormais possible. je finis par relever la tête et le fixe intensément avant de plisser légèrement les yeux, signalant ainsi un avertissement. « Rassure-moi, t'es là parce que t'as pris la fuite n'est-ce pas ? Personne ne sait qu'on est là ? Parce que si c'est le cas, de un, je te défonce le derrière comme jamais et de deux, je te tue de mes mains, c'est clair ? »
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une addiction. un jeu. un trouble fait. une drogue. une dépendance. une obsession. tout ça. tout ça était la façon que j'avais de voir ce type. aux yeux de beaucoup, il n'est qu'un moins que rien, une déchet, voir même une honte pour l'humanité. à mes yeux c'est une personne qui possède un coeur pur qu'il cache derrière se corps torturé, brisé et détruit de milles et une façon. je l'aime malgré ses défauts, malgrés ce que l'on peut dire sur lui, sur sa famille, ses amis ou même sur nous deux. aucune personne ne pourra m'éloigner de lui, ni même mon pauvre esprit de connard ambulant. j'ai beau faire ce que je veux pour m'éloigner, le rejeter, l'oublier, rien ne fonctionne. toute mon âme, mon corps et tout le reste lui appartiennent. si il vient à me détruire ? tant mieux. je préfère être détruit par ce mec là, pour qui je donnerai ma vie, plutôt qu'un déchet qui est actuellement la plus grosse catin du campus. ma vie lui est consacré. ma richesse, mon amour, mon talent, tout est à lui. il a signé pour un aller simple vers l'enfer et son diable, pour ma part j'ai signé pour un aller simple vers l'amour, le véritable, celui que personne ne peut comprendre car il est tout bonnement impossible de comprendre une relation telle que la notre si l'on ne possède pas un quart de notre vécu actuel. au final, d'un simple statut d'amant taulard, on avait tous deux tournés dans cette relation à risque. on ne sait pas jusqu'où on ira comme ça, mais je ferais ce qu'il faut pour le sortir de toutes ses merdes, de tous ses démons qui le chassent sans arrêt. il n'appartient qu'à moi et seul ma personne est autorisé à lui faire du mal ou non. dans tous les cas, sa réaction, sa façon de répondre à ce baiser parle d'elle même. « Tu m'as manqué aussi gueule d'ange. » sourire aux lèvres, je me redresse calmement, inversant discrètement nos places alors que mon regard venait à se plonger dans le sien. hypnotisant. dans un élan plus que calculé, je glisse mes bras au niveau de ses fines cuisses et le balance sur le lit, venant le rejoindre lentement à quatre pattes. une fois placé au dessus de lui, je glisse deux de mes doigts entre la peau de son cou et son collier tout en souriant fourbement. « C'est pour moi ça ?.. Je trouve ça bien excitant. » je hausse finalement les épaules, me fichant de sa réponse, préférant me concentrer sur mon activité favorite, à savoir le torturer. je porte mes lèvres sur sa joue, glissant jusqu'à son oreille avant de la mordiller faiblement, descendant jusqu'à son cou avant de retirer l'objet un peu trop encombrant présent sur ce dernier. la peau définitivement libre, je m'attaque à cette dernier de multiples façons. la mordillant, la taquinant même de ma langue, la marquant une nouvelle fois, tout était désormais possible. je finis par relever la tête et le fixe intensément avant de plisser légèrement les yeux, signalant ainsi un avertissement. « Rassure-moi, t'es là parce que t'as pris la fuite n'est-ce pas ? Personne ne sait qu'on est là ? Parce que si c'est le cas, de un, je te défonce le derrière comme jamais et de deux, je te tue de mes mains, c'est clair ? »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Lun 19 Oct 2015 - 18:20
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| ▼ ▲Je ne sais pas vraiment ce que représente Percy pour moi tant notre relation a évolué depuis le début. Alors aujourd'hui, il est un peu tout à la fois. Un amant, un confident, l'homme que j'aime, parfois même un ennemi, ou même l'unique raison de mon existence. Je vis pour lui, je pourrais mourir pour lui et lentement, c'est lui qui me tue. C'est ainsi, nous ne serons jamais le parfait petit couple idéal dans une relation ou tout va toujours bien et où le monde est magnifique. Rares sont les fois où nous passons une journée entière sans nous disputer, sans cracher notre venin au moins une fois. Entre mon aîné qui se montre bien souvent dur dans ses mots, et moi qui part au quart de tour, difficile d'éviter les conflits et pourtant, malgré tout ce que j'ai pu lui dire, malgré toutes les fois où il m'a fait souffrir, je suis dingue de lui. Parce qu'il a cette capacité de me faire revire à chaque fois qu'il me tue et que quoi que je dise, je suis totalement accro à lui. Je le déteste oui, mais je l'aime tout autant. Sans lui je ne serais déjà plus de ce monde alors oui au moins je ne souffrirais plus, mais qu'importe. Percy vaut la peine de supporter les douleurs de la vie, sa simple compagnie est une récompense bien suffisante. Alors comme toujours, j'ai autant envie de le frapper que de l'embrasser. Je lui en veux toujours de m'avoir abandonné pendant toute cette semaine, d'avoir fait comme si je n'existais pas et je ne lui pardonnerais sans doute pas tout de suite ça. Mais d'un autre côté, nous sommes là tous les deux, à Vegas pour mon anniversaire. C'est toujours ainsi, il me donne toutes les raisons de le détester et en même temps de l'aimer plus encore. Alors je le bouffe sans gêne du regard, respirant son parfum qui m'avait tant manqué. Et je me perd dans ses iris si sombres, si bien que je n'ai même pas le temps de réagir lorsqu'il me fait tomber sur le matelas, laissant échapper un couinement de surprise. Mes mains s'accrochent à son haut pour le rapprocher de moi et je rougis légèrement à ses mots. Si ce collier est pour lui ? Pff n'importe quoi. Ou peut-être que si en fait. Peut-être que je l'ai vraiment acheté parce que je sais qu'il fait une fixette sur mon cou et que ce genre de choses lui plait, mais il n'a pas besoin de le savoir pas vrai ? Et trop hypnotisé par son être tout entier, je le laisse redécouvrir ma peau, fermant les yeux pour mieux apprécier ce contact. Mes lèvres se pincent lorsqu'il descend dans mon cou si sensible et je laisse échapper malgré moi quelques faibles gémissements, tirant sans le vouloir sur ses cheveux. Il le sait, il sait que ça me rend dingue. Je respire enfin lorsqu'il se recule et arque un sourcil à ses questions. Sérieusement ? « Je serais bien tenté de dire oui juste pour subir ça.. Mais non, personne n'est au courant. » Je lui vole un rapide baiser avant de rouler pour me retrouver au dessus, parce que je sais qu'il n'aime pas ça, qu'il veut toujours me dominer sur tous les points. Assis sur son bassin, je me penche en avant pour pouvoir mordiller sa lèvre inférieure avec un sourire à la fois fourbe et innocent. « Maintenant qu'on est à l'autre bout du monde, qu'est-ce que tu as prévu hm ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mer 21 Oct 2015 - 14:36
pas que ça me gênerais qu'on le voit en ma compagnie, mais disons plutôt que je suis du genre un peu trop possessif. donc techniquement, si quelqu'un sait qu'il est ici, ça voudrait dire que durant mon absence, il aurait parlé à je ne sais qui, ce qui me déplairais énormément. non pas que je n'ai pas confiance en lui, mais c'est surtout à cause du fait qu'il est un beau trop au gout des autres crevards. je sais bien qu'il n'est pas du genre à se laisser faire, mais tout de même, quand on sait comment a finit sa dernière parti de jambes en l'air avec le salopard qui lui sert d'ex, autant dire qu'on peut être mefiant et possessif comme le plus gros des lourds. heureusement pour lui, il me confirme bien tout le contraire, ce qui a pour effet de me rassurer. au final, nos positions sont bien vite inversées. me retrouvant dans une posture plutôt délicate, mais surtout soumise, je grogne légèrement face à son sourire fier et fourbe. il sait que je déteste ça. il sait combien je préfère être en tête de file plutôt qu'un faible petit suiveur. je ne dis pas que c'est ce qu'il est, au contraire, disons que sa position habituelle de soumis le rend plus attirant qu'il ne l'est déjà, le voir donc en position de force m'excite énormément, mais surement pas assez pour lui sauter dessus. je glisse donc mes mains sur ses hanches, le laissant profiter de sa soudaine dominance alors que je le fixe longuement. « Ce que j'ai prévu ? Mh.. Te faire l'amour, ça c'est évident. Mais avant, TU vas visiter Vegas et t'amuser comme jamais. » je souris d'un air malicieux, roulant soudainement sur le coté pour reprendre ma place initiale. mes doigts glissent jusqu'à ses fines bretelles que je finis par retirer elles aussi, alors que mes lippes viennent contre les siennes, lui offrant un nouveau baiser, doux mais surtout, court. « Je connais Vegas comme ma poche, donc aujourd'hui, c'est toi qui fait le touriste, moi je me charge d'être le guide, suffit de me dire ce que t'as envie de faire et j'agis. Après tout, c'est ta journée non ? »
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pas que ça me gênerais qu'on le voit en ma compagnie, mais disons plutôt que je suis du genre un peu trop possessif. donc techniquement, si quelqu'un sait qu'il est ici, ça voudrait dire que durant mon absence, il aurait parlé à je ne sais qui, ce qui me déplairais énormément. non pas que je n'ai pas confiance en lui, mais c'est surtout à cause du fait qu'il est un beau trop au gout des autres crevards. je sais bien qu'il n'est pas du genre à se laisser faire, mais tout de même, quand on sait comment a finit sa dernière parti de jambes en l'air avec le salopard qui lui sert d'ex, autant dire qu'on peut être mefiant et possessif comme le plus gros des lourds. heureusement pour lui, il me confirme bien tout le contraire, ce qui a pour effet de me rassurer. au final, nos positions sont bien vite inversées. me retrouvant dans une posture plutôt délicate, mais surtout soumise, je grogne légèrement face à son sourire fier et fourbe. il sait que je déteste ça. il sait combien je préfère être en tête de file plutôt qu'un faible petit suiveur. je ne dis pas que c'est ce qu'il est, au contraire, disons que sa position habituelle de soumis le rend plus attirant qu'il ne l'est déjà, le voir donc en position de force m'excite énormément, mais surement pas assez pour lui sauter dessus. je glisse donc mes mains sur ses hanches, le laissant profiter de sa soudaine dominance alors que je le fixe longuement. « Ce que j'ai prévu ? Mh.. Te faire l'amour, ça c'est évident. Mais avant, TU vas visiter Vegas et t'amuser comme jamais. » je souris d'un air malicieux, roulant soudainement sur le coté pour reprendre ma place initiale. mes doigts glissent jusqu'à ses fines bretelles que je finis par retirer elles aussi, alors que mes lippes viennent contre les siennes, lui offrant un nouveau baiser, doux mais surtout, court. « Je connais Vegas comme ma poche, donc aujourd'hui, c'est toi qui fait le touriste, moi je me charge d'être le guide, suffit de me dire ce que t'as envie de faire et j'agis. Après tout, c'est ta journée non ? »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mer 21 Oct 2015 - 17:54
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| ▼ ▲C'est comme si en une fraction de seconde j'avais oublié la semaine chaotique qu'il m'avait fait endurer. Il n'est pas pardonné, loin de là, mais pour le moment je n'ai pas envie de me disputer avec lui. Il m'a trop manqué pour ça alors maintenant que je peux enfin profiter de la chaleur de ses bras, de ses lèvres contre les miennes qui finissent toujours par dévier sur ma peau, je refuse de tout gâcher. J'ai besoin de lui et il le sait, il est le seul à me maintenir en vie et à apaiser mes souffrance avec une facilité incroyable. Et aujourd'hui encore il me prouve qu'il n'est pas le monstre horrible et sans âme qu'il affirme être. Car pour la première fois en vingt ans, je suis heureux le jour de mon anniversaire et c'est uniquement grâce à lui. Malgré sa colère envers moi, il s'est tout de même souvenu de cette date et m'a offert un cadeau énorme, il m'a emmené à l'autre bout du monde avec lui. Rien que nous deux, en voyage pour fêter mes vingt ans. Tout ça me semble tellement irréel que j'en oublie presque où nous sommes, comme si je n'avais jamais pris l'avion et que nous étions dans notre chambre au dortoir. Il occupe tellement toutes mes pensées, il est tellement l'unique centre de mon attention que le reste passe après, d'autant plus lorsqu'il s'attaque à mon cou qui s'avère être la partie la plus sensible de mon corps, chose qu'il a rapidement découvert dès les premières fois où nous avons couché ensembles et depuis, il n'hésite pas à user et abuser de cette zone pour me rendre dingue. C'est pour cette raison que j'ai décidé de l'attaquer moi aussi, de profiter de mes connaissances sur ce qu'il aime ou pas pour en jouer. Et je sais qu'il ne supporte pas que je sois au dessus de lui, qu'il préfère largement me dominer constamment et m'avoir à sa merci mais je ne peux pas m'empêcher de le provoquer, j'aime bien trop le voir en colère pour pouvoir arrêter. Alors son simple petit grognement sonne comme une victoire pour moi et j'en profite alors pour lui demander ce qui nous attend lors de notre séjour ici, et sa réponse me fait sourire, mais je n'ai pas le temps de répliquer puisqu'il inverse de nouveau nos positions sans grande surprise. Je le laisse faire, ne le quittant pas des yeux en l'écoutant attentivement. Et pour la première fois depuis bien trop longtemps, je souris. Un vrai sourire sincère qui décrit mon bonheur. Il me rend heureux. Alors je le tire un peu brusquement contre moi pour pouvoir l'embrasser de nouveau mais d'une façon bien différente de toutes les fois précédentes. « Merci. » Je n'ai pas besoin d'en dire plus, il sait très bien ce que je pense. « Par contre.. on ira nulle part si tu continues de me déshabiller comme ça tu sais ? » Taquin, je lui tire la langue et tapote ses épaules pour l'inciter à se relever pour que je puisse faire pareil. Je fixe alors mes valises au sol en soupirant avant de récupérer mon collier pour le remettre autour de mon cou. « Je rangerais plus tard, si je reste ici je vais finir par m'endormir ou par te sauter dessus donc hmm... emmène-moi où tu veux, moi je connais rien. » Mes mains glissent lentement sur son torse et je ne peux m'empêcher de sourire, de sourire vraiment. « T'es dingue de m'avoir offert ça tu le sais ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Sam 24 Oct 2015 - 18:53
entre vents et marrées, notre histoire semblable au jeu du chat et de la souris, nous sommes dans l'incapacité de nous détester bien longtemps. quelques jours seulement séparaient notre dispute à nos retrouvailles ici-même, dans cette chambre. bien que j'avais agis comme le plus gros des salopards avec lui, il était toujours là, dans mes bras, alors que moi j'étais là, à faire de cette ville son cadeau. comme quoi, la haine peut détruire, mais l'amour peut reconstruire. belle rime, mais quelque peu mielleuse et digne d'un film à l'eau de rose. on pouvait être sûr de ne pas tomber dans un quotidien pesant et ennuyant avec ce genre de mélange de personnalité. semblables, mais différents à la fois, notre relation était surement la plus inattendu, mais surtout la moins compréhensible de ce monde. cherchant tous deux la destruction, on finit par trouver refuge dans l'amour une fois tombé dans les bras de l'autre. plutôt contradictoire avec nous même, il fallait l'avouer. bien que beaucoup veulent voir le mal s'abattre sur lui, pour ma part, je cherche à décrocher au moins un sourire de sa part et contre toute attente, mon objectif venait d'être atteins. un baiser avait précédé ce fameux sourire si précieux à mes yeux, je n'avais clairement pas eu le temps de répondre à ses lippes que c'était déjà terminer. démon. je fixe mon cadet avec attention, l'écoutant attentivement alors qu'il vient à me repousser pour se redresser. je m'exécute en grognant avant de le voir plus ou moins revenir à moi. « Dingue ? Non. Ou alors oui. Dingue de toi serait plus approprié ! » faible moue au visage, j'ignore totalement ses précédentes paroles et le rallonge délicatement pour venir prendre possession de ses lippes. j'y étais accro, c'était une évidence et bien que monsieur voulait partir à la conquête de la ville, pour ma part, j'étais plus dans l'optique de rester enfermé dans cette chambre. le séquestrer ici, le forcer à rester dans mes bras était devenu une nouvelle obsession. plus clairement, il m'avait énormément manqué ces derniers jours, mais comme à mon habitude j'étais bien trop fier pour lui en faire part, de cet fait, je laissais mes gestes parler à mes places, espérant au fond de moi qu'il arrive à comprendre. je finis par mettre fin au baiser, bien que ce dernier était doux et certainement bien représentatif de l'amour que je pouvais portait au plus jeune, l'air commençait à manquer. souriant donc contre ses lèvres rougis et torturées, je viens à glisser mes mains dans ses cheveux avant de lui voler un énième baiser. « On ira tester ta chance avec les machines à sous tout à l'heure.. tu pourrais finir aussi riche que moi et on pourrait devenir un couple de millionnaire ! » indirectement, je venais à parler de ma fortune. cet attrait de ma personnalité n'avait jamais été abordé entre nous. bien que je sois quelqu'un qui clame haut et fort être blindé à ce niveau, l'intitulé exact avait toujours été tenu secret. « Mh. Fais comme si j'avais rien dis. Maintenant, on bouge ! » personne ne savait comment j'avais eu tout cet argent. j'étais loin de faire parti de ce genre famille à qui la cuillère en diamant venait à verser la nourriture dans ma petite bouche. au fond, la majorité de mon argent était certainement sale, mais c'est pas pour autant que j'y crache dessus aujourd'hui. « Juste une chose.. T'es là parce que t'as voulu fuir n'est-ce pas ? Donc indirectement, si tout ça ne venait pas de moi, si ce voyage et ce billet n'avait pas existé, tu m'aurais abandonné sans que je le sâche. »
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ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
entre vents et marrées, notre histoire semblable au jeu du chat et de la souris, nous sommes dans l'incapacité de nous détester bien longtemps. quelques jours seulement séparaient notre dispute à nos retrouvailles ici-même, dans cette chambre. bien que j'avais agis comme le plus gros des salopards avec lui, il était toujours là, dans mes bras, alors que moi j'étais là, à faire de cette ville son cadeau. comme quoi, la haine peut détruire, mais l'amour peut reconstruire. belle rime, mais quelque peu mielleuse et digne d'un film à l'eau de rose. on pouvait être sûr de ne pas tomber dans un quotidien pesant et ennuyant avec ce genre de mélange de personnalité. semblables, mais différents à la fois, notre relation était surement la plus inattendu, mais surtout la moins compréhensible de ce monde. cherchant tous deux la destruction, on finit par trouver refuge dans l'amour une fois tombé dans les bras de l'autre. plutôt contradictoire avec nous même, il fallait l'avouer. bien que beaucoup veulent voir le mal s'abattre sur lui, pour ma part, je cherche à décrocher au moins un sourire de sa part et contre toute attente, mon objectif venait d'être atteins. un baiser avait précédé ce fameux sourire si précieux à mes yeux, je n'avais clairement pas eu le temps de répondre à ses lippes que c'était déjà terminer. démon. je fixe mon cadet avec attention, l'écoutant attentivement alors qu'il vient à me repousser pour se redresser. je m'exécute en grognant avant de le voir plus ou moins revenir à moi. « Dingue ? Non. Ou alors oui. Dingue de toi serait plus approprié ! » faible moue au visage, j'ignore totalement ses précédentes paroles et le rallonge délicatement pour venir prendre possession de ses lippes. j'y étais accro, c'était une évidence et bien que monsieur voulait partir à la conquête de la ville, pour ma part, j'étais plus dans l'optique de rester enfermé dans cette chambre. le séquestrer ici, le forcer à rester dans mes bras était devenu une nouvelle obsession. plus clairement, il m'avait énormément manqué ces derniers jours, mais comme à mon habitude j'étais bien trop fier pour lui en faire part, de cet fait, je laissais mes gestes parler à mes places, espérant au fond de moi qu'il arrive à comprendre. je finis par mettre fin au baiser, bien que ce dernier était doux et certainement bien représentatif de l'amour que je pouvais portait au plus jeune, l'air commençait à manquer. souriant donc contre ses lèvres rougis et torturées, je viens à glisser mes mains dans ses cheveux avant de lui voler un énième baiser. « On ira tester ta chance avec les machines à sous tout à l'heure.. tu pourrais finir aussi riche que moi et on pourrait devenir un couple de millionnaire ! » indirectement, je venais à parler de ma fortune. cet attrait de ma personnalité n'avait jamais été abordé entre nous. bien que je sois quelqu'un qui clame haut et fort être blindé à ce niveau, l'intitulé exact avait toujours été tenu secret. « Mh. Fais comme si j'avais rien dis. Maintenant, on bouge ! » personne ne savait comment j'avais eu tout cet argent. j'étais loin de faire parti de ce genre famille à qui la cuillère en diamant venait à verser la nourriture dans ma petite bouche. au fond, la majorité de mon argent était certainement sale, mais c'est pas pour autant que j'y crache dessus aujourd'hui. « Juste une chose.. T'es là parce que t'as voulu fuir n'est-ce pas ? Donc indirectement, si tout ça ne venait pas de moi, si ce voyage et ce billet n'avait pas existé, tu m'aurais abandonné sans que je le sâche. »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Sam 24 Oct 2015 - 23:07
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| ▼ ▲J'ai vraiment du mal à réaliser où nous sommes et pour quelle raison. Je n'arrive pas à intégrer le fait que Percy m'a offert un voyage à l'autre pour du monde pour mon anniversaire alors que depuis une semaine nous ne nous sommes pas vu après une dispute partie d'un rien, comme toujours. Mais c'est comme ça entre nous, on passe de l'amour à la haine en une fraction de seconde, on peut se dire les pires horreurs mais au final nous sommes dingues l'un de l'autre, totalement accros. Ma santé m'interdit de consommer des drogues, mais j'ai trouvé quelque chose d'autre qui me fait vivre des moments de plaisir intense et me rend dépendant. Percy a un pouvoir bien plus puissant sur moi que n'importe quelle substance illicite, son simple regard suffit à me faire tourner la tête, et chaque parcelle visible de sa peau me fait imaginer mille et unes choses. Dans ses bras je deviens dingue, contre ses lippes mon organisme est comme retourné et malmené sans pitié mais putain, c'est bon. Alors j'oublie tout ce que j'ai du subir durant cette semaine, j'oublie toute la colère que j'ai pu ressentir à son égard pour le moment et me concentre sur l'instant présent, définitivement incapable d'arrêter de sourire. Depuis quand ce n'était pas arrivé avec autant de sincérité ? Depuis quand n'ai-je pas été si heureux ? Des semaines, des mois même. Alors là je me sens vraiment bien, loin de tous mes problèmes, juste là avec l'homme que j'aime et malgré mes propres mots, rester dans cette chambre même jusqu'à la fin de nos jours ne m'aurait pas dérangé. Alors lorsqu'il me repousse sur le lit je ne proteste pas, riant simplement avant de répondre à son baiser en glissant mes mains dans son dos. pour le garder contre moi. Tout ça m'avait affreusement manqué et je profite de chaque instant passé dans ses bras comme si c'était le dernier, imprimant chaque sensation, chaque ressenti dans ma mémoire pour ne jamais oublier. Un sourire étire de nouveau mes lèvres lorsqu'il se recule légèrement et je pouffe à sa remarque avant d'arquer un sourcil à ce qu'il rajoute ensuite. Faire comme s'il n'avait rien dit ? Pourquoi ? Ne comprenant pas vraiment, de décide d'arrêter mes réflexions sur ce sujet pour l'écouter de nouveau, et mon sourire s'évanouit lorsqu'il termine. Oui, j'ai fui. Je voulais m'en aller et disparaître, ne devenir plus qu'un souvenir qui finirait par s'effacer de sa mémoire. Les yeux soudain humides, je papillonne des cils pour ne pas pleurer et plante mes canines dans ma lèvre inférieure pour me punir d'être si faible. « Hyung je... » Ma voix de brise et je prend une grande inspiration pour pouvoir parler sans flancher. « J'ai cru que tu voulais plus de moi et.. et si ça avait été le cas j'aurais plus eu la moindre raison de vivre. Tu te souviens, je vis pour toi.. » Je frotte rapidement mes yeux avec le dos de ma main avant de croiser son regard. « Ne me laisse plus jamais partir, s'il te plait. Si tu savais à quel point je me suis retenu de.. enfin tu sais. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 25 Oct 2015 - 10:27
en toute honnêteté, je ne sais pas si j'aurais été capable de faire ça pour un autre. je n'ai jamais été celui qui faisait des cadeaux ou je ne sais quoi d'autre qui est, à la base, fait pour prouver son amour à autrui. cependant, moon kyu est bien le seul envers qui je peux agir de la sorte. peut être est-ce pas nécessité ? voulant surement empêché qu'il m'échappe comme tous les autres. ou alors est-ce seulement la preuve qu'il compte plus que tous ceux que j'ai pu avoir avant lui ? surement. peut être même qu'il s’agit d'un mélange des deux. je me sens si vulnérable et fort à la fois que je ne peux m'empêcher d'avoir peur. peur qu'il me rejette, m'abandonne, ou qu'il finisse simplement par me détester comme les autres le font aujourd'hui. bien que je ne prête pas attention aux jugements des autres, le sien compte pourtant énormément pour moi. bien que je sois conscient qu'il ai voulu me fuir en venant ici, sans savoir ce qu'il en était réellement, écoutant ses mots. l'entendre avouer de lui même, validant ainsi ce que je pensais, je le fixe, silencieux dans un premier temps. mon coeur se serre en prenant conscience de ses mots avant que je ne dévie le regard, fixant un point imaginaire durant quelques secondes avant de reporter mon attention sur lui à l'entente de ses dernières paroles. « Y a que moi qui ai droit de violence ou même de mort, sur toi. T'as pas le droit de m'abandonner, quoi qu'il arrive. » j'étais peut être froid dans mes mots, mais au fond, j'étais seulement peiné, voir même déçu. au final, je finis par me relever sans rien ajouter, tendant simplement ma main vers lui. « On ferait mieux d'y aller. J'ai pas envie de débuter une nouvelle dispute, j'en ai assez. » je ne lui en voulais pas réellement, au fond, c'était envers moi même que j'étais en colère. assez pour vouloir me punir de moi même, me privant ainsi de lui. dure punition, mais ça n'était surement pas assez face à ce que j'avais pu lui faire endurer ces derniers jours.
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en toute honnêteté, je ne sais pas si j'aurais été capable de faire ça pour un autre. je n'ai jamais été celui qui faisait des cadeaux ou je ne sais quoi d'autre qui est, à la base, fait pour prouver son amour à autrui. cependant, moon kyu est bien le seul envers qui je peux agir de la sorte. peut être est-ce pas nécessité ? voulant surement empêché qu'il m'échappe comme tous les autres. ou alors est-ce seulement la preuve qu'il compte plus que tous ceux que j'ai pu avoir avant lui ? surement. peut être même qu'il s’agit d'un mélange des deux. je me sens si vulnérable et fort à la fois que je ne peux m'empêcher d'avoir peur. peur qu'il me rejette, m'abandonne, ou qu'il finisse simplement par me détester comme les autres le font aujourd'hui. bien que je ne prête pas attention aux jugements des autres, le sien compte pourtant énormément pour moi. bien que je sois conscient qu'il ai voulu me fuir en venant ici, sans savoir ce qu'il en était réellement, écoutant ses mots. l'entendre avouer de lui même, validant ainsi ce que je pensais, je le fixe, silencieux dans un premier temps. mon coeur se serre en prenant conscience de ses mots avant que je ne dévie le regard, fixant un point imaginaire durant quelques secondes avant de reporter mon attention sur lui à l'entente de ses dernières paroles. « Y a que moi qui ai droit de violence ou même de mort, sur toi. T'as pas le droit de m'abandonner, quoi qu'il arrive. » j'étais peut être froid dans mes mots, mais au fond, j'étais seulement peiné, voir même déçu. au final, je finis par me relever sans rien ajouter, tendant simplement ma main vers lui. « On ferait mieux d'y aller. J'ai pas envie de débuter une nouvelle dispute, j'en ai assez. » je ne lui en voulais pas réellement, au fond, c'était envers moi même que j'étais en colère. assez pour vouloir me punir de moi même, me privant ainsi de lui. dure punition, mais ça n'était surement pas assez face à ce que j'avais pu lui faire endurer ces derniers jours.
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