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1, 2, 3, 4 perkyu x did they ever hold each other tight like us ?
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 25 Oct 2015 - 23:26 
Did they ever fight like us ?
| ▼ ▲Je suis tellement heureux pour la première fois depuis si longtemps que j'ai totalement oublié la semaine chaotique que je venais de passer. Toutes ces larmes versées suite à notre dispute, ma fuite du dortoir pour me retrouver dehors, trouvant refuge chez mon frère pendant les trois premiers jours avant de passer une nuit chez Kan pour finir ensuite la semaine dehors. Et je me suis tellement retenu de ne pas en finir définitivement. Depuis que Percy est à mes côtés, j'ai légèrement remonté la pente mais cette semaine passée sans aucune nouvelle de lui m'a fait rechuter plus que jamais. Je me suis vraiment fait violence pour ne pas avaler trop de cachets ou ne pas entailler une fois de plus mes poignets et mes cuisses déjà saturés par les cicatrices. J'ai noyé mon chagrin dans l'alcool, cherchant la bagarre à tous les coins de rue pour oublier. Honnêtement, deux jours de plus et j'étais mort. Car il est mon unique raison de vivre, et si je le perd il ne me reste plus rien. Mais tout ça a disparu de mes pensées maintenant, je me sens enfin bien là, contre lui, de nouveau entouré de son parfum si rassurant. Finalement, même si j'avais prévu de lui en vouloir pour tout ça, je crois que j'en suis incapable. Parce que je ne veux plus me disputer avec lui, je ne veux plus courir le risque de le perdre à nouveau et si pour ça je dois le pardonner sur le champ alors je le ferais sans hésitations. Aucun de nous deux n'est très expressif, et nous préférons largement parler avec nos gestes plutôt qu'avec des mots mais je me rend compte à présent que je devrais lui dire plus souvent à quel point il compte pour moi, pour être certain qu'il le sache. Mais lorsqu'il soulève l'hypothèse disant que si je suis là, c'est parce que j'ai fui, je perd mon sourire et mes démons me dévorent de nouveau. Je sens mes yeux s'humidifier et ma gorge se serrer car après tout il a raison. J'ai pris cet avion en pensant que s'il ne voulait plus de moi il fallait que j'en finisse, et si je peux mourir à l'autre bout du monde ce serait mieux. Personne n'aurait été au courant, j'aurais juste disparu. Alors je lui dit la vérité et redoute sa réaction qui ne se fait pas attendre. En un sens il a raison, le seul capable de me tuer psychologiquement parlant c'est lui, et lorsque je mourrais, j'aimerais que ce soit de ses mains pour pouvoir lui appartenir jusqu'à mon dernier souffle. Et je baisse les yeux parce que je sais, je le sais que je n'ai pas le droit de l'abandonner, j'avais juste cru que c'était lui qui m'avait laissé. Mes lèvres se pincent lorsqu'il se relève et me prive de sa chaleur et je n'ose même pas le regarder dans les yeux, bien trop honteux pour ça. J'ai envie de disparaître, de me faire engloutir par ce matelas pour ne plus le faire souffrir mais je partage son avis, il faut que les disputes s'arrêtent. Alors j'attrape doucement sa main et m'appuie sur cette dernière pour me relever, remettant par la suite mes bretelles sur mes épaules pour qu'elles tiennent mon pantalon si petit et pourtant quand même trop large pour mes minuscules hanches. Je me rapproche de lui, plantant mon regard dans le sien alors que mes doigts serrent nerveusement le tissu de son haut. « Je suis désolé, je t'aime. » Et l'une de mes mains remonte jusqu'à sa nuque pour l'approcher de moi, et je me met sur la pointe des pieds pour atteindre ses lèvres et m'en emparer une fois de plus avec sans doute un peu trop de fougue, témoignant bien du fait que ces échanges m'avaient vraiment manqué. J'inverse nos positions et recule lentement sans jamais briser le contact, manquant de trébucher sur l'une de mes valises traînant au sol jusqu'à ce que mon dos rencontre enfin la paroi de la porte. Ce n'est que lorsque l'air me manque réellement que je met fin à ce baiser, posant enfin mes talons au sol. « Tu me tueras un autre jour, pour le moment c'est l'heure pour nous de vivre pas vrai ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mar 27 Oct 2015 - 19:53
si j'écoutais mon âme, mon corps et mon esprit, je serais capable de lui faire l'amour sauvagement contre cette foutue porte, mais non. au lieu de ça, je me contente de répondre à son baiser qui ne cesse de me faire perdre pied. je voulais me punir de l'avoir fais souffrir et au lieu de ça, je me retrouve à répondre à ses lippes comme un fou. pourquoi me rend-il autant accroc ? comment fait-il pour me faire autant d'effet ? beaucoup de questions se posent encore à son sujet dans ma petite tête, mais je me dis que parfois, il ne vaut mieux pas trouver de réponses, gardant ainsi le désir, l'excitation, l'envie et le mystère. au final, notre échange se termine, bien avec regret pour ma part. mes lippes désormais proche de son front, je ferme mes yeux, me plongeant dans une soudaine obscurité pour calmer mes pulsions présentent au plus profond de mon âme, car je sais que si ces dernières venaient à pointer le bout de leurs nez, nous finirions tous les deux dans ce lit, non loin de nous. chuchotant lentement, je glisse mes mains sur ses hanches, rapprochant son bassin au mien avant d'ouvrir à nouveau les yeux, baissant mon regard pour trouver le sien. « M'embrasser, c'est comme m'offrir une dose d'oxygène tu le sais ça ? » il y a mieux comme déclaration d'amour, mais la mienne était de cette forme. car oui, chaque baiser que je peux avoir avec lui me rend vivant. chaque baiser venant de lui m'oblige à me battre envers et contre tout pour le garder près de moi, car lui seul a cet effet sur moi. lui seul est capable de faire de moi un véritable être humain. « Je t'aime. Je t'aime comme un fou et bien que ça me fasse du bien, ça me détruit également parce que je sais pas comment m'y prendre avec toi.. Je suis désolé si je t'ai fais du mal. » je ne veux pas entendre sa réponse. je ne veux pas me battre face à son regard car je sais qu'il dira le contraire, je sais qu'il voudra oublier, mais moi je ne veux pas. je ne suis pas comme ça. je veux vivre avec mes erreurs et me punir pour ça. déposant alors brièvement mes lèvres sur le coin de ses propres lèvres, je finis par l'écarter de la porte, l'ouvrant pour nous tirer à l'extérieur de cette chambre, prenant bien rapidement, mais surtout silencieusement, direction du casino situé au rez de chaussé, ma main tenant fermement la sienne.
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si j'écoutais mon âme, mon corps et mon esprit, je serais capable de lui faire l'amour sauvagement contre cette foutue porte, mais non. au lieu de ça, je me contente de répondre à son baiser qui ne cesse de me faire perdre pied. je voulais me punir de l'avoir fais souffrir et au lieu de ça, je me retrouve à répondre à ses lippes comme un fou. pourquoi me rend-il autant accroc ? comment fait-il pour me faire autant d'effet ? beaucoup de questions se posent encore à son sujet dans ma petite tête, mais je me dis que parfois, il ne vaut mieux pas trouver de réponses, gardant ainsi le désir, l'excitation, l'envie et le mystère. au final, notre échange se termine, bien avec regret pour ma part. mes lippes désormais proche de son front, je ferme mes yeux, me plongeant dans une soudaine obscurité pour calmer mes pulsions présentent au plus profond de mon âme, car je sais que si ces dernières venaient à pointer le bout de leurs nez, nous finirions tous les deux dans ce lit, non loin de nous. chuchotant lentement, je glisse mes mains sur ses hanches, rapprochant son bassin au mien avant d'ouvrir à nouveau les yeux, baissant mon regard pour trouver le sien. « M'embrasser, c'est comme m'offrir une dose d'oxygène tu le sais ça ? » il y a mieux comme déclaration d'amour, mais la mienne était de cette forme. car oui, chaque baiser que je peux avoir avec lui me rend vivant. chaque baiser venant de lui m'oblige à me battre envers et contre tout pour le garder près de moi, car lui seul a cet effet sur moi. lui seul est capable de faire de moi un véritable être humain. « Je t'aime. Je t'aime comme un fou et bien que ça me fasse du bien, ça me détruit également parce que je sais pas comment m'y prendre avec toi.. Je suis désolé si je t'ai fais du mal. » je ne veux pas entendre sa réponse. je ne veux pas me battre face à son regard car je sais qu'il dira le contraire, je sais qu'il voudra oublier, mais moi je ne veux pas. je ne suis pas comme ça. je veux vivre avec mes erreurs et me punir pour ça. déposant alors brièvement mes lèvres sur le coin de ses propres lèvres, je finis par l'écarter de la porte, l'ouvrant pour nous tirer à l'extérieur de cette chambre, prenant bien rapidement, mais surtout silencieusement, direction du casino situé au rez de chaussé, ma main tenant fermement la sienne.
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mer 28 Oct 2015 - 19:04
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| ▼ ▲Moi qui suis d'ordinaire d'un naturel rancunier, je suis à présent incapable de lui en vouloir pour cette semaine chaotique, comme si elle n'avait jamais existé. J'ai déjà oublié pourquoi j'avais pu tant le détester ces derniers jours, comme si cette dispute n'était qu'un mauvais rêve, une lointaine illusion. Et puis comment pourrais-je lui en vouloir alors qu'il vient de m'offrir un séjour au bout du monde pour mon anniversaire ? De toute façon même sans ça j'aurais fini par pardonner. Je suis incapable de vivre sans lui, et si je ne pouvais pas le récupérer j'aurais probablement fini avec une entaille de plus, celle de trop. Et ce n'est que lorsqu'il évoque le fait que j'ai voulu fuir que je me rend compte de mon erreur. Comment ai-je pu penser un seul instant que je pourrais rester si loin de lui ? En quoi partir aurait été une bonne idée ? En rien justement. Mais j'étais tellement convaincu que Percy ne voulait plus de moi, tellement certain que tout était vraiment fini que je ne m'imaginais pas rester à Yonsei, ni même en Corée de manière générale, là où je pourrais le croiser car le voir heureux sans moi m'aurait achevé sur place. Mais maintenant je ne pense plus à ça, j'ai juste envie de l'embrasser pour toutes les fois où je n'ai pas pu le faire durant cette semaine. Mon corps se colle au sien, en réclame plus et je dois me faire violence pour ne pas aller trop loin. Je suis loin d'être accro au sexe, mon passé de prostitué m'a traumatisé dans ce secteur et j'ai passé plus d'un an loin des hommes suite aux mauvais traitements de certains. Mais avec mon aîné c'est différent, sa simple présence près de moi, le moindre baiser réveille des envies que je ne contrôle pas, et il en est de même pour lui, ce qui nous pousse donc souvent à déraper en une fraction de seconde. Je sais à quel point il nous est difficile de nous arrêter lorsque nous commençons et c'est pour cette raison que j'ai rapidement mis un terme à l'échange avant de perdre mon sang froid. Je calme donc ma respiration et le laisse s'apaiser lui aussi, le laissant pourtant approcher son bassin du mien sans la moindre hésitation. Mon visage relevé vers le sien, je souris faiblement à ses mots, laissant mes mains glisser de ses joues à ses épaules sans le quitter des yeux. Je comprend tellement ce qu'il veut dire, après tout moi aussi j'ai l'impression de revivre à chaque fois qu'il m'embrasse. Mes lèvres se pincent à ses nouvelles paroles et je baisse légèrement la tête. Je doute si souvent de moi que parfois j'ai besoin qu'il me rassure sur le fait qu'il m'aime vraiment et le fait qu'il vient de le dire si clairement a le don de me faire rougir, mais la suite de sa phrase éteint aussitôt ce bonheur qui s'allumait en moi. Je ne veux pas. Je refuse que cet amour le détruise, je ne désire que son bonheur et savoir que notre relation lui fait autant de mal que de bien me tord l'estomac. Mes doigts se resserrent sur le tissu de son haut et je soupire faiblement. « Non, c'est de ma faute. Et puis tu dois juste... fais comme tu le sens, je t'aime comme tu es, j'veux pas que tu te forces à agir d'une façon qui te correspond pas.. » Mes talons se soulèvent légèrement pour déposer un baiser rapide dans son cou avant de me perdre de nouveau dans son regard à travers mes mèches brunes depuis peu. « Et si on profitait maintenant au lieu de repenser à tout ça mh ? » Je lui offre un sourire plus chaleureux et le laisse me guider dans l'hôtel, le suivant sagement. Et lorsque nous arrivons en bas, je grimace légèrement, le tirant un peu vers le bas pour pouvoir parler près de son oreille. « Hyung il faut avoir vingt-et-un ans pour jouer dans un casino, ils me laisseront pas entrer.. » Et bien sûr, je n'avais pas de faux papiers sur moi, fantastique. |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Ven 13 Nov 2015 - 17:27
en venant ici, je me doutais bien que tout n'allait pas être tout beau, tout rose. comme à notre habitude, il fallait que quelque chose de sombre passe au dessus de nos têtes. fort heureusement, se fut rapide et sans réel dégâts. nos disputes et nos crises diverses étaient devenues habituelles, presque comme des enfants. plutôt drôle n'est-ce pas. et pourtant. c'est donc une fois arriver face à l'entrée du casino que je réalise fort tardivement que mon cadet est loin d'avoir l'âge pour y entrer. ce dernier me le fait d'ailleurs remarquer en venant partager sa voix avec mon oreille. souriant d'un air malicieux, je le fixe un instant avant de m'abaisser un peu, déposant mes lèvres sur l'une de ses joues sans pour autant lâcher sa main. « Heureusement pour toi que tu es accompagné d'un adulte.. un véritable enfant ! » des mots bien taquin, cependant, je ne lui laisse pas le temps de répliquer que je l'attire tant bien que mal au travers des allers de machines à sous, me dirigeant bien rapidement jusqu'au guichet, auquel je présente bien rapidement une liasse de billet qui fut vite échangé par des jetons. je glisse la boite de jetons sous le nez du jeune blond et l'attire jusqu'à la machine la plus proche, le faisant s'assoir sur le siège tout en déposant un baiser sur sa nuque. « Reste là. J'ai quelque chose à faire, je reviens vite promis. » je tourne bien rapidement les talons et disparait de son champ de vision durant quelques minutes, plutôt longues cela dit. c'est après une dizaine de minutes que je reviens près auprès de lui, bouteille de champagne à la main et coupe dans l'autre. « Alors ? T'as réussi à être plus riche que moi ou pas ? » un nouveau rire m'échappe face à mes mots. qui pourrait être plus riche que moi ? personnes, évidemment. je sers bien rapidement le liquide pétillant dans une des coupes et la tend au jeune blond. « J'ai rien mis dedans ! Parole de connard ! »
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en venant ici, je me doutais bien que tout n'allait pas être tout beau, tout rose. comme à notre habitude, il fallait que quelque chose de sombre passe au dessus de nos têtes. fort heureusement, se fut rapide et sans réel dégâts. nos disputes et nos crises diverses étaient devenues habituelles, presque comme des enfants. plutôt drôle n'est-ce pas. et pourtant. c'est donc une fois arriver face à l'entrée du casino que je réalise fort tardivement que mon cadet est loin d'avoir l'âge pour y entrer. ce dernier me le fait d'ailleurs remarquer en venant partager sa voix avec mon oreille. souriant d'un air malicieux, je le fixe un instant avant de m'abaisser un peu, déposant mes lèvres sur l'une de ses joues sans pour autant lâcher sa main. « Heureusement pour toi que tu es accompagné d'un adulte.. un véritable enfant ! » des mots bien taquin, cependant, je ne lui laisse pas le temps de répliquer que je l'attire tant bien que mal au travers des allers de machines à sous, me dirigeant bien rapidement jusqu'au guichet, auquel je présente bien rapidement une liasse de billet qui fut vite échangé par des jetons. je glisse la boite de jetons sous le nez du jeune blond et l'attire jusqu'à la machine la plus proche, le faisant s'assoir sur le siège tout en déposant un baiser sur sa nuque. « Reste là. J'ai quelque chose à faire, je reviens vite promis. » je tourne bien rapidement les talons et disparait de son champ de vision durant quelques minutes, plutôt longues cela dit. c'est après une dizaine de minutes que je reviens près auprès de lui, bouteille de champagne à la main et coupe dans l'autre. « Alors ? T'as réussi à être plus riche que moi ou pas ? » un nouveau rire m'échappe face à mes mots. qui pourrait être plus riche que moi ? personnes, évidemment. je sers bien rapidement le liquide pétillant dans une des coupes et la tend au jeune blond. « J'ai rien mis dedans ! Parole de connard ! »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 15 Nov 2015 - 20:50
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| ▼ ▲Je n'ai vraiment pas envie de me disputer avec lui, pas maintenant. C'est pourtant notre quotidien mais aujourd'hui j'ai envie de vivre sans peine ni colère. Que cette journée nous appartienne et que nous profitions de chaque seconde comme si c'était la dernière. Je déteste nos engueulades, parce que nous avons tous les deux très peu de limites et nos mots sont toujours bien trop durs. Des ennemis j'en ai plein, mais personne n'a le pouvoir de me détruire comme Percy le pourrait s'il le voulait. Un regard, une parole, la moindre de ses actions a un impact direct sur moi. C'est vrai, j'ai voulu fuir, je sais que je ne serais jamais capable de continuer ma vie comme si de rien n'était s'il devait me quitter définitivement. Rester dans cette chambre qu'on partageait tous les deux, porter ses pulls que j'avais l'habitude de lui voler, voir ses oeuvres tatouées sur ma peau, tout ça était clairement insupportable. Mais finalement, je ne regrette pas d'avoir pris cet avion, de me retrouver là, dans ses bras, encerclé par son parfum enivrant. Et je l'aime, je l'aime putain. S'il savait à quel point il prendrait peur. Il ne quitte pas une seule seconde mon esprit, et chacun des battements de mon coeur lui est dédié. Jamais je n'ai été aussi dépendant de quelqu'un, et je n'exagère absolument pas lorsque je dis que ma vie sans lui ne vaut pas la peine d'être vécue. À ce niveau ce n'est même plus de l'amour, c'est une folie, une passion , une addiction puissante. Comme si rien n'était plus fort que ça, d'ailleurs je suis persuadé que c'est le cas. Il m'arrive de le détester, mais même dans ces moments je suis dingue de lui. Alors je suis rassuré qu'il accepte de mettre un terme à cette discussion pour m'entraîner jusqu'au casino où je crains de ne pas pouvoir entrer, ou du moins jouer. L'apaisement provoqué par son baiser sur ma joue s'efface directement suite à ses mots et je grogne légèrement. Je ne suis pas un enfant ! J'allais lui faire la remarque mais il ne me laisse pas l'occasion de le faire et m'incite à le suivre à l'intérieur, ce que je fais sagement, oubliant sa petite provocation. Silencieux, je le laisse échanger tout cet argent contre des jetons et me retrouve bien rapidement face à l'une des "machines magiques", frissonnant en sentant ses lippes dans ma nuque. Je relève ma tête vers lui et hoche faiblement la tête à ses mots, et mon regard le suit jusqu'à ce qu'il disparaisse dans la foule. Là, je soupire et fixe les jetons avant d'en saisir un et l'observer longuement. Finalement, je l'insère dans la machine et recommence ce processus trois ou quatre fois avant d'abandonner, laissant mon regard se poser sur tous ces gens pour finalement sursauter en entendant la voix de mon aîné. « Pas vraiment non » Il faut dire que je n'ai pas non plus cherché à m'enrichir. Je n'aime pas les jeux d'argent,ayant déjà été assez pauvre pour être obligé de vendre mon corps, gâcher le moindre centime est une chose que je ne peux pas accepter. Souriant malgré tout à mon homme, je saisis la coupe et secoue la tête à sa remarque. « Hmmm j'y crois qu'à moitié » Amusé, je bois rapidement le champagne avant de l'attirer vers moi pour pouvoir l'embrasser et ainsi partager la boisson. « Comme ça au pire, tu seras drogué toi aussi » Riant légèrement, je me relève pour glisser mes mains sur son torse et me rapprocher de lui, le fixant d'un air fourbe. « Puisque c'est ma journée, je pourrais te faire payer de m'avoir laissé seul si longtemps, non ? » Innocemment, je remplis de nouveau la coupe et la sirote calmement. « Tu bois pas ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mer 18 Nov 2015 - 16:57
ce n'est pas tout le monde qui pouvait offrir ce genre de voyage pour un anniversaire, ou même de façon aléatoire. cependant, je me voyais très mal revenir au dortoir avec un simple bouquet de fleur à la main, lui demandant pardon comme un vulgaire chien. c'était loin d'être de ma façon de faire. je voyais les choses bien trop en grand pour me résumé à un simple pardon accompagné de fleurs, surtout qu'il n'avait pas la tête à aimer cela, moi non plus d'ailleurs. las vegas était un lieu que j'affectionnais énormément, pas seulement pour le jeux ou l'argent, mais surement grâce aux lieux eux même. ils sont imprévisibles et savent vendre du rêve, bien que parfois trop éloigné de la réalité. je suis attaché à ce coin des états-unis surement grâce aux ressemblances que je peux avoir avec ce lieu. gloire, argent, narcisse et autre qualificatif peu glorieux aux yeux des plus démunis. c'était ma deuxième maison et je me voyais mal conduire le jeune blond ailleurs qu'ici. il y a milles et une choses à faire ici, donc autant commencé maintenant. les mains de mon cadet se glissent alors sur mon torse. mes yeux se plissent à ce contact bien curieux avant que ses derniers mots ne viennent m'amuser. « Tu veux donc me punir si je comprends bien ? » me penchant légèrement jusqu'à son oreille, je dépose un baiser au creux de cette dernière avant de l'attirer lentement jusqu'à un lieu bien plus isolé. « Tu comptes t'y prendre comment au juste ? » relevant mon visage face au sien, un sourire bien provocant fait place sur mon visage alors que je parviens à lui voler un baiser. « Tu veux m'échanger à une vieille folle contre de l'argent ? » ma tête se penche légèrement sur le coté, prenant alors un air plus concentré, réfléchissant tout en faisant une faible moue avant de m'exprimer à nouveau. « Où alors tu vas m'abandonner ici et ne plus jamais me revoir ? » haussant les épaules, je lève subitement les mains, laissant ainsi penser que le plus jeune était libre de faire de moi ce qu'il voulait. « J'ai pas franchement d'être punis, surtout quand on sait que ça fait des mois que ma plus belle punition c'est toi. » très peu aimable, et pourtant bien bel et bien vrai. une douce et fourbe punition, mélangeant aigreur et bonheur ainsi que torture et passion, quoi de mieux.
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ce n'est pas tout le monde qui pouvait offrir ce genre de voyage pour un anniversaire, ou même de façon aléatoire. cependant, je me voyais très mal revenir au dortoir avec un simple bouquet de fleur à la main, lui demandant pardon comme un vulgaire chien. c'était loin d'être de ma façon de faire. je voyais les choses bien trop en grand pour me résumé à un simple pardon accompagné de fleurs, surtout qu'il n'avait pas la tête à aimer cela, moi non plus d'ailleurs. las vegas était un lieu que j'affectionnais énormément, pas seulement pour le jeux ou l'argent, mais surement grâce aux lieux eux même. ils sont imprévisibles et savent vendre du rêve, bien que parfois trop éloigné de la réalité. je suis attaché à ce coin des états-unis surement grâce aux ressemblances que je peux avoir avec ce lieu. gloire, argent, narcisse et autre qualificatif peu glorieux aux yeux des plus démunis. c'était ma deuxième maison et je me voyais mal conduire le jeune blond ailleurs qu'ici. il y a milles et une choses à faire ici, donc autant commencé maintenant. les mains de mon cadet se glissent alors sur mon torse. mes yeux se plissent à ce contact bien curieux avant que ses derniers mots ne viennent m'amuser. « Tu veux donc me punir si je comprends bien ? » me penchant légèrement jusqu'à son oreille, je dépose un baiser au creux de cette dernière avant de l'attirer lentement jusqu'à un lieu bien plus isolé. « Tu comptes t'y prendre comment au juste ? » relevant mon visage face au sien, un sourire bien provocant fait place sur mon visage alors que je parviens à lui voler un baiser. « Tu veux m'échanger à une vieille folle contre de l'argent ? » ma tête se penche légèrement sur le coté, prenant alors un air plus concentré, réfléchissant tout en faisant une faible moue avant de m'exprimer à nouveau. « Où alors tu vas m'abandonner ici et ne plus jamais me revoir ? » haussant les épaules, je lève subitement les mains, laissant ainsi penser que le plus jeune était libre de faire de moi ce qu'il voulait. « J'ai pas franchement d'être punis, surtout quand on sait que ça fait des mois que ma plus belle punition c'est toi. » très peu aimable, et pourtant bien bel et bien vrai. une douce et fourbe punition, mélangeant aigreur et bonheur ainsi que torture et passion, quoi de mieux.
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 22 Nov 2015 - 14:31
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| ▼ ▲Ma façon de voir l'argent est bien différente de celle que Percy peut avoir et pour cause, nos statuts sociaux sont bien différents. Lui est loin d'être pauvre, la preuve il vient tout de même de m'offrir un voyage à l'autre bout du monde dans un hôtel luxueux alors que moi je peine à finir le mois correctement. Mais en un sens c'est de ma faute, j'ai pris seul la décision de m'émanciper de cette famille qui n'était pas la mienne et depuis je dois me débrouiller par mes propres moyens, même si mon grand frère m'aide souvent. Le problème, c'est qu'à cause de ma maladie il m'est difficile de trouver un emploi, et plus d'une fois j'ai failli être viré du Ladies Paradise à cause de mes crises de narcolepsie, mais mon patron me garde quand même uniquement parce que l'état le paye pour avoir un serveur "handicapé" dans son bar. Génial. Et tout ça explique pourquoi je n'aime pas jouer et gaspiller de l'argent, parce que pour moi il est rare et précieux, alors m'amuser à prendre le risque de perdre l'argent qu'il m'avait confié sous forme de jetons de jeu, c'est inconcevable. C'est la raison pour laquelle après trois tentatives avec cette machine, j'abandonne et attend patiemment son retour et dès qu'il arrive près de moi, je ne perd pas de temps pour me coller à lui ignorant totalement les gens présents et ce qu'ils pourraient penser. Je n'ai pas honte, et certainement pas envie de me cacher, s'ils ne sont pas contents ils n'ont qu'à aller ailleurs, ce ne sont pas eux qui m'empêcheront d'être démonstratif. Et je me réjouis de pouvoir jouer à un jeu bien plus amusant que ces machines : pouvoir le taquiner et le provoquer tout en jouant l'innocent. Le punir de m'avoir laissé seul ? Voilà une proposition bien tentante. « Je sais pas, peut-être bien ? » Docile, je le laisse m'entraîner à l'écart sans le quitter des yeux, finissant pour la seconde fois ma coupe de champagne. À sa seconde question, je répond un simple « Hm je sais pas encore » avec un sourire fourbe et rit légèrement à sa première hypothèse. Et je ne dis rien, le laissant s'inventer des scénarios en le fixant d'un air fourbe, j'en profite même pour le dévorer discrètement du regard. Il m'avait vraiment manqué, alors je ne manque pas l'occasion de redécouvrir les traits de son visage si parfait en tapotant mes ongles sur la coupe vide entre mes doigts. Finalement ses derniers mots me sortent de mes rêveries et j'arque un sourcil en penchant la tête. « Alors comme ça je suis une punition hm ? Dommage pour toi, je compte bien rester ta punition pour toujours, c'est comme si t'avais signé un contrat en sortant avec moi, on est pratiquement mariés tu sais ? » Sans doute influencé par l'alcool qui agit très rapidement sur moi à cause de mon traitement qui amplifie son effet, je colle mon bassin au sien sans le quitter des yeux, laissant mes doigts pianoter sur le haut de son torse et me hissant sur la pointe des pieds pour me rapprocher de ses lèvres. « Du coup là c'est un peu comme notre lune de miel hm ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mer 25 Nov 2015 - 15:43
mariage ? lune de miel ? était-il sérieux dans ses propos ? je suppose que oui. ou du moins je l'espère. si ce n'est pas le cas, j'aurais l'air bien idiot de penser à ça dans mon coin, tout seul, depuis bien longtemps déjà. une évidence ? surement, du moins pour ma part ça en est une. il est à moi et pas seulement sur une durée déterminée par le grand maitre saint esprit, mais plutôt de façon indéterminée. je crèverais pour lui et sans lui, ma vie n'aurait surement plus aucun sens, donc il est vrai que j'avais déjà pensé à plusieurs reprise de faire de lui un monsieur yang, bien que ça soit vachement compliqué. hors, nous sommes à vegas et ici, les règles ne sont pas du tout les mêmes qu'en corée, donc tout est clairement possible. il parle donc de lune de miel, sauf que mon cerveau n'a pas la même façon de penser que lui. portant la bouteille à mes lèvres, cherchant presque du courage à travers le liquide, je finis par l'abandonner, retrouvant mon éternel amant avant de sourire comme un idiot. « Pas de lune de miel, sans réel mariage. » un baiser de volé, une gorgée supplémentaire avant de saisir la main du jeune décoloré, l'attirant bien rapidement en dehors de l'établissement. pourquoi faire ? certainement pour faire la chose la plus censé de ma vie. arrêtant la première limousine qui passait par là, je fis monter le plus jeune à l'intérieur avant de le suivre de près, demandant par la suite au chauffeur de nous conduire à la chapelle d'elvis. bien que déjà alcoolisé, le chauffeur du véhicule devait certainement avoir compris là où je voulais me rendre, cependant, sa tête venait à m'arracher un rire moqueur avant que je ne prenne l’initiative de refermer la vitre, séparant la cabine de ce dernier de celle de mon amant et moi. je pose mes yeux sur le plus jeune, devenant silencieux avant de saisir sa main pour l'attirer, le forçant ainsi à prendre place, à califourchon sur ma propre personne. mes mains venaient à se glisser sous le tissus qui recouvrait un peu trop son torse à mon gout, regagnant bien rapidement son dos alors que mon visage vient à se nicher au creux de son cou. j'aimais cette proximité. j'étais dingue de lui, de son corps, ainsi que son parfum bien plus envoutant que celui de n'importe qui d'autre sur cette planète. j'avais besoin de l'avoir constamment contre moi. autant dire que ses derniers jours sans lui avaient été durs, insoutenables et bien plus douloureux que je n'ai pu lui dire précédemment, mais évidemment, ma fierté avait parlé à ma place. « J'ai oublié que l'alcool c'était mauvais, pour toi comme pour moi.. » idiot. mon cerveau peinait souvent ces derniers temps. triste vie..
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ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
mariage ? lune de miel ? était-il sérieux dans ses propos ? je suppose que oui. ou du moins je l'espère. si ce n'est pas le cas, j'aurais l'air bien idiot de penser à ça dans mon coin, tout seul, depuis bien longtemps déjà. une évidence ? surement, du moins pour ma part ça en est une. il est à moi et pas seulement sur une durée déterminée par le grand maitre saint esprit, mais plutôt de façon indéterminée. je crèverais pour lui et sans lui, ma vie n'aurait surement plus aucun sens, donc il est vrai que j'avais déjà pensé à plusieurs reprise de faire de lui un monsieur yang, bien que ça soit vachement compliqué. hors, nous sommes à vegas et ici, les règles ne sont pas du tout les mêmes qu'en corée, donc tout est clairement possible. il parle donc de lune de miel, sauf que mon cerveau n'a pas la même façon de penser que lui. portant la bouteille à mes lèvres, cherchant presque du courage à travers le liquide, je finis par l'abandonner, retrouvant mon éternel amant avant de sourire comme un idiot. « Pas de lune de miel, sans réel mariage. » un baiser de volé, une gorgée supplémentaire avant de saisir la main du jeune décoloré, l'attirant bien rapidement en dehors de l'établissement. pourquoi faire ? certainement pour faire la chose la plus censé de ma vie. arrêtant la première limousine qui passait par là, je fis monter le plus jeune à l'intérieur avant de le suivre de près, demandant par la suite au chauffeur de nous conduire à la chapelle d'elvis. bien que déjà alcoolisé, le chauffeur du véhicule devait certainement avoir compris là où je voulais me rendre, cependant, sa tête venait à m'arracher un rire moqueur avant que je ne prenne l’initiative de refermer la vitre, séparant la cabine de ce dernier de celle de mon amant et moi. je pose mes yeux sur le plus jeune, devenant silencieux avant de saisir sa main pour l'attirer, le forçant ainsi à prendre place, à califourchon sur ma propre personne. mes mains venaient à se glisser sous le tissus qui recouvrait un peu trop son torse à mon gout, regagnant bien rapidement son dos alors que mon visage vient à se nicher au creux de son cou. j'aimais cette proximité. j'étais dingue de lui, de son corps, ainsi que son parfum bien plus envoutant que celui de n'importe qui d'autre sur cette planète. j'avais besoin de l'avoir constamment contre moi. autant dire que ses derniers jours sans lui avaient été durs, insoutenables et bien plus douloureux que je n'ai pu lui dire précédemment, mais évidemment, ma fierté avait parlé à ma place. « J'ai oublié que l'alcool c'était mauvais, pour toi comme pour moi.. » idiot. mon cerveau peinait souvent ces derniers temps. triste vie..
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mar 1 Déc 2015 - 20:49
Did they ever fight like us ?
| ▼ ▲Même si Vegas n'est pas la destination principale où je rêvais d'aller, je n'ai aucun doute sur le fait que ce sera le meilleur voyage de tout les temps. Et aussi, mon premier. En effet, hormis la Tasmanie et la Corée, je ne suis jamais allé ailleurs dans le monde. Alors me retrouver ici, dans un pays anglophone mais pourtant tellement opposé de celui dans lequel j'ai grandi me semble totalement inespéré. Cet endroit n'a rien de commun avec les grandes plaines et les déserts Australiens, et encore moins avec Seoul. Alors je ne peux pas m'empêcher de regarder partout autour de moi, et de m'émerveiller comme un gamin dans un magasin de jouets. Cependant, voir tous ces gens jouer si facilement avec l'argent me fait plus peur qu'autre chose. Comment peut-on risquer de perdre de telles sommes pour "peut-être" en gagner plus ? Le hasard n'a jamais été fiable. Alors je ne résiste pas un seul instant lorsque Percy m'éloigne de ces machines pour nous offrir un peu d'intimité. Et l'alcool qui commence déjà à faire un bon effet sur moi me pousse à être particulièrement tactile et provocateur et ce malgré le fait que nous sommes dans un lieu public. Je ne fais même pas attention à ce que je dis, trop concentré à détailler chaque trait de son visage, le dévorant du regard comme pour rattraper toutes les fois où je n'avais pas pu le faire durant cette semaine horriblement longue et douloureuse sans lui. Et curieux, je le laisse m'entraîner dehors, récupérant la bouteille pour boire plusieurs gorgées qui brûlent délicieusement ma gorge. Je sais quel effet l'alcool combiné à mes médicaments peuvent avoir sur mon organisme, mais je ne m'en inquiète pas. J'ai besoin de me vider la tête, de passer cette soirée sans peurs, sans inquiétudes. Mes yeux s'écarquillent face à la limousine devant nous et je le suis à l'intérieur en manquant de trébucher. Mon regard scrute les lumières colorées, la qualité irréprochable du cuir des fauteuils et je ne sors de mes rêveries que lorsqu'il m'attire sur lui, et je m'installe avec grand plaisir sur ses cuisses, souriant toujours avec une sincérité et un bonheur qui avaient disparus de mon visage depuis bien longtemps avant que mon aîné ne me rende heureux de nouveau. Je frissonne légèrement en sentant ses doigts sur la peau froide de mon torse et appuie ma tête contre la sienne lorsqu'il se blottit dans le creux de mon cou. Mes phalanges caressent doucement sa nuque et je reste silencieux, profitant de cet instant de douceur avant de sourire à ses mots et me décoller légèrement de lui pour pouvoir l'observer, mes mains glissant sur son torse. « Bah.. comme ça au moins si on fait des bêtises on pourra dire que c'est de la faute à l'alcool pas vrai ? » Taquin, je m'approche de son oreille en collant mon corps au sien. « Au fait, ce collier, c'est pour une certaine personne qui adore mon cou et qui passe sa vie à l'abîmer, et comme il est possessif je me disais que ça lui plairait tu vois ? À ton avis, c'est réussi ? » Le regard provocateur, j'approche mes lèvres des siennes sans l'embrasser, soufflant simplement dessus. « Mais je peux pas lui dire ça maintenant, il serait capable de m'envoyer au septième ciel là sur cette banquette. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mar 8 Déc 2015 - 19:09
joueur jusqu'au bout, je glisse mes mains à l'intérieur du pantalon du jeune décoloré alors que mon regard le provoque clairement en plus de mes gestes. forçant le rapprochement de nos bassins, je frôle grossièrement ses lèvres alors que mon souffle cogne dessus. glissant ma langue sur ces dernières, je viens saisir sa lippe inférieure avant de la mordre délicatement, abandonnant bien vite ma prise pour l'embrasser fougueusement. mes mains saisissent fermement la peau de ses fesses alors qu'un soupire m'échappe. je finis par rompre bien trop rapidement notre échange avant de le repousser sur la banquette de la voiture. je me glisse sur le jeune garçon, sourire provoquant et pleins de sous entendus sur les lèvres alors que l'une de mes mains se glisse dans ses cheveux fins. un baiser sur le front, puis le bout du nez avant d'en voler un à ses lèvres. je me redresse par la suite fièrement, le laissant clairement en plan malgré mes multiples provocations. la voiture s'arrête pile à ce moment là, et ce n'est que mieux, dieu seul sait ce qui aurait pu m'arriver. je descends avec une vitesse foudroyante alors que j'abandonne clairement celui que je considère comme l'homme de la vie, à l'intérieur de la limousine. j'observe les alentours, souriant à nouveau avant de me pencher légèrement pour observer l'intérieur de la voiture, tendant la main vers mon vis à vis. « Prêt à devenir un Yang, monsieur ? » un rire m'échappe avant que je pose à nouveau mes yeux sur le petit monument, faisant office de chapelle. « La lune de miel viendra après, soit patient et n'essaye pas de me violer pendant la cérémonie, ça ne serait pas très poli. » si encore je savais ce qu'était la politesse, je ne serais certainement pas l'homme que je suis aujourd'hui. chose sûre, le nain avait surement une envie folle de m'étriper suite à mes gestes précédents.
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ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
joueur jusqu'au bout, je glisse mes mains à l'intérieur du pantalon du jeune décoloré alors que mon regard le provoque clairement en plus de mes gestes. forçant le rapprochement de nos bassins, je frôle grossièrement ses lèvres alors que mon souffle cogne dessus. glissant ma langue sur ces dernières, je viens saisir sa lippe inférieure avant de la mordre délicatement, abandonnant bien vite ma prise pour l'embrasser fougueusement. mes mains saisissent fermement la peau de ses fesses alors qu'un soupire m'échappe. je finis par rompre bien trop rapidement notre échange avant de le repousser sur la banquette de la voiture. je me glisse sur le jeune garçon, sourire provoquant et pleins de sous entendus sur les lèvres alors que l'une de mes mains se glisse dans ses cheveux fins. un baiser sur le front, puis le bout du nez avant d'en voler un à ses lèvres. je me redresse par la suite fièrement, le laissant clairement en plan malgré mes multiples provocations. la voiture s'arrête pile à ce moment là, et ce n'est que mieux, dieu seul sait ce qui aurait pu m'arriver. je descends avec une vitesse foudroyante alors que j'abandonne clairement celui que je considère comme l'homme de la vie, à l'intérieur de la limousine. j'observe les alentours, souriant à nouveau avant de me pencher légèrement pour observer l'intérieur de la voiture, tendant la main vers mon vis à vis. « Prêt à devenir un Yang, monsieur ? » un rire m'échappe avant que je pose à nouveau mes yeux sur le petit monument, faisant office de chapelle. « La lune de miel viendra après, soit patient et n'essaye pas de me violer pendant la cérémonie, ça ne serait pas très poli. » si encore je savais ce qu'était la politesse, je ne serais certainement pas l'homme que je suis aujourd'hui. chose sûre, le nain avait surement une envie folle de m'étriper suite à mes gestes précédents.
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