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1, 2, 3, 4 perkyu x did they ever hold each other tight like us ?
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Jeu 10 Déc - 21:57 
Did they ever fight like us ?
| ▼ ▲Même si je bois régulièrement, ma tolérance à l'alcool est toujours inexistante. Un simple verre suffit à me changer en un temps record mais même si je sais tout ça, je n'arrête pas ma consommation pour autant, bien au contraire. Beaucoup pensent que c'est idiot et ils ont sans doute raison, mais c'est ma façon à moi d'extérioriser, de tout oublier lorsque ça ne va pas. C'est ça, ou des méthodes un peu plus violentes envers moi-même et comme je suis actuellement en train de me battre pour remonter la pente, je m'interdis de toucher de nouveau à une lame de rasoir. Plus d'entailles, plus de brûlures. Alors autant dire que durant la semaine qui vient de passer, le peu d'argent que j'avais est parti dans l'alcool. Mais ce soir je ne bois pas pour oublier ma déprime, je ne bois pas pour me retenir d'en finir. Ce soir je bois parce que c'est mon anniversaire et que pour une fois je veux le célébrer dignement, parce que je suis avec mon homme à l'autre bout du monde, parce que je ne veux pas que la moindre pensée négative ne gâche ce moment. Seulement, les effets de la boisson imposent une toute nouvelle tournure à la situation actuelle. Malgré ma voix faussement innocente, chacun de mes mots est prononcé dans le but de le provoquer et je le bouffe du regard sans même m'en cacher. Cependant pour le taquiner et le frustrer un peu, je ne fais que parler, n'alliant pas de gestes à mes provocations verbales pour qu'il vienne à son tour me chercher. Alors lorsque je sens ses grandes mains contre cette partie de mon corps que lui seul à le droit de toucher, je ne peux pas m'empêcher de sourire, frissonnant légèrement. Même si je suis loin d'être nympho, ça m'avait manqué. Mon bassin se colle sans hésitation au sien et je le laisse docilement jouer avec mes lèvres, répondant immédiatement à son baiser que j'attendais impatiemment avec tout autant de fougue que lui. Mon dos se creuse lorsque ses phalanges agrippent la peau de mes fesses et je souris contre ses lippes, tirant maladroitement sur son haut pour glisser mes doigts contre son torse chaud. Honnêtement, s'il veut me prendre là tout de suite je le laisserais faire, même si j'ai toujours refusé de faire ça dans un lieu où quelqu'un pourrait nous voir. Aujourd'hui tout ça ne m'importe absolument pas, il m'a bien trop manqué pour ça. Il ne me laisse pas le temps d'agir et me repousse bien trop vite, m'arrachant un grognement de mécontentement. J'ai envie de plus. Cependant, je le laisse faire et ne le quitte pas des yeux lorsque mon dos rencontre le cuir de la banquette. Mes mains elles, dérivent vers son pantalon que je tente d'ouvrir, mais l'excitation et l'alcool rendent mes gestes maladroits et je n'ai pas le temps d'y parvenir puisqu'il recule, me privant de sa chaleur corporelle. Je le fixe sans comprendre et grogne de nouveau lorsqu'il sort de la voiture. « T'es sérieux là ?! Putain Percy..» Frustré au possible, je ferme les yeux pour me calmer avant de relever la tête en haussant un sourcil suite à sa phrase. Il a dit quoi là ? Persuadé d'avoir mal compris, je ne dis rien et sors à mon tour de la voiture, observant les lieux, boudant mon aîné en tirant mon t-shirt pour cacher mon début d'érection. Quel sale fourbe, il passe son temps à me chauffer pour au final me laisser en plan. Je le regarde de nouveau lorsqu'il reprend la parole en repensant à ses mots précédents. Non... il n'est pas sérieux quand même ? On est pas là pour... non, impossible. Totalement perdu et déstabilisé, j'oublie même ma fausse joie des secondes précédentes pour me rapprocher de lui et prendre sa main, nerveux. « Hyung, pourquoi on est ici ? De quoi est-ce que tu parles..? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 13 Déc - 8:41
si il y avait bien quelqu'un qui avait insulté le mariage et ses traditions, c'était bel et bien moi. il est clair qu'avec mon tempérament et ma personnalité plutôt instable, j'étais loin d'être le gendre idéal. loin d'être un homme à marier. loin d'être l'homme dit parfait. je faisais parti du peux de personnes qui reniaient les traditions et l'hypocrisie de cet évènement et pourtant, malgré tout cela, j'étais quand même prêt à sauter le pas. moon kyu était le genre de personne qui pouvait me forcer à faire inconsciemment, tout et n'importe quoi. l'amour et la dépendance que j'ai à son égard est loin d'être minime et pour cause, notre petite dispute passé, notre éloignement n'avait fait que me rendre encore plus dépendant. plus obsédé par sa personne. plus de plus. toujours plus. il était le plus que j'ai toujours eu besoin dans ma vie. indétrônable. malgré nos disputes, nos déchirements et tout le reste, je suis sûr de mon avenir avec lui. il est certainement le seul à pouvoir lire en moi comme dans un livre ouvert. alors oui, bien que notre futur soit basé sur du chaos, je prends la décision de faire de lui mon avenir. chaotique certes, explosif surement, mais surtout honnête et d'un amour partagé. j'entends ses plaintes à l'intérieur de la voiture. je sais qu'il a horreur de ça, tout comme je sais que je le paierais tôt ou tard. cela dit, bien qu'il grogne comme un enfant capricieux, c'est lorsque je sens ses doigts se lier aux miens que je baisse mon regard vers lui, souriant avant de répondre à sa question. « Tu veux une lune de miel, sauf qu'on a pas de lune de miel sans mariage. » je me met à sa hauteur, lui volant un doux baiser avant de l'attirer à l'intérieur de la petite chapelle. c'était certainement loin d'être traditionnel, mais le geste y était, bien que la demande était manquante. « J'ai jamais rien demandé à personne et c'est pas aujourd'hui que je commencerais. Je veux me marier avec toi, quoi que les gens puissent penser. Le mariage n'est valable que sur le territoire américain, je ne vais pas te forcer. Si tu veux que l'on parte d'ici, on part. » un soupir m'échappe. une certaine colère est cachée au fond de moi alors que mes yeux se posent à nouveau sur le décors intérieur du bâtiment. « J'ai jamais autant aimé quelqu'un au point de faire.. ça. Et si pour te prouver que je t'aime bien plus que tu l'imagines, je dois passer par là, alors on passera par là. Concrètement, une fois de retour chez nous, ce mariage n'aura rien d'officiel, ci ce n'est dans nos têtes et nos coeurs brûlés. » analysant chaque détail de l'entrée de l'établissement, je me perds dans mes pensées avant de soudainement me mettre à fouiller mes poches. un léger grognement m'échappe avant que mes yeux ne se posent à nouveau sur le plus jeune. « J'ai pas de bagues.. J'en achèterai plus tard. » quelle ironie. un mariage sans bagues. est-ce un mauvais signe ? sûrement, mais je veux bien prendre le risque de me perdre en chemin plutôt que le perdre lui.
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si il y avait bien quelqu'un qui avait insulté le mariage et ses traditions, c'était bel et bien moi. il est clair qu'avec mon tempérament et ma personnalité plutôt instable, j'étais loin d'être le gendre idéal. loin d'être un homme à marier. loin d'être l'homme dit parfait. je faisais parti du peux de personnes qui reniaient les traditions et l'hypocrisie de cet évènement et pourtant, malgré tout cela, j'étais quand même prêt à sauter le pas. moon kyu était le genre de personne qui pouvait me forcer à faire inconsciemment, tout et n'importe quoi. l'amour et la dépendance que j'ai à son égard est loin d'être minime et pour cause, notre petite dispute passé, notre éloignement n'avait fait que me rendre encore plus dépendant. plus obsédé par sa personne. plus de plus. toujours plus. il était le plus que j'ai toujours eu besoin dans ma vie. indétrônable. malgré nos disputes, nos déchirements et tout le reste, je suis sûr de mon avenir avec lui. il est certainement le seul à pouvoir lire en moi comme dans un livre ouvert. alors oui, bien que notre futur soit basé sur du chaos, je prends la décision de faire de lui mon avenir. chaotique certes, explosif surement, mais surtout honnête et d'un amour partagé. j'entends ses plaintes à l'intérieur de la voiture. je sais qu'il a horreur de ça, tout comme je sais que je le paierais tôt ou tard. cela dit, bien qu'il grogne comme un enfant capricieux, c'est lorsque je sens ses doigts se lier aux miens que je baisse mon regard vers lui, souriant avant de répondre à sa question. « Tu veux une lune de miel, sauf qu'on a pas de lune de miel sans mariage. » je me met à sa hauteur, lui volant un doux baiser avant de l'attirer à l'intérieur de la petite chapelle. c'était certainement loin d'être traditionnel, mais le geste y était, bien que la demande était manquante. « J'ai jamais rien demandé à personne et c'est pas aujourd'hui que je commencerais. Je veux me marier avec toi, quoi que les gens puissent penser. Le mariage n'est valable que sur le territoire américain, je ne vais pas te forcer. Si tu veux que l'on parte d'ici, on part. » un soupir m'échappe. une certaine colère est cachée au fond de moi alors que mes yeux se posent à nouveau sur le décors intérieur du bâtiment. « J'ai jamais autant aimé quelqu'un au point de faire.. ça. Et si pour te prouver que je t'aime bien plus que tu l'imagines, je dois passer par là, alors on passera par là. Concrètement, une fois de retour chez nous, ce mariage n'aura rien d'officiel, ci ce n'est dans nos têtes et nos coeurs brûlés. » analysant chaque détail de l'entrée de l'établissement, je me perds dans mes pensées avant de soudainement me mettre à fouiller mes poches. un léger grognement m'échappe avant que mes yeux ne se posent à nouveau sur le plus jeune. « J'ai pas de bagues.. J'en achèterai plus tard. » quelle ironie. un mariage sans bagues. est-ce un mauvais signe ? sûrement, mais je veux bien prendre le risque de me perdre en chemin plutôt que le perdre lui.
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 13 Déc - 23:18
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| ▼ ▲Il est tout le temps comme ça. Enfin, on est tout le temps comme ça. On se provoque sans cesse, et bien souvent l'un de nous deux finit par craquer, et tout dérape en un instant sans que l'on s'en rende compte. En quelques minutes on se retrouve débarrassés de nos vêtements, dans les bras de l'autre. Mais parfois, ce petit jeu ne mène à rien. Parfois, c'est juste pour rendre dingue son vis-à-vis avant de le laisser en plan. Me pousser jusqu'à mes limites semble être le passe temps favori de Percy qui me provoque tout le temps mais ne m'offre pas toujours ce qu'il me fait espérer. Que ce soit par messages sur mon téléphone alors que je suis loin de lui et le plus souvent dans un lieu public histoire de bien m'embarrasser, ou alors comme aujourd'hui juste face à moi. J'ai toujours refusé de risquer que l'on fasse ça là où quelqu'un pourrait nous voir et pourtant ce soir s'il avait commencé à retirer mes vêtements là, sur cette banquette, je l'aurais laissé faire. Il sait parfaitement comment provoquer mon envie et s'en amuse un peu trop à mon goût ces derniers temps. Mais ce serait mentir de dire que je n'aime pas ça. Même si sur le coup je déteste sa façon de me laisser en plan, au final je sais que ce n'est que partie remise et que j'obtiendrais ce que je désire, en plus d'avoir le droit de me venger. Mais là tout de suite, après avoir été séparé de lui pendant une semaine, ça me frustre vraiment de le voir s'éloigner. Heureusement pour lui, ou pour moi je ne sais pas vraiment, l'endroit où nous venons d'arriver me fait oublier tout ça et je me colle bien vite à lui, l'interrogeant sur la nature de notre présence ici. Et sa réponse me déstabilise encore plus mais je n'ai pas le temps de répliquer, trop occupé à répondre à son baiser. Je ne le quitte pas des yeux lorsqu'il reprend la parole, cherchant désespéramment à comprendre toute cette situation qui me dépasse clairement. Ses mots me font frissonner et je serre un peu plus fort sa main, ma lèvre inférieure attaquée par mes canines. Il veut qu'on se marie.. pour de vrai ? Mes lippes s'entrouvrent mais aucun son n'en sort, trop figé par ce qu'il vient de dire. Il continue je me sens de plus en plus perdu, ailleurs. Je n'ai jamais douté de lui, mais je me remet constamment en question et c'est vrai que parfois, je me dis que je ne suis pas assez bien pour qu'il puisse m'aimer vraiment. Alors qu'il veuille faire ça, qu'il soit prêt à s'engager avec moi même si au final ça n'aura aucune valeur en Corée, ça remet tout en question. Toujours immobile, j'oublie même de respirer, n'entendant même pas ses derniers mots. Il veut qu'on se marie. Percy veut m'épouser, m'aimer à vie. Je papillonne des cils pour éloigner l'eau de devant mes iris, refusant de pleurer et me blottit un peu trop brusquement contre son torse, croisant mes bras derrière son dos pour le serrer fort contre moi. « T'es vraiment qu'un connard. » Ma voix est loin d'être agressive, au contraire, elle est même toute petite, faible. Et ce n'est qu'après de longues secondes de je me décolle de lui, tirant sur son col pour l'abaisser un peu en me hissant sur la pointe des pieds pour être à sa hauteur. « Un connard que j'aime plus que tout » Je capture ses lèvres pour les dévorer littéralement, et qu'importe si on est dans un lieu "sacré". Je met un terme à l'échange après quelques secondes pour éviter tout dérapage et souris de nouveau pour de vrai, pour traduire un réel bonheur en dépit de tout ce qui a pu arriver dernièrement. Une fois de plus, je me perd dans son regard avant de prendre une grande inspiration. « Tu veux vraiment.. m'épouser ? Je veux pas que tu te sentes obligé pour me prouver quoi que ce soit, je te fais confiance. Se marier c'est.. c'est pas rien, il faut que tu en aies envie, pas juste que tu le fasses pour moi tu vois ? » Malgré tout, je ne peux pas m'empêcher de sourire, de me sentir bien. Je n'ai jamais pensé à un mariage, mais savoir qu'il m'aime au point de vouloir finir sa vie avec moi, ça fait de moi l'homme le plus heureux de l'univers. « Je t'aime tu sais ? Je t'aime à en crever. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Sam 26 Déc - 15:44
c'était un peu comme un deal. promettre à l'autre de ne jamais l'abandonner. bien que tout cela ne soit valable seulement sur le territoire américain, cela pouvait avoir également une valeur sentimentale, mais nulle doute, il y aura bel et bien une validation de ce mariage sur le territoire coréen, quoi que puissent en penser les autres. avec tout ce qui a pu lui arriver et m'arriver ces derniers temps, autant vaut mieux être plutôt prévenant et faire les choses à fond. bien que sa réaction me surprenne quelque peu, je n'hésite pas un seul instant à glisser mes bras autour de sa fine taille, le serrant contre moi alors qu'un fin sourire prit place sur mes lèvres à l'entente de ses mots. « Le plus gros connard de l'univers ne se force jamais à faire quelque chose, rentres-toi ça dans la tête. » lui volant un doux baiser, je finis par rire légèrement avant de me détacher de lui, glissant ma main dans la sienne tout en l'attirant en direction de ce cher usurpateur d'elvis. ça n'était que de la comédie en vu du lieu et ce qui l'entourait et pourtant, au fond de moi, je savais que pour la première fois de ma vie, j'allais accomplir l'acte le plus irritable et le plus repoussant, du moins à mes yeux. outre ce sentiment intérieur, je me focalise simplement sur l'amour que je porte à mon cadet, réalisant ainsi qu'il est le seul à me pousser inconsciemment à faire ce genre de plan. un rire m'échappe en repensant à diverses scènes que j'avais passé avec ce dernier avant de finalement reprendre mon sérieux lorsque je nous présente fasse à l'inconnu. « Tu peux encore faire ta diva et partir en courant en criant non.. mais c'est à tes risques et périls après..» cela pouvait sonner pour une menace alors qu'il n'est rien de plus qu'une petite pique habituelle, une faible taquinerie. bien que je dévore littéralement le seul et unique amour de ma vie, je suis forcé de glisser mon autre main dans la sienne, passage obligatoire. plongeant mon regard dans celui du jeune décoloré, je me perds bien facilement dans mes pensées, évitant ainsi de bouillir de colère de part ma présence dans cet établissement. je ne me forçais pas à faire tout cela pour lui, bien au contraire, je faisais avec tout l'amour du monde, mais il était clair que je n'avais en aucun cas ma place dans ce genre d'endroit.
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c'était un peu comme un deal. promettre à l'autre de ne jamais l'abandonner. bien que tout cela ne soit valable seulement sur le territoire américain, cela pouvait avoir également une valeur sentimentale, mais nulle doute, il y aura bel et bien une validation de ce mariage sur le territoire coréen, quoi que puissent en penser les autres. avec tout ce qui a pu lui arriver et m'arriver ces derniers temps, autant vaut mieux être plutôt prévenant et faire les choses à fond. bien que sa réaction me surprenne quelque peu, je n'hésite pas un seul instant à glisser mes bras autour de sa fine taille, le serrant contre moi alors qu'un fin sourire prit place sur mes lèvres à l'entente de ses mots. « Le plus gros connard de l'univers ne se force jamais à faire quelque chose, rentres-toi ça dans la tête. » lui volant un doux baiser, je finis par rire légèrement avant de me détacher de lui, glissant ma main dans la sienne tout en l'attirant en direction de ce cher usurpateur d'elvis. ça n'était que de la comédie en vu du lieu et ce qui l'entourait et pourtant, au fond de moi, je savais que pour la première fois de ma vie, j'allais accomplir l'acte le plus irritable et le plus repoussant, du moins à mes yeux. outre ce sentiment intérieur, je me focalise simplement sur l'amour que je porte à mon cadet, réalisant ainsi qu'il est le seul à me pousser inconsciemment à faire ce genre de plan. un rire m'échappe en repensant à diverses scènes que j'avais passé avec ce dernier avant de finalement reprendre mon sérieux lorsque je nous présente fasse à l'inconnu. « Tu peux encore faire ta diva et partir en courant en criant non.. mais c'est à tes risques et périls après..» cela pouvait sonner pour une menace alors qu'il n'est rien de plus qu'une petite pique habituelle, une faible taquinerie. bien que je dévore littéralement le seul et unique amour de ma vie, je suis forcé de glisser mon autre main dans la sienne, passage obligatoire. plongeant mon regard dans celui du jeune décoloré, je me perds bien facilement dans mes pensées, évitant ainsi de bouillir de colère de part ma présence dans cet établissement. je ne me forçais pas à faire tout cela pour lui, bien au contraire, je faisais avec tout l'amour du monde, mais il était clair que je n'avais en aucun cas ma place dans ce genre d'endroit.
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 27 Déc - 15:09
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| ▼ ▲Percy est toujours imprévisible, impossible de cerner à l'avance ce qu'il a en tête. Avec lui, je ne suis sûr de rien, malgré tous mes efforts je n'arrive jamais à savoir ce à quoi il pense, ce qu'il a prévu, tout ça. C'est comme si je savais tout de lui, mais qu'en même temps, je ne savais rien. Chaque instant passé à ses côtés est une nouvelle surprise, quelque chose de nouveau, d'inattendu. Mais aujourd'hui nous avons atteint un tout nouveau niveau, si bien que je ne réalise toujours pas la folie de cette situation. Nous sommes aux États-Unis, dans cette ville qui comme nous, n'a aucune limites. On est là car il m'a offert ce voyage pour mon vingtième anniversaire et sans lui, je n'aurais même pas atteint cet âge. Sans lui je serais déjà mort. Comment a-t-il fait pour tant me redonner goût à la vie en si peu de temps ? Comment peut-il me faire apprécier chaque battement de mon coeur alors qu'il y a quelques mois, je rêvais qu'il cesse de fonctionner ? Et ça me tue lorsque j'entends des gens dans les couloirs parler en mal de lui, ça me donne envie d'exploser leurs crânes contre les murs. Ils ne le connaissent pas, ils ne savent rien. Ils n'ont pas le droit de le traiter ainsi. Percy est horrible ? C'est un monstre ? Tout ça c'est des conneries. Il m'a sauvé la vie, il me donne une raison de me battre tous les jours contre ma maladie, il me rend heureux et me fait sourire comme personne. Il est parfait comme ça, et j'en suis fou amoureux. C'est lui, et ce sera toujours lui. Alors évidemment, ses paroles font frissonner chaque parcelle de ma peau pâle, et ce ne sont pas de frêles papillons mais tout un zoo qui prend d'assaut mon ventre. Notre relation est sans aucun doute atypique et j'en suis conscient. Nous nous sommes rencontrés dans une cellule de prison, après quoi nous avons commencé à coucher ensemble pour effacer nos peines respectives. Jamais je n'aurais pu imaginer que de tels sentiments se développeraient entre nous. Après tout c'est vrai, pourquoi lui ? Pourquoi moi ? Trop d'années nous séparent, et nos forts caractères nous ont bien souvent poussés à nous détester, nous mépriser. Et pourtant aujourd'hui nous en sommes là, à vouloir nous marier. Et si tout ça n'est qu'un rêve, ne me sortez jamais de ce sommeil. Malgré tout, j'essaye de me convaincre que tout ça est réel et mes phalanges s'accrochent à sa main tout comme mon regard au sien. Qu'importe si tout ça n'a rien d'officiel, qu'importe les conditions, les papiers et les beaux discours. Nous ne sommes pas comme tout le monde. Nous n'avons pas besoin de telles choses, juste besoin de l'autre. Tout semble si idyllique, et je ne sors de mes rêveries qu'à ses mots taquins qui me font rire. « J'aimerais bien, mais je suis trop fatigué pour courir, alors je suis obligé de rester, dommage.. » Il sait comme moi que c'est faux et que jamais je ne pourrais dire non ou m'éloigner de lui, que je continue juste sa petite plaisanterie. Et je suis obligé de me retenir de rire face à l'absurdité de la situation. On est là, face à face, mains liées, face au prêtre le moins crédible possible. Et on se marie putain, on est en train de se marier. C'est totalement fou et je ne peux pas m'empêcher de sourire, et mon regard dit probablement quelque chose comme "t'es dingue Percy, regarde nous". Mais progressivement, je cesse de plaisanter, totalement absorbé par tout ce qui se dégage de mon aîné. Mes pupilles sont plantées dans les siennes et mes doigts se serrent autour de ses mains. Plus rien d'autre n'existe. Je n'écoute même pas le discours de l'autre sosie ridicule et dois même me retenir de lui dire d'aller droit au but. Et puis finalement, je craque. « C'est trop long putain. » Je l'ignore totalement et lâche l'une des mains de mon aîné pour l'appuyer contre sa nuque et ainsi pouvoir l'embrasser sans doute un peu trop brusquement, et avec une passion bien présente. Je dévore littéralement ses lippes avant de m'en détacher à contre coeur sans pour autant trop m'en éloigner. « Si t'as pas compris, ça veut dire oui. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 3 Jan - 11:25
ma vie tourne autour de la sienne. il est ma seule et unique raison de vivre. mon oxygène, mon sang qui circule dans mes veines pour alimenter mon coeur, tout ça, c'est grâce à lui et bien qu'il ne s'en rende pas compte par moment, je n'ai pas trouver mieux que le lui faire comprendre grâce à cette cérémonie plutôt comique, mais qui au fond, avait un réel sens à mes yeux. tout n'était que comédie, mais à mes yeux, tout ça était réel, tout ça avait une énorme valeur. il n'y avait ni bague, ni fleur ni autre merdes de ce genre, seulement mon amour face au sien, rien de plus. bien que je redoutais sa réaction, au final, elle fut plus que satisfaisante. son impatience a pointée le bout de son nez et bien que cela puisse paraitre impolis, pour moi, ça n'était que plus amusant. je le connaissais que trop bien et cette réaction était clairement attendue. le serrant contre moi, je lâche un faible rire d'amusement avant de sceller mes lèvres aux siennes, amoureusement, passionnément.
ma dernière relation avec bago n'avait été que destructrice, un amour de pacotille, rien de bien sérieux, contrairement à celle que j'entretiens avec le jeune décoloré. la maturité, le sérieux, la confiance et le véritable amoure, c'était tout ce dont j'avais besoin au final. aujourd'hui, j'avais trouvé tout cela auprès de celui que je viens de faire miens, officiellement. beaucoup étaient contre notre relation, certains étaient perplexe, pessimiste pour d'autre, mais au final, personne n'a rien pu faire pour séparer les deux âmes obscures de cette foutue université. nous sommes liés depuis cette cellule. liés par le sexe dans un premier temps, puis par des sentiments bien plus fort, demandant par la suite l'exclusivité de l'autre. c'était une évidence. un couple basé sur la destruction, le chaos, l'explosion et la passion, mais surtout l'amour. le vrai. rien ne pourrait briser ce qui nous a unis depuis cette foutue cellule. rien ni personne. notre histoire n'a rien de romantique au fond, et pourtant, je suis sûr que certains l'envie plus qu'ils ne le disent. je suis fier de ce gosse depuis des mois. malgré tous ses défauts, ses problèmes médicaux et autre, il a su évoluer plus que quiconque. cet idiot est ma plus grande fierté, mais ça il n'en a pas conscience. je lui ferais certainement comprendre tout cela au fil du temps, je n'ai pas de m'inquiéter.
à cet instant précis, je suis presque dans l'obligation de rompre notre baiser. nous connaissant, un simple baiser, peu très vite déraper. je me saisis de sa main et l'attire bien rapidement en dehors de cette bâtisse qui commençait à me refiler de l'urticaire avant de le reprendre contre moi. ma main libre glisse dans ses cheveux, lui dégageant ainsi le visage alors que mon regard venait se perdre dans le sien. un fin sourire s'installe sur mes lèvres avant que je ne revienne prendre possession des siennes. tendre et doux échange, rien de plus. je n'éloigne pas mon visage du sien et me contente de frôler ses lippes des miennes avant de chuchoter contre elles. « T'es marié au plus gros connard du monde, ça fait quoi ? » un baiser de volé, je m'éloigne de lui tout en laissant sa main dans la mienne, reprenant la direction de la limousine d'un pas lent. je me tourne alors à nouveau vers lui et me stoppe dans ma démarche tout en le fixant longuement avant de plisser les yeux d'un air plutôt interrogateur. « écoute-moi bien ptit cul, j'espère pour toi que tu caches pas un amant parce que je te jure que je te fais vomir ce mariage. »
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ma vie tourne autour de la sienne. il est ma seule et unique raison de vivre. mon oxygène, mon sang qui circule dans mes veines pour alimenter mon coeur, tout ça, c'est grâce à lui et bien qu'il ne s'en rende pas compte par moment, je n'ai pas trouver mieux que le lui faire comprendre grâce à cette cérémonie plutôt comique, mais qui au fond, avait un réel sens à mes yeux. tout n'était que comédie, mais à mes yeux, tout ça était réel, tout ça avait une énorme valeur. il n'y avait ni bague, ni fleur ni autre merdes de ce genre, seulement mon amour face au sien, rien de plus. bien que je redoutais sa réaction, au final, elle fut plus que satisfaisante. son impatience a pointée le bout de son nez et bien que cela puisse paraitre impolis, pour moi, ça n'était que plus amusant. je le connaissais que trop bien et cette réaction était clairement attendue. le serrant contre moi, je lâche un faible rire d'amusement avant de sceller mes lèvres aux siennes, amoureusement, passionnément.
ma dernière relation avec bago n'avait été que destructrice, un amour de pacotille, rien de bien sérieux, contrairement à celle que j'entretiens avec le jeune décoloré. la maturité, le sérieux, la confiance et le véritable amoure, c'était tout ce dont j'avais besoin au final. aujourd'hui, j'avais trouvé tout cela auprès de celui que je viens de faire miens, officiellement. beaucoup étaient contre notre relation, certains étaient perplexe, pessimiste pour d'autre, mais au final, personne n'a rien pu faire pour séparer les deux âmes obscures de cette foutue université. nous sommes liés depuis cette cellule. liés par le sexe dans un premier temps, puis par des sentiments bien plus fort, demandant par la suite l'exclusivité de l'autre. c'était une évidence. un couple basé sur la destruction, le chaos, l'explosion et la passion, mais surtout l'amour. le vrai. rien ne pourrait briser ce qui nous a unis depuis cette foutue cellule. rien ni personne. notre histoire n'a rien de romantique au fond, et pourtant, je suis sûr que certains l'envie plus qu'ils ne le disent. je suis fier de ce gosse depuis des mois. malgré tous ses défauts, ses problèmes médicaux et autre, il a su évoluer plus que quiconque. cet idiot est ma plus grande fierté, mais ça il n'en a pas conscience. je lui ferais certainement comprendre tout cela au fil du temps, je n'ai pas de m'inquiéter.
à cet instant précis, je suis presque dans l'obligation de rompre notre baiser. nous connaissant, un simple baiser, peu très vite déraper. je me saisis de sa main et l'attire bien rapidement en dehors de cette bâtisse qui commençait à me refiler de l'urticaire avant de le reprendre contre moi. ma main libre glisse dans ses cheveux, lui dégageant ainsi le visage alors que mon regard venait se perdre dans le sien. un fin sourire s'installe sur mes lèvres avant que je ne revienne prendre possession des siennes. tendre et doux échange, rien de plus. je n'éloigne pas mon visage du sien et me contente de frôler ses lippes des miennes avant de chuchoter contre elles. « T'es marié au plus gros connard du monde, ça fait quoi ? » un baiser de volé, je m'éloigne de lui tout en laissant sa main dans la mienne, reprenant la direction de la limousine d'un pas lent. je me tourne alors à nouveau vers lui et me stoppe dans ma démarche tout en le fixant longuement avant de plisser les yeux d'un air plutôt interrogateur. « écoute-moi bien ptit cul, j'espère pour toi que tu caches pas un amant parce que je te jure que je te fais vomir ce mariage. »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Dim 3 Jan - 22:27
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| ▼ ▲Parfois je me mens à moi-même. J'essaye de me convaincre que l'avis des autre ne m'importe pas mais ce n'est pas vrai. Au contraire, l'opinion que se font les autres de moi compte énormément à mes yeux, et ça me bouffe. Je ne veux pas être vu comme un gamin malade et condamné, pas non plus comme un sale gosse trop accro à la violence, un merdeux qui n'attire que des ennuis. J'en ai marre d'avoir cette mauvaise réputation, de voir le dégoût dans le regard des gens, de les voir me contourner comme si j'avais la peste. Je ne suis pas un monstre putain, j'ai rien fait de mal. En revanche, en ce qui concerne mon couple avec Percy, je me moque totalement de ce que les gens peuvent penser. Qu'importe si ça ne leur plait pas, qu'importe si à leurs yeux notre relation est malsaine, impossible, incohérente. Ils peuvent dire ce qu'ils veulent, qu'on finira par se tuer, que notre différence d'âge est trop importante, que ça ne mènera à rien, leur avis ne compte pas pour moi. Ils n'ont rien vécu de ce que nous, nous avons pu vivre ensemble, ils ignorent que sans lui j'aurais cédé à la mort, ils ne voient pas qu'il me pousse à me battre tous les jours. Si ça ne leur plait pas je les emmerde, grâce à mon aîné je suis heureux et je ne renoncerais pas à lui juste pour faire plaisir à quelques personnes qui se pensent assez parfaites pour se permettre de juger notre relation. Et même si nous nous disputons souvent, même s'il m'arrive de le détester au plus au point, je suis totalement dépendant de lui. Il est vrai que ce n'est pas toujours facile, qu'il est parfois trop dur et que moi je me braque trop rapidement, il m'a fallu du temps avant de lui accorder toute ma confiance, après tout ma précédente relation m'avait assez marqué pour rendre ma peur des hommes encore plus importante, et pourtant, malgré cette crainte, je me suis laissé envoûter par Percy. J'ai baissé ma garde jusqu'à ce que, sans même que je ne m'en rende compte, je devienne dingue de lui. Et voilà où tout ça nous mène quelques mois plus tard. Face à face, à Vegas en train d'échanger le baiser qui officialisera notre mariage qui, ironiquement, n'est pas vraiment valable. Mais qu'importe si sur le papier je ne porte pas son nom, dans notre monde à nous c'est le cas, et c'est tout ce qui compte. Alors je profite de chaque seconde passée contre lui avant de le laisser mettre un terme à l'échange pour nous éviter tout dérapage. Puis je le suis sagement jusqu'à l'extérieur, riant face au faux Elvis qui n'a apparemment pas compris ce qui venait de se passer, tant pis je ne vais pas m'arrêter pour le lui expliquer. Je préfère de loin me coller de nouveau à mon homme pour le dévorer du regard avant de répondre à ce nouveau baiser, souriant par la suite à ses mots. « Hm j'aime bien, c'est assez plaisant » Je lui tire légèrement la langue, incapable de détacher mon regard de lui avant de m'arrêter près de la voiture, m'appuyant finalement contre cette dernière. Je le fixe alors avec un air faussement vexé, soupirant en exagérant. « J'ai bien essayé, mais jusqu'à maintenant t'es le meilleur coup que j'ai trouvé, donc je me contente de toi » Je finis par sourire en me mettant sur la pointe des pieds, glissant ma main libre contre sa joue. « Y'a que toi hyung, jusqu'au bout y'aura que toi. » Je ne suis pas très doué avec les mots et il le sait, mais je tiens à faire cet effort pour lui faire comprendre ce que je ressens vraiment. « C'est toi que j'aime, j'suis plus rien sans toi tu comprends ? Je suis.. totalement dépendant, j't'appartiens. » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Mar 5 Jan - 20:44
si on m'aurait dit il y a quelques mois de ça, que je finirais marié à vegas avec un type comme moonkyu, je l'aurais jamais cru. bien trop con, trop volage, trop arrogant. tout ce qu'il peut y avoir de détestable sur cette planète faisait une partie intégrante de ma personne. je n'ai jamais réellement oublié ma relation avec bago, je l'ai simplement enfermé dans une boite, bloqué avec un cadenas avant d'en jeter la clé. une part de moi a quand même appris à aimer lorsque j'étais avec lui et au fond, en y repensant, si j'avais pas eu cette histoire avec lui, je n'aurais jamais de sentiment pour mon blond préféré. je ne lui en suit pas redevable, loin de là, car après tout, il aura été la cause de ma destruction et de mon retour en enfer, mais par contre, je remercie simplement notre histoire pour m'avoir ouvert les yeux sur beaucoup de choses, comme le fait que parfois, de simples dictons peuvent bel et bien refléter la réalité de la vie. "qui se ressemble, s’assemble" n'est-ce pas ?
je ne sais pas combien ça durera, mais je ferais en sorte que cela dure le plus longtemps possible. je sais désormais qu'il n'y aura plus personne après le blond, donc si ça marche vraiment pas, c'est que personne est réellement fait pour moi. à l'heure actuelle, ma vie tourne autour de la sienne et jamais je veux que ça cesse, jamais. je suis bien trop dépendant. amoureux. faible. il est à moi et il le restera, même si il venait à prendre la fuite du jour au lendemain, je le poursuivrais comme un vulgaire chien abandonné, mais je le retrouverais et je le ferais miens à nouveau. c'est comme ça, il a pas le choix. il a dit oui, éternellement. il a dit oui pour tout le restant dans sa vie, donc impossible de faire marche arrière.
je le pousse donc à nouveau à remonter dans cette limousine, le suivant de près avant de demander au chauffeur de nous conduire à nouveau à notre hôtel. c'est avec facilité que je saisis délicatement son poignet pour l'attirer contre moi. un de mes bras viens se glisser sur ses épaules alors que de l'autre, je remonte son visage vers le miens à l'aide de ma main et l'embrasse, certainement avec bien trop fougue et passion. ses lèvres, j'y suis accros. mais si seulement ça n'était que ses lèvres. si il n'y avait que ça. je suis dans l'obligation de rompre ce baiser bien trop gourmand, caressant le bout de son nez à l'aide du mien alors que je venais déposer une dernière fois mes lèvres sur les siennes. « Quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse, ne m'abandonne jamais parce que ton petit cul prendrait très cher et ta belle gueule aussi. » un fin sourire se dessine sur mes lèvres avant que je vienne glisser ma main dans ses cheveux décolorés. « J'ai pas fais tout ça pour rien tu sais. J'ai fais ça parce que j'ai que toi maintenant.. J'ai personne sauf toi. »
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ALEY MOON KYU FEAT. YANG PERCY
si on m'aurait dit il y a quelques mois de ça, que je finirais marié à vegas avec un type comme moonkyu, je l'aurais jamais cru. bien trop con, trop volage, trop arrogant. tout ce qu'il peut y avoir de détestable sur cette planète faisait une partie intégrante de ma personne. je n'ai jamais réellement oublié ma relation avec bago, je l'ai simplement enfermé dans une boite, bloqué avec un cadenas avant d'en jeter la clé. une part de moi a quand même appris à aimer lorsque j'étais avec lui et au fond, en y repensant, si j'avais pas eu cette histoire avec lui, je n'aurais jamais de sentiment pour mon blond préféré. je ne lui en suit pas redevable, loin de là, car après tout, il aura été la cause de ma destruction et de mon retour en enfer, mais par contre, je remercie simplement notre histoire pour m'avoir ouvert les yeux sur beaucoup de choses, comme le fait que parfois, de simples dictons peuvent bel et bien refléter la réalité de la vie. "qui se ressemble, s’assemble" n'est-ce pas ?
je ne sais pas combien ça durera, mais je ferais en sorte que cela dure le plus longtemps possible. je sais désormais qu'il n'y aura plus personne après le blond, donc si ça marche vraiment pas, c'est que personne est réellement fait pour moi. à l'heure actuelle, ma vie tourne autour de la sienne et jamais je veux que ça cesse, jamais. je suis bien trop dépendant. amoureux. faible. il est à moi et il le restera, même si il venait à prendre la fuite du jour au lendemain, je le poursuivrais comme un vulgaire chien abandonné, mais je le retrouverais et je le ferais miens à nouveau. c'est comme ça, il a pas le choix. il a dit oui, éternellement. il a dit oui pour tout le restant dans sa vie, donc impossible de faire marche arrière.
je le pousse donc à nouveau à remonter dans cette limousine, le suivant de près avant de demander au chauffeur de nous conduire à nouveau à notre hôtel. c'est avec facilité que je saisis délicatement son poignet pour l'attirer contre moi. un de mes bras viens se glisser sur ses épaules alors que de l'autre, je remonte son visage vers le miens à l'aide de ma main et l'embrasse, certainement avec bien trop fougue et passion. ses lèvres, j'y suis accros. mais si seulement ça n'était que ses lèvres. si il n'y avait que ça. je suis dans l'obligation de rompre ce baiser bien trop gourmand, caressant le bout de son nez à l'aide du mien alors que je venais déposer une dernière fois mes lèvres sur les siennes. « Quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse, ne m'abandonne jamais parce que ton petit cul prendrait très cher et ta belle gueule aussi. » un fin sourire se dessine sur mes lèvres avant que je vienne glisser ma main dans ses cheveux décolorés. « J'ai pas fais tout ça pour rien tu sais. J'ai fais ça parce que j'ai que toi maintenant.. J'ai personne sauf toi. »
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Ven 8 Jan - 21:40
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| ▼ ▲On peut dire énormément de choses sur moi. Que je ne suis qu'un petit merdeux, un type trop violent, trop colérique, un gosse instable, un déchet. Quelqu'un de trop susceptible, d'indécis, une cause perdue, un pauvre dépressif. On peut dire toutes ces choses, et bien d'autres encore sans qu'au final ce ne soit vraiment faux. Il y a une part de vérité dans tout ça et j'en suis conscient. Si je me déteste autant, c'est bien à cause de la quantité incroyable de défauts que je possède. Mais au milieu de ce tableau si sombre, il y a une chose dont je suis fier à mon sujet, c'est d'être amoureux de lui, de Percy. Et à ce niveau ce n'est même plus qu'un simple amour, je suis totalement accro à lui, comme un drogué, comme un taré. Je l'aime comme j'ai jamais aimé et si c'est vrai, si on a vraiment tous une âme-sœur dans ce monde alors c'est forcément lui. On est fusionnels, dépendants. Notre relation n'a rien de normale, certains disent même qu'elle est mauvaise tant on se fait du mal. Mais leur avis j'en ai rien à foutre. Parce que notre amour à nous il est peut-être bancal, mais il est vrai. Parce que malgré nos chiennes de vies, on a trouvé dans les bras de l'autre notre happy ending. Il affirme être un démon mais contre ses lèvres j'ai découvert un paradis plus parfait encore que dans les récits. Ses mains sur ma peau, mon regard dans le sien, je n'ai besoin de rien d'autre. Ou peut-être que si. J'ai besoin de plus, de toujours plus. Plus de lui. J'ai besoin de sentir constamment son corps contre le mien, et que son odeur m'envahisse sans répit. J'ai besoin de ses lippes, de les dévorer après avoir succombé à leur appel. J'ai besoin d'entendre sa voix, de l'entendre prononcer mon nom et dire qu'il m'aime. J'ai besoin de sa poigne, que jamais il ne me laisse oublier que je lui appartiens. J'ai besoin de lui. Alors je le suis sagement à l'intérieur de la limousine, encore un peu en bug suite à ce qui vient de se passer, et seul son baiser parvient à me ramener à la réalité. Et j'y répond comme si ma vie en dépendait, et même si je comprend la raison pour laquelle il y a mis un terme, je ne peux pas m'empêcher de grogner faiblement avant de finalement l'écouter attentivement. Au départ, un léger rictus m'échappe. « Si tu me dis ça, je vais avoir envie de t'abandonner juste pour prendre cher après.. » Je le taquine bien sur, mais il est vrai que le voir en colère a toujours un côté légèrement excitant malgré tout. Je reprend mon sérieux à ces nouveaux mots, rougissant malgré moi. « Écoute.. » Ma lèvre inférieure se retrouve prisonnière de mes canines comme à chaque fois que je suis nerveux et je soupire légèrement avant de m'installer sur ses cuisses pour pouvoir lui faire face, jouant par réflexe avec sa main. « Et si j'étais pas à la hauteur ? Si j'étais pas suffisant ? Pourquoi moi alors que tu pourrais avoir un million de bonnes raisons pour me détester ? » J'évite clairement son regard, de nouveau envahi par tous mes doutes et mes craintes inavouées. Un nouveau soupir, mes mains serrent légèrement la sienne et je reprend sans lui laisser le temps de répondre. « On s'est promis de s'aimer jusqu'à la mort, et moi ça pourrait arriver n'importe quand, ma maladie finira par gagner et.. » J'y arrive pas. Je cache mon visage dans le creux de son cou, soufflant doucement pour me calmer. « Pardon, j'ai plombé l'ambiance. On peut rester un peu comme ça ? » |
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Re: perkyu x did they ever hold each other tight like us ? | Jeu 14 Jan - 11:11
il y a des choses qui ne s'explique pas. l'amour que je porte à mon cadet est d'ailleurs un exemple. je ne saurais dire pourquoi lui et pas un autre, ou alors, je ne ferais que donner des suppositions, sans être certains de ce que j'avance. au final, je mettrais simplement ça sur le dos du destin. lui seul peut avoir la réponse à cette question non ? du moins je l'espère. c'est triste de penser ainsi, mais l'amour que je portais au jeune sango n'a rien de comparable avec celui que je porte actuellement à moonkyu. le jeune vert n'avait qu'une faible partie de cet amour et bien que ça soit triste de le dire ainsi, c'était presque insignifiant. l'amour que j'ai pour moon kyu est bien différent, bien plus fort et certainement moins fragile et friable.. certainement plus sûr également. il n'y a rien d'égal à ces sentiments, absolument rien. je pourrais lui offrir monts et merveilles si je le pourrais, cela ne me gênerait en rien, bien au contraire, je serais surement heureux pour lui, au fond, la solution à son mal être était-elle là ?..
souriant à ses mots, je me doutais de sa réaction, cela dit, son sérieux soudain me brise. quelque chose d’inhabituel venant de sa personne. je fronce alors légèrement les sourcils, mais reste tout de même attentif à ce qu'il avait à me dire. je l'écoute, calmement avant de glisser l'un de mes bras autour de ses hanches, venant caresser le bas de son dos délicatement tout en cherchant son regard, le trouvant alors fuyant. ses mots avaient l'effet d'une bombe et au fond de moi, ça me faisait peur, tout comme ça me faisait du mal, mais je n'en dis rien, de toute façon, il ne me laisserai rien dire tant qu'il n'aurait pas finit. je l'écoute donc, lui laissant le temps de se vider, se soulager avant de soupirer doucement. mes bras passent autour de lui et je finis par le serrer contre moi tout en déposant un baiser sur le dessus de sa tête.
je garde le silence durant un bon petit moment, tout en gardant le plus jeune dans mes bras, avant de finalement prendre la parole, dans un ton calme. « Ecoute-moi bien, y a pas de raison que ce soit un autre que toi, puis je pourrais te retourner la question, tu trouves pas ? » je ris doucement, cherchant par n'importe quel moyen de le rassurer. « C'est quand même un comble d'aimer le diable en personne..» je l'éloigne finalement de ma personne, lui souriant finement tout en saisissant son fin visage entre mes mains. je dépose un doux baiser sur ses lèvres avant de caresser ses joues. « T'es malade, c'est vrai et j'ai pris conscience de ça déjà. Si j'avais vraiment peur de tout ça, j'aurais pas fais ce que j'ai fais ce soir. » au fond, c'était une évidence. si sa maladie m'aurait fait fuir, pourquoi aurais-je fais tout ça ? pourquoi aurais-je pris la peine de me mette en couple avec lui en connaissant les risques ? tout ça n'était que petit face à l'amour que j'avais pour lui, c'était une certitude. « Je vais te dire, ta maladie, elle pourra pas te crever, parce que si tu crèves, tu finiras surement en enfer, hors j'ai pas tellement envie de signer ton entrée là bas, donc t'es presque immortel, désolé de te décevoir ! » une touche d'ironie ne faisait certainement pas de mal, mais au fond, c'était vrai. nos âmes étaient surement aussi pourries l'une que l'autre et il est clair que nous faisions partis de ce tas de mauvaises herbes, donc la mort était loin devant nous et ça, quoi que fasse nos maladies respectives.
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il y a des choses qui ne s'explique pas. l'amour que je porte à mon cadet est d'ailleurs un exemple. je ne saurais dire pourquoi lui et pas un autre, ou alors, je ne ferais que donner des suppositions, sans être certains de ce que j'avance. au final, je mettrais simplement ça sur le dos du destin. lui seul peut avoir la réponse à cette question non ? du moins je l'espère. c'est triste de penser ainsi, mais l'amour que je portais au jeune sango n'a rien de comparable avec celui que je porte actuellement à moonkyu. le jeune vert n'avait qu'une faible partie de cet amour et bien que ça soit triste de le dire ainsi, c'était presque insignifiant. l'amour que j'ai pour moon kyu est bien différent, bien plus fort et certainement moins fragile et friable.. certainement plus sûr également. il n'y a rien d'égal à ces sentiments, absolument rien. je pourrais lui offrir monts et merveilles si je le pourrais, cela ne me gênerait en rien, bien au contraire, je serais surement heureux pour lui, au fond, la solution à son mal être était-elle là ?..
souriant à ses mots, je me doutais de sa réaction, cela dit, son sérieux soudain me brise. quelque chose d’inhabituel venant de sa personne. je fronce alors légèrement les sourcils, mais reste tout de même attentif à ce qu'il avait à me dire. je l'écoute, calmement avant de glisser l'un de mes bras autour de ses hanches, venant caresser le bas de son dos délicatement tout en cherchant son regard, le trouvant alors fuyant. ses mots avaient l'effet d'une bombe et au fond de moi, ça me faisait peur, tout comme ça me faisait du mal, mais je n'en dis rien, de toute façon, il ne me laisserai rien dire tant qu'il n'aurait pas finit. je l'écoute donc, lui laissant le temps de se vider, se soulager avant de soupirer doucement. mes bras passent autour de lui et je finis par le serrer contre moi tout en déposant un baiser sur le dessus de sa tête.
je garde le silence durant un bon petit moment, tout en gardant le plus jeune dans mes bras, avant de finalement prendre la parole, dans un ton calme. « Ecoute-moi bien, y a pas de raison que ce soit un autre que toi, puis je pourrais te retourner la question, tu trouves pas ? » je ris doucement, cherchant par n'importe quel moyen de le rassurer. « C'est quand même un comble d'aimer le diable en personne..» je l'éloigne finalement de ma personne, lui souriant finement tout en saisissant son fin visage entre mes mains. je dépose un doux baiser sur ses lèvres avant de caresser ses joues. « T'es malade, c'est vrai et j'ai pris conscience de ça déjà. Si j'avais vraiment peur de tout ça, j'aurais pas fais ce que j'ai fais ce soir. » au fond, c'était une évidence. si sa maladie m'aurait fait fuir, pourquoi aurais-je fais tout ça ? pourquoi aurais-je pris la peine de me mette en couple avec lui en connaissant les risques ? tout ça n'était que petit face à l'amour que j'avais pour lui, c'était une certitude. « Je vais te dire, ta maladie, elle pourra pas te crever, parce que si tu crèves, tu finiras surement en enfer, hors j'ai pas tellement envie de signer ton entrée là bas, donc t'es presque immortel, désolé de te décevoir ! » une touche d'ironie ne faisait certainement pas de mal, mais au fond, c'était vrai. nos âmes étaient surement aussi pourries l'une que l'autre et il est clair que nous faisions partis de ce tas de mauvaises herbes, donc la mort était loin devant nous et ça, quoi que fasse nos maladies respectives.
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