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Bolin ♥ Laisse toi aller
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 1:53 Citer EditerSupprimer
Je restais devant mon pc, sans savoir si j’arrivais à aimer ce que je faisais ou non. Les conseils que je lui avais donnés, j’aimerais pouvoir les appliquer, mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Je ne sais même pas si ça avait un peu de sens pour elle ce que je lui avais balancé, mais c‘était ce qui me semblait primordiale pour l’art. que ce soit en jeu d’acteur ou en peinture. L’important c’était de le crier avec ses tripes. Que ça ait un sens. Assez pour qu’on puisse le traduire avec des mots, des formes, des couleurs, des intensités. En mon sens c’était tout aussi important que le matériel qu’on utilisait. Et je me demandais encore comment mon frère faisait pour ne pas comprendre ça. Quand j’étais à la rue, je ne cessais de prendre en photo la ville, les gens, leurs affabilités, cette façon qu’ils avaient de m’ignorer, j’étais invisible. Je n’existais plus. Je n’avais jamais existé pour eux de toute façon. Je sursaute en sentant les doigts de Lin se refermer sur mes joues pour me tourner vers elle. Je fixe son regard si surprise, que je ne réagis pas tout de suite. Ce n’est que lorsqu’elle se détourne en fouettant mon visage que je fronce les sourcils. « Il t’arrive quoi ? » grognais-je dans ma barbe. Je secoue la tête en me disant que de toute façon les femmes sont un mystère que je ne comprendrais jamais. Bossant sur mes photos je finis par avoir faim. Plusieurs longues minutes avait passé. Peut-être une heure que Lin s’essoufflait sur son canevas. Une fois dans la cuisine je me servis des céréales, ceux qu’elle achetait pour moi maintenant. Je revins avec un bol plein et me dirigea droit vers elle « Tu dessines quoi fait voir ? » Tout en mangeant je la rejoignais au milieu de la salle en évitant les tâches de peintures au sol.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 2:20 Citer EditerSupprimer
Je me préoccupais plus de lui. J’étais comme dans ma bulle. Le flot de peinture coulait sur la toile comme si c’était un prolongement de mon corps. Je la maniais avec autant d’habilité, qu’elle s’étalait là où je voulais qu’elle soit, donnant forme doucement, mais surement à l’expression que je voulais que reflète la toile. Je n’avais qu’un défaut quand je peignais : j’en mettais partout. Aussi bien sur mes vêtements, que sur le sol ou sur ma peau. Sans doute que mon visage avait subi un nouveau maquillage d’acrylique. Mais je m’en fichais bien. J’entendis à peine Bom Chan se lever pour se prendre à manger et se diriger vers moi. Je lui prêtais attention seulement quand il s’approchait seulement de ma bulle, s’apprêtant à la franchir. Je réagis vite, pointant un de mes pinceaux vers lui. « Approches pas ! » ordonnais-je simplement sur un ton qui ne permettait pas de discuter. J’aimais être seule quand je peignais et j’avais la sainte horreur quand quelqu’un posait les yeux sur mon tableau à peine terminée. « J’ai bientôt fini. Tu attends encore un peu. » J’avais l’impression de parler à un gamin. J’attrapais le pinceau que j’avais calé dans mes cheveux pour former un chignon, le remplaçant par celui que j’étais entrain d’utiliser. Sans doute que mes cheveux aussi aller subir une nouvelle couleur, mais tant pis. Je trempais mon instrument dans la couleur blanche. Il ne me restait plus que les reflets à mettre. Cela dura encore quelques longues minutes avant que je ne recule, m’humectant le bout de mes lèvres, fière du résultat. Je finis pas sourire. « C’est pas si mal. » Je déposais mon matériel sur le tabouret, faisant de la place pour que le jeune homme puisse voir ma toile. « Tiens, regarde ! » Je me laissais tomber sur le fauteuil en face, m’étirant de tout mon long. Ca faisait un bien fou de se retrouver, de pouvoir exprimer ce que je ressentais au fond de moi d’une manière ou d’une autre. Comme autrefois.
Je me préoccupais plus de lui. J’étais comme dans ma bulle. Le flot de peinture coulait sur la toile comme si c’était un prolongement de mon corps. Je la maniais avec autant d’habilité, qu’elle s’étalait là où je voulais qu’elle soit, donnant forme doucement, mais surement à l’expression que je voulais que reflète la toile. Je n’avais qu’un défaut quand je peignais : j’en mettais partout. Aussi bien sur mes vêtements, que sur le sol ou sur ma peau. Sans doute que mon visage avait subi un nouveau maquillage d’acrylique. Mais je m’en fichais bien. J’entendis à peine Bom Chan se lever pour se prendre à manger et se diriger vers moi. Je lui prêtais attention seulement quand il s’approchait seulement de ma bulle, s’apprêtant à la franchir. Je réagis vite, pointant un de mes pinceaux vers lui. « Approches pas ! » ordonnais-je simplement sur un ton qui ne permettait pas de discuter. J’aimais être seule quand je peignais et j’avais la sainte horreur quand quelqu’un posait les yeux sur mon tableau à peine terminée. « J’ai bientôt fini. Tu attends encore un peu. » J’avais l’impression de parler à un gamin. J’attrapais le pinceau que j’avais calé dans mes cheveux pour former un chignon, le remplaçant par celui que j’étais entrain d’utiliser. Sans doute que mes cheveux aussi aller subir une nouvelle couleur, mais tant pis. Je trempais mon instrument dans la couleur blanche. Il ne me restait plus que les reflets à mettre. Cela dura encore quelques longues minutes avant que je ne recule, m’humectant le bout de mes lèvres, fière du résultat. Je finis pas sourire. « C’est pas si mal. » Je déposais mon matériel sur le tabouret, faisant de la place pour que le jeune homme puisse voir ma toile. « Tiens, regarde ! » Je me laissais tomber sur le fauteuil en face, m’étirant de tout mon long. Ca faisait un bien fou de se retrouver, de pouvoir exprimer ce que je ressentais au fond de moi d’une manière ou d’une autre. Comme autrefois.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 2:35 Citer EditerSupprimer
Je comptais les minutes qui s’écoulaient en la fixant. Elle était tellement dans son monde qu’elle me voyait à peine. J’avais presque finis dans le même état qu’elle quand elle brandit son pinceau vers moi en guise de menace. Ok, ok, je n’approchais pas. Je ne comprendrais jamais cette manie qu’on les artiste de ne jamais vouloir nous montrer la progression de leur travail. La regardant jongler avec ses pinceaux et tacher de peinture tout ce qui l’entourait je m’éclipsais un instant pour aller chercher mon appareil photo argentique. Il faisait du bruit mais qu’importe, même quand je lui parlais elle ne répondait pas. Alors … Je pointais l’objectif sur elle et prit quelques clichés. Je savais déjà qu’elle serait belle. Vraiment belle. Je n’aurais qu’à me servir du labo de l’école pour développer mes photos. J’étais aussi curieux du résultat de sa peinture que de mes photos. Je posais l’appareil sur le comptoir avant de me rassoir pour finir mon bol de céréale. J’avais lancé un peu de musique de fond pour ne pas rester plongé dans le silence et je bougeais la tête en rythme avant qu’elle ne daigne me prévenir que c’était fini. « Ah bah enfin. » lançais-je pour la faire chier, mais son sourire et son aura était si resplendissante que je savais que rien ne pourrait gâcher son plaisir. Peut-être si, le retour de Jae, précipité. Contournant le chevalet je me plantais devant sa toile et y vit un œil. Un œil fixe qui me regardait. Avec une telle émotion et une telle intensité que j’avais la désagréable impression de connaitre ce regard. « C’est quoi ça ? » lâchais-je en grimaçant avant de me reculer pour m’assoir sur le canapé avec elle sans lâcher son tableau des yeux. C’est bizarre quand même. Je penchais la tête sur le côté et lui lança « J’ai comme … une boule dans le ventre quand je fixe ce tableau. » Je renifle, pas certain de ce que je peux y lire. « C’est moi ? » finissais-je par lâcher en écarquillant les yeux et me tournant vers elle. Elle pouvait lire la surprise dans mon regard. Elle pouvait lire à quel point j’étais troublé aussi. Et si j’avais trouvé des idées de phrases pour la taquiner, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ça. C’était beaucoup plus perçant, vif et troublant que je ne pouvais le supporter. « T’es douée putain. » lachais je comme simple compliment qui venait pourtant du cœur.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 3:04 Citer EditerSupprimer
Rien ne pouvait me perturber, ni gâcher ce moment qu’était celui de finir un tableau. J’avais ce sentiment d’achèvement qui me remplissait d’un certain magnétisme. Je ris doucement face à sa réaction. C’était encore mieux que je ne le pense. Un même tableau pouvait être interprété de différente manière selon la personne qui le contemplait. Il pouvait faire sortir diverses émotions également selon ce qu’on y voyait. Et je ressentis une certaine fierté quand il m’annonçait avoir une certaine boule au ventre. C’était que j’avais bien fais mon travail. Je soutins son regard alors qu’il me fixait avec cette lueur de fragilité dans les pupilles. Il avait l’air surpris comme si il pensait qu’une telle chose était impossible. Je haïssais les épaules prenant un air innocent. « Je ne vois pas de quoi tu parles… » Evidemment que c’était son regard. Il m’avait tant marqué que c’était lui que j’avais envie d’exprimée. Pour la première fois, je me dis que lui aussi il pouvait ressentir malgré son cœur de pierre. Et j’étais fière d’avoir été l’architecte d’un tel édifice. Je lui souris sincèrement pour la première fois face à son compliment que je pris comme telle. « Merci. » soufflais-je en me penchant en avant pour piocher une nouvelle cigarette dans son paquet et de l’allumer, tirant une taffe. « Tu aimes ? » Je soufflais la fumée blanche en travers de mes lèvres entrouvertes. « Ton regard exprime bien plus que tu ne veux bien le laisser croire. Je n’ai jamais vu des yeux reflétant autant d’émotions. » Expliquais-je simplement, contemplant à nouveau ma toile. J’avais eu l’audace de reprendre la peinture, et cela, grâce à lui. Je me sentais comme neuve. Je laissais aller ma tête sur le haut du dossier, recrachant la fumée vers le plafond, nous entourant d’une fine brume blanche, brouillant ma vision.
Rien ne pouvait me perturber, ni gâcher ce moment qu’était celui de finir un tableau. J’avais ce sentiment d’achèvement qui me remplissait d’un certain magnétisme. Je ris doucement face à sa réaction. C’était encore mieux que je ne le pense. Un même tableau pouvait être interprété de différente manière selon la personne qui le contemplait. Il pouvait faire sortir diverses émotions également selon ce qu’on y voyait. Et je ressentis une certaine fierté quand il m’annonçait avoir une certaine boule au ventre. C’était que j’avais bien fais mon travail. Je soutins son regard alors qu’il me fixait avec cette lueur de fragilité dans les pupilles. Il avait l’air surpris comme si il pensait qu’une telle chose était impossible. Je haïssais les épaules prenant un air innocent. « Je ne vois pas de quoi tu parles… » Evidemment que c’était son regard. Il m’avait tant marqué que c’était lui que j’avais envie d’exprimée. Pour la première fois, je me dis que lui aussi il pouvait ressentir malgré son cœur de pierre. Et j’étais fière d’avoir été l’architecte d’un tel édifice. Je lui souris sincèrement pour la première fois face à son compliment que je pris comme telle. « Merci. » soufflais-je en me penchant en avant pour piocher une nouvelle cigarette dans son paquet et de l’allumer, tirant une taffe. « Tu aimes ? » Je soufflais la fumée blanche en travers de mes lèvres entrouvertes. « Ton regard exprime bien plus que tu ne veux bien le laisser croire. Je n’ai jamais vu des yeux reflétant autant d’émotions. » Expliquais-je simplement, contemplant à nouveau ma toile. J’avais eu l’audace de reprendre la peinture, et cela, grâce à lui. Je me sentais comme neuve. Je laissais aller ma tête sur le haut du dossier, recrachant la fumée vers le plafond, nous entourant d’une fine brume blanche, brouillant ma vision.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 3:18 Citer EditerSupprimer
Si j’aime ? Je n’étais pas sûr de pouvoir répondre à cette question. Ce tableau me troublait. Il était là … il était ouais il était là et je n’arrivais pas à m’en détacher. J’étais attiré par ce tableau, je crois qu’en soi je pouvais dire que j’étais fasciné par lui. C’était un sentiment bien étrange, une sorte de bulle dans laquelle on s’enfermait. Une sorte de … magnétisme. Et c’était créé de toute pièce. C’était fictif. J’étais le modèle. Et ce dessin n’était que de la peinture. Pourtant quand je le regardais c’était … putain je n’avais pas les mots. Posant mon bol sur la table basse, j’attrape une cigarette à mon tour et l’alluma rapidement avant de m’adosser à mon tour dans le canapé. Mon épaule touchant la sienne, je fixais son tableau pou en décrypter les émotions. Je tournais mon visage quand elle expliqua ce qu’elle voyait dans mon regard. C’était … déroutant. Fronçant les sourcils je fixais son profil qui s’échinait à fixer droit devant. Vraiment ? Je finis par lâcher un rire en secouant la tête. « Arrête putain, j’ai failli te croire. » je fermais soudain les yeux. Comme si j’avais peur qu’elle puisse lire en moi. « Tu l’as dit toi-même je suis un mec détestable qui vaut encore moins que mon frère. Quelles foutues émotions tu voudrais pouvoir lire dans mon regard hm ? » Je souriais doucement pour cacher mon trouble et gardait les yeux toujours fermé. Mentalement je fixais le plafond. Et je tirais une latte sur le bout rougie de ma cigarette. Je m’encrassais les poumons avec appétit. « Y a plus d’émotion dans mon regard. » murmurais-je tout bas. Je passais une main sur ma nuque et en redressant ma tête. Je n’ouvrais les yeux qu’à l’instant où je tournais mon visage vers elle. Les yeux brillants et plus intense que je ne le pensais. Je détachais ce pinceaux de ses cheveux et essuya en vain la peinture séché sur sa joue. « Je préfère comme ça » murmurais-je en détachant doucement ma main de sa joue. Je mordillais ma lèvre inférieure en sachant pertinemment ce que je faisais. Quelques secondes de plus et je détournais le regard, soudain l’air gêné. Je me contentais de fumer et de passer une main sur mon torse. « Oui … j’aime. » finissais-je par conclure.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 3:46 Citer EditerSupprimer
Je tournais la tête vers lui alors qu’il ricanait, ne me croyant pas. Je tournais la tête comme pour essayer de décrypter à quoi il pensait. Je le regardais fermer les yeux alors qu’il cherchait clairement à me fuir. Je l’écoutais sans broncher, détectant pour la première fois un doute dans sa voix qui tremblait un peu, peu sure d’elle. Il essayait encore de se cacher derrière une façade, mais il ne pouvait pas nier ce que j’avais déjà lu dans ses yeux. Il était peut être un mec détestable, mais il n’en restait pas moins un être humain qui se trouvait doter de la capacité de ressentir, qu’il le veuille ou non. Ce n’était pas encore un robot. Loin de là. Je fronçais les sourcils en l’entendant me soutenir qu’il n’y avait plus aucune émotion dans son regard. Il avait beau pouvoir contrôle les mimiques de son visage, son comportement, ses mots… il ne pouvait pas prendre possession de ses yeux ni décider de ce qu’on pouvait y voir ou non. Je frémis en les voyant d’ailleurs apparaitre à nouveau, me fixant, se dévoilant derrière ses paupières. Qu’il ne vienne pas me dire qu’il n’a pas conscience de l’intensité qu’il pouvait dégager ? Alors qu’il prenait l’initiative de me dépouiller de mon pinceau, lâchant mes cheveux, je pris un élan, poussant sur mes jambes pour avoir assez de poussée pour grimper sur lui. Je dus le surprendre en me mettant subitement à califourchon sur ses genoux. J’attrapais ses jours entre mes deux mains, le forçant à lever le regard vers moi, ma cigarette entre mes lèvres. Je ne cessais de le détailler avant d’avancer vers lui, plissant les yeux. Je pris la cigarette entre mes doigts et avancais ma bouche de la sienne, m’arrêtant à quelques millimètres pour sentir son souffle contre le mien. Je restais quelques instants ains avant de reculer. « Là. » dis-je simplement avant de continuer. « cette lueur qui vient de passer. Intense. Lugubre. Provoquante. Joueuse…. » Je fronçais les sourcils, tournant la tête sur le côté, pas sure du terme du dernier mot employé. « Malsaine ?... » Je haussais les épaules comme si ca n’avait pas d’importance. C’était une émotion comme une autre. Peu importe la nature de celle-ci. « Ne vient pas dire que plus aucune émotion ne passe dans ce regard Bom Chan. Tu peux le désir, l’envie et le sexe. A toi seul, tu représentes la luxure. "
Je tournais la tête vers lui alors qu’il ricanait, ne me croyant pas. Je tournais la tête comme pour essayer de décrypter à quoi il pensait. Je le regardais fermer les yeux alors qu’il cherchait clairement à me fuir. Je l’écoutais sans broncher, détectant pour la première fois un doute dans sa voix qui tremblait un peu, peu sure d’elle. Il essayait encore de se cacher derrière une façade, mais il ne pouvait pas nier ce que j’avais déjà lu dans ses yeux. Il était peut être un mec détestable, mais il n’en restait pas moins un être humain qui se trouvait doter de la capacité de ressentir, qu’il le veuille ou non. Ce n’était pas encore un robot. Loin de là. Je fronçais les sourcils en l’entendant me soutenir qu’il n’y avait plus aucune émotion dans son regard. Il avait beau pouvoir contrôle les mimiques de son visage, son comportement, ses mots… il ne pouvait pas prendre possession de ses yeux ni décider de ce qu’on pouvait y voir ou non. Je frémis en les voyant d’ailleurs apparaitre à nouveau, me fixant, se dévoilant derrière ses paupières. Qu’il ne vienne pas me dire qu’il n’a pas conscience de l’intensité qu’il pouvait dégager ? Alors qu’il prenait l’initiative de me dépouiller de mon pinceau, lâchant mes cheveux, je pris un élan, poussant sur mes jambes pour avoir assez de poussée pour grimper sur lui. Je dus le surprendre en me mettant subitement à califourchon sur ses genoux. J’attrapais ses jours entre mes deux mains, le forçant à lever le regard vers moi, ma cigarette entre mes lèvres. Je ne cessais de le détailler avant d’avancer vers lui, plissant les yeux. Je pris la cigarette entre mes doigts et avancais ma bouche de la sienne, m’arrêtant à quelques millimètres pour sentir son souffle contre le mien. Je restais quelques instants ains avant de reculer. « Là. » dis-je simplement avant de continuer. « cette lueur qui vient de passer. Intense. Lugubre. Provoquante. Joueuse…. » Je fronçais les sourcils, tournant la tête sur le côté, pas sure du terme du dernier mot employé. « Malsaine ?... » Je haussais les épaules comme si ca n’avait pas d’importance. C’était une émotion comme une autre. Peu importe la nature de celle-ci. « Ne vient pas dire que plus aucune émotion ne passe dans ce regard Bom Chan. Tu peux le désir, l’envie et le sexe. A toi seul, tu représentes la luxure. "
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 4:02 Citer EditerSupprimer
J’étais surpris de la voir me grimper sur les genoux. Sans pudeur, sans gêne. Elle me surplombait, de son regard de braise, en amande que j’aimais croiser. Mes mains vinrent se loger sur ses hanches comme une habitude que j’avais pris. Elle se penchait vers moi pour m’embrasser, impatient, pantin sans fil entre ses doigts. J’attendais, je fixais, que ses lèvres daignent me toucher. Mais elles n’en font rien, et Lin se redresse, me regardant avec cette lueur si sûre d’elle. Elle me prouve que j’ai tort, elle joue avec mes envies et mes désirs. Et mon regard, elle le rallume, avec une étincelle de vie que j’ai longtemps oublié. Pris au piège je laisse un rire m’échapper et j’acquiesce. « Tu m’as eu. La luxure que je suis a envie que tu l’embrasses. » J’avoue sans gêne mon addiction à ses lèvres et je lui souffle ma fumée dans le visage. Nous n’étions que deux être perdu dans un nuage de fumée. Mon pouce vient caresser sa joue et je la regarde, si féline, si sûre d’elle, me surplomber. Je la frole de mes mains et elle me parait si loin, et pourtant si près. « Mais t’appartient à Jae. J’ai retenu tu vois. » la provoquais-je en mordillant ma lèvre. « Et ma copine n’apprécierait pas. » Depuis le bal je n’ai pas tellement démenti, ni même approuvé l’existence de cette femme. Mais je m’en amuse toujours autant. Glissant mes mains sur ses fesses que je sais sensible à mon toucher je les caresses doucement, sans aucune pensé pour mon frère, si ce n’est celle d’être fier. Lorgnant sur ses lèvres je finis par lui demander subitement. « Pose pour moi. Soit mon modèle photo. Tu es une femme sublime, même le plus crétin des mecs ne peut le nier. J’ai envie de figer ta beauté sur du papier glacé. » Une phrase que je termine en simple murmure, m’étant redressé pour venir chercher ses lèvres que je frôle avec plaisir. « Je sais déjà ce que je veux. » ajoutais-je en baissant mon regard sur ses taches de peinture.
J’étais surpris de la voir me grimper sur les genoux. Sans pudeur, sans gêne. Elle me surplombait, de son regard de braise, en amande que j’aimais croiser. Mes mains vinrent se loger sur ses hanches comme une habitude que j’avais pris. Elle se penchait vers moi pour m’embrasser, impatient, pantin sans fil entre ses doigts. J’attendais, je fixais, que ses lèvres daignent me toucher. Mais elles n’en font rien, et Lin se redresse, me regardant avec cette lueur si sûre d’elle. Elle me prouve que j’ai tort, elle joue avec mes envies et mes désirs. Et mon regard, elle le rallume, avec une étincelle de vie que j’ai longtemps oublié. Pris au piège je laisse un rire m’échapper et j’acquiesce. « Tu m’as eu. La luxure que je suis a envie que tu l’embrasses. » J’avoue sans gêne mon addiction à ses lèvres et je lui souffle ma fumée dans le visage. Nous n’étions que deux être perdu dans un nuage de fumée. Mon pouce vient caresser sa joue et je la regarde, si féline, si sûre d’elle, me surplomber. Je la frole de mes mains et elle me parait si loin, et pourtant si près. « Mais t’appartient à Jae. J’ai retenu tu vois. » la provoquais-je en mordillant ma lèvre. « Et ma copine n’apprécierait pas. » Depuis le bal je n’ai pas tellement démenti, ni même approuvé l’existence de cette femme. Mais je m’en amuse toujours autant. Glissant mes mains sur ses fesses que je sais sensible à mon toucher je les caresses doucement, sans aucune pensé pour mon frère, si ce n’est celle d’être fier. Lorgnant sur ses lèvres je finis par lui demander subitement. « Pose pour moi. Soit mon modèle photo. Tu es une femme sublime, même le plus crétin des mecs ne peut le nier. J’ai envie de figer ta beauté sur du papier glacé. » Une phrase que je termine en simple murmure, m’étant redressé pour venir chercher ses lèvres que je frôle avec plaisir. « Je sais déjà ce que je veux. » ajoutais-je en baissant mon regard sur ses taches de peinture.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 4:16 Citer EditerSupprimer
Je l’avais pris au piège et j’étais quelque peu fière de moi. C’était une première et comme une petite victoire. Je rougis pourtant, détournant le regard alors qu’il m’avoue qu’il a envie que je l’embrasse. L’y avait-il pris gout ? autant que moi je me faisais violence pour ne pas le regarder avec trop d’intensité quand Jae était là et que je le surprenais torse nu ? D’ailleurs, je remarquais seulement à l’instant qu’il ne portait plus de t-shirt. Quand l’avait-il enlevé ? Je baissais les yeux, posant mes mains sur mon torse que je caressais du pouce, lorgnant dessus. Je fermais les yeux quand je reçus sa fumée blanche dans le visage, en aspirant les particules à grande bouffée. Alors que j’allais craquer, il me rappelle que j’appartiens à Jae. Que je lui avais bien fais comprendre la leçon. Qu’il avait une copine. Que ce que nous faisions n’était pas bien. Il me le rappelait comme une erreur de ma part. Puis, il m’attrapait les fesses, m’arrachant un couinement, m’entrouvrant les lèvres, faisant une brèche dans mes bonnes résolutions, les réduisant à néant à force de les malaxer. Je me penche un peu plus vers lui, reprenant ses mots : « Ils n’avaient qu’à pas nous laisser seuls. C’est de leur faute. » Autant rejeté la faute sur les autres, au point où on en était. Puis, je le regardais surprise, quoi qu'un peu génée par son compliment caché. « Ton modèle ? » Je le laissais m’embrasser alors que j’étais encore sous le choc de sa demande. Je lui répondis bien malgré moi avant de murmurer doucement. « Et qu’est ce que tu veux ?... » Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus été modele. Cela remontait à si loin. Rien que l’idée me faisait douter…
Je l’avais pris au piège et j’étais quelque peu fière de moi. C’était une première et comme une petite victoire. Je rougis pourtant, détournant le regard alors qu’il m’avoue qu’il a envie que je l’embrasse. L’y avait-il pris gout ? autant que moi je me faisais violence pour ne pas le regarder avec trop d’intensité quand Jae était là et que je le surprenais torse nu ? D’ailleurs, je remarquais seulement à l’instant qu’il ne portait plus de t-shirt. Quand l’avait-il enlevé ? Je baissais les yeux, posant mes mains sur mon torse que je caressais du pouce, lorgnant dessus. Je fermais les yeux quand je reçus sa fumée blanche dans le visage, en aspirant les particules à grande bouffée. Alors que j’allais craquer, il me rappelle que j’appartiens à Jae. Que je lui avais bien fais comprendre la leçon. Qu’il avait une copine. Que ce que nous faisions n’était pas bien. Il me le rappelait comme une erreur de ma part. Puis, il m’attrapait les fesses, m’arrachant un couinement, m’entrouvrant les lèvres, faisant une brèche dans mes bonnes résolutions, les réduisant à néant à force de les malaxer. Je me penche un peu plus vers lui, reprenant ses mots : « Ils n’avaient qu’à pas nous laisser seuls. C’est de leur faute. » Autant rejeté la faute sur les autres, au point où on en était. Puis, je le regardais surprise, quoi qu'un peu génée par son compliment caché. « Ton modèle ? » Je le laissais m’embrasser alors que j’étais encore sous le choc de sa demande. Je lui répondis bien malgré moi avant de murmurer doucement. « Et qu’est ce que tu veux ?... » Cela faisait bien longtemps que je n’avais plus été modele. Cela remontait à si loin. Rien que l’idée me faisait douter…
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 4:31 Citer EditerSupprimer
Elle craque pour moi. Ce n’est plus seulement un jeu de domination et je le comprends a l’instant. Elle me veut. Juste un baiser. Au détour d’un couloir. Quand je sors de la douche. Elle est là, elle me fixe. Elle me veut. C’est indéniable. A-t-elle pris goût au sexe avec moi ? Autant que j’aurais pris gout à coucher avec elle ? Autant joindre l’utile à l’agréable. Caressant ses fesses sans m’arrêter je souris à sa remarque. « Il n’est pas pour 5 jours encore et elle … je la voie pas ici. » je fis mine de regarder autour de nous et remonta mes mains dans le creux de son dos « on est tranquille alors. » péché et aimer ça. Est-ce que ça faisait de nous des monstres ? Glissant un peu plus haut mes mains je fis sauter son soutient gorge d’une main habile avant de lui murmurer « Je veux te prendre en photo quand tu peins. Tes cheveux négligemment coincé sous un pinceau. Quelques mèches blanchies de peinture. Et corps, sous un drap taché de peinture, sous lequel tu te cacherais. Deviens la toile. Devient l’œuvre. » Je fis glisser les bretelles de son sous vêtement pour lui retirer et la laisser en débardeur. « La lumière du jour qui s'atténue. Un temps maussade et toi tu es là … si chaude, si brûlante, si … pleine de vie que s’en est indécent. Et ta beauté, et ton charisme, qui rendrait fou n’importe qui, soulignerait d’un trait noir tes yeux perçant. » Je murmure comme si je récitais un poème, ou quelques vers tiré d’ici et là. Maisc’était ça mon plaisir. Manier les mots et lui écrire un poème. « Et ces photos, figé sur du papier glacé, donneront l’illusion que ton parfum flotte autour de nous, et que d’un simple touché, nos doigts se perdraient dans tes cheveux. » j’affiche un sourire comblé en pressant son corps contre le mien « et je n’ai besoin de rien, si ce n’est de ta passion. » habilement je fais apparaitre un pinceau entre nous, le point final de ces murmures que j’ai bercé sur ses lèvres.
Elle craque pour moi. Ce n’est plus seulement un jeu de domination et je le comprends a l’instant. Elle me veut. Juste un baiser. Au détour d’un couloir. Quand je sors de la douche. Elle est là, elle me fixe. Elle me veut. C’est indéniable. A-t-elle pris goût au sexe avec moi ? Autant que j’aurais pris gout à coucher avec elle ? Autant joindre l’utile à l’agréable. Caressant ses fesses sans m’arrêter je souris à sa remarque. « Il n’est pas pour 5 jours encore et elle … je la voie pas ici. » je fis mine de regarder autour de nous et remonta mes mains dans le creux de son dos « on est tranquille alors. » péché et aimer ça. Est-ce que ça faisait de nous des monstres ? Glissant un peu plus haut mes mains je fis sauter son soutient gorge d’une main habile avant de lui murmurer « Je veux te prendre en photo quand tu peins. Tes cheveux négligemment coincé sous un pinceau. Quelques mèches blanchies de peinture. Et corps, sous un drap taché de peinture, sous lequel tu te cacherais. Deviens la toile. Devient l’œuvre. » Je fis glisser les bretelles de son sous vêtement pour lui retirer et la laisser en débardeur. « La lumière du jour qui s'atténue. Un temps maussade et toi tu es là … si chaude, si brûlante, si … pleine de vie que s’en est indécent. Et ta beauté, et ton charisme, qui rendrait fou n’importe qui, soulignerait d’un trait noir tes yeux perçant. » Je murmure comme si je récitais un poème, ou quelques vers tiré d’ici et là. Maisc’était ça mon plaisir. Manier les mots et lui écrire un poème. « Et ces photos, figé sur du papier glacé, donneront l’illusion que ton parfum flotte autour de nous, et que d’un simple touché, nos doigts se perdraient dans tes cheveux. » j’affiche un sourire comblé en pressant son corps contre le mien « et je n’ai besoin de rien, si ce n’est de ta passion. » habilement je fais apparaitre un pinceau entre nous, le point final de ces murmures que j’ai bercé sur ses lèvres.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 4:49 Citer EditerSupprimer
Il connaissait mon corps mieux que Jae, alors qu’il devait m’avoir touché que peu de fois par rapport à lui. Il avait déjà remarqué que mon point sensible était mes fesses, et en jouait. Il aimait ça. Il aimait cela m’entendre gémir sous ses caresses. C’était indéniable. Je souris bêtement alors qu’il me fait remarquer que Jae n’était pas de retour avant 5 jours. C’était bien la première fois que j’étais heureuse qu’il ne soit pas dans les parages. Je sus ce qu’il comptait faire à la seconde où il passait ses mains sous mon top, dégrafant mon soutien-gorge. Je le laissais faire alors que n’aurait pas du. Pourtant, je n’avais aucune envie de l’arrêter. On était deux être perdu qui ne cherchaient qu’un peu de réconfort dans les bras de l’un et l’autre. Je l’écoutais le déballer ce qu’il attendait de moi exactement. C’est vrai qu’il était photographe. Je le fixais, alors qu’il me déblatérait ses mots tel un poème. « C’est beau ce que tu dis. Je ne te savais pas poète. » Je crois que j’avais la mauvaise manie de craquer pour les photographes un peu sombre. Peut-être avais-je l’impression de renouer avec mon ancien rêve que je pensais perdu ? Et pourtant, une lueur s’enluminait dans mon regard alors qu’il me promettait monde et merveille de mon point de vue. Il ne se rendait pas compte de l’importance que ca avait pour moi ce qu’il disait. Ca faisait longtemps qu’un photographe n’avait pas porte un peu d’intérêt pour moi. « Tu aurais dû me prendre quand je peignais tout à l’heure, tu m’aurais eu au naturel. » lui fige-je remarquer simplement avant de continuer. « J’étais mannequin autrefois… » C’était qu’il pourrait facilement me refaire passer du mauvais côté de la barrière avec ses jolies promesses. C’était que je pourrais me laisser séduire à nouveaux avec les mêmes appats que la première fois. et regardez où ca m’avait mené… Et pourtant, je me saisis du pinceau qu’il me tendait, sentant ma poitrine pointer à travers mon t-shirt blanc. « Dois-je me remettre à peindre alors ? »
Il connaissait mon corps mieux que Jae, alors qu’il devait m’avoir touché que peu de fois par rapport à lui. Il avait déjà remarqué que mon point sensible était mes fesses, et en jouait. Il aimait ça. Il aimait cela m’entendre gémir sous ses caresses. C’était indéniable. Je souris bêtement alors qu’il me fait remarquer que Jae n’était pas de retour avant 5 jours. C’était bien la première fois que j’étais heureuse qu’il ne soit pas dans les parages. Je sus ce qu’il comptait faire à la seconde où il passait ses mains sous mon top, dégrafant mon soutien-gorge. Je le laissais faire alors que n’aurait pas du. Pourtant, je n’avais aucune envie de l’arrêter. On était deux être perdu qui ne cherchaient qu’un peu de réconfort dans les bras de l’un et l’autre. Je l’écoutais le déballer ce qu’il attendait de moi exactement. C’est vrai qu’il était photographe. Je le fixais, alors qu’il me déblatérait ses mots tel un poème. « C’est beau ce que tu dis. Je ne te savais pas poète. » Je crois que j’avais la mauvaise manie de craquer pour les photographes un peu sombre. Peut-être avais-je l’impression de renouer avec mon ancien rêve que je pensais perdu ? Et pourtant, une lueur s’enluminait dans mon regard alors qu’il me promettait monde et merveille de mon point de vue. Il ne se rendait pas compte de l’importance que ca avait pour moi ce qu’il disait. Ca faisait longtemps qu’un photographe n’avait pas porte un peu d’intérêt pour moi. « Tu aurais dû me prendre quand je peignais tout à l’heure, tu m’aurais eu au naturel. » lui fige-je remarquer simplement avant de continuer. « J’étais mannequin autrefois… » C’était qu’il pourrait facilement me refaire passer du mauvais côté de la barrière avec ses jolies promesses. C’était que je pourrais me laisser séduire à nouveaux avec les mêmes appats que la première fois. et regardez où ca m’avait mené… Et pourtant, je me saisis du pinceau qu’il me tendait, sentant ma poitrine pointer à travers mon t-shirt blanc. « Dois-je me remettre à peindre alors ? »
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