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Bolin ♥ Laisse toi aller

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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Mer 20 Juil - 19:54
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J’aimerais pouvoir prétendre garder le contrôle, mais ça serait mentir. Lin Yao n’a pas la moindre idée du temps que j’ai passé à la désirer. J’en ai baisé des filles pour ne plus penser à elle. J’en ai sauté des putes qu’on qualifie de bonnes pour trouver un peu de passion dans nos échanges. Mais la vérité c’est que Lin n’avait qu’à papillonner des cils pour que je puisse la foutre dans mon lit avec une érection digne de ce nom. Jamais aucune femme ne m’a fait autant d’effet. Je la regarde se cambrer sous le plaisir et succombe à la façon qu’elle a de prononcer mon prénom. Je suis persuadé, par mon égo de mâle dominant et parce que je suis quelqu’un de peut-être un peu trop arrogant, qu’elle n’a jamais gémis le prénom de mon frère. Et la jolie chinoise se retrouve coincée entre deux frères. Dans une compétition dont elle n’a même pas conscience. J’ai beau vouloir jouer les mecs détacher, je ne cesse pourtant de chercher à prouve que je suis mieux que lui … Bizarrement je ne lui envie pas sa vie faites de contraintes et de soumissions. Mais ça n’effacerait en rien la douleur que j’ai ressentie quand ils m’ont abandonné encore et encore. Je n’ai plus de famille, plus de liens avec eux si ce n’est quelques ADN similaire.  Et parfois j’aimerais qu’il crève, pour rester unique, pour effacer de la surface de la terre cette foutue pâle copie.  Alors à chaque coup de bassin je veux lui faire oublier mon frère. Je veux qu’elle n’ait que moi en tête. Qu’elle n’est que le goût de mes lèvres sur sa bouche rouge et attirante. Je veux qu’elle crève de désir comme je crève d’envie d’elle. Je veux qu’à chaque fois que mon frère la touchera qu’elle ne puisse s’empêcher de penser à moi, de m’imaginer à sa place. Ouais je veux la posséder, la prendre, l’avoir, jusque dans ses plus sombres secrets, envie, passion. J’étais le premier à la vouloir, il y a de ça des années, j’étais le premier à prendre le risque qu’il fallait pour la sauver, pourtant c’est lui qui l’a eu. Encore. Toujours. Lui, lui, lui … C’est toujours lui qu’on choisit quoiqu’on puisse en dire, quoiqu’on puisse décider. Alors je voulais qu’aujourd’hui elle soit esclave de notre passion, de notre secret, comme je crevais d’envie de posséder son corps. Je veux plein de choses pour elle, mais ce que je désire le plus c’est qu’elle soit à moi. Et ça se ressent dans mes coups de bassin qui se font plus profond, plus intense. J’halète dans le creux de son cou et gémit de plaisir en poussant en elle à en faire cogner le lit contre le mur. J’entremêle nos doigts que je plaque au-dessus de sa tête pour mieux la dominer, pour mieux tendre sa poitrine vers moi, pour mieux l’emprisonner sous mon joug passionnel. De ma main libre de caresse sa cuisse et ses hanches en ondulant sur elle de façon sensuel. Je succombe dangereusement au plaisir, le sexe étant surement ma plus grande faiblesse. Ses tâches de peintures sur son corps ne la rendent que plus sexy et dans un élan fougueux je viens attraper ses lèvres pour jouer avec sa bouche et sa langue. C’est décidément trop bon de coucher avec elle. Son parfum m’enivre et son corps me rends « … dingue. Tu me rends dingues. »
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Dim 28 Aoû - 20:14
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Prisonnière de son corps, prisonnière de la passion qui nous consumait, prisonnière de l’attirance qui prenait part de nous, je ne pouvais faire d’autre que subir ce qui m’arrivait et l’accepter pour en profiter et trouver un certain plaisir. J’avais toujours lutté contre Bom Chan et sa luxure qui m’attirait comme une lueur au bout du tunnel. On ne savait dire si c’était bon ou mauvais. Et pour la première fois, je décidais de succomber sans résistance. A quoi bon ? Il faisait ce qu’il voulait de mon corps, il le possédait à l’en faire jouir à sa guise. Une chose que son frère n’était jamais parvenu à faire, se contentant de son propre plaisir. Il savait comment me faire prendre mon pied, et comment me faire gémir son prénom sans appel. Je gémis de plus belle quand il plaquait mes bras par-dessus ma tête, entre lassant nos doigts, donnant un côté romantique à notre entrevue. Un fauve sauvage, indomptable, qui me dominait à sa guise. Voile ce qu’il était, et ca me rendait dingue. Ma joue s’écrasant sur un des coussins portant le parfum du jeune homme, m’enivrant l’esprit, je tentais de reprendre mon souffle malmené par les coups de rein intensifs qu’il m’infligeait. Je reprenais une bouffée d’air lors d’une pause qu’il me permet avant qu’il ne reparte de plus belle, me faisait gémir de plus en plus fort. Nos peaux claquaient l’une contre l’autre, faisaient un bruit rythmé en fond sonore. Ses va et vient profonds me faisait parfois mal, n’étant pas habitué à un tel labourage, mais c’était tellement bon que douleur se mélangeait au plaisir. Je l’aidait d’ailleurs à s’aventurer plus loin encore, me cambrant vers l’arrière pour lui donner un meilleur angle de pénétration, me tordant le cou pour gouter à ses lèvres qu’il me présentait pour y mêler nos langues dans une danse aguicheuse qui ne renforçait qu’un peu plus les papillons dans mon bas ventre. Je ne pus m’empêcher de sourire contre ses lèvres, face à un tel compliment. Il devait se taper un incalculable nombre de femmes à ses pieds, mais j’arrivais tout de même à le rendre dingue. Venant de lui, je le prenais tel un compliment. « Ne sois dingue que de moi, alors » murmurais-je tel un ordre caché dans un moment d’audace. Je ne pouvais pas admettre que j’avais un quelconque sentiment pour cet homme à part de la haine pure et dure, mais je ne pouvais pas nier le fait que lui aussi, il me rendait dingue. nos corps s’appelaient l’un, l’autre, tel un chant de sirène auquel on ne pouvait plus résister. Je l’autorisais à me posséder mon corps, et peut être un peu mon esprit, mais mon cœur était une autre histoire, bien qu’il parvenait parfois à m’attendrir quand il cessait de jouer les connards. « Montres moi ce dont tu es capable. » lâchais-je subitement à bout de souffle, lors d’un moment de répit, telle une provocation. Car au fond, on ne pouvait s’empêcher de se chercher…

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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Dim 25 Sep - 17:07
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Ven 14 Oct - 11:14
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Sam 15 Oct - 22:27
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Il aimait l’entendre crier, il aimait la voir se cambrer et se plier sous ses assauts. Il aimait quand elle s’abandonnait contre lui, mais il devait avouer que ce qu’il aimait le plus c’était de la voir jouer les femmes parfaites, accueillant son fiancé avec un sourire doux les cheveux encore en pétard de s’être fait sauter par Bom Chan. Oh oui, ce qu’il aimait par-dessus tout c’était cette façon qu’elle avait de la haïr mais de se plier au plaisir entre ses bras, en en redemandant encore et encore … Bom Chan n’était pas le genre d’homme à se vexer de n’être cantonné à la case de l’amant, juste bon à donner des orgasmes saisissant. Parce qu’il savait que le sexe prenait une place importante dans une vie et que sans le sexe, sans cette alchimie on pouvait facilement laisser un amour faner. Mais dans cette histoire ce qu’il aimait le plus c’était l’interdit et surtout, pouvoir la posséder. Cette fille, ce fantasme, cette femme qui a longtemps été son obsession. Il l’a désiré si fort, tellement longtemps qu’elle en serait presque effrayé. Il l’a veut depuis tellement d’année que s’en est presque douloureux de lui donner ce plaisir. Parce que c’est rapide, fugace, terriblement long aussi paradoxale que ça puisse être. Parce que c’est trop puissant et trop fougueux pour ce pauvre amant croulant sous le désir. Parce qu’il savait, en croisant son regard mutin tâché par la drogue, qu’elle serait sa muse, de son corps à son esprit, il avait chéri ses éclats de rire et aujourd’hui il chérissait ses gémissements. Ne s’accordant que ce détail à aimer sincèrement. Comme si c’était plus facile d’aimer le plaisir que l’amour. Il bute en elle avec intérêt et précision. Il gémit plus fort et la tire brusquement a genou pour dévorer sa nuque. Il bouge ainsi de longues minutes en caressant son corps qu’il a l‘impression de redécouvrir à chacune de leur adultère. Il se retire soudainement en la faisant descendre du lit pour la pousser contre sa porte. Il l’observe comme un animal prêt à bondir sur sa proie, laissant la pointe de sa langue humidifier ses lèvres sèches. Il est à 2 mètres d’elle et son regard assombri par le désir la regarde de haut en bas. Il tire à lui un pot de peinture qu’il ouvre d’un geste habile et y plonge la main dedans. Il serait bien incertain de vouloir comprendre Bom Chan et son fonctionnement, il n’était qu’un électron libre difficilement définissable. Il attrape le visage de Lin Yao entre ses doigts et serre pour en voir la pulpe s’enfoncer dans ses joues avec une certaine fascination. Il sourit en coin et laisse cette marque de peinture à la forme de sa main sur le visage de sa belle. Puis il lui glisse à son cou, savourant la texture douce et fraiche de la peinture ainsi que du corps de Lin Yao. Il descend à sa poitrine qu’il caresse et presse dans sa paume chaude. La peinture blanche qui coule sur le corps de Lin Yao la rend comme une œuvre et une muse en même temps. Il remet de la peinture sur sa main et glisse jusqu’à son ventre en caressant sa peau. Il vient alors l’embrasser en mordant sa lèvre. Elle l’obsède trop pour qu’il puisse se contenir dans ses bras.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Dim 20 Nov - 21:29
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Ce petit jeu qu’il y avait entre nous, je n’avais aucune idée du temps que ca pourrait encore durer avant que Jae ne finisse par le découvrir. J’essayais de continuer d’être la femme parfaite dont il avait toujours rêve, mais il fallait bien se rendre à l’évidence que même si je tentais, je n’étais pas de ce monde. J’avais grandi dans la pauvreté de parents se tuant au travail pour que je puisse vivre décemment. Nous n’étions déjà pas issus du même univers de base. Puis mon passé n’arrangeait pas les choses. J’étais une colombe qui avait perdu sa blancheur, qui avait été souillée. Et pourtant, je risquais ma chance encore et encore. J’avais honte d’être une femme infidèle. Honte de celle que j’étais devenue. Honte de cachée ma véritable nature. Mais j’étais déjà tellement ensevelie dans ce doux enfer dans lequel j’avais moi-même choisi d’entrer et d’y rester qu’il était trop tard pour faire marche arrière. Et Bom Chan, c’était comme ma sortie de secours. Celle qu’on m’offrait pour m’échapper à cette cage dorée et de retourner d’où je venais. Par amour, je refusais tout de même d’y plonger toute entière par peur de perdre tout ce que j’avais, par peur de sombrer, de peur d’être à nouveau celle que j’étais. Alors ce double de mon fiancé, c’était comme ma dose de liberté qu’il me manquait. Comme l’ancienne droguée qui sommeillait toujours en moi, je prenais ma drogue quotidiennement, mais pas trop pour succomber totalement, juste de quoi me laisser voir derrière les portes de l’enfer masqué en paradis. Les assauts répétés du jeune homme m’arrachaient des gémissements plus saccadés, plus bruyant aussi. A l’instant, je me fichais bien qu’on puisse m’entendre ou non. Et puis, de toute façon, il avait une de ses manières de vous faire hurler que ça en était presque impossible de retenir ces cris. Surprise quand il me redressa sur les genoux, pour ensuite m’abandonnée contre cette porte froide contre ma peau, je le fixais, curieuse. J’avais pleinement conscience qu’il était le prédateur et moi la proie, j’aurais dû être effrayée comme une bête acculée, mais il n’en était rien. J’avais appris à lui faire confiance, en ce qui concernait nos parties de jambes en l’air tout du moins. Tournais le visage sur le côté, je remis une mèche rebelle derrière mon oreille, l’observant faire avec les pots de peinture. Je hoquetais de surprise en sentant la texture de la peinture glisser sur ma peau alors qu’il jouait avec, laissant des trainées de couleur là où il passait. Une sensation nouvelle et étrangère, mais pas déplaisante. Je répondis à son baiser avec la même vigueur que lui alors que mes mains venaient caresser les traces de couleurs, ramassant le trop plein de peinture que je vins faire glisser sur son torse, partageant l’œuvre d’art qu’il avait fait de mon corps avec le sien, nous unissant dans un tableau vivant que seul nos êtres torturés pouvaient comprendre. Reprenant notre souffle entre nos deux baisers effrénés, touchée par la frénésie et une subite envie de possession, je murmurais : « Laisse-moi te marquer. » Je ne parlais pas de peinture ou de baiser, mais de ce que je savais le mieux faire : ancrer l’encre à la peau. Je voulais qu’un bout de sa chair soit mienne.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Jeu 29 Déc - 21:18
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« Tout ce que tu voudras princesse » avait-il lâché dans un souffle rauque de plaisir qu’il n’avait su contenir en sentant son corps ainsi glissant se coller contre sa peau. C’était tellement grisant comme sensation qu’il avait juré en être devenu accroc à l’instant où elle avait passé ses doigts fins sur son torse. Un fin sourire avait pris possession de ses lèvres à sa remarque. Il pressait la poitrine de la jeune femme dans sa paume brûlante et pleine de peinture. Lui aussi s’amusait à laisser son empreinte sur sa peau doré et délicieuse. Il la soulève à nouveau et la plaque contre la porte dans un souffle chaud.  Il rit un instant de la voir ainsi le dominer tout en restant sous son jouc. Il caresse sa joue et vient attraper ses lèvres. Bom Chan avait cet autorité naturelle qui la dissuadait d’être impatiente ou de le faire aller plus vite, voir même de lui retirer l’idée de la tête qu’il voulait coucher avec elle. Il n’était pas brusque dans ses gestes, ni même pressant, mais il aurait été bien inconvenant et fou de la part de Lin Yao de se refuser à lui à cet instant précis. Il semblait vouloir finir de jouer avec son corps avant d’entreprendre toute autre activité telle qu’elle soit. Il écarte les cuisses de la jeune femme avant de s’immiscer en elle à nouveau, laissant quelques traces de peintures se perdre sur leur intimité. Prisonnière et bourreau, elle subit les acoups du garçon avec sa fougue et son hardiesse qu’elle allait finir par connaitre par cœur. Bom Chan se perd dans son cou nacré et la dévore de baiser à ne plus finir. Sa frénésie est telle qu’il la décolle du mur pour la plaquer sur son bureau après avoir tout fait tomber au sol. Il se moque des objets qu’il a surement cassés dans la chute et allonge la princesse sans perdre plus de temps. Le bois du bureau tremble sous ses acoups et la jeune femme risque de se retrouver avec des bleus sur l’intérieure de ses cuisses. Mais la possible douleur qu’elle a dû ressentir a très vite laissé place au plaisir que Bom Chan veut lui donner. Il accélère la cadence et s’agrippe à elle comme si elle était la seule chose, qui, à cet instant, pouvait l’empêcher de sombrer.  Il gémit même son prénom de façon peu habituelle et plaque ses hanches à son bassin pour mieux la posséder alors qu’il se déverse en elle dans un râle de plaisir peu discret. « Putain … » Il se surprend à sourire contre la peau de Lin Yao en frissonnant.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Sam 27 Mai - 15:49
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Un sourire ravi était né au coin de mes lèvres alors qu’il acceptait que je le marque de ma propre signature. Je n’avais aucune idée si c’était le moment qui le pousse à dire oui ou s’il le désirait vraiment, pour moi ca n’avait aucune importance. Seule la réponse comptait. Un acte qui voulait dire beaucoup pour moi. Jae n’avait jamais voulu que cette saleté comme il l’appelait touche sa peau. Offensé, il m’avait même demandé, voire ordonné de me débarrasser de ces cochonneries. Contrairement au reste, je n’avais pu m’y résoudre. C’était une part de ma vie que je ne pouvais oublier totalement. C’était un art que j’aimais, et je n’avais aucune envie de le laisser disparait, même si je ne pratiquais plus depuis plusieurs années. De ce fait, j’avais trouvé une planche du plancher qui s’enlevait et où j’avais caché mon trésor comme l’aurait fait une petite fille pour le dérober aux yeux de ces parents. Au fond, c’était ce que j’étais : une gamine dans le corps d’une femme adulte. Dans l’obligation de grandir trop vite, je n’avais pas pu vivre pleinement ma jeunesse, oubliant même parfois comment faire. Sans doute une des raisons pour lesquelles je n’arrivais parfois pas à réagir comment Jae l’aimerait dans le grand monde. Bom chan me faisait donc une fleur alors qu’il m’offrait ce que Jae m’avait toujours refusé. J’avais beau le détester, il fallait admettre ce qu’il était : un homme fourbe, mais à mon écoute plus que ne l’a jamais été son frère. Je répondais à son baiser avec plus d’acharnement comme si ma vie en dépendait. Il était devenu la bouée qui m’empêchait de couler dans cette nouvelle vie, et je me devais de m’accrocher à lui pour ma propre survie. Quand il me pénétrait avec puissance, je poussais un cri de surprise et de douleur, ne m’attendant pas une telle férocité de sa part, bien qu’il m’y ait déjà habituée. Un vif plaisir m’envahit ensuite, me faisant projetée la tête en arrière, les yeux fermés. Je grognais de mécontentement, n’osant en faire plus par peur de me faire punir, quand il se retira pour me projeter sur le bureau sans ménagement. D’une main, je l’aidais à pousser les objets sur le sol. Mais je n’avais pas eu le temps de finir la besogne qu’il me pénétrait à nouveau sans perdre plus de temps, comme si son appétit était sans cesse grandissant. Ses assauts étaient violents et brutales. Sans doute allais-je me retrouver avec des bleus que j’allais avoir difficile à cacher entre les cuisses. Je n’’étais plus habitué une telle fougue depuis ma jeunesse, et cela éveillait en moi des envies bestiales. Une part de moi avaient cruellement envie qu’il aille plus fort encore, alors qu’une autre part hurlait après de la douceur dans ma tête. Les faisant taire toutes deux, je me laissais aller contre ce bureau qui tremblant, m’accrochant à mon bourreau. Des vagues de plaisir s’insinuaient en moi alors que le point de non-retour m’envahissait de plus en plus. Quand la jouissance me pris au dépourvue, je plantais mes ongles dans la chair du jeune homme, la rendant à vif par des sillons de couleur pourpre. Sans aucune retenue, je lui rendais ce qu’il m’avait offert d’une certaine manière. Je gémis son nom avant de m’avachir sur le bois frais, vidée de mon énergie. « Avoue que t’es un incube ou une connerie comme ca ? T’es jamais rassasié. » Chasser le naturelle et il revient au galop. Je ne pouvais m’empêcher de le chercher, c’était plus fort que moi. Je ne voulais pas qu’il puisse penser m’avoir aussi facile sans se battre un tant soit peu. Et puis, je m’octroyais un peu de répit avant de le marquer, car cet abruti sexy m’avait claqué.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 19 Juin - 12:40
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Il se marre de sa remarque et secoue la tête. Il se retire doucement d’elle en zieutant vers l’intimité de la jeune femme. C’est une vision qu’il appréciait n’en déplaise à certains. Il n’était pas du genre pervers, mais le sexe était un art qu’il avait envie de peaufiner et de maitriser à la perfection. Casanova ferait pâle figure à ses côtés. Il se redresse et dénoue son dos et ses épaules avant d’attraper son paquet de clope. Quelle connerie ils ont fait là, à se foutre de la peinture partout. Bom Chan ricanait en s’étirant et se laissa tomber sur le lit. « Prépare toi au second round princesse, je compte bien te faire crier de plaisir sous la douche. » assure-t-il avec un sourire de prédateur sur les lèvres. Il tend sa cigarette à Lin Yao et lui fait signe de venir sur le lit avec lui. Il a le corps endolorie et grimace. « Putain je me suis démonté le dos je crois. » grogne-t-il. Il tire une latte de sa cigarette avant de lever les yeux vers elle. « Alors, tu comptes me marquer de quoi ? » Il n’avait jamais réellement pensé à se faire un tatouage. Ce n’était ni son genre ni réellement dans ses priorités. Il n’avait jamais rien eut à marquer sur sa peau. Il n’y avait rien dont il voulait se souvenir sauf peut-être Rei et Syu. Mais sa vie n’avait été qu’une succession de disparition et de perte qu’il aurait préféré ne jamais connaitre. Alors c’était une idée un peu trop morbide pour lui que de vouloir encrer ses souvenirs à sa peau. Il ferme les yeux pour mieux se détendre lui faisant une place si jamais elle voulait le rejoindre. Les draps se couvraient de peinture mais il s’en moquait. Il leva son visage vers la fenêtre par laquelle il regarda. Les rayons du soleil lui taquinait le visage et il poussa un soupire d’aise. Il mentirait s’il disait qu’il ne se sentait pas bien. Au contraire, et ce n’était pas qu’une question de partie de jambe en l’air torride. Il appréciait la compagnie de la jeune femme et lui avouer aurait été une marque de faiblesse selon lui alors il préférait lui montrer différemment. Il lui lance un sourire énigmatique avant de tirer une nouvelle latte sur sa cigarette. Il pose son regard sur les courbes nues de la jeune femme et la dévore des yeux sans gênes. Son corps est tellement bien fait … s’en est presque indécent. Il a envie de toucher mais il préféré se frustrer pour mieux la posséder par la suite. 
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Jeu 20 Juil - 22:58
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Je soupirais d’aise alors qui s’enlevait de moi. Un dernier spasme de plaisir me parcourut. Je fermais les yeux pour en savourer toutes les saveurs. Je me laissais aller en arrière, profitant de ce moment de bien être qui nous envahissait après l’acte de la passion. Je rouvris les yeux, me tordant le cou pour l’observer alors qu’il était déjà prêt à en découdre pour le deuxième round. « C’est qu’on ne t’arrête plus. » éclatais-je de rire. Ce n’était pas Jae qui se serait proposé pour un tel enjeu. Il avait déjà toute la peine du monde à assurer au premier tout, alors un deuxième … mieux fallait ne même pas y penser. A ce sujet, les deux frères ne se ressemblaient en aucun point, comme plusieurs d’autres d’ailleurs. Il fut un temps où j’aurais rougi d’avoir pensé de la sorte, mais il fallait bien se rendre à l’évidence sur la réalité. Se borner dans une réalité inexistante n’était bon pour personne. Je m’approchais du lion effarouché, attrapant sa cigarette que je portais à mes lips tirant une latte de nicotine. Grimpant sur le lit, je me tirais à quatre pattes vers lui, venant m’assoir à califourchon sur ses jambes dans un voile de fumée blanche nous entourant. Je jetais un coup d’œil aux draps blancs sur lesquels la couleur que j’avais laissé trahissait mon passage. Ils étaient bons à jeter. Quelle idée il avait eu de jouer avec mes pots de peinture ? Je ne pus m’empêcher de sourire. C’était une jolie façon de l’utiliser, une nouvelle technique pour exprimer notre art. « Vous devenez vieux mon cher, les fougues de la jeunesse rattrape votre vieux corps qui ne suit plus. » le taquinais-je dans un rire cristallin et léger. Un doux son résonnant dans cet appartement généralement vide. Je me rapprochais de lui, massant doucement ses épaules. « Un massage te ferait plaisir ? » susurrais-je à son oreille dont je mordillais le lobe. Je me redressais, tirant une nouvelle latte de nicotine que je vins rejeter entre ses lèvres, l’injectant directement dans ses poumons, lui volant un baiser indécent au passage. Je glissais ensuite la cigarette entre ses lèvres, prenant un air réfléchit. J’observais sa peau, laissant parcourir mes doigts sur sa peau nue. Je m’arrêtais un instant au niveau de son cœur, tentée de le marquer à cet endroit d’un signe me représentant. Une manière de laisser ma trace bien visible avant de me rétracter. C’était un geste bien trop visible. Ce serait comme avouer qu’il était devenue une de mes faiblesses. Et il était hors de question de lui laisser ce plaisir. Une autre idée me vint alors que mes doigts continuaient le long de son bras droit. « Tu me fais confiance ? » murmurais-je le regard devenu intense, touchée par l’inspiration que donne la muse à son artiste.
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Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | 
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