Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Bolin ♥ Laisse toi aller
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Lun 30 Nov - 5:01 Citer EditerSupprimer
« Qui te dis que je ne l’ai pas fait ? » murmurais-je contre ses lèvres avec un sourire malicieux. Je me renfonçais dans le canapé. Fier de mes vers, surement maladroit mais sincère, c’est ce qui faisait la différence. Je passais une main dans ses cheveux soyeux, et je l’écoutais me parler de son passé. Je sais ai-je failli lui dire, mais je me contente de lui murmure un « Ça ne m’étonnes pas » d’une voix suave et grave pour laquelle elle ne pouvait pas lutter. Caressant le creux de ses reins je regardais cette vision qu’elle m’offrait d’elle avec un œil nouveau. Je n’étais plus juste un homme, mais un homme avec un appareil. Un homme qui pouvait la figer dans le temps. Reste a savoir, quelle image je voulais figer d’elle. je souris en mordillant ma lèvre et me redresse en la gardant dans mes bras. Ca me demande un petit effort mais c’est sans mal que je la glisse sur mes hanches pour la porter jusqu’au chevalet. Je l’y dépose délicatement et lui vole un baiser, comme pour mieux me l’accaparer. « Je vais d’abord faire des tests photos, donc ne pense à rien, ce n’est pas vraiment toi que je vais prendre je vais surtout régler la lumière de l’appareil. » Mensonge. Les réglages ont déjà était fait tout à l’heure. Alors je lui tends un pinceau pour qu’elle s’attache les cheveux et fait tomber les cliché un à un. Je joue avec la lumière, son profil, son visage, son regard incertain, sa nuque, le creux de son cou. Jouant sur la mise au point et la lumière je tourne autour d’elle avant de m’approcher dans son dos et de me serrer contre elle, caressant ses cuisses pour remonter vers l’intérieure jusqu’à son ventre que je griffe doucement. Mes lèvres se perdent sur sa nuque pour lui arracher un soupir de plaisir, son pinceau que je relève doucement. Je prends une photo. Une interdite. Une de nous deux cédant à la tentation. Le mal se trouvant une âme sœur. Je me recule et prends d’autres photos d’elle. Aucune numérique. Toute à développer. Des âmes à aller chercher. « Tu veux bien retirer son pantalon ? il gache les courbes de ton corps. » d’un seul point de vu artistique bien sûr.
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Mer 27 Jan - 0:55 Citer EditerSupprimer
J’avais fini par céder à ses suppliques. Et puis, il fallait bien avouer que ses mains sur mon corps était un vrai délice bien difficile à résister. Il me donnait ce que Jae n’avait jamais été capable de faire en six longues années. Et lui, il débarque dans ma vie de nulle part et chamboule tout, remettant tout en question en une seule soirée. Je lui donnais une petite tape sur l’épaule. « Tu n’aurais pas osé !? » demandais-je sur un ton faussement accusateur, avant d’arborer un bref sourire. Je n’allais pas lui donner trop de plaisir non plus. Le temps d’un instant, je lui avouais à demi-mot que j’avais été mannequin autrefois. Je ma cachais bien de lui dire que j’avais tout foutu en l’air, néanmoins. Et il n’en fut pas plus étonné que cela, ce qui eut le don de me faire sourire. Il piquait ma curiosité un peu plus au vif alors qu’il me demandait d’être son modèle. Comment refuser ? Je lâchais un couinement de surprise quand il se souleva soudain, me serrant contre lui, mon premier réflexe fut de m’accrocher à lui en entourant mes jambes autour de sa taille. Je finis par rire nerveusement, alors qu’il me transportait jusqu’à mon chevalet. Mes joues se tintèrent d’un léger rouge quand il me vola un baiser avec tellement de douceur et de complicité, que j’avais l’impression que nous étions amants depuis des années et non depuis quelques jours. Alors qu’il m’explique qu’il doit ajuster la lumière. Je hochais doucement la tête que déjà, je lorgnais à nouveau sur mon tableau pour l’admirer. Je me mordis la lèvre inférieure, alors que je réfléchis à quel cadre correspondrait el mieux cette œuvre. J’attrapais ensuite le pinceau qu’il me tendait, attachant distraitement mes cheveux en un chignon noué uniquement à la force du pinceau. Je prends des poses sans vraiment m’en rendre compte, essayant de m’occuper le corps alors qu’il s’occupe des derniers petits réglages. Je frémis doucement quand l’idée de se coller à moi lui vint, me griffant l’intérieure de la cuisse et de mon ventre. Je me laissais aller en arrière contre lui, la tête sur son épaule. Je fus surprise quand il prit une photo de nous deux si équivoque, mais je ne pus avoir le temps de protester que déjà, il reculait pour continuer son travail. Ces photographes ! J’écarquillais les yeux, étonnée par sa dernière demande. « Mon pantalon ? » demandais-je avec une pointe d’hésitation et de peur dans ma voix. Quand j’avais accepté de poser pour lui, j’étais loin de me douter que j’allais devoir faire tomber les vêtements. « C’est nécessaire ? Je peux en enfiler un autre qui est plus moulant si tu veux ? » je ne voulais pas le vexer, mais je me voyais mal poser de la sorte pour lui. Je me souvenais la dernière fois que j’avais fait des clichés de nus sur la demande de mon ex. Ca avait foutu ma carrière en l’air. Il m’avait fait marché avec, et ca m’avait détruire. Je ne voulais pas que ca recommence. Et si Jae tombait dessus …
J’avais fini par céder à ses suppliques. Et puis, il fallait bien avouer que ses mains sur mon corps était un vrai délice bien difficile à résister. Il me donnait ce que Jae n’avait jamais été capable de faire en six longues années. Et lui, il débarque dans ma vie de nulle part et chamboule tout, remettant tout en question en une seule soirée. Je lui donnais une petite tape sur l’épaule. « Tu n’aurais pas osé !? » demandais-je sur un ton faussement accusateur, avant d’arborer un bref sourire. Je n’allais pas lui donner trop de plaisir non plus. Le temps d’un instant, je lui avouais à demi-mot que j’avais été mannequin autrefois. Je ma cachais bien de lui dire que j’avais tout foutu en l’air, néanmoins. Et il n’en fut pas plus étonné que cela, ce qui eut le don de me faire sourire. Il piquait ma curiosité un peu plus au vif alors qu’il me demandait d’être son modèle. Comment refuser ? Je lâchais un couinement de surprise quand il se souleva soudain, me serrant contre lui, mon premier réflexe fut de m’accrocher à lui en entourant mes jambes autour de sa taille. Je finis par rire nerveusement, alors qu’il me transportait jusqu’à mon chevalet. Mes joues se tintèrent d’un léger rouge quand il me vola un baiser avec tellement de douceur et de complicité, que j’avais l’impression que nous étions amants depuis des années et non depuis quelques jours. Alors qu’il m’explique qu’il doit ajuster la lumière. Je hochais doucement la tête que déjà, je lorgnais à nouveau sur mon tableau pour l’admirer. Je me mordis la lèvre inférieure, alors que je réfléchis à quel cadre correspondrait el mieux cette œuvre. J’attrapais ensuite le pinceau qu’il me tendait, attachant distraitement mes cheveux en un chignon noué uniquement à la force du pinceau. Je prends des poses sans vraiment m’en rendre compte, essayant de m’occuper le corps alors qu’il s’occupe des derniers petits réglages. Je frémis doucement quand l’idée de se coller à moi lui vint, me griffant l’intérieure de la cuisse et de mon ventre. Je me laissais aller en arrière contre lui, la tête sur son épaule. Je fus surprise quand il prit une photo de nous deux si équivoque, mais je ne pus avoir le temps de protester que déjà, il reculait pour continuer son travail. Ces photographes ! J’écarquillais les yeux, étonnée par sa dernière demande. « Mon pantalon ? » demandais-je avec une pointe d’hésitation et de peur dans ma voix. Quand j’avais accepté de poser pour lui, j’étais loin de me douter que j’allais devoir faire tomber les vêtements. « C’est nécessaire ? Je peux en enfiler un autre qui est plus moulant si tu veux ? » je ne voulais pas le vexer, mais je me voyais mal poser de la sorte pour lui. Je me souvenais la dernière fois que j’avais fait des clichés de nus sur la demande de mon ex. Ca avait foutu ma carrière en l’air. Il m’avait fait marché avec, et ca m’avait détruire. Je ne voulais pas que ca recommence. Et si Jae tombait dessus …
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Sam 30 Jan - 2:20 Citer EditerSupprimer
Je lui souris en baissant l’appareil photo en l’observe de haut en bas. « Ça te gêne ? » je ne suis pas surpris qu’elle me dise non. Je veux dire, c’est propre à une femme de ne pas vouloir céder aussi facilement quand on parlait de nudité, surtout lorsque l’homme était armé d’un appareil photo. N’importe qui d’un tant soit peu intelligent aurait pris une certaine distance. Je secoue la tête et lui assure « Non du tout fait ce que tu veux, le principal c’est que tu sois à l’aise. » je prends encore quelques photos et tourne autour d’elle. Je n’ai pourtant pas dit mon dernier mot. Elle le saura, j’ai toujours le mot de la fin. je m’approche d’elle et lui glisse une mèche derrière l’oreille et la décoiffe légèrement, lui donnant un petit côté sauvage qui lui allait si bien. « Je comprends que ça puisse te faire peur. » amorçais-je avec la phase de l’empathie. « J’ai un appareil photo et quand bien même … enfin quand bien même il nous est arrivé quelques folies, il n’en reste pas moins que la confiance est loin d’être là. » J’offre un petit sourire désolé, pour la phase de compassion. Je lissai sa joue comme si je lissais une œuvre d’art fragile et pur. « Pourtant mon ancien modèle n’a jamais rechigné à suivre mes directives. » assurais-je avec une mine enjouée juste pour mettre en avant mon professionnalisme, que ce n’est pas la première fois que je fais, même dans l’intimité d’un appartement. « Mais après tout peut être qu’elle me faisait déjà confiance parce qu’elle était mon ex, enfin ma petite amie de l’époque. » Et hop, une phrase lâchée l’air de rien qui mettait toujours un peu de jalousie dans le cœur d’une femme. Mon ex, elle, le faisait. C’était souvent la phrase miracle, parce qu’une femme ne supporte que difficilement d’être comparée, encore moins quand elles sont dans la position de celle qui fait mal. Mais j’affiche un sourire comme si tout ça n’était rien, comme si le fait qu’elle veuille garder son pantalon ne me faisait pas chier. Je me recule et remonte l’appareil pour tester la lumière. « Tu es vraiment d’une beauté naturelle magnifique, surtout avec ces quelques traces de peintures. » souriais-je de mon sourire un brin charmeur. Je la laissais décider par elle-même pour cette histoire de pantalon tout en laissant planer une certaine … han tu fais ta coincé tu ne veux même pas enlever ton pantalon très enfantin qui ne pouvait que jouer en ma faveur. Mon talent en manipulation allait se vérifier aujourd’hui, et si vraiment elle me tenait tête c’est que je me trompais sur son compte. Que ce soit pour la folie que je lisais dans son regard et qui faisait écho à la mienne, et sur l’emprise qu’avait mon frère sur elle. Elle n’avait pas envie de tellement de liberté que ça alors ? Je baissais l’appareil et m’adosse au plan de travail. « A toi de voir pour le pantalon, je ne te force à rien. » Je souriais presque tendrement en baissant mon regard après l’avoir regardé un peu gêné. Tout est dans le regard. Tout est dans le sourire et ce petit rouge à mes joues que j’arrive à faire monter. Je ne laisse rien au hasard, je l’avoue, mais j’aime avoir le fin mot de l’histoire. D’une manière ou d’une autre.
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Sam 9 Avr - 0:25 Citer EditerSupprimer
Autrefois, sans doute que ca ne m’aurait pas dérangé de poser nu pour lui. On pouvait quasiment me faire n’importe quoi quand j’étais sous l’effet de la drogue. J’en oubliais toutes les règles de savoir vivre. Je n’osais imaginer toutes les choses que j’avais pu faire. Je n’en avais que des brides de souvenirs et c’était déjà plus qu’assez. Certains hantaient encore mes nuits au point de m’empêcher de dormir ou de me réveiller avec des perles de sueur sur le front. Aujourd’hui, je me voyais mal poser nue pour lui. Surtout que j’étais déjà en couple. Et si Jae tombait la dessus ? Qu’allait-il penser ? Rien que d’y penser, ca me donnait des frissons. Couchez avec Bom Chan, était une chose. Poser nue pour lui, une autre qui laissait des preuves bien plus difficile à cacher. Et malgré mon refus, il me faisait culpabiliser avec ces mots de beau parleur. Je me rendais bien compte qu’il jouait avec les mots, que cet art était devenu un véritable don au travers de sa bouche, que c’était un manipulateur tout simplement. Pourtant, il titillait ma fierté de femme qui n’avait peur de rien. Il me faisait passer pour une petite chose faible qui savait allumer, mais qui n’assumait pas les conséquences de ses actes. Je détestais cela, vraiment. Je réfléchissais, me mordant la lèvre inférieure, alors qu’il tournait toujours autour de moi pour prendre ses photos. Et puis, ses mots sur la confiance, c’était bien ironique quand on savait ce qu’il cachait à son frère. Et malgré moi, il arrivait à faire naitre ce sentiment de culpabilité qui vous bouffait de l’intérieur, jusqu’à ce que vous finissiez par céder. Et il m’achevait en me comparant avec une autre femme. En me faisant comprendre que ce n’était pas la première fois qu’il faisait cela avec quelqu’un. Que je n’étais qu’une parmi tant d’autres, et que si je ne faisais pas ce qu’il me disait, il pourrait me remplacer sans aucun problème. Je me mordis à nouveau la lèvre inférieure, fixant le tapis à poil long sur le sol. Et sans oublier que cette femme était son ex. sa petite amie même. Il l’avait donc déjà vue nue et toucher bien avant moi. Juste de quoi éveiller la jalousie dans mon petit cœur déjà meurtri. C’était plus fort que moi, je détestais que l’on me compare comme de la marchandise. Et il faisait un petit compliment, comme si ca pouvait effacer ce qu’il avait pu dire juste avant. Mon ex agissait de la même manière. Juste que ce qu’il effaçait était des biens pire que ce que Bom Chan me faisait endurer. Je soupirai un souriant un peu agacée en murmurant « Ouai, c’est sur que tu me forces pas la main. » J’étais peut être naïve, mais pas dupe. Je connaissais ces regards que trop bien. J’avais l’impression de revenir il y a quelques années en arrière et revivre mon passé. Je détournais le regard alors qu’il faisait sa mine de chien battu. C’était dans ces moment-là que je me rendais compte que lui et son frère était jumeau. Il faisait la même tête que lui quand il voulait en venir à ses fins. Et je finissais toujours par céder. « D’accord.. » soupirais-je avant de m’approcher de lui et de venir capturer ses lèvres doucement. « Tu n’es pas si différent de ton frère, finalement. » murmurais-je avant de caresser sa joue et de me détourner pour enlever mon pantalon. A moi de lancer une petite pique, sachant que j'avais remarqué qu'il n'aimait pas être comparé à son frere. D’abord dans un geste timide, et ensuite d’un mouvement plus assuré, je m’en débarrassais d’un coup de pied. Je tournais sur moi-même alors que je n’étais plus qu’habillée de ma culotte et de mon top blanc. « Tu préfères ainsi ? »
Autrefois, sans doute que ca ne m’aurait pas dérangé de poser nu pour lui. On pouvait quasiment me faire n’importe quoi quand j’étais sous l’effet de la drogue. J’en oubliais toutes les règles de savoir vivre. Je n’osais imaginer toutes les choses que j’avais pu faire. Je n’en avais que des brides de souvenirs et c’était déjà plus qu’assez. Certains hantaient encore mes nuits au point de m’empêcher de dormir ou de me réveiller avec des perles de sueur sur le front. Aujourd’hui, je me voyais mal poser nue pour lui. Surtout que j’étais déjà en couple. Et si Jae tombait la dessus ? Qu’allait-il penser ? Rien que d’y penser, ca me donnait des frissons. Couchez avec Bom Chan, était une chose. Poser nue pour lui, une autre qui laissait des preuves bien plus difficile à cacher. Et malgré mon refus, il me faisait culpabiliser avec ces mots de beau parleur. Je me rendais bien compte qu’il jouait avec les mots, que cet art était devenu un véritable don au travers de sa bouche, que c’était un manipulateur tout simplement. Pourtant, il titillait ma fierté de femme qui n’avait peur de rien. Il me faisait passer pour une petite chose faible qui savait allumer, mais qui n’assumait pas les conséquences de ses actes. Je détestais cela, vraiment. Je réfléchissais, me mordant la lèvre inférieure, alors qu’il tournait toujours autour de moi pour prendre ses photos. Et puis, ses mots sur la confiance, c’était bien ironique quand on savait ce qu’il cachait à son frère. Et malgré moi, il arrivait à faire naitre ce sentiment de culpabilité qui vous bouffait de l’intérieur, jusqu’à ce que vous finissiez par céder. Et il m’achevait en me comparant avec une autre femme. En me faisant comprendre que ce n’était pas la première fois qu’il faisait cela avec quelqu’un. Que je n’étais qu’une parmi tant d’autres, et que si je ne faisais pas ce qu’il me disait, il pourrait me remplacer sans aucun problème. Je me mordis à nouveau la lèvre inférieure, fixant le tapis à poil long sur le sol. Et sans oublier que cette femme était son ex. sa petite amie même. Il l’avait donc déjà vue nue et toucher bien avant moi. Juste de quoi éveiller la jalousie dans mon petit cœur déjà meurtri. C’était plus fort que moi, je détestais que l’on me compare comme de la marchandise. Et il faisait un petit compliment, comme si ca pouvait effacer ce qu’il avait pu dire juste avant. Mon ex agissait de la même manière. Juste que ce qu’il effaçait était des biens pire que ce que Bom Chan me faisait endurer. Je soupirai un souriant un peu agacée en murmurant « Ouai, c’est sur que tu me forces pas la main. » J’étais peut être naïve, mais pas dupe. Je connaissais ces regards que trop bien. J’avais l’impression de revenir il y a quelques années en arrière et revivre mon passé. Je détournais le regard alors qu’il faisait sa mine de chien battu. C’était dans ces moment-là que je me rendais compte que lui et son frère était jumeau. Il faisait la même tête que lui quand il voulait en venir à ses fins. Et je finissais toujours par céder. « D’accord.. » soupirais-je avant de m’approcher de lui et de venir capturer ses lèvres doucement. « Tu n’es pas si différent de ton frère, finalement. » murmurais-je avant de caresser sa joue et de me détourner pour enlever mon pantalon. A moi de lancer une petite pique, sachant que j'avais remarqué qu'il n'aimait pas être comparé à son frere. D’abord dans un geste timide, et ensuite d’un mouvement plus assuré, je m’en débarrassais d’un coup de pied. Je tournais sur moi-même alors que je n’étais plus qu’habillée de ma culotte et de mon top blanc. « Tu préfères ainsi ? »
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Mar 12 Avr - 3:58 Citer EditerSupprimer
Elle finit par craquer, et moi je jubile. Ma victoire est si délicieuse, je n’ai même pas eu à forcer. Je détaille son corps avant un regard autant appréciateur que professionnelle. Une part de moi a envie de lui montrer ce que je vaux. Une part de moi a envie de lui montrer que je ne suis pas là pour juste prendre son cul en photo et qu’elle fera un excellent modèle pour mes photos … je me concentre pour régler l’appareil photo alors qu’elle vient me voler un baiser, une familiarité qui m’arrache un sourire. Je la laisse faire, elle plus que les autres, à venir quémander des baisers. Elle me lance ce pic que j’accepte de bon cœur. Je ris légèrement en lui claquant une fesse avant de me détourner pour régler la lumière et la contourne pour me mettre à la shooter, ne laissant que le bruit de l’appareil briser le silence. « Regarde-moi » soufflais-je un instant avant de la bombarder dès l’instant où ses yeux se posent sur moi. « T’es magnifique Lin … » murmurais-je avec une sincérité déroutante. Je la shoote encore et encore avant de finalement allez m’asseoir dans le canapé pour qu’elle m’oublie un peu, pour qu’elle continue de peindre, encore et encore. Je zoom sur ses lèvres que je prends en photo, la délicatesse de ces mèches de cheveux qui glissent dans son cou. Et la façon dont l’élastique de sa culotte souligne le galbe de ses fesses. Mes photos n’ont rien de perverses et j’ai l’étrange envie de lui montrer pour qu’elle en soit fière. Je prends sa main en photo. Ses doigts, délicatement, continue de courir el pinceau. Elle laisse des traces de peinture sur sa peau et je me perds dans cette contemplation sans m’en rendre compte … je la revois au squatte, six ans auparavant, si jeune, si belle, si déchue … elle riait à grands éclats et moi j’étais hypnotisé par son rire. Elle était déjà si belle … son corps couvert de tatouage donnait à mes photos des airs d’histoires lourdes. Je me relève doucement et m’approche pour venir lui caresser la peau doucement. Sans un mot, l’ignorant, comme si elle n’était qu’une œuvre d’art que je voulais graver dans mon esprit. Ma main suivis la forme de son bras et se pressa contre la sienne. Je restais dans son ainsi, m’imprégnant de cette gesture … je ne regardais pas son dessin, seul son corps m’intéressait. Si belle, si douée. Je respirais son parfum doucement. Pressant mon corps contre le sien. La laissant peindre, mes doigts frôlant le dos de sa main pour suivre les mouvements de pinceaux. Elle m’emmenait dans un autre monde. Ma main glissa sur son ventre, et ça n’avait rien de déplacé. Et c’était juste … un instant de flottement. Intense. Et tendre.
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Dim 1 Mai - 1:15 Citer EditerSupprimer
Je m’en voulais de lui céder si facilement. Il avait à peine battu des cils que je lui disais déjà amen. Même Jae devait batailler plus que cela pour que j’accepte quelque chose dont je n’avais pas envie. Et en moins de dix minutes, il avait réussi à me faire céder en jouant sur mes émotions surtout ma fierté de femme. J’avais pleinement conscience de m’être fait berner, et pourtant, je me laissais faire comme une poupée de chiffon. J’essayais de le provoquer tant bien que mal avec ma pique peu convaincante qu’il chassait d’un sourire narquois et d’une petite fessée sur la fesse, comme si je n’étais qu’un moustique qui pouvait chasser d’un revers de main. Je sursautais alors que j’entendis le déclic de l’appareil photo. J’avais conscience que ces photos pouvaient être des preuves de mon adultère et qu’ils pouvaient me porter préjudice dans mon mariage avec Jae si celui-ci avait vent de leur existence. Pourtant, je me contentais de rougir en entendant Bom Chan me dire que j’étais magnifique. J’avais l’impression de redevenir une adolescente, quand votre premier amour vous dit que vous êtes jolie. Ces moments de folie qui débute une relation amoureuse. Là où la passion est plus forte que tout le reste. Ca faisait du bien de se sentir désirer après tant d’années où le désir avait disparu de ma vie. En sous vêtement devant lui, mon t-shirt déchiré encore sur le dos, je ne savais que faire de mon corps. Autrefois, j’aurais su quelle pose prendre à quel moment pour jouer avec la lumière sur mon visage, sauf qu’aujourd’hui, j’avais perdu tous ces reflexes. J’étais maladroite. Dans un geste timide, j’enveloppais me corps de mes bras, le regardant prendre place dans le canapé, me laissant seule. Que devais-je faire ? Qu’attendait-il de moi exactement ? alors je faisais la seule chose que je savais faire sans me prendre la tête : peindre. Et sans plus m’occuper de lui, je laissais mes doigts se perdre sur la toile, et la peinture. Je sursautais à nouveau quand je le sentis me toucher, me caressant la peau nue. Il se collait à moi, se contentant de suivre les gestes que je faisais avec mes pinceaux, comme si il voulait imprégner son âme de son geste. Et alors que ces caresses se faisaient plus intimes, je suspendais mon bras, osant lui demandant « Que cherches-tu au juste, Bom Chan ? » Des mots assez vagues et pourtant si lourds de sens …
Je m’en voulais de lui céder si facilement. Il avait à peine battu des cils que je lui disais déjà amen. Même Jae devait batailler plus que cela pour que j’accepte quelque chose dont je n’avais pas envie. Et en moins de dix minutes, il avait réussi à me faire céder en jouant sur mes émotions surtout ma fierté de femme. J’avais pleinement conscience de m’être fait berner, et pourtant, je me laissais faire comme une poupée de chiffon. J’essayais de le provoquer tant bien que mal avec ma pique peu convaincante qu’il chassait d’un sourire narquois et d’une petite fessée sur la fesse, comme si je n’étais qu’un moustique qui pouvait chasser d’un revers de main. Je sursautais alors que j’entendis le déclic de l’appareil photo. J’avais conscience que ces photos pouvaient être des preuves de mon adultère et qu’ils pouvaient me porter préjudice dans mon mariage avec Jae si celui-ci avait vent de leur existence. Pourtant, je me contentais de rougir en entendant Bom Chan me dire que j’étais magnifique. J’avais l’impression de redevenir une adolescente, quand votre premier amour vous dit que vous êtes jolie. Ces moments de folie qui débute une relation amoureuse. Là où la passion est plus forte que tout le reste. Ca faisait du bien de se sentir désirer après tant d’années où le désir avait disparu de ma vie. En sous vêtement devant lui, mon t-shirt déchiré encore sur le dos, je ne savais que faire de mon corps. Autrefois, j’aurais su quelle pose prendre à quel moment pour jouer avec la lumière sur mon visage, sauf qu’aujourd’hui, j’avais perdu tous ces reflexes. J’étais maladroite. Dans un geste timide, j’enveloppais me corps de mes bras, le regardant prendre place dans le canapé, me laissant seule. Que devais-je faire ? Qu’attendait-il de moi exactement ? alors je faisais la seule chose que je savais faire sans me prendre la tête : peindre. Et sans plus m’occuper de lui, je laissais mes doigts se perdre sur la toile, et la peinture. Je sursautais à nouveau quand je le sentis me toucher, me caressant la peau nue. Il se collait à moi, se contentant de suivre les gestes que je faisais avec mes pinceaux, comme si il voulait imprégner son âme de son geste. Et alors que ces caresses se faisaient plus intimes, je suspendais mon bras, osant lui demandant « Que cherches-tu au juste, Bom Chan ? » Des mots assez vagues et pourtant si lourds de sens …
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Mer 18 Mai - 14:13 Citer EditerSupprimer
L’instant qu’elle m’offrait semblait être une pause dans le temps et j’aurais pu l’apprécier plus encore si elle n’avait pas posé cette question. Si elle n’avait pas parlé tout court. Je suspends mon geste et fixe cette toile qui me fixe de son œil dérangeant. Je retiens mon souffle et pose mon menton sur son épaule en tournant mon visage vers le sien. Je dépose un baiser sur sa joue, puis dans son cou en respirant doucement son parfum. « J’en sais rien. » murmurais-je avec une sincérité déroutante. Mon plan, ma vengeance, tout n’était qu’un point noir dans mon esprit auquel je ne pensais plus depuis un moment. Je la tourne vers moi en faisant glisser mes mains sur ses hanches et je presse son ventre contre le mien. Elle est tellement belle que j’ai du mal à détourner mon regard de son visage. Ses courbes si généreuse et harmonieuse me font toujours autant d’effet. Et quand je la regarde à cet instant elle n’a pas la moindre idée de qui je suis, de ce que j’ai fait pour elle … et j’ai soudain un putain besoin de reconnaissance quand je croise son regard. J’ai envie qu’elle sache. J’ai envie qu’elle comprenne. Putain ouais, j’ai envie qu’elle sache que c’est moi l’homme qui lui ait sauvé la vie. Mais je ne dirais rien, parce qu’elle n’a pas besoin de savoir, parce que j’ai l’habitude qu’on m’attribue le mauvais rôle. C’est celui dans lequel j’excelle le plus. Je la rapproche un peu plus en glissant mon pouce sur la tâche de peinture qu’elle a sur la joue. Sa question tourne en boucle dans ma tête et je lui murmure sans jouer « Toi j’imagine … » Un sourire en coin perle sur mes lèvres alors que je glisse un baiser sur sa joue, en remontant doucement dans un collier de baisers jusqu’à la commissure de ses lèvres. Je voudrais pouvoir dévorer sa bouche mais je me retiens. Parce que je veux qu’elle le fasse d’elle-même, une sorte de fierté, une sorte de ligne qu’elle franchira toujours d’elle-même. J’aime semer le trouble dans son esprit mais je n’aurais jamais cru qu’elle pourrait semer le même trouble dans le mien. Je tente toujours d’agir de la meilleure façon qui soit pour que les situations puissent servir mes intentions. Mais aujourd’hui, à cet instant, quand mon souffle se mêle au sien, je suis prêt à faire un écart, je suis prêt à prendre des risques inutiles si elle daigne m’embrasser. Ma paume caresse son dos en remontant entre ses omoplates comme pour pencher le haut de son corps plus près de mes lèvres encore … allez putain Lin embrasse-moi …
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Ven 20 Mai - 20:51 Citer EditerSupprimer
Cette douceur nouvelle qu’il avait avec moi était des plus déroutantes. On passait notre temps à nous bouffer le bout du nez avant de finir dans une séance de sexe intense, et pourtant ici, il s’appliquait à être doux. Parfois, je me laissais prendre au jeu, et j’oubliais que c’était Jae et non Bom Chan mon fiancé. Il était bien plus présent, même si la plupart du temps, c’était pour le pire. Au moins, lui, il était là. Et même si j’avais beau aimé Jae, il m’arrivait de penser quelle vie j’aurais si c’était aux côtés de son jumeau que j’étais. Est-ce que j’aurais les ailes brisées ? Est-ce que je serais différente ? Serais-je pleinement heureuse ? Tout cela me poussait à me poser des questions. Pourquoi était-il revenu dans la vie de son frère après tant d’années ? Pourquoi se comportait-il ainsi avec moi ? Que cherchait-il réellement ? Comment pouvait-il agir ainsi sans impunité en sachant que la femme qu’il tentait de séduire était celle de son propre frère ? A croire qu’il n’avait aucun scrupule. Ou aurait-il des sentiments pour moi qui le pousseraient à dépasser les limites de la morale ? Qui étais-je pour le critiquer, j’étais autant en faute que lui finalement. Une couleur rouge vint peindre mes joues, alors qu’il m’avouait que c’était moi qu’il cherchait. Mon regard se faisait fuyant, alors que je m’affaissais contre son torse. J’osais relever le regard vers son visage, à son sourire sur le coin des lèvres ne m’avaient paru si craquant. Ces derniers temps, l’attirance que j’éprouvais pour lui était de plus en plus intense à chaque fois que je restais seule avec lui. Je devais avouer que ca me faisait peur. Ce que je pouvais ressentir pour lui me faisait peur. La logique voudrait que je fuie, que je l’évite, et que je l’ignore. Je n’en étais incapable. Autant au début, je revenais toujours vers lui uniquement pour le sexe, car au fond, je le détestais, l’insultais, et ne rêvais que d’une chose : qui disparaisse de ma vie. Mais je devais admettre qui baisait comme un dieu. Je n’avais pas pris mon pied de la sorte depuis … depuis trop longtemps. J’avais beau aimé Jae, il n’avait pas beaucoup d’expérience au lit, et il cherchait toujours son propre plaisir sans vraiment s’occuper du mien. Il n’était pas rare que je restais allongée silencieusement à ses côtés dans la frustration du manque de l’orgasme. J’en étais même arrivé à simuler pour ne pas blesser sa fierté de mâle. Mais ce problème avait été résolu à la seconde où Bom Chan était rentré dans ma vie. J’avais cru au départ pouvoir contrôler cette relation interdite, mais je me surprenais de plus en plus à me préoccuper de ce que lui aussi pouvait penser, alors que je n’aurais pas dû. J’aurais dû continuer à le haïr de tout mon être, mais à la place, j’étais entrain de me prendre d’affection pour lui plus que nécessaire. Et plus j’en apprenais sur lui, plus je le découvrais. Il suffisait de voir aujourd’hui. Le simple fait de faire tout ca, de sortir mes tableaux de sous les draps, de les mettre en valeur sur les murs et me demander de peindre sous ses yeux, c’était bien plus que Jae n’en avait jamais fait pour moi. Oh, bien sûr, il avait fait beaucoup pour moi, mais ca avait toujours un but précis. Jamais il n’avait fait quelque chose d’ininteressée envers moi, comme prendre en compte ce qui me plaisait vraiment. Et nos bouches se rapprochant dangereusement, je pouvais sentir nos souffles s’entremêler. Je lorgnais sur ses lèvres avec l’enivrante envie de les mordiller. Et pousser d’une pulsion, j’attrapais ses lèvres avec les miennes, introduisant ma langue pour jouer avec la sienne. La position dans laquelle on se trouvait ne me permettait pas de me mouvoir pleinement, mais dans l’ivresse de coller nos corps l’un contre l’autre, je pivotais à l’intérieur de ses bras pour me retrouver face à lui. Je laissais tomber mon pinceau au sol dans le mouvement, passant mes mains sous son t-shirt dans l’impatience de sentir sa peau. J’en oubliais que je n’avais plus de pantalon, lui bouffant les lèvres comme jamais, je lui griffais délicieusement le dos. Je me décrochais de ses lèvres le temps de nous laisser reprendre notre souffle, murmurant la voix rauque « Prends-moi. » J’en oubliais toute raison quand j’étais avec lui, comme si il arrivait à embrumer mon esprit en un claquement de doigts…
Cette douceur nouvelle qu’il avait avec moi était des plus déroutantes. On passait notre temps à nous bouffer le bout du nez avant de finir dans une séance de sexe intense, et pourtant ici, il s’appliquait à être doux. Parfois, je me laissais prendre au jeu, et j’oubliais que c’était Jae et non Bom Chan mon fiancé. Il était bien plus présent, même si la plupart du temps, c’était pour le pire. Au moins, lui, il était là. Et même si j’avais beau aimé Jae, il m’arrivait de penser quelle vie j’aurais si c’était aux côtés de son jumeau que j’étais. Est-ce que j’aurais les ailes brisées ? Est-ce que je serais différente ? Serais-je pleinement heureuse ? Tout cela me poussait à me poser des questions. Pourquoi était-il revenu dans la vie de son frère après tant d’années ? Pourquoi se comportait-il ainsi avec moi ? Que cherchait-il réellement ? Comment pouvait-il agir ainsi sans impunité en sachant que la femme qu’il tentait de séduire était celle de son propre frère ? A croire qu’il n’avait aucun scrupule. Ou aurait-il des sentiments pour moi qui le pousseraient à dépasser les limites de la morale ? Qui étais-je pour le critiquer, j’étais autant en faute que lui finalement. Une couleur rouge vint peindre mes joues, alors qu’il m’avouait que c’était moi qu’il cherchait. Mon regard se faisait fuyant, alors que je m’affaissais contre son torse. J’osais relever le regard vers son visage, à son sourire sur le coin des lèvres ne m’avaient paru si craquant. Ces derniers temps, l’attirance que j’éprouvais pour lui était de plus en plus intense à chaque fois que je restais seule avec lui. Je devais avouer que ca me faisait peur. Ce que je pouvais ressentir pour lui me faisait peur. La logique voudrait que je fuie, que je l’évite, et que je l’ignore. Je n’en étais incapable. Autant au début, je revenais toujours vers lui uniquement pour le sexe, car au fond, je le détestais, l’insultais, et ne rêvais que d’une chose : qui disparaisse de ma vie. Mais je devais admettre qui baisait comme un dieu. Je n’avais pas pris mon pied de la sorte depuis … depuis trop longtemps. J’avais beau aimé Jae, il n’avait pas beaucoup d’expérience au lit, et il cherchait toujours son propre plaisir sans vraiment s’occuper du mien. Il n’était pas rare que je restais allongée silencieusement à ses côtés dans la frustration du manque de l’orgasme. J’en étais même arrivé à simuler pour ne pas blesser sa fierté de mâle. Mais ce problème avait été résolu à la seconde où Bom Chan était rentré dans ma vie. J’avais cru au départ pouvoir contrôler cette relation interdite, mais je me surprenais de plus en plus à me préoccuper de ce que lui aussi pouvait penser, alors que je n’aurais pas dû. J’aurais dû continuer à le haïr de tout mon être, mais à la place, j’étais entrain de me prendre d’affection pour lui plus que nécessaire. Et plus j’en apprenais sur lui, plus je le découvrais. Il suffisait de voir aujourd’hui. Le simple fait de faire tout ca, de sortir mes tableaux de sous les draps, de les mettre en valeur sur les murs et me demander de peindre sous ses yeux, c’était bien plus que Jae n’en avait jamais fait pour moi. Oh, bien sûr, il avait fait beaucoup pour moi, mais ca avait toujours un but précis. Jamais il n’avait fait quelque chose d’ininteressée envers moi, comme prendre en compte ce qui me plaisait vraiment. Et nos bouches se rapprochant dangereusement, je pouvais sentir nos souffles s’entremêler. Je lorgnais sur ses lèvres avec l’enivrante envie de les mordiller. Et pousser d’une pulsion, j’attrapais ses lèvres avec les miennes, introduisant ma langue pour jouer avec la sienne. La position dans laquelle on se trouvait ne me permettait pas de me mouvoir pleinement, mais dans l’ivresse de coller nos corps l’un contre l’autre, je pivotais à l’intérieur de ses bras pour me retrouver face à lui. Je laissais tomber mon pinceau au sol dans le mouvement, passant mes mains sous son t-shirt dans l’impatience de sentir sa peau. J’en oubliais que je n’avais plus de pantalon, lui bouffant les lèvres comme jamais, je lui griffais délicieusement le dos. Je me décrochais de ses lèvres le temps de nous laisser reprendre notre souffle, murmurant la voix rauque « Prends-moi. » J’en oubliais toute raison quand j’étais avec lui, comme si il arrivait à embrumer mon esprit en un claquement de doigts…
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Sam 2 Juil - 0:04 Citer EditerSupprimer
C’était presque trop facile de la faire craquer mais ce qui me surprenait à cet instant c’est que je ne jouais pas. Pas vraiment. Pas comme je pensais que je voulais le faire. Je ne le regardais et je la trouvais sublime. Ces taches de peintures sur le visage et cette fragilité dans le regard. Je la rapproche de moi après avoir gouté à ses lèvres délicieuse. Il ne fallait pas qu’elle me le dise deux fois. Je la soulève soudainement du sol en l’attrapant par les cuisses et la garde contre moi en venant chercher ses lèvres. Je lui retire le pinceau qu’elle a dans les cheveux et libère sa chevelure de manière féroce et féline. Ça lui va tellement mieux cette allure. Je caresse le contour de son visage de mon pouce et attrape sa lèvre entre mes dents. Je tire doucement en caressant ses fesses de mes deux mains. Je l’entraine déjà dans ma chambre et fais claquer la porte de mes pieds. Mes gestes sont mesurés. Je suis loin d’être impatient et rapide comme j’en ai l’habitude. Je suis lent, je la laisse tomber sur le lit. Si elle s’attend à ce que je sois tendre elle sera forcément surprise. Je veux juste faire monter le désir entre elle, comme on attise un feu pour qu’il soit brûlant et puissant … Qu’elle soit à genoux devant moi à la supplier de la prendre, encore une fois. Ma chambre sent l’encre et la peinture. Un mélange de cigarette et de mon parfum. Ils n’entrent jamais dans ma chambre vu que je verrouille toujours. Je la dépose sur le lit et lui vire son haut et sa petite culotte que j’attrape avec les dents … je glisse lentement le tissu sur ses cuisses et me redresse jusqu’à elle en la surplombant. Je n’ai pas émis un seul mot depuis sa supplique. Pas besoin. Je déteste les mots futiles, si ce n’est les supplications. Je vire mon jean sans prendre le temps de bien faire les choses et je lui relève les jambes avant de sourire soudain en coin. Ce sourire elle ne le connait que trop. J’avais le même la première fois qu’elle m’a vu, et au bal … elle savait qu’elle allait prendre son pied. Je la fais soudainement se retourner sur le ventre. J’emprisonne ses jambes entre les miennes et caresse ses fesses d’une main douce. Je les écarte doucement pour pouvoir avoir accès à son intimité plus facilement. Déjà humide et chaude. Je ricane doucement en m’enfonçant en elle, mes mains accrochées à ses poignets. Des mouvements lents, profonds. Juste pour qu’elle s’habitue à la sensation, à ma présence. J’étais si silencieux et si doux qu’elle devait se perdre. Je me mis à bouger en elle, d’abord lentement puis avec un peu plus de fougue …
Invité
Invité
Re: Bolin ♥ Laisse toi aller | Ven 15 Juil - 21:38 Citer EditerSupprimer
Cet homme avait le don de me déconcerter. Il arrivait à faire de moi ce qu’il voulait après mainte et mainte manipulation corporelle dont je n’avais même pas conscience. Tout ce dont j’étais certaine, c’était que je le trouvais de plus en plus attirant, et que cette attirance m’appelait tel un chant de sirène que je ne pouvais ignorer aussi longtemps que je ne l’aurais souhaité. C’était donc avec aisance que j’y succombais. Si je devais sombrer à nouveau dans les ténèbres, autant le faire avec classe et de ma propre initiative, mh ? a peine l’avais-je supplier de me prendre, qu’il me soulevait du sol. J’enroulais machinalement mes jambes autour de sa taille pour qu’il ne me lâche plus et le laissait me porter jusqu’à sa chambre. Je l’embrassais avec avidité, comme si ma vie en dépendait, gémissant quand il mordit ma lèvre inférieure. Je le laissais me porter jusqu’à sa chambre. On aurait sans doute été plus confortable dans le grand lit de ma chambre, mais il était aussi à Jae, et je voulais au moins lui laisser ca. Enfin, je ne sais pas comment expliquer. Je ne voulais pas souiller ce qu’il restait de nous, je crois. Faire plus de conneries que je n’en avais déjà faites. Je préférais ne pas y penser et me laisser aller au creux des bras de Bom Chan. Je laissais échapper un petit cri de surprise quand il me lâcha sur son lit, riant ensuite, enfantine. Je pus dire adieu à mon haut qu’il enleva rapidement d’une main experte. Et quand à ma culotte, on ne me l’avait encore jamais enlevé de façon si sexy. Je baisais les yeux sur lui pour le regarder faire, avec une lenteur implorante. Je n’eus pas le temps de prendre le temps de le déshabiller à mon tour pour caresser sa peau chaude et ses muscles saillants. Il m’en priva, mais un sourire en coin que je commençais à bien le connaitre. Et dans un geste rapide, je me retrouvais sur le ventre sans rien comprendre à ma vie, les jambes serrées et emprisonnées entre les siennes. J’essayais de me tortiller un peu, mais sa prise était trop forte pour que je puisse bouger le bas du corps. Je fermais les yeux, profitant les caresses qu’il prodiguait sur mes fesses, jouant avec. Quand je l’entendis ricaner, c’était comme le lancement des hostilités. La partie venait de vraiment commencer. Je le sentis pénétrer en moi avec une lenteur désespérante, mais profonde qui m’arrachait un gémissement de plaisir. Il était très doux par rapport aux autres fois, ce qui m’étonnait grandement, mais qui n’était pas pour me déplaire. Je me détendais sur ses draps, fermant même les yeux pour mieux profiter encore des sensations qu’il m’offrait, gémissant d plus belles à chacune de ses va et vient alors que j’étais humide et étroite dans cette position. Il me tenait les poignets pour m’empêcher de bouger et ca ne me dérangeait absolument pas. C’était la première fois que j’adhérais à ce genre de sexe où on m’empêchait de faire le moindre geste alors qu’on me pénétrait, et je devais admettre que ce n’était pas si désagréable. Surtout qu’il avait l’air de savoir ce qu’il faisait. Il aimait avoir le dessus, ca je l’avais déjà remarqué, mais ceci, c’était nouveau. Il était si doux et tendre avec moi aujourd’hui, que je le laissais faire sans chercher à me débattre, profitant ce qu’il m’offrait, n’oubliant pas de bien lui montrer l’effet qu’il avait sur moi, murmurait même son prénom du bout des lèvres de manière torride : « Bom Chan … »
Cet homme avait le don de me déconcerter. Il arrivait à faire de moi ce qu’il voulait après mainte et mainte manipulation corporelle dont je n’avais même pas conscience. Tout ce dont j’étais certaine, c’était que je le trouvais de plus en plus attirant, et que cette attirance m’appelait tel un chant de sirène que je ne pouvais ignorer aussi longtemps que je ne l’aurais souhaité. C’était donc avec aisance que j’y succombais. Si je devais sombrer à nouveau dans les ténèbres, autant le faire avec classe et de ma propre initiative, mh ? a peine l’avais-je supplier de me prendre, qu’il me soulevait du sol. J’enroulais machinalement mes jambes autour de sa taille pour qu’il ne me lâche plus et le laissait me porter jusqu’à sa chambre. Je l’embrassais avec avidité, comme si ma vie en dépendait, gémissant quand il mordit ma lèvre inférieure. Je le laissais me porter jusqu’à sa chambre. On aurait sans doute été plus confortable dans le grand lit de ma chambre, mais il était aussi à Jae, et je voulais au moins lui laisser ca. Enfin, je ne sais pas comment expliquer. Je ne voulais pas souiller ce qu’il restait de nous, je crois. Faire plus de conneries que je n’en avais déjà faites. Je préférais ne pas y penser et me laisser aller au creux des bras de Bom Chan. Je laissais échapper un petit cri de surprise quand il me lâcha sur son lit, riant ensuite, enfantine. Je pus dire adieu à mon haut qu’il enleva rapidement d’une main experte. Et quand à ma culotte, on ne me l’avait encore jamais enlevé de façon si sexy. Je baisais les yeux sur lui pour le regarder faire, avec une lenteur implorante. Je n’eus pas le temps de prendre le temps de le déshabiller à mon tour pour caresser sa peau chaude et ses muscles saillants. Il m’en priva, mais un sourire en coin que je commençais à bien le connaitre. Et dans un geste rapide, je me retrouvais sur le ventre sans rien comprendre à ma vie, les jambes serrées et emprisonnées entre les siennes. J’essayais de me tortiller un peu, mais sa prise était trop forte pour que je puisse bouger le bas du corps. Je fermais les yeux, profitant les caresses qu’il prodiguait sur mes fesses, jouant avec. Quand je l’entendis ricaner, c’était comme le lancement des hostilités. La partie venait de vraiment commencer. Je le sentis pénétrer en moi avec une lenteur désespérante, mais profonde qui m’arrachait un gémissement de plaisir. Il était très doux par rapport aux autres fois, ce qui m’étonnait grandement, mais qui n’était pas pour me déplaire. Je me détendais sur ses draps, fermant même les yeux pour mieux profiter encore des sensations qu’il m’offrait, gémissant d plus belles à chacune de ses va et vient alors que j’étais humide et étroite dans cette position. Il me tenait les poignets pour m’empêcher de bouger et ca ne me dérangeait absolument pas. C’était la première fois que j’adhérais à ce genre de sexe où on m’empêchait de faire le moindre geste alors qu’on me pénétrait, et je devais admettre que ce n’était pas si désagréable. Surtout qu’il avait l’air de savoir ce qu’il faisait. Il aimait avoir le dessus, ca je l’avais déjà remarqué, mais ceci, c’était nouveau. Il était si doux et tendre avec moi aujourd’hui, que je le laissais faire sans chercher à me débattre, profitant ce qu’il m’offrait, n’oubliant pas de bien lui montrer l’effet qu’il avait sur moi, murmurait même son prénom du bout des lèvres de manière torride : « Bom Chan … »
Contenu sponsorisé
Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5