NOM : oh. PRÉNOM : jihwan. ÂGE : 22. ORIGINES : coréen. NATIONALITÉ : coréen. CLASSE SOCIALE : aisé ORIENTATION SEXUELLE : who knows. CURSUS UNIVERSITAIRE : commerce. MÉTIER : . Code du règlement : ok TU VEUX T'INVESTIR? : soyons fou.  

“ Rumour has it : + paraît que tu dealais à busan + d'ailleurs paraît que déf h24  + paraît qu'une de tes petites groupies s'est suicidé après que tu l'ai rejeté + dessine des teubs en signe d’autographe +il parait qu’il a un gros zboub - demandez à Murdoch pour confirmation.

“ Caractère : Complexe, étrange, bizarre, mystérieux, joueur.
C'est bien les premières choses que l'ont pourrait dire sur toi lorsqu'on finit par réellement te connaître. C'est sûr que ça ne sera pas la conquête de hier soir qui te trouvera complexe ou autre, non elle, elle va juste penser que t'es un gros batard parce que tu lui as promit des choses et qu'au final elle a finit comme les autres, petit coup d'un soir. De base ces filles te trouvent cool, amusant, rieur, joueur. Puis une fois passer dans le lit c'est tout autre chose. T'aimes ça les jeux que ça soit pour n'importe quel catégorie que ce soit de jouer avec le cœur de certains comme pour accepter des défis à la con, regarde c'est pas pour rien que t'a eu un jour une couleur barbe à papa dans tes cheveux.
T'as peur de rien, du moins c'est bien ce que tout le monde pense. Non c'est sûr toi t'as pas peur de te prendre un poing dans la gueule ni même de remettre les gens  à leur place. Ta peur à toi elle est bien plus profonde et complexe après tout. T'es pas hypocrite, juste faux. Tu fais juste penser ce que t'as envie de faire penser aux autres, tu donne l'image que tu veux donner aux autres. Tu veux pas qu'on entre dans ton monde qu'on te découvre, qu'on connaisse ta putain de faiblesse. Ton passé. Lui.
T'es original, tu veux sortir du lot, ne pas être l'un de ses petits moutons et ça tu le montre assez bien.
Puis après t'as  ces petits défauts que plein d'autres ont, sans doute.

“ Once upon a time : Celui qui te fait oublier tout ça à présent n'est plus là. Il a disparu. Disparu sans laisser de trace. Il s'est envolé, il a tout plaqué et t'a abandonné. Tu lui en as voulu, tu lui en veux toujours, tu n'arrives pas à le pardonner. Tout cela est récent. Une semaine, deux semaines. Cela fait peut-être même un mois, voire même un an, sans doute même plus. Tu as perdu la notion du temps quand tu l'as perdu. Une partie de toi s'est envolé quand lui a prit son envole. Tu n'as pu l'arrêter. Le suivre, tu étais bloqué, on te retenait, tu ne sais ce qui te retenait, la vie peut-être. Tu veux te battre contre ces démons, ces mêmes démons qui l'ont emporté. Tu ne veux pas qu'ils t'emportent, tu ne veux pas être lâche comme lui l'a été. Au fond tu n'arrives pas à réaliser son départ. Parfois tu rentres chez toi en passant le retrouver sur ton lit à t'attendre, tu retournerais fouiller dans son armoire et lui prendrais des affaires. Tu attendrais son retour de soirée pour réussir à t'endormir correctement. Lorsqu'il te parlerait, tu sentirais encore ce mélange qui règne autour de lui. Gosse vous étiez proche, votre relation s'est peu à peu évaporé puis elle est revenue. Vous vous êtes à nouveau rapproché, il était un tout pour toi, ton modèle. Tu voulais devenir comme lui, agir comme lui, être autant cool que lui. Mais il n'est plus là, il t'a laissé sans un mot, il s'est envolé.

Son départ a joué de toi, il t'a transformé, changé. Tu n'es plus cette personne seule dans un coin de la classe. T'a changé de ville, de lycée. T'as voulu tout quitté, tes parents ne t'en on pas empêché. T'as commencé ta nouvelle vie. Une nouvelle bulle, une nouvelle carpace un nouveau monde. Non ton nouveau monde n'était pas le monde des bisounours, non tu avais plus opté pour un monde bien plus mouvementé qui te fais un peu plus souffrir, parce qu'au fond t'aimes ça souffre, mais ne le montrons pas, montrons une image d'un mec putain de cool, se tapant ce qui bouge, c'est bien plus intéressant que le petit déprimé de service. Touchons aux petits cachets magique, à la petite vodka et tout ce qui entoure, défonçons nous à ne plus savoir si l'on est demain, hier ou même aujourd'hui. Poste de Police. Maman, argent, plus d'histoire. Maman est comme toi, du moins elle était comme toi plus jeune, elle sait calmé. Maman maintenant est sous anti-dépresseur, partie au fin fond du Tibet pour oublier. Papa travail dans une très grande entreprise en Corée c'est grâce à elle que tu te retrouve à présent en Corée. En arrivant ici à Seoul t'as fait une croix sur cette ancienne vie, t'as dis adieu à jihwan qui se bouffer de l'intérieur, bouffé de remord, non ce mec là n'existe plus. Tu viens de Busan, oui tu parles satoori, oui les gens se foutent un peu de ta gueule mais y en a d'autres qui fondent direct, les petites groupiasses ça kiffe le satoori et ça ne kiffe pas que ça. On dira que grâce à ces petites groupies tu fais un peu plus connaître votre petit groupe, tu profites alors de ta popularité au seins du groupe pour avoir qui tu veux, briser un nouveau coeur et recommencer. T'aimes jouer avec leur petit coeur, elles pourraient tout ce que tu veux pour t'es beau yeux et ton sourire. Stupide. Les meufs sont tellement stupide et c'est ce qui t'entraîne à les faire souffrir et jouer d'elles, pourquoi ? T'aimes juste ça faire souffrir les autres. Puis quand il est dans les parages, tu joues deux fois plus, tu le regarde puis tu reste dans les bras d'une autres. Votre relation au début n'était pas, au début vous vous cherchiez, t'as pas trop compris ce qui se passait, tu commençais à jouer puis tu t'es laissé attraper dans un piége que tu ne voyais arriver. Il a bien joué ce petit con il t'a attrapé, tu continue de jouer mais ce n'est plus le même jeu, un truc qui a changé, un battement de coeur en trop. Tu l'avais pas vu arrivé, tu veux pas le voir arriver et pourtant merde tu penses tout le temps à lui, mais ça il ne faut pas lui dire, envoie le chier c'est mieux. Tu caches tout ça, tu ne veux pas qu'on le voit, non il ne faut pas. Alors tu lui dis, tu le fais souffrir et pour une fois sans réellement le vouloir, tu le fais parce que t'as peur du jugement des autres, tu veux pas que l'on vous pointe du doigt, non.