La sensation était grisante bien que lei se montrait sous une image qui différait grandement de ses habitudes lorsqu’il se laissait aller au plaisir charnel. Il fallait dire que yindee n’était pas le genre de personne qu’il se permettrait de posséder dans le courant de la nuit. C’était certainement pour cette raison qu’il laissait la tigresse le soin d’entreprendre, car lui aussi voulait l’observer. Elle grimpa enfin sur lui avant d’afficher un sourire plutôt satisfait, les yeux légèrement plissés sous le doux parfum de ce qui allait suivre. « - vous avez raison. Si je trouve votre point faible laissez-moi vous convoquer pour cet essai dans mon entreprise. » proposa subtilement l’homme d’affaire avant de glisser une main dans les cheveux ondulés de la belle, ne disant mot sur son interrogation. Ce qu’il désirait réellement ? retrouver son ancien amour peut-être. Mais c’était quelque chose qu’il se devait de garder caché. Il glissa une main sur sa cuisse légèrement dénudée alors qu’il sentit rapidement les pressions contre son bassin. « - un homme comme moi ne peut que désirer une femme comme vous. » siffla le chinois dont les mains découvraient un peu plus le corps de l’asiatique, profitant au passage pour insister sur sa chute de reins sensuelle. Finalement, sa ceinture fut la première à ficher le camp, laissant alors, apparaitre sous ce bas de velours, les bords d’un boxer uni et légèrement trop serré pour l’occasion. Il poussa un léger grognement sous les traitements de la ténébreuse avant de finalement la faire retomber sur le lit, glissant son corps contre le sien. Son pouce commença son chemin sur le bord d’une poitrine encore cachée qu’il dessina simplement alors que ses lèvres, à leur tour, se perdirent dans le cou parfumée de la femme, laissant courir quelques caresses tandis que le pantalon du brun glissa finalement avant d’être abandonné sur le bord du lit pour laisser la place à une nudité presque complète et inédite. Il fit alors subtilement ressentir son excitation et son semblant de désir contre la cuisse de yindee. « - il y a si longtemps que je ne me suis pas occupé d’une femme. » et par femme il entendait : l’être parfait, car si on prenait un peu plus de recul, voir un homme comme lei et une beauté comme l’étrangère s’allier de cette manière était un spectacle des plus sensuels. le chinois lui laissa son soutien-gorge qu’il considéra plutôt fin et appréciable, se relevant sur les genoux pour attraper doucement les pans de son tissu, le tirant légèrement vers le bas pour y découvrir un sexe qui lui donnait plutôt de l’appétit. Lei réalisa alors qu’il n’avait pas désiré une femme de cette façon depuis des années.

Wearing x Lingerie | La prostituée savait bien que pour l'homme d'affaire ce n'était pas qu'un simple instant de plaisir, c'était une sorte de bras de fer. Pour se tester, pour savoir s'ils allaient travailler ensemble. Parce qu'elle avait beau être au dessus de lui physiquement dans l'instant, cela ne voulait pas dire qu'elle avait le dessus dans la situation. Un bras de fer était réellement l'image parfaite pour décrire ce moment de grande sensualité. « Marché conclu. » Elle y penserait très sérieusement. En attendant, c'était à elle de trouver ses points faibles, non seulement parce que cela représentait un défi face à un homme comme lui, mais aussi parce que c'était son travail.  Jouant avec la frustration et l'anticipation du businessman, elle cherchait à réveiller ses bas instincts pour sonder l'homme qu'il était réellement. Il bascula les positions, et sans se débattre, elle le laissa la dominer, le client était roi. Elle sourit à ses caresses, il semblait vouloir être patient et vouloir bien faire, elle avait remarqué ça aussi dans sa façon de travailler, c'était donc une façon d'être. Elle le laissa se faire une place entre ses cuisses après l'avoir aidé à se défaire de son pantalon. Elle était satisfaite de sentir son excitation contre sa jambe, elle faisait les choses bien. Séductrice, elle laissa ses mains glisser le long du torse dessiné du chinois. Si l'une flattait la peau de son ventre, y laissant délicatement courir ses ongles, son autre main caressait le sexe durcît de Lei à travers le tissu de son boxer. « Ne voyez pas les choses ainsi, c'est une femme qui s'occupe de vous... » Elle sourit, accentuant les pressions sur sa virilité. Elle le laissa ôter le bas de ses sous-vêtements, le laissant l'observer comme bon lui semblait. Parfois, certains clients ne payaient que pour regarder. Il ne toucha pas à son soutien-gorge, ce qui ne la choquait pas non plus, certains hommes étaient plus excités par la lingerie que par la nudité. Elle se redressa légèrement pour glisser sa main dans le boxer de Lei, et de l'autre le baisser pour finir de le dénuder. Elle continua ses délicats mouvements sur l'érection de l'homme et se redressa à son tour pour être à genoux aussi en face de lui. Elle apposa ses lèvres à la peau de son cou, le parcourant de ses lèvres et de sa langue experte. Elle alla à ses clavicules qu'elle mordit doucement. Elle remonta ensuite à son oreille qu'elle mordilla avant d'y laisser courir son souffle brûlant. « J'ai de quoi se protéger dans ma pochette, à moins que vous aillez ce qu'il faut à porter de main... Que je puisse m'occuper de vous. »

L’homme se permit de frissonner alors qu’il se retrouva complètement privé de tissu sur son corps plutôt bien bâti. Il plaisait aux femmes, il le savait, et, autant qu’il les respectait, il ne pouvait s’empêcher, en temps normal, d’abuser de la situation. Car s’il y avait un bon nombre d’entrepreneurs puissants, on ne parlait pas assez de ces femmes de pouvoir : un peu comme yindee, mais malheureusement, elle n’était un de ces terrains faciles à conquérir. Mais lei n’avait pas d’autres méthodes, alors il avait choisi de se laisser aller contre elle, sans pour autant effacer son objectif principal des yeux. Il la paierait pour cette séance évidemment, même si pour le chinois, la femme n’était pas vraiment en train de faire son travail ; jamais il ne se serait permis, et pourtant il était là, allongé nu à ses côtés, caressant ce corps légèrement brun qui, une heure avant était pétri dans une si jolie tenue. Finalement ses paupières osèrent se fermer pour laisser place à un léger enivrement qui venait tout droit de fines caresses sur une érection qu’il avait longtemps été privée de plaisir. Il se laissa tomber sur le lit à nouveau mais cette fois, sa mine avait changé : elle était plus amicale, plus souriante, plus détendue en fait, parce que ce n’était pas simplement du sexe pour du sexe au fond, ça représentait bien plus. Le chinois passa sa main épaisse sur la nuque fine de l’asiatique et profita de sa proximité pour lui faire subir des traitements similaires aux siens, laissant ses lèvres descendre le long de sa nuque jusqu’à ce qu’elle s’échappe. Il se redressa légèrement, tiré de sa rêverie courte, il roula alors ses pupilles sur le côté « - je dois avoir ça oui. » lei s’assit au bord du lit et tira brusquement un tiroir pour se mettre à fouiller dedans, sortant alors une protection qu’il posa sur le lit. « - je ne vous laisserai pas faire ce travail dégradant. » lâcha le directeur un brin autoritaire mais toujours doux dans le ton de sa voix. Non. yindee n’aurait pas à user de ses lèvres soyeuses pour lui, l’excitation qu’il ressentait maintenant lui suffisait amplement, et puis au fond de lui, sans qu’il ne puisse se l’avouer, il aurait voulu voir quelqu’un d’autre se jeter sur son bas ventre pour le dévorer. lei esquissa un sourire alors qu’il déchira le papier pour enrouler le latex autour de sa peau tendue, chassant les mauvais esprits pour se concentrer à nouveau sur la beauté exotique en face de lui. il s’allongea à nouveau et tira la brune contre lui, glissant, sensuel, un pouce sur sa lippe inférieure comme pour la préserver.

Wearing x Lingerie | Yindee aimait les défis, elle aimait la compétition, et elle aimait gagner. Le nombre de marathons qu'elle avait déjà pu réaliser n'en était qu'un simple exemple. Et bien que le moment qu'elle était en train de partager avec le charismatique homme d'affaires pouvait sembler pour elle comme pour une énième session avec un client, elle le voyait plus comme un match qu'elle se devait de gagner. Comme si elle devait faire ses preuves avec cet homme alors qu'au final, avec lui, c'était plus à la verticale qu'à l'horizontale qu'elle pouvait l’impressionner. Au delà de vouloir le satisfaire, elle avait l'ambition de le déchiffrer, de comprendre cet homme au regard insondable. Le regardant prendre et trouver une protection, elle sourcilla à sa remarque. Était-ce par le moyen dont elle gagnait sa vie, parce qu'elle en avait prit l'habitude, qu'elle en était blasée ou désinhibée, elle n'avait visiblement pas la même notion de « dégradant » que lui. Était-ce que ses limites étaient au delà de la normale ? Elle se rallongea, le laissant l'attirer à lui. Elle laissa échapper un soupir à ses caresses, les feignait-elle ou non ? Était-ce un mécanisme de simuler ou non ? Personne ne pourrait le dire à part Yindee elle-même, et elle faisait tellement bien semblant que même elle ne savait plus parfois. Qu'en était-il dans l'instant ? Elle seule pourrait le dire, et elle ne le dirait pas. Trop fière pour avouer qu'elle pourrait être réellement en train de prendre du plaisir avec un client. Même si définitivement, il n'était pas un client comme les autres. Elle plaça son visage dans le cou du chinois, ayant capté chez lui un besoin d'attention, une certaine envie de douceur, elle espérait toucher juste. De nouveaux ses lèvres rosies et sa langue humide vinrent se perdre sur sa peau dorée. Ses mains descendirent le long du dos dans un geste assuré mais sensuel, elle s'arrêta sur sa cambrure, raffermissant ses caresses, accentuant le contact de leurs deux corps. Sa main droite quitta cette peau rebondie pour venir trouver l’érection du businessman, qu'elle guida jusqu'à son intimité – étonnamment humide pour un « client » – d'un geste assuré mais délicat. De son autre main, elle appuya sur ses reins, et souleva légèrement son bassin pour qu'il la pénètre finalement. L'intrusion ne la laissa pas indifférente, sa virilité agréablement conséquente. « Pas de faux pas jusque-là ? » A la fois une question, à la fois une affirmation, qu'elle posait avec un sourire assuré et séducteur.. Elle ondula son bassin contre celui du chinois, souhaitant le voir frissonner et l'entendre soupirer.  

Cela allait faire des années qu’il ne s’était pas laissé aller contre une femme. Il n’avait même jamais osé poser les yeux sur elles. Peut-être parce qu’il était marié et parce qu’il avait réellement l’impression de tromper son épouse. Pourtant ce rapport futur n’était pas anodin. C’était une bataille courtoise, menée par la meilleure des attaques et en même temps la défense la plus solide. Le sexe était un terrain sur lequel le chinois ne cessait d’être ambivalent, à la fois conquérant, dominateur et cruel, c’était lorsqu’il se retrouvait face à de telles courbes féminines que son envie de bien faire les choses et de sensualité prenaient le dessus. Comment pouvait-on abimer de si belles perles qu’étaient les femmes ? il ne pouvait pas s’imaginer l’emmener dans la chambre où il possédait ses jeunes hommes non. yindee était faite pour les salons, les robes longues et les lits aux édredons de soie. Et, bien qu’elle eu certainement une part de sauvage en elle, l’homme d’affaires ne pourrait la combler que de sa seule force corporelle. Il caressait la belle, découvrait sa lingerie, la douceur de cuisses hydratées, l’étroitesse de cette intimité qu’il préparait de quelques gestes habiles et langoureux. Elle était belle là, allongée, se laissant à la fois faire, et se permettant tout autant de prendre possession du corps du chinois. Sa poigne était aussi douce que déterminée et ce fut de cette manière que lei se retrouva bien vite à frissonner lorsqu’il sentit enfin son corps véritablement entrer en contact avec le sien. Il afficha un sourire discret et mystérieux avant de soulever les cuisses de la demoiselle pour la ramener un peu plus sous lui, la rendant presque invisible sous la largeur de ses épaules. « - pas du tout. Vous êtes à la fois patiente et entreprenante, j’apprécie ça. » pour les affaires naturellement. L’ainé allait enfin montrer ce qu’il savait faire réellement, sentant déjà une certaine envie et passion dévorer son intérieur comme pour lui rappeler que sa vraie nature finirait bien par ressortir et, qu’à défaut d’être doux et poli, il finirait par se conduire comme un véritable amant enflammé. Il aimait s’occuper des dames, bien que les occasions fussent plutôt rares. Le chinois ondula finalement ses hanches, savourant des sensations qu’il avait oubliées, libérant son enthousiasme par des grondements graves et discrets. Il s’empara d’une des chevilles de yindee, soulevant sa jambe pour lui laisser plus d’espace. lei se dressa et prit un rythme profond, frémissant, la naissance de ses jambes caressaient la peau de la dame chaque fois qu’il bougeait d’avant en arrière. C’était unique et délicieux.

Wearing x Lingerie | C'était toujours assez déroutant pour Yindee de désirer un client. Ce n'était pas la première fois, mais ça restait déconcertant. C'était une barrière, une limite qu'elle se mettait qui tombait. C'était particulier. Encore plus avec Lei. Allez savoir pourquoi, son inconscient lui disait que c'était peut-être dangereux, comme être dans la cage au lion. Mais elle n'allait pas se laisser dévorer, elle allait le dompter. L'intrusion en elle était conséquente, et terriblement plaisante. Il avait une façon de la dominer, avec une attention, un respect même, qui grisait la jeune femme plus qu'elle ne l'aurait voulu. Un soupir discret s'échappa de ses lèvres légèrement ouvertes. Un sourire étira ses lèvres au compliment de l'homme d'affaires. Elle comprenait qu'il ne parlait pas que de leurs ébats. Elle admirait que malgré la situation, il ne perdait pas son objectif de vue, ça le rendait encore plus séduisant. Elle suivit le rythme qu'il imposa, caressant son dos et la chute de ses reins dans des gestes délicats mais experts. Elle se laissa faire lorsqu'il modifia leur position, et marqua le rythme de ses hanches également. Les mains posées sur sa chute de reins, elle le caressait avec une sensualité qu'elle avait rarement au sein de son travail. Désireuse d'attiser et de découvrir l'homme qu'il était réellement, elle remonta une de ses mains le long de sa colonne vertébrale dans une caresse pour la perdre dans ses cheveux. Elle y effectua une pression sans pour autant tirer dessus, ne sachant quelles étaient ses limites, elle les cherchait encore. Elle laissait échapper des soupirs sensuels et presque élégants, étaient-ils simulés ? Les laissait-elle échapper pour le simple ego et plaisir de Lei ? Qui sait... Elle pourrait se convaincre que oui, mais les frissons qui se voyaient sur son épiderme disaient tout autre chose. Il avait quelque chose de si séduisant, et pas seulement en tant qu'homme... Il séduisait les clients et les personnes avec qui il travaillait... Elle se redressa légèrement, amenant son buste contre celui du chinois. Elle vint embrasser et soupirer contre la peau qu'elle rencontrait, pour remonter à son oreille. Elle laissa ses soupirs courir contre sa peau, son souffle chaud flattant le désir de Lei, et laissant quelques gémissements pour attiser son excitation. « Assez de flatterie, montrez moi qu'elle homme vous êtes... » Elle suça le lobe de son oreille avant de gémir au creux de celle-ci. « Pour savoir avec qui je pourrais travailler. »

Lei ne perdait pas son objectif en vue, bien qu’il fût fortement tenté de faire de cet échange, un pur moment de désir et de plaisir. Il était forcé d’avouer que cette femme en face de lui, avait le don d’allumer en son être, une lumière qu’il avait oublié depuis longtemps. On ne pouvait dire que le chinois était très actif sur ce point avec son épouse ; ils ne se regardaient plus, ne se touchaient plus. Il lui adressait un mot quelque fois mais était surtout présent pour parler travail. La dame feng lui reprochait d’ailleurs de ne penser qu’à lui, à ses affaires, à son business et parfois à son plaisir personnel lorsqu’il se permettait d’être bien accompagné lors des grandes réceptions. Madame n’aimait pas vraiment les diners, parce qu’elle savait très bien que son mari, en venant avec une autre femme et ou un jeune homme (ce qui n’était arrivé que très rarement), l’humiliait ouvertement sans cracher cependant son venin. Alors il touchait la peau de yindee, la faisait sienne pour un temps dans cet angle si intime. Il appuya une main dans son dos pour la maintenir contre lui, savourant les baisers d’une femme qui savait seulement paraitre aimante. Il afficha un sourire, sentant le poids de ses cuisses retomber sur les siennes. Elle voulait voir quel homme il était vraiment ; il ne pouvait lui offrir ce plaisir malheureusement. Lei avait appris à être doux et distant avec les femmes et cruel et passionné avec les garçons. Il ramena les cheveux de la belle sur un côté de son épaule avant de la soulever à nouveau, d’une facilité presque séduisante. L’homme prit enfin les choses en main. Il se mit debout, dégagea la commode et installa la prédatrice dessus, soulevant souplement une de ses cuisses pour l’embrasser. Il était étrangement silencieux, ancré et concentré dans ses mouvements. Il était le client de yindee et pourtant c’était bien lui qui cherchait à lui plaire. Une seconde intrusion s’opéra enfin, beaucoup plus rapide, beaucoup plus sensible. Il glissa ses grandes mains sur la naissance des hanches de la jeune femme et fit rouler son bassin, les muscles serrés, saillants, le regard fuyard dans son cou. Sa taille s’agitait, sa peau claquait légèrement ; il n’était ni violent, ni doux, seulement lui ; ce chinois qui avait appris à connaitre les femmes et à aimer leur sensibilité, à repérer leur péché, à jouer avec leurs plaisirs. Le corps serré, actif, l’épiderme éveillé, frissonnant.

Les émotions en pagaille Yindee essayait de garder l'esprit clair. Le fait qu'elle trouvait Lei séduisant et fascinant ne l'aidait pas. Dans son travail, elle avait toujours gardé une certaine distance entre elle et les clients, bien que certains des fois lui plaisaient physiquement et que d'autres parvenaient à lui donner un certain plaisir. Mais avec le chinois, c'était différent, troublant, parce qu'au delà d'une simple « passe », il y avait un vrai enjeu dans cet échange. Il s'appliquait, la cherchait, la sondait, alors que c'était son travail à elle. C'était déroutant, grisant, mais bien évidemment, elle ne laissait rien paraître à part quelques soupirs et gémissements. Elle lui laissait de choisir s'il préférait penser qu'ils étaient simulés ou non. Elle l'observa se défaire d'elle, et haussa un sourcil en le voyant agencer son petit manège. Un sourire prît possession de ses lèvres lorsqu'il vint la soulever pour la poser sur cette commode. « Un semblant de folie chez Monsieur Feng... » Un chuchotement à son oreille, elle laissa son souffle courir sur sa peau avant de mordre le lobe de son oreille. Au creux de celle-ci, elle lâcha un gémissement étranglé en le sentant entrer à nouveau en elle. Avec un peu plus de passion, il s'activa entre ses cuisses écartées. Elle caressait et palpait le bas de son dos et sa chute de reins, y plantant légèrement ses ongles mais pas assez pour y laisser des traces. Elle remarquait qu'il était mesuré, beaucoup d'hommes auraient cédé à leurs bas instincts en cet instant, mais lui résistait et gardait cette maîtrise de lui-même si impressionnante. Yindee ferma les yeux, ressentant trop de sensations dans cette nouvelle position, et les assauts de Lei bien que mesurés la rendait plus sensible. Elle vint nouer ses jambes autour de la taille de l'homme d'affaire, continuant de soupirer proche de son oreille pour attiser son excitation et sa satisfaction. Elle sentait son souffle sur la peau de son cou et ne pouvait empêcher son épiderme de frissonner. Elle fît remonter une main le long de se colonne vertébrale, caressa sa nuque et finît par la perdre dans ses cheveux sur lesquels elle tira doucement. Pour augmenter le plaisir du chinois, elle contracta son bassin se rendant plus étroite. Comme lui comme pour elle, les sensations étaient plus intenses, et Yindee ne parvint pas à retenir un profond gémissement, maltraitant un peu plus la chevelure de Lei. De façon répétée, elle se contractait titillant les nerfs et le plaisir de cet homme charismatique. Et elle devait s'avouer que même dans l'action, il la déroutait et c'était loin d'être déplaisant.

Un semblant de folie oui. Malheureusement, si la jeune femme attendait de lei qu’il soit davantage brusque, elle serait certainement déçue. C’était plus fort que lui. il n’arrivait pas à manquer de respect aux femmes. Alors oui, il savait jouer aux amants passionnés quand il l’estimait nécessaire. Le chinois connaissait très bien les demoiselles, connaissait leur envie d’être en compagnie à la fois d’un gentleman et à la fois d’un barbare. Sa femme n’avait pas mesuré la chance qu’elle avait pu avoir de partager quelques mois son lit avant de quitter les lieux. Il n’y en avait eu qu’un qui avait su mesurer l’importance de l’homme d’affaire, malheureusement son statut n’avait pas permis à lei de le garder près de lui. mais yindee semblait être une femme qui connaissait parfaitement son métier, étant donné qu’elle avait réussi à ranimer une petite flamme de plaisir chez le plus vieux. Il était là, près d’elle et il prenait un certain plaisir à posséder ce corps mais surtout cette personnalité. Il espérait la conquérir, la gagner, remporter son contrat et sa confiance par la même occasion. Naturellement, il n’aurait pas pu prévoir que leurs accords se signeraient ou non de cette manière, mais il était vrai que dans le monde des affaires du chinois, tout semblait se régler par la luxure. C’était pour cette raison qu’il avait ouvert un réseau de jeunes hommes qui offraient leur service à lei en échange d’un toit, d’un salaire et d’une protection totale. Ils étaient ses trésors silencieux. L’homme remonta doucement les cuisses de la belle, de manière à pouvoir continuer de pose des baisers sur ses chevilles incroyablement fines. Un soupir s’échappa de ses lèvres alors qu’il sentait que sa fin était proche, que son point de plaisir arrivait à sa finalité. Alors il accéléra vivement ses coups, serra les cuisses de yindee en posant ses mains expertes sur sa peau pour la presser, ses yeux se fermèrent et se crispèrent davantage. Un grognement. Rauque, grave. Il ralentit. Entrouvrit les lèvres pour lâcher son plaisir et finalement il vint. Il n’était pas vraiment du genre à crier, à dire des insanités quand il sentait la jouissance envahir son corps, déjà parce que c’était ridicule dans la situation présente et en plus parce qu’il avait une image à garder. Lei resta un moment contre la brune avant de se détacher, affichant un air froid, comme à son habitude, très formel. Il jeta le préservatif sans un mot et c’est une fois qu’il fut rhabillé qu’il souleva yindee de son meuble pour l’installer sur le lit, de nouveau courtois. « - si vous désirez prendre une douche je vous en prie. Sinon nous pouvons directement retourner à mon bureau. » il lui montra d’un coup de menton la salle de bain dans la chambre alors qu’il réajustait sa cravate lentement un peu distrait.

Yindee ne cherchait pas à être brutalisée, elle ne cherchait pas à pousser Lei à avoir un comportement avec elle qui n'était pas naturel chez lui. Elle voulait juste le cerner, le comprendre, elle savait l'homme d'affaire qu'il était, elle voulait découvrir l'homme derrière ce masque. Mais même dans l'action, il restait ce qu'il était, comme si malgré le désir, le plaisir, il gardait ce masque. Était-ce toujours le cas, n'avait-il jamais de moment de relâche ? Elle le fixait de ses yeux noirs et brillants, le détaillait, son visage, son regard mais aussi son corps sculpté. Alors qu'il remontait les jambes de la jeune femme en accélérant le rythme de ses pénétrations, elle se mordit la lèvre pour ne pas gémir. Quand bien même elle appréciait le moment et quand bien même c'était visible, elle tenait elle aussi à garder la face, à ne pas montrer trop de plaisir, par fierté, par esprit de contradiction ou par stratégie peut-être aussi. Elle regarda le corps musclé du chinois se tendre et son visage se contracter alors qu'il atteignait le point culminant de son plaisir. Elle poussa un soupir tremblant, perturbée par ce qui avait été un bras de fer tout en douceur et en luxure. Il se retira d'elle, et elle resta assise sur ce meuble un instant, reprenant doucement ses esprits. Fidèle à lui même, il redevint distant, impassible. L'ambiance à nouveau très formelle confortait Yindee dans le fait que malgré le plaisir qu'elle avait pu ressentir ce n'était que purement et simplement du business. Elle allait se relever lorsqu'il vint l'aider à se reposer sur le lit. Elle l'écouta et ne pu empêcher un léger sourire en coin qui vint soulever le bord droit de ses lèvres. Elle l'aida à refermer correctement le nœud de sa cravate, peu gênée de le voir vêtu à nouveau alors qu'elle était encore à moitié nue. « Laissez-moi quelques minutes dans la salle de bain... » Non pas qu'elle allait se doucher, mais elle n'aimait pas se rhabiller devant des clients, aussi particuliers soient-ils. Cet aspect de se rhabiller ensemble, de quitter la chambre ensemble, c'était presque trop intime. Elle préférait les voir sortir ou fuir une fois qu'ils avaient obtenu ce qu'ils voulaient d'elle, ça permettait aux choses d'être claires. Prenant son sous-vêtement et sa robe qu'elle posa sur son bras avec le plus grand soin, elle entra dans la salle de bain. Comme prévu, elle ne mit que quelques minutes à se rafraîchir et à se rhabiller. Elle sortit ensuite de la chambre pour retourner dans le bureau de Lei où elle le trouva à nouveau à sa place, celle du patron. « Vos invités ne vont pas vous en vouloir de vous éclipser aussi longtemps ? » Elle se rapprocha de son bureau, s'asseyant dans le siège en face de lui. « Pas que je m'en plaigne. Vous m'avez rendu la réflexion quant à votre proposition plus difficile, ou plus aisée je ne sais pas encore. »