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Peek-a-boo #Hara ♡
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 1 Déc - 16:00
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Un brin troublé par la chute et ces souvenirs qui n’avaient lieux d’être, je mettais un moment à me rendre compte de la situation dans laquelle nous nous trouvions. C’était toi qui me ramenais réellement sur Terre, commençant à t’agiter comme si j’avais souhaité te plaquer dans ce lit de ma propre volonté. Ma main gauche je venais poser près de ton visage rapidement pour libérer l’autre sous tes cheveux et, ainsi, me redresser rapidement. Pourquoi te débattais-tu de la sorte au juste ? A présent redresser, assis les fesses sur mes talons pour ne pas appuyer sur ta jambe, je te regardais avec une certaine surprise. « Rose ? » pensais-je alors, étonné que tu puisses porté une couleur si vive sous un haut aussi découvert. Mais je n’attardais pas mes yeux sur ta poitrine en partie découverte, d’ailleurs, j’attrapais un pan du drap pour te recouvrir et, ainsi, peut être évité tes foudres une nouvelle fois.
Les lèvres pincées, je ne savais un instant que dire, devais-je m’excuser ? Te demander comment tu allais alors que la panique s’était fait sentir dans tes gestes ? Me détestais-tu à ce point ? Ou avais-tu l’impression que j’allais sauter sur n’importe qu’elle occasion pour te faire mienne ? Silencieux un moment, j’osais enfin ouvrir la bouche pour te laisser entendre un brin de timidité dans ma voix. « Tu vas bien ?» Je n’osais bouger ou faire un geste, ne voulant me retrouver victime de ton courroux une fois de plus par mégarde.
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa 
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Un brin troublé par la chute et ces souvenirs qui n’avaient lieux d’être, je mettais un moment à me rendre compte de la situation dans laquelle nous nous trouvions. C’était toi qui me ramenais réellement sur Terre, commençant à t’agiter comme si j’avais souhaité te plaquer dans ce lit de ma propre volonté. Ma main gauche je venais poser près de ton visage rapidement pour libérer l’autre sous tes cheveux et, ainsi, me redresser rapidement. Pourquoi te débattais-tu de la sorte au juste ? A présent redresser, assis les fesses sur mes talons pour ne pas appuyer sur ta jambe, je te regardais avec une certaine surprise. « Rose ? » pensais-je alors, étonné que tu puisses porté une couleur si vive sous un haut aussi découvert. Mais je n’attardais pas mes yeux sur ta poitrine en partie découverte, d’ailleurs, j’attrapais un pan du drap pour te recouvrir et, ainsi, peut être évité tes foudres une nouvelle fois.Les lèvres pincées, je ne savais un instant que dire, devais-je m’excuser ? Te demander comment tu allais alors que la panique s’était fait sentir dans tes gestes ? Me détestais-tu à ce point ? Ou avais-tu l’impression que j’allais sauter sur n’importe qu’elle occasion pour te faire mienne ? Silencieux un moment, j’osais enfin ouvrir la bouche pour te laisser entendre un brin de timidité dans ma voix. « Tu vas bien ?» Je n’osais bouger ou faire un geste, ne voulant me retrouver victime de ton courroux une fois de plus par mégarde.
(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 1 Déc - 17:53
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
La situation ne me suscitait plus du tout l’envie de rire. Pas même d’un rire narquois ou de me moquer de toi pour ta maladresse. Sans doute un jour de la ressortirais-je en guise de pique, mais pour l’instant, j’avais pour seulement empressement de me libérer de ton poids. De ma vulnérabilité ainsi coincée sous toi. A quoi pensais-tu pour me mettre autant de temps à te relever ? Étais-tu juste étonné ou te perdais-tu dans les méandre de ton imagination dus à notre proximité ? Je ne préférais même pas y penser, et dès que tu fus suffisamment redresser, je ne perdis pas un instant. De mes bras aux mouvements libérés de ton oppression, je planquais mes paumes sur ton torse dénudé afin de mieux te repousser. Jusqu’à te faire basculer en arrière saisissant l’opportunité de m’extraire de cette position inappropriée. Sitôt, je sautais sur mes pieds et effectuais les quelques pas m’éloignant, et de toi, et de ton matelas. Du bout de mes doigts, mon haut je remontais afin de ne plus laisser paraître cette bordure de dentelle d’un rose saillant sur la chair blanche et bombée de ma poitrine. « Comment veux-tu que j’aille alors que tu viens de m’écraser ? » pestais-je en réponse à ta question qui me paraissait si stupide. D’une part, bien sûr que non, ça n’allait pas ! D’autre part, jamais je ne l’admettrais ! Et certainement pas à toi ! Alors oui, je mettrais tout sous le compte de ton poids qui par son appui, mon souffle avait été coupé. De ta nudité aussi ! Quelle fille pourrait tolérer de se retrouver dans entouré d’un bras bienveillant, la couvant sur un lit avec un type à moitié dénudé, et qui n’était guère plus qu’un étranger ! « Il faut toujours que tu trouves un moyen pour que je te déteste… » murmurais-je à moi-même, d’une voix si basse qu’elle n’était destinée à parvenir à tes oreilles. « Et efface cette vidéo ! » clamais-je détourant la conversation pour la ramener à notre point premier que de mon index je pointais : ton foutu montage affiché à l’écran de l’ordinateur en pause.
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
La situation ne me suscitait plus du tout l’envie de rire. Pas même d’un rire narquois ou de me moquer de toi pour ta maladresse. Sans doute un jour de la ressortirais-je en guise de pique, mais pour l’instant, j’avais pour seulement empressement de me libérer de ton poids. De ma vulnérabilité ainsi coincée sous toi. A quoi pensais-tu pour me mettre autant de temps à te relever ? Étais-tu juste étonné ou te perdais-tu dans les méandre de ton imagination dus à notre proximité ? Je ne préférais même pas y penser, et dès que tu fus suffisamment redresser, je ne perdis pas un instant. De mes bras aux mouvements libérés de ton oppression, je planquais mes paumes sur ton torse dénudé afin de mieux te repousser. Jusqu’à te faire basculer en arrière saisissant l’opportunité de m’extraire de cette position inappropriée. Sitôt, je sautais sur mes pieds et effectuais les quelques pas m’éloignant, et de toi, et de ton matelas. Du bout de mes doigts, mon haut je remontais afin de ne plus laisser paraître cette bordure de dentelle d’un rose saillant sur la chair blanche et bombée de ma poitrine. « Comment veux-tu que j’aille alors que tu viens de m’écraser ? » pestais-je en réponse à ta question qui me paraissait si stupide. D’une part, bien sûr que non, ça n’allait pas ! D’autre part, jamais je ne l’admettrais ! Et certainement pas à toi ! Alors oui, je mettrais tout sous le compte de ton poids qui par son appui, mon souffle avait été coupé. De ta nudité aussi ! Quelle fille pourrait tolérer de se retrouver dans entouré d’un bras bienveillant, la couvant sur un lit avec un type à moitié dénudé, et qui n’était guère plus qu’un étranger ! « Il faut toujours que tu trouves un moyen pour que je te déteste… » murmurais-je à moi-même, d’une voix si basse qu’elle n’était destinée à parvenir à tes oreilles. « Et efface cette vidéo ! » clamais-je détourant la conversation pour la ramener à notre point premier que de mon index je pointais : ton foutu montage affiché à l’écran de l’ordinateur en pause. (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 1 Déc - 20:53
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
A présent seul sur le lit, je m’asseyais en tailleur en gardant les yeux loin de ta personne le temps que tu te rhabilles correctement. Mes lèvres se pinçaient alors que tu me sifflais un reproche que je n’avais pu contrôler. Si, dans notre chute, j’aurais pu éviter de t’écraser, ne penses-tu pas que je l’aurais fait ? Pourtant j’admettais la réponse de mon silence, mes mains se mettant à jouer avec un bout de tissu en voulant absolument oublier ce qu’il venait de se passer. En tout cas… J’aurais pu en rire, si tu avais trouvé la situation amusante mais ta panique avait rendu la chose sérieuse. Pourquoi avais-tu paniqué même ? Je ne te comprenais pas assez encore pour savoir ce qui t’avais traversé l’esprit et, malgré mon envie de me faire pardonner, j’avais conscience que la seule chose possible pour moi était de garder mes distances. Alors je tâchais de le faire sagement, certain qu’au moins, cela tu en serais reconnaissant… A défaut de me détester pour tout le reste.
« Et efface cette vidéo ! »
A ces mots, je relevais la tête vers toi puis mon écran. Que j’efface cette vidéo ? Entièrement ? Certainement pas ! Tout désolé que j’étais, je refusais néanmoins de le faire. « Je peux pas… Je peux effacer les parties que tu veux pour éviter les soucis mais… » Un soupir passait mes lèvres alors que je me levais vers l’ordinateur pour faire la première suppression de ce que je pensais être une longue série… « Pourquoi tu bois si tu tiens pas l’alcool aussi… » Loin de t’être destiné, je me posais quand même la question. Toi qui était si fière, si paniquée dans les bras d’un homme, comment pouvais-tu te mettre dans un tel état d’ébriété ? Ça me dépassait totalement bien qu’il fallait l’avouer… ce piercing sous la clavicule n’était pas là sans raison non plus… Mais j’avais au moins un vague souvenir de m’être fait percer !
Peek-a-boo
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A présent seul sur le lit, je m’asseyais en tailleur en gardant les yeux loin de ta personne le temps que tu te rhabilles correctement. Mes lèvres se pinçaient alors que tu me sifflais un reproche que je n’avais pu contrôler. Si, dans notre chute, j’aurais pu éviter de t’écraser, ne penses-tu pas que je l’aurais fait ? Pourtant j’admettais la réponse de mon silence, mes mains se mettant à jouer avec un bout de tissu en voulant absolument oublier ce qu’il venait de se passer. En tout cas… J’aurais pu en rire, si tu avais trouvé la situation amusante mais ta panique avait rendu la chose sérieuse. Pourquoi avais-tu paniqué même ? Je ne te comprenais pas assez encore pour savoir ce qui t’avais traversé l’esprit et, malgré mon envie de me faire pardonner, j’avais conscience que la seule chose possible pour moi était de garder mes distances. Alors je tâchais de le faire sagement, certain qu’au moins, cela tu en serais reconnaissant… A défaut de me détester pour tout le reste. « Et efface cette vidéo ! »
A ces mots, je relevais la tête vers toi puis mon écran. Que j’efface cette vidéo ? Entièrement ? Certainement pas ! Tout désolé que j’étais, je refusais néanmoins de le faire. « Je peux pas… Je peux effacer les parties que tu veux pour éviter les soucis mais… » Un soupir passait mes lèvres alors que je me levais vers l’ordinateur pour faire la première suppression de ce que je pensais être une longue série… « Pourquoi tu bois si tu tiens pas l’alcool aussi… » Loin de t’être destiné, je me posais quand même la question. Toi qui était si fière, si paniquée dans les bras d’un homme, comment pouvais-tu te mettre dans un tel état d’ébriété ? Ça me dépassait totalement bien qu’il fallait l’avouer… ce piercing sous la clavicule n’était pas là sans raison non plus… Mais j’avais au moins un vague souvenir de m’être fait percer !
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 1 Déc - 22:14
« Play the game again
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Tu ne pouvais pas ? Oh que si, tu allais le pouvoir, je te le prouverais s’il le fallait ! Mais de toi-même, tu enchainais sur une alternative… acceptable ? À une certaine condition :« Bien, dans ce cas, il ne doit plus rester aucune trace de ma personne dans cette vidéo. » Je ne transigerais pas là-dessus. Je ne pouvais pas permettre que ta stupide vidéo pour un partage ridicule sur le net soit l’origine de tout un tas d’ennuis, dont tu ne serais toi-même épargné.
Je m’apprêtais ensuite à te rejoindre face à l’ordinateur – car indubitablement, je ne te ferais confiance et chaque suppression se ferait sous ma surveillance – lorsque ton insinuation suivante m’irrita. « Et je ne bois presque jamais ! » M’entendre pointer mon inconscience de ta bouche me semblait d’une ironie indigeste. « Ce fut un cas exceptionnel dans des circonstances exceptionnelles ! » Parce que tu m’avais vu une fois en état d’ébriété, tu te permettais de me juger ? Pourrais-tu seulement revendiquer toi aussi que le nombre de fois où tu avais été sous l’emprise de l’alcool se comptait sur les doigts de la main ? D’une seule main ! Je doutais fort rien qu’à te regarder ! « Les règles du jeu avaient été établies tous ensemble, pour faire plaisir à tout le monde et que tout le monde puisse s’amuser ! » La plupart des gens s’amusait en buvant et cette fois-ci j’avais concédé que l’alcool pourrait attiser les spéculations de notre esprit sur notre environnement pour une meilleure immersion surnaturelle. « C’est aussi de ma fonction de montrer l’exemple en suivant les règles mise en place. » Celle-ci étant fort rares avec les gumihos et bien souvent lorsqu’existantes, plutôt décalées, voire complètement givrées. « Le cocktail de départ n’aurait pas dû être si puissant, » continuais-je à me défendre, et d’ailleurs, je n’avais toujours pas réussi à résoudre le mystère de son véritable contenu qui nous avait valu de pareilles hallucinations collectives. « Ensuite, tu as bien eu la preuve de ma prudence lorsque je t’ai demandé de gouter ma boisson surprise pour vérifier… » Ma phrase, brièvement, je suspendis tandis qu’un doute m’assaillit. « Tu ne m’aurais pas piégée ? » te demandais-je, ma méfiance à nouveau raviver. Toi qui, pour quelqu’un ayant écopé de ma boisson prétendument corsée, t’en était rudement bien sorti de cette soirée…
Peek-a-boo
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Tu ne pouvais pas ? Oh que si, tu allais le pouvoir, je te le prouverais s’il le fallait ! Mais de toi-même, tu enchainais sur une alternative… acceptable ? À une certaine condition :« Bien, dans ce cas, il ne doit plus rester aucune trace de ma personne dans cette vidéo. » Je ne transigerais pas là-dessus. Je ne pouvais pas permettre que ta stupide vidéo pour un partage ridicule sur le net soit l’origine de tout un tas d’ennuis, dont tu ne serais toi-même épargné.
Je m’apprêtais ensuite à te rejoindre face à l’ordinateur – car indubitablement, je ne te ferais confiance et chaque suppression se ferait sous ma surveillance – lorsque ton insinuation suivante m’irrita. « Et je ne bois presque jamais ! » M’entendre pointer mon inconscience de ta bouche me semblait d’une ironie indigeste. « Ce fut un cas exceptionnel dans des circonstances exceptionnelles ! » Parce que tu m’avais vu une fois en état d’ébriété, tu te permettais de me juger ? Pourrais-tu seulement revendiquer toi aussi que le nombre de fois où tu avais été sous l’emprise de l’alcool se comptait sur les doigts de la main ? D’une seule main ! Je doutais fort rien qu’à te regarder ! « Les règles du jeu avaient été établies tous ensemble, pour faire plaisir à tout le monde et que tout le monde puisse s’amuser ! » La plupart des gens s’amusait en buvant et cette fois-ci j’avais concédé que l’alcool pourrait attiser les spéculations de notre esprit sur notre environnement pour une meilleure immersion surnaturelle. « C’est aussi de ma fonction de montrer l’exemple en suivant les règles mise en place. » Celle-ci étant fort rares avec les gumihos et bien souvent lorsqu’existantes, plutôt décalées, voire complètement givrées. « Le cocktail de départ n’aurait pas dû être si puissant, » continuais-je à me défendre, et d’ailleurs, je n’avais toujours pas réussi à résoudre le mystère de son véritable contenu qui nous avait valu de pareilles hallucinations collectives. « Ensuite, tu as bien eu la preuve de ma prudence lorsque je t’ai demandé de gouter ma boisson surprise pour vérifier… » Ma phrase, brièvement, je suspendis tandis qu’un doute m’assaillit. « Tu ne m’aurais pas piégée ? » te demandais-je, ma méfiance à nouveau raviver. Toi qui, pour quelqu’un ayant écopé de ma boisson prétendument corsée, t’en était rudement bien sorti de cette soirée…
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 2 Déc - 6:19
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Restart! »
Mes doigts se stoppaient un moment, me demandant si ton ordre fut sérieux ou non. Plus aucune trace de ta personne ? Alors que tu fusses la Mercy qui m’accompagnait ? Moi ? Mccree ? Sans oublier le nombre de scènes où tu te trouvais être présente. Cette vidéo serait de toute évidence un massacre de premier ordre ! Mon coude se posait sur le bureau, amenant alors mes doigts sur mes tempes dans une pré-fatigue des plus conséquentes. Pourquoi avais-je voulu que tu ne viennes dans cette chambre pour en parler déjà ? Ah oui ! Parce que tu étais la seule personne susceptible de me faire renvoyer tant du dortoir que de mon travail… A ma question soufflée juste avant que ce désespoir ne me gagne, tu semblais désireuse de te défendre encore et encore inlassablement. Avais-je dit quelque chose de mal ? Pourquoi te sentais-tu obligée de partir dans une explication aussi longue ? Mes yeux se tournaient vers toi lorsque tu évoquais les règles mises en place mais voilà que tu revenais en rajouter encore. Si ta voix n’était pas des plus désagréables à entendre, tes mots eux, savaient épuisés même le plus résistant des hommes… Mon attention je reportais sur mon écran, t’écoutant sans trop faire attention une seconde. Une seule. La seconde d’après te voilà à aborder un sujet qu’il me valait mieux noyer : ta boisson.
Mes sourcils se fronçaient un instant, incapable de savoir si la vérité se devait d’être dite ou cachée… Alors j’optais pour la troisième solution : ne rien en dire. Plutôt que de parler de la boisson que je t’avais prise par goût personnel, parler de la mienne pour te faire comprendre que vraiment… Je te t’avais rien donné d’aussi affreux ! « C’était pas fort… Techniquement pas assez pour te mettre dans cet état en tout cas… » Je venais à sélectionner quelques secondes en plus pour les effacer ensuite tout en me demandant si ça serait assez pour te faire oublier le contenu de ta propre boisson à toi… Un instant, je mordais cette lèvre inférieure innocente avant de reprendre. « Même si c’était mignon à voir en soi. Tu changes vraiment quand t’as bu, j’avais presque le sentiment que tu m’appréciais ! » Presque...Mais tu risquais très vite de me haïr encore plus si tu venais à poser trop de questions ou à regarder le contenu entier de cet enregistrement..
Peek-a-boo
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Mes doigts se stoppaient un moment, me demandant si ton ordre fut sérieux ou non. Plus aucune trace de ta personne ? Alors que tu fusses la Mercy qui m’accompagnait ? Moi ? Mccree ? Sans oublier le nombre de scènes où tu te trouvais être présente. Cette vidéo serait de toute évidence un massacre de premier ordre ! Mon coude se posait sur le bureau, amenant alors mes doigts sur mes tempes dans une pré-fatigue des plus conséquentes. Pourquoi avais-je voulu que tu ne viennes dans cette chambre pour en parler déjà ? Ah oui ! Parce que tu étais la seule personne susceptible de me faire renvoyer tant du dortoir que de mon travail… A ma question soufflée juste avant que ce désespoir ne me gagne, tu semblais désireuse de te défendre encore et encore inlassablement. Avais-je dit quelque chose de mal ? Pourquoi te sentais-tu obligée de partir dans une explication aussi longue ? Mes yeux se tournaient vers toi lorsque tu évoquais les règles mises en place mais voilà que tu revenais en rajouter encore. Si ta voix n’était pas des plus désagréables à entendre, tes mots eux, savaient épuisés même le plus résistant des hommes… Mon attention je reportais sur mon écran, t’écoutant sans trop faire attention une seconde. Une seule. La seconde d’après te voilà à aborder un sujet qu’il me valait mieux noyer : ta boisson.Mes sourcils se fronçaient un instant, incapable de savoir si la vérité se devait d’être dite ou cachée… Alors j’optais pour la troisième solution : ne rien en dire. Plutôt que de parler de la boisson que je t’avais prise par goût personnel, parler de la mienne pour te faire comprendre que vraiment… Je te t’avais rien donné d’aussi affreux ! « C’était pas fort… Techniquement pas assez pour te mettre dans cet état en tout cas… » Je venais à sélectionner quelques secondes en plus pour les effacer ensuite tout en me demandant si ça serait assez pour te faire oublier le contenu de ta propre boisson à toi… Un instant, je mordais cette lèvre inférieure innocente avant de reprendre. « Même si c’était mignon à voir en soi. Tu changes vraiment quand t’as bu, j’avais presque le sentiment que tu m’appréciais ! » Presque...Mais tu risquais très vite de me haïr encore plus si tu venais à poser trop de questions ou à regarder le contenu entier de cet enregistrement..
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Lun 4 Déc - 13:49
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Aurais-tu osé ? Aurais-tu surtout réussi à me berner ? Moi, Zhang Hera qui pourrait être qualifiée d’incarnation de la méfiance. D’autant plus face à la gente masculine, et indéniablement face à toi ! Pourtant, je t’avais fait confiance. Certes déjà éméchée, mon instinct atténué, mais à présent encore, lorsque mes yeux se posaient sur tes traits, je ressentais, j’étouffais cette petit voix au fond de moi qui m’insufflait l’inexplicable envie d’abaisser la palissade de ma défense. Comment pouvais-tu attirer à toi ma confiance ? Je te la refusais. Je n’accordais foi ni en tes paroles ni en tes actes, et pourtant, ta seule présence à mes côtés me l’inspirait, malgré la gêne. Malgré tous les sentiments et impressions en rafales, contradictoires, que j’éprouvais chaque fois que je me confrontais à toi. Je ne le concevais et encore moins le reconnaissais, alors, inexorablement, je te repoussais, de plus bel.
Que devais-je comprendre à travers tes mots ? Ce n’était pas fort ? Etait-ce là un aveu que tu m’avais manipulée ? Néanmoins, comme tu piquais ma susceptibilité, tu gagnais là un nouveau sursis. Qu’y pouvais-je si je tenais si mal l’alcool au point que même la bière puisse m’affecter ? N’était-ce pas, en un sens, la preuve que mon corps n’était pas accoutumé à en consommer comme tu avais semblé le déplorer précédemment ? Tu fus bien chanceux que le choix rusé ou innocent de tes mots suivants dévièrent un peu plus encore les réactions de mon esprit. Que je t’appréciais ? « Tu l’as dit toi-même, j’étais bien trop alcoolisée pour que tout ceci ait pu avoir le moindre sens. » Évidemment que ce n’était pas le cas ! J’aurais pu me délecter d’une remarque cinglant soulignant à quel point ton insignifiance ne te valait que mon indifférence, pourtant, je n’y parvins. Car je ne le pensais, ni le ressentais ainsi. « J’espère que tu ne t’étais pas trop bercé d’illusions, » me contentais-je d’ajouter plutôt sèchement. Je ne comprenais ce qui se tramait dans ma tête. À t’entendre prononcer ces mots, mon coeur semblait s’être pincé, comme si… J’étais peinée que tu puisses penser que je ne t’appréciais, pourtant, n’était-ce pas la vérité ? Si je te détestais ? Mon coeur et mon esprit s’engageaient dans un débat sans issue à ton sujet.
« Un instant ! » Spontanément, et franchement, je déposais ma main sur la tienne afin de stopper ses mouvements ainsi que provoquer l’appui pour mettre l’enregistrement en pause. Ce n’était cependant nullement l’écran que je fixais, mais bien toi. Penchée vers toi, de mes yeux de biche, le minois orné d’un délicieux discret sourire aux lèvres sucrées. Je battis même brièvement de cils. « Maintenant, tu l’as dit ! » Oui, je l’avais bien relevé et pour une fois, plutôt que de m’en vexer, je me plaisais à te le renvoyer. « N’essayais-tu pas de prétendre que je n’étais pas mignonne tout à l’heure ? Pourtant, tu viens de l’avouer ! » Petite victoire anodine mais qui avait sa valeur. Pourquoi mon coeur se réchauffait tant à l’idée d’un compliment de ta part ? Un compliment volé car si tu avais cherché à le formuler plus directement, je l’aurais rejeté. N’est-ce pas… ?
Peek-a-boo
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Aurais-tu osé ? Aurais-tu surtout réussi à me berner ? Moi, Zhang Hera qui pourrait être qualifiée d’incarnation de la méfiance. D’autant plus face à la gente masculine, et indéniablement face à toi ! Pourtant, je t’avais fait confiance. Certes déjà éméchée, mon instinct atténué, mais à présent encore, lorsque mes yeux se posaient sur tes traits, je ressentais, j’étouffais cette petit voix au fond de moi qui m’insufflait l’inexplicable envie d’abaisser la palissade de ma défense. Comment pouvais-tu attirer à toi ma confiance ? Je te la refusais. Je n’accordais foi ni en tes paroles ni en tes actes, et pourtant, ta seule présence à mes côtés me l’inspirait, malgré la gêne. Malgré tous les sentiments et impressions en rafales, contradictoires, que j’éprouvais chaque fois que je me confrontais à toi. Je ne le concevais et encore moins le reconnaissais, alors, inexorablement, je te repoussais, de plus bel.
Que devais-je comprendre à travers tes mots ? Ce n’était pas fort ? Etait-ce là un aveu que tu m’avais manipulée ? Néanmoins, comme tu piquais ma susceptibilité, tu gagnais là un nouveau sursis. Qu’y pouvais-je si je tenais si mal l’alcool au point que même la bière puisse m’affecter ? N’était-ce pas, en un sens, la preuve que mon corps n’était pas accoutumé à en consommer comme tu avais semblé le déplorer précédemment ? Tu fus bien chanceux que le choix rusé ou innocent de tes mots suivants dévièrent un peu plus encore les réactions de mon esprit. Que je t’appréciais ? « Tu l’as dit toi-même, j’étais bien trop alcoolisée pour que tout ceci ait pu avoir le moindre sens. » Évidemment que ce n’était pas le cas ! J’aurais pu me délecter d’une remarque cinglant soulignant à quel point ton insignifiance ne te valait que mon indifférence, pourtant, je n’y parvins. Car je ne le pensais, ni le ressentais ainsi. « J’espère que tu ne t’étais pas trop bercé d’illusions, » me contentais-je d’ajouter plutôt sèchement. Je ne comprenais ce qui se tramait dans ma tête. À t’entendre prononcer ces mots, mon coeur semblait s’être pincé, comme si… J’étais peinée que tu puisses penser que je ne t’appréciais, pourtant, n’était-ce pas la vérité ? Si je te détestais ? Mon coeur et mon esprit s’engageaient dans un débat sans issue à ton sujet.
« Un instant ! » Spontanément, et franchement, je déposais ma main sur la tienne afin de stopper ses mouvements ainsi que provoquer l’appui pour mettre l’enregistrement en pause. Ce n’était cependant nullement l’écran que je fixais, mais bien toi. Penchée vers toi, de mes yeux de biche, le minois orné d’un délicieux discret sourire aux lèvres sucrées. Je battis même brièvement de cils. « Maintenant, tu l’as dit ! » Oui, je l’avais bien relevé et pour une fois, plutôt que de m’en vexer, je me plaisais à te le renvoyer. « N’essayais-tu pas de prétendre que je n’étais pas mignonne tout à l’heure ? Pourtant, tu viens de l’avouer ! » Petite victoire anodine mais qui avait sa valeur. Pourquoi mon coeur se réchauffait tant à l’idée d’un compliment de ta part ? Un compliment volé car si tu avais cherché à le formuler plus directement, je l’aurais rejeté. N’est-ce pas… ?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Mar 5 Déc - 7:34
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Restart! »
Loin d'être fin manipulateur, il semblait néanmoins que dans l'art de manier le changement de sujet, c'était la médaille d'or que l'on pouvait m'attribuer. En tout cas, pour le moment puisque tu ne semblais vouloir connaître le contenu de cette boisson que l'on t'avait offert pour cette virée nocturne. A la place, tu te plaisais à me prouver quelque chose que je ne savais que trop bien déjà: combien tu me détestais. Quoi que ce mot n'était peut être pas le plus approprié après tout... disons que tu ne me portais nullement dans ton coeur. Terme moins puissant et moins violent, ne basant notre relation sur un conflit qu'il m'était impossible à définir. « On dit souvent que les gens bourrés sont aussi honnête qu'un enfant.. » Avais-je besoin de rajouter une couche à ce sujet? Moi qui espérais seulement te faire oublier, voilà qu'une certaine satisfaction je trouvais à te taquiner de la sorte. Un rictus prenait forme sur mes lèvres jusqu'à cette sensation de chaleur sur ma main, provoquée par la tienne.
Quittant l'écran, mes yeux se posaient sur ton visage mais surtout ce sourire qui ornait tes lèvres. Qu'avais-tu en tête exactement? Si un instant j'attendais, le suivant la raison de ton engouement soudain m'était expliqué. Avais-tu apprécier ce compliment? Pensais-tu m'avoir eu dans tes filets? Si un grand sourire se dessinait sur mes lèvres, ce n'était nullement par joie de te voir accepter ce compliment. Non clairement, je ne comptais pas t'offrir ce privilège. Ma main libre se posait sur tes cheveux dans une infime caresse qui derivait sur ta joue par la suite. Après ces quelques secondes de blanc, enfin, je venais annoncer la dure réalité. « Pas toi. Ton comportement. Et beaucoup de filles bourrées ont le même.. » Doucement, je venais à pincer ta joue, certain que tu n'apprécierais nullement ce geste. Mais tu m'avais tendue le bâton, ne t'attendais-tu pas à en recevoir un coup par la suite?
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Loin d'être fin manipulateur, il semblait néanmoins que dans l'art de manier le changement de sujet, c'était la médaille d'or que l'on pouvait m'attribuer. En tout cas, pour le moment puisque tu ne semblais vouloir connaître le contenu de cette boisson que l'on t'avait offert pour cette virée nocturne. A la place, tu te plaisais à me prouver quelque chose que je ne savais que trop bien déjà: combien tu me détestais. Quoi que ce mot n'était peut être pas le plus approprié après tout... disons que tu ne me portais nullement dans ton coeur. Terme moins puissant et moins violent, ne basant notre relation sur un conflit qu'il m'était impossible à définir. « On dit souvent que les gens bourrés sont aussi honnête qu'un enfant.. » Avais-je besoin de rajouter une couche à ce sujet? Moi qui espérais seulement te faire oublier, voilà qu'une certaine satisfaction je trouvais à te taquiner de la sorte. Un rictus prenait forme sur mes lèvres jusqu'à cette sensation de chaleur sur ma main, provoquée par la tienne. Quittant l'écran, mes yeux se posaient sur ton visage mais surtout ce sourire qui ornait tes lèvres. Qu'avais-tu en tête exactement? Si un instant j'attendais, le suivant la raison de ton engouement soudain m'était expliqué. Avais-tu apprécier ce compliment? Pensais-tu m'avoir eu dans tes filets? Si un grand sourire se dessinait sur mes lèvres, ce n'était nullement par joie de te voir accepter ce compliment. Non clairement, je ne comptais pas t'offrir ce privilège. Ma main libre se posait sur tes cheveux dans une infime caresse qui derivait sur ta joue par la suite. Après ces quelques secondes de blanc, enfin, je venais annoncer la dure réalité. « Pas toi. Ton comportement. Et beaucoup de filles bourrées ont le même.. » Doucement, je venais à pincer ta joue, certain que tu n'apprécierais nullement ce geste. Mais tu m'avais tendue le bâton, ne t'attendais-tu pas à en recevoir un coup par la suite?
(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Mar 5 Déc - 9:09
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Mon honnêteté d’enfant ? Mon pauvre, si tu t’imaginais là que tu tenais un argument, tu te trompais lourdement. Si ce soir là, dans mon ivresse, ce fut bien âme d’enfant qui se raviva alors j’avais été tout sauf sincère ! Jouer de la mignonnerie, de ma beauté, tromper, duper, manipuler, c’était ainsi que se dressait le portrait de mon enfance. Peut-être cela pouvait-il en effet expliquer mon geste de t’embrasser sur la joue. Te faire fondre pour mieux t’avoir à ma merci ? Je ne le ressentais de la sorte, mais puisque je ne me souvenais pas véritablement des évènements, pourquoi pas ?
Puis, à mon doux plaisir, tu semblas trouver le tien dans le fait de le ternir. Tu avoueras que ton loisir favori était de me déplaire, n’est-ce pas ? N’y avait-il pas un geste que tu puisses faire, un mot que tu puisses dire sans qu’il n’ait pour dessein ou conséquence de m’énerver ? Et je me contenais tandis que je sentis ta main se poser dans mes cheveux, puis effleurer ma joue. Jeu de regards et de provocation, à travers les yeux et le sourire. « Tu as raison… » soufflais-je doucement, tandis que mes lèvres ne se rétractaient en rien. En réponse à ton touché, ô combien aussi agréable qu’irritant, je te rendis le mien. Doucement, ma main monta dans tes cheveux où mes doigts se glissèrent tandis que dans leur direction, mes yeux se relevèrent. « Heureusement… » ajoutais-je d’une voix un peu plus sonore mais pour le moins toujours suave. Jusqu’à ce que la latence prenne fin que ta tête soit assénée d’une vive frappe à l’arrière du crâne. La vivacité et l’effet de surprise pouvaient parfois remplacer la force. « Je garde mon caractère unique lorsque je suis sobre ! » Tu avais bien raison, je n’étais mignonne comme les autres qu’une fois bourrée, le reste du temps, en rien je ne ressemblais à personne et la prochaine fois que tu oserais me cataloguer dans une généralité, ta face embrasserait généreuse la surface lisse de ton bureau. « Abstenons-nous de parler à présent, ça vaudra mieux pour nous deux ! » Je n’aurais à t’entendre débiter encore d’autres inepties, et tu t’épargneras ainsi d’en subir les conséquences. D’une main sur la souris et l’autre sur le clavier, j’entreprenais de faire les choses par moi-même. N’était-ce pas la seule façon de m’assurer que tu ne tenterais de me dissimuler certains passages ? Que tu ne gardes rien d’inconvenant dans ton foutu montage ?
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Mon honnêteté d’enfant ? Mon pauvre, si tu t’imaginais là que tu tenais un argument, tu te trompais lourdement. Si ce soir là, dans mon ivresse, ce fut bien âme d’enfant qui se raviva alors j’avais été tout sauf sincère ! Jouer de la mignonnerie, de ma beauté, tromper, duper, manipuler, c’était ainsi que se dressait le portrait de mon enfance. Peut-être cela pouvait-il en effet expliquer mon geste de t’embrasser sur la joue. Te faire fondre pour mieux t’avoir à ma merci ? Je ne le ressentais de la sorte, mais puisque je ne me souvenais pas véritablement des évènements, pourquoi pas ?Puis, à mon doux plaisir, tu semblas trouver le tien dans le fait de le ternir. Tu avoueras que ton loisir favori était de me déplaire, n’est-ce pas ? N’y avait-il pas un geste que tu puisses faire, un mot que tu puisses dire sans qu’il n’ait pour dessein ou conséquence de m’énerver ? Et je me contenais tandis que je sentis ta main se poser dans mes cheveux, puis effleurer ma joue. Jeu de regards et de provocation, à travers les yeux et le sourire. « Tu as raison… » soufflais-je doucement, tandis que mes lèvres ne se rétractaient en rien. En réponse à ton touché, ô combien aussi agréable qu’irritant, je te rendis le mien. Doucement, ma main monta dans tes cheveux où mes doigts se glissèrent tandis que dans leur direction, mes yeux se relevèrent. « Heureusement… » ajoutais-je d’une voix un peu plus sonore mais pour le moins toujours suave. Jusqu’à ce que la latence prenne fin que ta tête soit assénée d’une vive frappe à l’arrière du crâne. La vivacité et l’effet de surprise pouvaient parfois remplacer la force. « Je garde mon caractère unique lorsque je suis sobre ! » Tu avais bien raison, je n’étais mignonne comme les autres qu’une fois bourrée, le reste du temps, en rien je ne ressemblais à personne et la prochaine fois que tu oserais me cataloguer dans une généralité, ta face embrasserait généreuse la surface lisse de ton bureau. « Abstenons-nous de parler à présent, ça vaudra mieux pour nous deux ! » Je n’aurais à t’entendre débiter encore d’autres inepties, et tu t’épargneras ainsi d’en subir les conséquences. D’une main sur la souris et l’autre sur le clavier, j’entreprenais de faire les choses par moi-même. N’était-ce pas la seule façon de m’assurer que tu ne tenterais de me dissimuler certains passages ? Que tu ne gardes rien d’inconvenant dans ton foutu montage ?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Mer 6 Déc - 6:03
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Mes yeux ne quittaient les tiens une seule seconde, mon sourire ne quittait mes lèvres. D’autant plus que tu m’offrais quelques caresses qui, depuis bien trop longtemps, semblaient avoir désertées ma vie. Je mentirais si je disais que je n’avais envie de, soudainement, me blottir contre toi pour apprécier ces dernières d’avantage. « Ah ! » jusqu’à maintenant en tout cas. Dans mes défenses affaiblies, tu avais su tirer un avantage : l’effet de surprise. Loin d’avoir mal avec ce coup, tu avais néanmoins su faire stopper un battement de mon cœur sous l’étonnement. Mes doigts se logeaient dans ma tignasse, une moue contrariée prenant place sur mes traits alors que je t’écoutais en silence. Tu ne voulais plus parler ? Très bien. Mais ne comptais pas sur moi pour t’expliquer comment fonctionnait ce logiciel alors. Certain que tu allais te battre à comprendre qui servait à quoi et comment, je posais mon coude sur la tour de mon pc de laquelle émanait cette jolie couleur rouge. Mes phalanges se posaient sur ma joue et un sourire s’installait sur mes lèvres en attendant ce moment où tu jetterais les armes.
Néanmoins, si parler je n’avais le droit, te reprendre dans ta façon de tenir cette souris, je le pouvais. Souhaitais-tu lancer l’application blizzard sans t’en rendre compte ? A moins que ce n’était Steam ? Petite gameuse inavouée que tu étais… Ma main se posait sur la tienne un instant et, ton pouce, je venais à placer sous les boutons ensuite, certain que tu n’avais pas l’habitude de tenir ce genre de choses en main. J’avais également hâte de te voir appuyé sur les touches de ce clavier qui, je le savais, risquait de bien t’énerver à devoir être forcer. Mais n’était-il joli ce clavier ? Brillant de diverses nuances de bleus et de violet dans une vague parfaitement programmée pour ne pas déstabiliser lorsqu’il était actif sur ce logiciel, enfin… quand on avait l’habitude de l’utiliser tout du moins.
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
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Restart! »
Mes yeux ne quittaient les tiens une seule seconde, mon sourire ne quittait mes lèvres. D’autant plus que tu m’offrais quelques caresses qui, depuis bien trop longtemps, semblaient avoir désertées ma vie. Je mentirais si je disais que je n’avais envie de, soudainement, me blottir contre toi pour apprécier ces dernières d’avantage. « Ah ! » jusqu’à maintenant en tout cas. Dans mes défenses affaiblies, tu avais su tirer un avantage : l’effet de surprise. Loin d’avoir mal avec ce coup, tu avais néanmoins su faire stopper un battement de mon cœur sous l’étonnement. Mes doigts se logeaient dans ma tignasse, une moue contrariée prenant place sur mes traits alors que je t’écoutais en silence. Tu ne voulais plus parler ? Très bien. Mais ne comptais pas sur moi pour t’expliquer comment fonctionnait ce logiciel alors. Certain que tu allais te battre à comprendre qui servait à quoi et comment, je posais mon coude sur la tour de mon pc de laquelle émanait cette jolie couleur rouge. Mes phalanges se posaient sur ma joue et un sourire s’installait sur mes lèvres en attendant ce moment où tu jetterais les armes.Néanmoins, si parler je n’avais le droit, te reprendre dans ta façon de tenir cette souris, je le pouvais. Souhaitais-tu lancer l’application blizzard sans t’en rendre compte ? A moins que ce n’était Steam ? Petite gameuse inavouée que tu étais… Ma main se posait sur la tienne un instant et, ton pouce, je venais à placer sous les boutons ensuite, certain que tu n’avais pas l’habitude de tenir ce genre de choses en main. J’avais également hâte de te voir appuyé sur les touches de ce clavier qui, je le savais, risquait de bien t’énerver à devoir être forcer. Mais n’était-il joli ce clavier ? Brillant de diverses nuances de bleus et de violet dans une vague parfaitement programmée pour ne pas déstabiliser lorsqu’il était actif sur ce logiciel, enfin… quand on avait l’habitude de l’utiliser tout du moins.
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Mer 6 Déc - 19:55
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Tu finirais bien par comprendre un jour que chaque tentative de provocation à mon égard, te coûtais inexorablement, à un moment ou un autre, d’une façon ou d’une autre. Pourtant, tu ne semblais toujours pas abandonner. Ton plaisir à m’horripiler était-il si grand ? Étais-tu si joueur ou complètement stupide ? Était-ce parce que je ne parvenais à trancher entre les deux que j’oscillais constamment entre l’envie de te rendre la pareille, d’entrer dans le jeu d’un duel interminable avec toi ? Et le ressentiment désabusé que tu suscitais, me murmurant que tu ne méritais que mon indifférence. Dénué d’intérêt que tu étais et pourtant…
Mes mots et mon entreprise je regrettais bien vite lorsque je voulus prendre en main ta souris et ton clavier. Si j’étais accoutumée aux matériels de haute technologie là… tu n’étais pas un geek cloitrer dans sa chambre pour rien. Comme tu devais être satisfait ! Je sentais la colère et l’irritabilité monter en moi, quand… ta main me surprit en venant se poser sur la mienne. Étrangement, je sentis toute la tension retombée. Contact d’un instant où je me laissais guider, décontenancée. Enveloppée par une sensation que je ne saurais ni définir ni expliquer. Mais bien vite, le charme se rompit, je me ressaisis. Je me devais de me concentrer sur cette vidéo et comment m’y prendre pour en supprimer des passages pour dompter ton clavier, toi qui après ce geste inopportun semblait à nouveau résolu à me laisser me débrouiller. Je m’en satisfaisais car dès avant, nullement ton intervention n’avait été utile et seule l’étonnement m’avait empêché de te rejeter ! Bien évidemment ! Cependant… je fulminais aussi. Tu devais tant te réjouir intérieurement face à mes difficultés, et bien sûr, ma fierté m’interdisait de te demander de l’aide. Te voir afficher un sourire triomphant m’exaspérerait au plus haut point ! Au point de réveiller la pulsion en moi de te jeter à nouveau, et volontairement cette fois, de la boisson au visage ! Oh mais… Mes yeux glissèrent vers la bouteille et ce qu’il en restait de son contenu, posée non loin de là. Discrètement, un sourire s’épanouit mes lèvres. « Eh m*rde ! » me permis-je finalement de pester avant que ma main ne vienne se saisir de la bouteille que je tenais à présent au dessus de ton précieux clavier, la penchant lentement de plus en plus. Si tu ne comprenais pas le message, ce si joli clavier lumineux en paierait les conséquences…
Peek-a-boo
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Tu finirais bien par comprendre un jour que chaque tentative de provocation à mon égard, te coûtais inexorablement, à un moment ou un autre, d’une façon ou d’une autre. Pourtant, tu ne semblais toujours pas abandonner. Ton plaisir à m’horripiler était-il si grand ? Étais-tu si joueur ou complètement stupide ? Était-ce parce que je ne parvenais à trancher entre les deux que j’oscillais constamment entre l’envie de te rendre la pareille, d’entrer dans le jeu d’un duel interminable avec toi ? Et le ressentiment désabusé que tu suscitais, me murmurant que tu ne méritais que mon indifférence. Dénué d’intérêt que tu étais et pourtant…Mes mots et mon entreprise je regrettais bien vite lorsque je voulus prendre en main ta souris et ton clavier. Si j’étais accoutumée aux matériels de haute technologie là… tu n’étais pas un geek cloitrer dans sa chambre pour rien. Comme tu devais être satisfait ! Je sentais la colère et l’irritabilité monter en moi, quand… ta main me surprit en venant se poser sur la mienne. Étrangement, je sentis toute la tension retombée. Contact d’un instant où je me laissais guider, décontenancée. Enveloppée par une sensation que je ne saurais ni définir ni expliquer. Mais bien vite, le charme se rompit, je me ressaisis. Je me devais de me concentrer sur cette vidéo et comment m’y prendre pour en supprimer des passages pour dompter ton clavier, toi qui après ce geste inopportun semblait à nouveau résolu à me laisser me débrouiller. Je m’en satisfaisais car dès avant, nullement ton intervention n’avait été utile et seule l’étonnement m’avait empêché de te rejeter ! Bien évidemment ! Cependant… je fulminais aussi. Tu devais tant te réjouir intérieurement face à mes difficultés, et bien sûr, ma fierté m’interdisait de te demander de l’aide. Te voir afficher un sourire triomphant m’exaspérerait au plus haut point ! Au point de réveiller la pulsion en moi de te jeter à nouveau, et volontairement cette fois, de la boisson au visage ! Oh mais… Mes yeux glissèrent vers la bouteille et ce qu’il en restait de son contenu, posée non loin de là. Discrètement, un sourire s’épanouit mes lèvres. « Eh m*rde ! » me permis-je finalement de pester avant que ma main ne vienne se saisir de la bouteille que je tenais à présent au dessus de ton précieux clavier, la penchant lentement de plus en plus. Si tu ne comprenais pas le message, ce si joli clavier lumineux en paierait les conséquences…
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