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Peek-a-boo #Hara ♡
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 7:00
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Avais-tu seulement conscience du trouble momentané que tu avais provoqué. Comment allais-tu réagir ? Allais-tu me lancer cette tasse presque brûlante à la figure ? Au contraire, allais-tu sourire en me remerciant pour l’attention ? Savais-tu combien mon esprit avait été torturé, incapable de savoir quelle réaction tu aurais une fois que j’étais revenu ? A cet instant je me rendais compte que j’avais eu trop d’attente inconsciente, pourquoi je me mettais la pression comme ça ? Pour un simple chocolat ?! C’était puéril, totalement puéril. J’avais déjà fait pire ! Pourquoi stressé pour un chocolat ?! Mentalement, je m’assenais des gifles, incapable d’admettre, même à moi-même, que je m’étais inquiéter un tant soit peu. Non, tu m’avais juste énervé. Ta voix triste, la façon dont tu t’étais tassée sur toi-même... Oui, ce n’était pas de l’énervement mais… Non, c’était de l’énervement ! Pas de l’inquiétude ! Jamais ! Je ne m’inquiétais pas pour toi et jamais ce serait le cas ! L’inquiétude était au placard, au fond d’un sac dans lequel reposaient des chaussettes sales ! Tout au fond ! Un soupir passait mes lèvres alors que cette auto-conviction semblait des plus réussies encore une fois, domptant mon cœur sans même essayer un seul instant de comprendre celui-ci. Et il se permettait bien de me rendre la pareille lorsque tu me demandais de me lever aussi soudainement.
Mes yeux se baissaient vers ce que tu tenais entre tes doigts mais pas le temps d’identifier l’objet que je me retrouvais sur mes deux pieds, totalement perdu. « Qu’est-ce… » Ma question n’aurait jamais de fin, comprenant soudainement le problème. Mon corps te dégoutait à ce point ? Ou étais-tu aussi coincée que tu en avais l’air ? Sur ma tête se posait la capuche du sweat alors que je plantais mes yeux dans les tiens pendant que je laissais ma nouvelle maman m’habiller. « Si t’avais pas été aussi impatiente de voir ma peau à nue tout à l’heure, j’aurais mis un t-shirt par-dessus depuis longtemps… » Devais-je te rappeler que tu avais été celle qui m’avait déshabillé tout à l’heure ? A peine avais-je le temps de pousser la capuche de mes cheveux que tu me tendais le chocolat que je t’avais offert avec cette explication qui me laissait perplexe. Devais-je te croire quant à ton goût pour le lait ? Ou comprendre que parce que c’était moi, tu n’en voulais pas mais que tu étais trop polie pour le dire de la sorte ? Un brin suspicieux, je te débarrassais néanmoins de l’objet qui t’encombrais, prenant soin de placer le vêtement entre mes doigts et la tasse. « Jamais ? Tous les laits ? » Demandais-je en pensant au lait de noisettes, au lait d’amande, au lait de soja, au lait de brebis… Puis à un tout autre type de lait qui m’amenait à prier fort, très fort, en mon moi intérieur pour que tu n’y penses toi aussi.
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa 
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Avais-tu seulement conscience du trouble momentané que tu avais provoqué. Comment allais-tu réagir ? Allais-tu me lancer cette tasse presque brûlante à la figure ? Au contraire, allais-tu sourire en me remerciant pour l’attention ? Savais-tu combien mon esprit avait été torturé, incapable de savoir quelle réaction tu aurais une fois que j’étais revenu ? A cet instant je me rendais compte que j’avais eu trop d’attente inconsciente, pourquoi je me mettais la pression comme ça ? Pour un simple chocolat ?! C’était puéril, totalement puéril. J’avais déjà fait pire ! Pourquoi stressé pour un chocolat ?! Mentalement, je m’assenais des gifles, incapable d’admettre, même à moi-même, que je m’étais inquiéter un tant soit peu. Non, tu m’avais juste énervé. Ta voix triste, la façon dont tu t’étais tassée sur toi-même... Oui, ce n’était pas de l’énervement mais… Non, c’était de l’énervement ! Pas de l’inquiétude ! Jamais ! Je ne m’inquiétais pas pour toi et jamais ce serait le cas ! L’inquiétude était au placard, au fond d’un sac dans lequel reposaient des chaussettes sales ! Tout au fond ! Un soupir passait mes lèvres alors que cette auto-conviction semblait des plus réussies encore une fois, domptant mon cœur sans même essayer un seul instant de comprendre celui-ci. Et il se permettait bien de me rendre la pareille lorsque tu me demandais de me lever aussi soudainement.Mes yeux se baissaient vers ce que tu tenais entre tes doigts mais pas le temps d’identifier l’objet que je me retrouvais sur mes deux pieds, totalement perdu. « Qu’est-ce… » Ma question n’aurait jamais de fin, comprenant soudainement le problème. Mon corps te dégoutait à ce point ? Ou étais-tu aussi coincée que tu en avais l’air ? Sur ma tête se posait la capuche du sweat alors que je plantais mes yeux dans les tiens pendant que je laissais ma nouvelle maman m’habiller. « Si t’avais pas été aussi impatiente de voir ma peau à nue tout à l’heure, j’aurais mis un t-shirt par-dessus depuis longtemps… » Devais-je te rappeler que tu avais été celle qui m’avait déshabillé tout à l’heure ? A peine avais-je le temps de pousser la capuche de mes cheveux que tu me tendais le chocolat que je t’avais offert avec cette explication qui me laissait perplexe. Devais-je te croire quant à ton goût pour le lait ? Ou comprendre que parce que c’était moi, tu n’en voulais pas mais que tu étais trop polie pour le dire de la sorte ? Un brin suspicieux, je te débarrassais néanmoins de l’objet qui t’encombrais, prenant soin de placer le vêtement entre mes doigts et la tasse. « Jamais ? Tous les laits ? » Demandais-je en pensant au lait de noisettes, au lait d’amande, au lait de soja, au lait de brebis… Puis à un tout autre type de lait qui m’amenait à prier fort, très fort, en mon moi intérieur pour que tu n’y penses toi aussi.
(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 10:31
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Décidément, il te semblait bon de croire que j’eus pu être intéressé par l’idée de te voir à demi dénudé. Si je t’avais aidé à déboutonner ta chemise ? Ce n’était certainement pas pour admirer ton faible torse. Pourquoi alors ? Je l’ignorais. L’envie de te taquiner ? De te rendre un peu de toutes ces situations où tu paraissais te plaire à m’embarrasser ? Te montrer qu’il ne te fallait croire qu’il était trop aisé de me déstabiliser ? Bien que tu jouais pourtant un peu trop souvent sur un terrain instable pour moi. Sur l’instant, je préférais te déposer la carte de l’indifférence, finissant de te revêtir avant de te rendre ton chocolat chaud. Si tu fus surpris, ta réaction au contraire ne m’étonna pas. Le végétarisme et encore moins le véganisme n’avaient grande percée en Corée. Grands amoureux de la viande qu’ils étaient. « Tous les laits de provenance animale : ni vache, ni chèvre, ni brebis… » Je te répondais aussi sérieusement que ma rigueur alimentaire mais sans reproche quant à ta probable incompréhension. Je ne me battais à ce sujet là du moment que mes interlocuteurs respectaient mes choix. « Les autres possiblement mais rarement. » D’une manière générale, ma consommation de ce liquide blanchâtre demeurait restreinte. Comme écoeurée, il m’était difficile de l’avaler à l’état brut. « Et je n’ai pas souvenir d’avoir émis le souhait que tu déshabilles et encore moins que tu le restes, » répondis-je finalement à ta remarque précédente. Peut-être décèlerais-tu derrière mon timbre septique, le début d’un sourire qui pointait aux coins de mes lèvres. « Je voulais seulement que tu enlèves cette chemise car elle ne t’allait pas. » Que tu écartes la tasse sur le côté ou que tu la rapproches de toi, quoi qu’il en fut, je rétrécis d’un pas la distance entre nous. De mes mains, je finissais d’ajuster correctement ce sweet que tu portais à présent. Mes doigts remontèrent jusqu’à ton col où ils se déposèrent de toute leur grâce. « Tu es bien mieux dans ce pull… » te complimentais-je, sourire aux lèvres. Sourire charmeur, charme de serpent et d’un geste vif, je ramenais la capuche sur ta tête et tirais sur les cordons de telle sorte à obstruée ta vision. « Surtout comme ça ! » De telle sorte que tes yeux et ton nez cachés, il ne restait plus que tes lèvres d’apparentes… Me surprendrais-je à les fixer quelques instants, obnubilée par les vestiges d’un rêve interdit ?
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
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Décidément, il te semblait bon de croire que j’eus pu être intéressé par l’idée de te voir à demi dénudé. Si je t’avais aidé à déboutonner ta chemise ? Ce n’était certainement pas pour admirer ton faible torse. Pourquoi alors ? Je l’ignorais. L’envie de te taquiner ? De te rendre un peu de toutes ces situations où tu paraissais te plaire à m’embarrasser ? Te montrer qu’il ne te fallait croire qu’il était trop aisé de me déstabiliser ? Bien que tu jouais pourtant un peu trop souvent sur un terrain instable pour moi. Sur l’instant, je préférais te déposer la carte de l’indifférence, finissant de te revêtir avant de te rendre ton chocolat chaud. Si tu fus surpris, ta réaction au contraire ne m’étonna pas. Le végétarisme et encore moins le véganisme n’avaient grande percée en Corée. Grands amoureux de la viande qu’ils étaient. « Tous les laits de provenance animale : ni vache, ni chèvre, ni brebis… » Je te répondais aussi sérieusement que ma rigueur alimentaire mais sans reproche quant à ta probable incompréhension. Je ne me battais à ce sujet là du moment que mes interlocuteurs respectaient mes choix. « Les autres possiblement mais rarement. » D’une manière générale, ma consommation de ce liquide blanchâtre demeurait restreinte. Comme écoeurée, il m’était difficile de l’avaler à l’état brut. « Et je n’ai pas souvenir d’avoir émis le souhait que tu déshabilles et encore moins que tu le restes, » répondis-je finalement à ta remarque précédente. Peut-être décèlerais-tu derrière mon timbre septique, le début d’un sourire qui pointait aux coins de mes lèvres. « Je voulais seulement que tu enlèves cette chemise car elle ne t’allait pas. » Que tu écartes la tasse sur le côté ou que tu la rapproches de toi, quoi qu’il en fut, je rétrécis d’un pas la distance entre nous. De mes mains, je finissais d’ajuster correctement ce sweet que tu portais à présent. Mes doigts remontèrent jusqu’à ton col où ils se déposèrent de toute leur grâce. « Tu es bien mieux dans ce pull… » te complimentais-je, sourire aux lèvres. Sourire charmeur, charme de serpent et d’un geste vif, je ramenais la capuche sur ta tête et tirais sur les cordons de telle sorte à obstruée ta vision. « Surtout comme ça ! » De telle sorte que tes yeux et ton nez cachés, il ne restait plus que tes lèvres d’apparentes… Me surprendrais-je à les fixer quelques instants, obnubilée par les vestiges d’un rêve interdit ? (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 15:55
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Restart! »
Ma suspicion tu apaisais lorsqu'à ma question tu répondais, dans une innocence palpable des plus adorables. N'avais tu compris ce à quoi je m'étais permis de penser après l'avoir prononcé? Pourquoi y répondais-tu aussi franchement et sans hésitation? D'un autre côté, je devais l'avouer, j'étais une nouvelle fois rassuré de voir ton absence de discernement, sans quoi j'aurais fini assailli des pires insultes possibles sur ma perversité, moi qui n'était qu'un énième étudiant obsédé à tes yeux. Mais ne l'étais tu pas tout autant? Beaucoup trop joueuse pour être reconnue innocence dans nos interactions , voilà que tu t'approchais de nouveau, que tes doigts se baladaient sur mon vêtement ici et la, sans réelle raison de le faire. Pourtant je te laissais faire, comme si, amusé, je voulais voir où te mèneraient tes gestes exactement. Mon sourcil s'arquait avant que le noir ne s'abatte de nouveau devant mes yeux. A quoi jouais-tu donc au juste? Mes bras entre lesquels tu t'étais glisser venaient entouré ta taille avec précaution, ne souhaitant réellement te brûler avec la tasse en cas de faux geste. D'ailleurs rapidement, je me ravisais et ne gardait que ma main libre sur toi, l'autre gardant ce chocolat loin de ta personne par pure précaution plus que nécessaire vu notre bataille précédente. « Est ce que je devrais venir te voir tous les matins pour que tu choisisses mes vêtements alors? » Puisque visiblement, mon goût n'était adapté au tien, même si bien entendu, tu pouvais sentir tout l'amusement que je ressentais dans ma voix.
Loin d'être gêné par cette cécité que tu avais créer, j'oserais même plutôt en profiter pour m'amuser d'une façon bien plus évidente que toutes les fois précédentes. A croire que j'oubliais qui j'avais face à moi.. « Pourquoi tu veux que je sois à ton goût? Je te plais? Tu veux que je sois beau pour toi? Juste pour toi? » Un pas vers toi je faisais, collant nos corps l'un à l'autre sans une once de gêne. Je ne devais être à mon avantage avec une capuche ainsi visée sur le visage mais t'embêter était si plaisant que je ne pouvais passer à côté, d'ailleurs je venais rajouter une couche bien rapidement. Ma main se levait pour défaire rapidement cette cécité et, ainsi, plongé mon regard tantôt dans tes iris tantôt sur la pulpe de tes lèvres, les miennes s'étirant en un léger sourire. « Y a quelque chose que j'ai envie de faire depuis tout à l'heure.. » de ces quelques mots soufflés, je semblais vouloir changer l'ambiance qui régnait dans la pièce. Me laisserais-tu seulement l'occasion de te montrer ce dont je parlais?
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Ma suspicion tu apaisais lorsqu'à ma question tu répondais, dans une innocence palpable des plus adorables. N'avais tu compris ce à quoi je m'étais permis de penser après l'avoir prononcé? Pourquoi y répondais-tu aussi franchement et sans hésitation? D'un autre côté, je devais l'avouer, j'étais une nouvelle fois rassuré de voir ton absence de discernement, sans quoi j'aurais fini assailli des pires insultes possibles sur ma perversité, moi qui n'était qu'un énième étudiant obsédé à tes yeux. Mais ne l'étais tu pas tout autant? Beaucoup trop joueuse pour être reconnue innocence dans nos interactions , voilà que tu t'approchais de nouveau, que tes doigts se baladaient sur mon vêtement ici et la, sans réelle raison de le faire. Pourtant je te laissais faire, comme si, amusé, je voulais voir où te mèneraient tes gestes exactement. Mon sourcil s'arquait avant que le noir ne s'abatte de nouveau devant mes yeux. A quoi jouais-tu donc au juste? Mes bras entre lesquels tu t'étais glisser venaient entouré ta taille avec précaution, ne souhaitant réellement te brûler avec la tasse en cas de faux geste. D'ailleurs rapidement, je me ravisais et ne gardait que ma main libre sur toi, l'autre gardant ce chocolat loin de ta personne par pure précaution plus que nécessaire vu notre bataille précédente. « Est ce que je devrais venir te voir tous les matins pour que tu choisisses mes vêtements alors? » Puisque visiblement, mon goût n'était adapté au tien, même si bien entendu, tu pouvais sentir tout l'amusement que je ressentais dans ma voix. Loin d'être gêné par cette cécité que tu avais créer, j'oserais même plutôt en profiter pour m'amuser d'une façon bien plus évidente que toutes les fois précédentes. A croire que j'oubliais qui j'avais face à moi.. « Pourquoi tu veux que je sois à ton goût? Je te plais? Tu veux que je sois beau pour toi? Juste pour toi? » Un pas vers toi je faisais, collant nos corps l'un à l'autre sans une once de gêne. Je ne devais être à mon avantage avec une capuche ainsi visée sur le visage mais t'embêter était si plaisant que je ne pouvais passer à côté, d'ailleurs je venais rajouter une couche bien rapidement. Ma main se levait pour défaire rapidement cette cécité et, ainsi, plongé mon regard tantôt dans tes iris tantôt sur la pulpe de tes lèvres, les miennes s'étirant en un léger sourire. « Y a quelque chose que j'ai envie de faire depuis tout à l'heure.. » de ces quelques mots soufflés, je semblais vouloir changer l'ambiance qui régnait dans la pièce. Me laisserais-tu seulement l'occasion de te montrer ce dont je parlais?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 17:58
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Si je prenais plaisir à t’embêter ? Je le reconnaissais. Souriante et fière de cette facétie enfantine que je venais de te jouer. Mes yeux sur tes lèvres se posèrent. Éphémère flottement balayée par l’entreprise de tes bras, non d’un seul, d’entourer ma taille. Je ne parvenais encore à déterminer si tu étais stupide ou ambitieux. Un sourcil j’arquais, sans pour autant me défaire, prête à sévir à tout moment où ton ambition s’avérait trop gourmande. Un léger éclat de rire m’échappa, l’oeil brillant tandis que tu proposais de quérir mon avis chaque matin sur ton style vestimentaire. Je t’y aurais bien volontiers mis au défi, persuadée que jamais tu ne débarquerais suffisamment tôt pour me trouver dans ma chambre. À moins d’un retour exceptionnel comme le jour de ton arrivée. À cette pensée, je me rembrunis. Je ne t’imaginais que trop bien profiter de la situation pour te rincer l’oeil.
Je ne tardais ensuite à regretter que ta bouche, cette machine à idioties n’aient été condamnée au silence à l’instar de ta vue obstruée. Était-ce être à mon goût que de cacher ton corps de crevettes sous un pull plus ample qu’une chemise trahissant de faible carrure ? Avais-je prononcé une seule fois que tu étais beau ? Quant à me plaire ? Un léger éclat de rire cynique m’échappa, vite interrompu par ton pas en avant, nous rapprochant, nous collant. Que faisais-tu ? D’un air qui se voulait froid et déterminé, je te fixais tandis que ton visage tu révélais à nouveau. Cependant, les battements de mes cils et le resserrement des lèvres trahissaient ma vague hésitation. Cette appréhension qui accélérait les battements de mon coeur. Je soutenais ton regard, ne manquant ainsi pas de regarder son cheminement du mien à mes lèvres. À tes mots, mon coeur s’arrêta. Mes yeux s’écarquillèrent. Que me chantais-tu là ? Instinctivement, je portais le bout des mes dix doigts joints à mes lèvres. Barrière significative t’interdisant d’approcher. D’un pas, presque fragile, je reculais. Puis, une impulsion combattive m’emplit derechef. « Yah ! Que t’imagines-tu ? » Mes lèvres dévoilées, ma voix claqua tandis que je dressais ferme et tempétueuse face à toi. « N’as-tu pas de fierté à te croire plus beau une fois le visage caché ? » Sans perdre de ma prestance, de quelques centimètres encore, je rétablis la distance. « Il n’y a pourtant bien que ça chez toi à garder et regarder, » marmonnais-je en détournant la tête sur le côté, les bras croisés.
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Si je prenais plaisir à t’embêter ? Je le reconnaissais. Souriante et fière de cette facétie enfantine que je venais de te jouer. Mes yeux sur tes lèvres se posèrent. Éphémère flottement balayée par l’entreprise de tes bras, non d’un seul, d’entourer ma taille. Je ne parvenais encore à déterminer si tu étais stupide ou ambitieux. Un sourcil j’arquais, sans pour autant me défaire, prête à sévir à tout moment où ton ambition s’avérait trop gourmande. Un léger éclat de rire m’échappa, l’oeil brillant tandis que tu proposais de quérir mon avis chaque matin sur ton style vestimentaire. Je t’y aurais bien volontiers mis au défi, persuadée que jamais tu ne débarquerais suffisamment tôt pour me trouver dans ma chambre. À moins d’un retour exceptionnel comme le jour de ton arrivée. À cette pensée, je me rembrunis. Je ne t’imaginais que trop bien profiter de la situation pour te rincer l’oeil.Je ne tardais ensuite à regretter que ta bouche, cette machine à idioties n’aient été condamnée au silence à l’instar de ta vue obstruée. Était-ce être à mon goût que de cacher ton corps de crevettes sous un pull plus ample qu’une chemise trahissant de faible carrure ? Avais-je prononcé une seule fois que tu étais beau ? Quant à me plaire ? Un léger éclat de rire cynique m’échappa, vite interrompu par ton pas en avant, nous rapprochant, nous collant. Que faisais-tu ? D’un air qui se voulait froid et déterminé, je te fixais tandis que ton visage tu révélais à nouveau. Cependant, les battements de mes cils et le resserrement des lèvres trahissaient ma vague hésitation. Cette appréhension qui accélérait les battements de mon coeur. Je soutenais ton regard, ne manquant ainsi pas de regarder son cheminement du mien à mes lèvres. À tes mots, mon coeur s’arrêta. Mes yeux s’écarquillèrent. Que me chantais-tu là ? Instinctivement, je portais le bout des mes dix doigts joints à mes lèvres. Barrière significative t’interdisant d’approcher. D’un pas, presque fragile, je reculais. Puis, une impulsion combattive m’emplit derechef. « Yah ! Que t’imagines-tu ? » Mes lèvres dévoilées, ma voix claqua tandis que je dressais ferme et tempétueuse face à toi. « N’as-tu pas de fierté à te croire plus beau une fois le visage caché ? » Sans perdre de ma prestance, de quelques centimètres encore, je rétablis la distance. « Il n’y a pourtant bien que ça chez toi à garder et regarder, » marmonnais-je en détournant la tête sur le côté, les bras croisés.
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 19:24
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Pensais-tu avoir deviné ma pensée ? Savais-tu que, plus que tes lèvres, c’était une tout autre partie de ton corps que j’avais désiré attaquer jusqu’à présent ? Pourtant, tout mon intérêt, plus que simplement sur ta personne, plus que sur cette zone qui avait été désigné proie initiale, c’était bien sur tes lèvres que je la portais. L’interdit attirait toujours et cette protection que tu avais levée vers tes pulpes rosées, je voulais passer outre à présent. Quand avais-je développé un tel instinct de chasseur ? Je m’en étonnerais presque moi-même. A croire que tu réveillais des parties encore endormies et inconnues de ma personne, m’amenant inconsciemment à espérer que tu n’ouvrirais la boite de Pandore sans le faire exprès.
Ton pas venait rompre le charme précédemment installé alors que je portais la tasse à mes lèvres pour gouter cette boisson qui, de base, t’appartenait. J’écoutais cette voix qu’était la tienne fouetter l‘air avec cette froideur habituelle jusqu’à ces mots murmurés qui ne me faisait que faiblement sourire. Si seulement tu savais ô combien j’en avais conscience. N’avais-je pas souffert à cause de cela à une époque ? Plus que de l’ouvrir, cette boîte interdite, tu la secouais et la verrouillais un peu plus encore qu’elle ne l’était déjà. Légèrement, sans même montrer un seul instant que tu avais seul appuyé sur un point douloureux, je t’offrais un vague sourire que tu ne verrais certainement pas à me bouder de la sorte. « Depuis le collège j’ai ce visage, tu crois pas que j’ignore qu’il est parfait quand même ? » Ma main libre se levait vers mon visage, le mettant en avant comme si je voulais me vendre d’une façon ou d’un autre avant de reprendre mon sérieux soudainement. « Et toi alors ? A quoi tu pensais ? » Cette image de toi cachant tes lèvres face à moi risquait d’être gravé un long moment dans ma mémoire, beaucoup trop fragile et adorable pour qu’il puisse être ignoré d’une quelconque façon. A nouveau un pas j’effectuais vers toi, désireux de te voir t’énerver encore une fois. A moins que tu ne sois simplement déçue ? A ton oreille je me penchais, ma joue frôlant la tienne. « Je comptais pourtant pas t’embrasser… » Soufflais-je presque imperceptiblement avant de me reculer, un sourire victorieux aux lèvres tout en y approchant la tasse de nouveau, certain d’avoir gagné ce round.
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Pensais-tu avoir deviné ma pensée ? Savais-tu que, plus que tes lèvres, c’était une tout autre partie de ton corps que j’avais désiré attaquer jusqu’à présent ? Pourtant, tout mon intérêt, plus que simplement sur ta personne, plus que sur cette zone qui avait été désigné proie initiale, c’était bien sur tes lèvres que je la portais. L’interdit attirait toujours et cette protection que tu avais levée vers tes pulpes rosées, je voulais passer outre à présent. Quand avais-je développé un tel instinct de chasseur ? Je m’en étonnerais presque moi-même. A croire que tu réveillais des parties encore endormies et inconnues de ma personne, m’amenant inconsciemment à espérer que tu n’ouvrirais la boite de Pandore sans le faire exprès.Ton pas venait rompre le charme précédemment installé alors que je portais la tasse à mes lèvres pour gouter cette boisson qui, de base, t’appartenait. J’écoutais cette voix qu’était la tienne fouetter l‘air avec cette froideur habituelle jusqu’à ces mots murmurés qui ne me faisait que faiblement sourire. Si seulement tu savais ô combien j’en avais conscience. N’avais-je pas souffert à cause de cela à une époque ? Plus que de l’ouvrir, cette boîte interdite, tu la secouais et la verrouillais un peu plus encore qu’elle ne l’était déjà. Légèrement, sans même montrer un seul instant que tu avais seul appuyé sur un point douloureux, je t’offrais un vague sourire que tu ne verrais certainement pas à me bouder de la sorte. « Depuis le collège j’ai ce visage, tu crois pas que j’ignore qu’il est parfait quand même ? » Ma main libre se levait vers mon visage, le mettant en avant comme si je voulais me vendre d’une façon ou d’un autre avant de reprendre mon sérieux soudainement. « Et toi alors ? A quoi tu pensais ? » Cette image de toi cachant tes lèvres face à moi risquait d’être gravé un long moment dans ma mémoire, beaucoup trop fragile et adorable pour qu’il puisse être ignoré d’une quelconque façon. A nouveau un pas j’effectuais vers toi, désireux de te voir t’énerver encore une fois. A moins que tu ne sois simplement déçue ? A ton oreille je me penchais, ma joue frôlant la tienne. « Je comptais pourtant pas t’embrasser… » Soufflais-je presque imperceptiblement avant de me reculer, un sourire victorieux aux lèvres tout en y approchant la tasse de nouveau, certain d’avoir gagné ce round.
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 20:01
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Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Murmures que je n’aurais dû lâcher car immanquablement, avec avidité tu les saisissais. Cependant, t’imaginais-tu avoir à te vanter d’un visage d’un adolescent pré-pubère ? Il te serait grand temps de te mettre à la page. Toi, l’intriguant un peu trop assuré qui pas à pas de ma personne s’approchait. Je ne bronchais. Trop sûre et fière pour te concéder encore une fois de reculer. Du coin de l’oeil, un regard je te jetais. Méfiante quant à la suite de tes mots, bien trop consciente de ton intention de retourner la situation. Oserais-tu sous-entendre que je m’étais trompée ? Que mon imagination s’était emballée alors que clairement, tu envoyais des signaux que même un coeur innocent s’avérait en capacité de déceler. Pourtant, tu osais. En plus de t’être rapproché au point que légèrement, mon visage méfiant s’était à demi tourné vers toi. Que la surprise s’esquissa sur mes traits. Que ton souffle à mon oreille m’insuffla un réflexe crispé et fuyant. Ta voix résonna à mes tympans avant que ce fut au tour de la mienne de fendre l’air : « Qu… Quoi ? » Je peinais encore à véritablement analyser le fond de ta pensée. Essaierais-tu bel et bien de prétendre à ton innocence ? Que je fus celle, seule, à avoir affabuler ? « Je ne pensais à rien ! » Vérité immaculée de ne savoir ce que tu pouvais bien avoir en tête avant que tu t’arrêtes pour observer si fixement mes lèvres. « Et toi, hein, qu’avais-tu à me regarder de la sorte ? » Tes yeux de chasseur t’avaient trahi ! Seul mon instinct de préservation avait réagi en conséquence ! Je n’avais rien imaginé ! La tasse que tu portais à tes lèvres, je te la dérobais, la tenant éloignée comme s’il te serait à présent interdit d’y goûter avant de t’être confessé. « Qu’est-ce que ton esprit pervers avait envie de faire ? » Car, si mes lèvres, tu n’avais donc pas désiré, quel mensonge tisserais-tu pour ta défense ? Ne savais-tu que face à moi, ton minois enfantin ne te servirait nullement à plaider la pureté angélique ? « Derrière ce visage, comme tu la si bien dis, parfait pour un collégien, mais ne serait-il pas temps de grandir ? » Les collégiens n’étaient-ils pas le pire ? Quoique, les hommes grandissaient-ils vraiment un jour ? Adolescents ou étudiants, je vous maudissais bien pour les mêmes frasques et atteintes à ma pudeur auxquelles vous vous plaisiez tant à vous adonner.
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Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Murmures que je n’aurais dû lâcher car immanquablement, avec avidité tu les saisissais. Cependant, t’imaginais-tu avoir à te vanter d’un visage d’un adolescent pré-pubère ? Il te serait grand temps de te mettre à la page. Toi, l’intriguant un peu trop assuré qui pas à pas de ma personne s’approchait. Je ne bronchais. Trop sûre et fière pour te concéder encore une fois de reculer. Du coin de l’oeil, un regard je te jetais. Méfiante quant à la suite de tes mots, bien trop consciente de ton intention de retourner la situation. Oserais-tu sous-entendre que je m’étais trompée ? Que mon imagination s’était emballée alors que clairement, tu envoyais des signaux que même un coeur innocent s’avérait en capacité de déceler. Pourtant, tu osais. En plus de t’être rapproché au point que légèrement, mon visage méfiant s’était à demi tourné vers toi. Que la surprise s’esquissa sur mes traits. Que ton souffle à mon oreille m’insuffla un réflexe crispé et fuyant. Ta voix résonna à mes tympans avant que ce fut au tour de la mienne de fendre l’air : « Qu… Quoi ? » Je peinais encore à véritablement analyser le fond de ta pensée. Essaierais-tu bel et bien de prétendre à ton innocence ? Que je fus celle, seule, à avoir affabuler ? « Je ne pensais à rien ! » Vérité immaculée de ne savoir ce que tu pouvais bien avoir en tête avant que tu t’arrêtes pour observer si fixement mes lèvres. « Et toi, hein, qu’avais-tu à me regarder de la sorte ? » Tes yeux de chasseur t’avaient trahi ! Seul mon instinct de préservation avait réagi en conséquence ! Je n’avais rien imaginé ! La tasse que tu portais à tes lèvres, je te la dérobais, la tenant éloignée comme s’il te serait à présent interdit d’y goûter avant de t’être confessé. « Qu’est-ce que ton esprit pervers avait envie de faire ? » Car, si mes lèvres, tu n’avais donc pas désiré, quel mensonge tisserais-tu pour ta défense ? Ne savais-tu que face à moi, ton minois enfantin ne te servirait nullement à plaider la pureté angélique ? « Derrière ce visage, comme tu la si bien dis, parfait pour un collégien, mais ne serait-il pas temps de grandir ? » Les collégiens n’étaient-ils pas le pire ? Quoique, les hommes grandissaient-ils vraiment un jour ? Adolescents ou étudiants, je vous maudissais bien pour les mêmes frasques et atteintes à ma pudeur auxquelles vous vous plaisiez tant à vous adonner. (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 21:12
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
L’effet tant attendu ne tardait pas à se manifester, tes traits m’offrant la joie de te voir surprise qu’un instant tu aies pu être la seule ayant ce genre de pensées. Un sentiment de victoire m’envahissait mais rapidement le voilà nuancé d’un sentiment plus tendre dû à ta défense. Tu n’avais pensé à rien ? En te protégeant d’un éventuel baisé de ma part ? Un sourcil s’arquait sur mon visage, peu convaincu qu’une telle déclaration puisse t’amener à être innocente à mes yeux de juge, non, vraiment, tu n’étais pas aussi innocente que tu pouvais le prétendre. Peut-être que ton corps l’était, ainsi que tes lèvres, mais ton esprit ne l’était surement pas. « Hm ? Yah ! » Ma boisson à présent interdite, tu te permettais de me demander ce à quoi je pensais. A quoi avais-je pensé? Je me souvenais avoir un instant perdu pied dans tes iris qui semblaient me regarder avec appréhension, tout comme je me souvenais avoir pensé combien tes lèvres me faisaient envie. Evidemment que j’y avais pensé, comme n’importe quel homme ayant la joie de voir ton visage, qu’il fut connu ou inconnu avant. En quoi cela était-il mal ? Mes lèvres s’entrouvraient, prêtes à laisser passer ma défense mais voilà que tu attaquais de nouveau, non pas sur ma perversité mais bien sur ma maturité là, non ? Ma tête se penchait légèrement sur le côté, presque choqué que tu puisses ainsi annoncer que j’avais besoin de grandir. Je l’avais déjà fait ! Et mon visage avait pris des allures plus adultes avec le temps, tu ne l’avais pas vu mais mes photos le prouvaient, elles ! « Pourquoi je te dirais maintenant ce que je voulais faire ? C’est plus aussi intéressant… » Commençais-je par plaider avant de croiser les bras sur mon torse. J’étais prêt à débattre sur ma maturité si tu le souhaitais, dès à présent, là maintenant, presque au milieu de la nuit au lieu de faire ce montage qui allait me prendre des jours encore ! « Mon visage a mûri avec le temps ! Au collège j’étais mignon, maintenant je suis beau. J’ai évolué et pris un niveau, déjà. » Le prochain serait d’être sexy mais pas sûr que j’y arriverais avant d’avoir trente ans… « Ensuite ! » annonçais-je sèchement, laissant un temps de silence entre ce moment et le moment où j’allais poursuivre… Malheureusement, c’était mon doigt sur ton flanc qui te répondait. « J’aime trop t’embêter pour avoir envie de grandir. » Léger lapsus de combien j’adorais te taquiner, toi plus que les autres, mais je ne relevais immédiatement, trop sur mes gardes après avoir osé te chatouiller une nouvelle fois par surprise.
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
L’effet tant attendu ne tardait pas à se manifester, tes traits m’offrant la joie de te voir surprise qu’un instant tu aies pu être la seule ayant ce genre de pensées. Un sentiment de victoire m’envahissait mais rapidement le voilà nuancé d’un sentiment plus tendre dû à ta défense. Tu n’avais pensé à rien ? En te protégeant d’un éventuel baisé de ma part ? Un sourcil s’arquait sur mon visage, peu convaincu qu’une telle déclaration puisse t’amener à être innocente à mes yeux de juge, non, vraiment, tu n’étais pas aussi innocente que tu pouvais le prétendre. Peut-être que ton corps l’était, ainsi que tes lèvres, mais ton esprit ne l’était surement pas. « Hm ? Yah ! » Ma boisson à présent interdite, tu te permettais de me demander ce à quoi je pensais. A quoi avais-je pensé? Je me souvenais avoir un instant perdu pied dans tes iris qui semblaient me regarder avec appréhension, tout comme je me souvenais avoir pensé combien tes lèvres me faisaient envie. Evidemment que j’y avais pensé, comme n’importe quel homme ayant la joie de voir ton visage, qu’il fut connu ou inconnu avant. En quoi cela était-il mal ? Mes lèvres s’entrouvraient, prêtes à laisser passer ma défense mais voilà que tu attaquais de nouveau, non pas sur ma perversité mais bien sur ma maturité là, non ? Ma tête se penchait légèrement sur le côté, presque choqué que tu puisses ainsi annoncer que j’avais besoin de grandir. Je l’avais déjà fait ! Et mon visage avait pris des allures plus adultes avec le temps, tu ne l’avais pas vu mais mes photos le prouvaient, elles ! « Pourquoi je te dirais maintenant ce que je voulais faire ? C’est plus aussi intéressant… » Commençais-je par plaider avant de croiser les bras sur mon torse. J’étais prêt à débattre sur ma maturité si tu le souhaitais, dès à présent, là maintenant, presque au milieu de la nuit au lieu de faire ce montage qui allait me prendre des jours encore ! « Mon visage a mûri avec le temps ! Au collège j’étais mignon, maintenant je suis beau. J’ai évolué et pris un niveau, déjà. » Le prochain serait d’être sexy mais pas sûr que j’y arriverais avant d’avoir trente ans… « Ensuite ! » annonçais-je sèchement, laissant un temps de silence entre ce moment et le moment où j’allais poursuivre… Malheureusement, c’était mon doigt sur ton flanc qui te répondait. « J’aime trop t’embêter pour avoir envie de grandir. » Léger lapsus de combien j’adorais te taquiner, toi plus que les autres, mais je ne relevais immédiatement, trop sur mes gardes après avoir osé te chatouiller une nouvelle fois par surprise.(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 22:43
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Évidemment, aurais-je dû m’attendre à mieux de ta part, toi qui te défilais sous un faux prétexte plutôt que d’admettre la vérité. Tu te plaisais bien trop à désigner comme seule coupable d’une pensée qui jamais ne serait née si ne l’avais provoqué ! Avais-tu tant besoin de regonfler ton égo pour t’inventer que je puisse être intéressé ? Par toi ? Le promeneur de chien qui avait pour seule véritable compétence celle de m’exaspérer ? Ah, et vraisemblablement de te vanter aussi. À défaut d’entendre de compliments de la part d’autrui, tu ressentais le besoin de le revendiquer par toi-même ? Certes, tu étais beau, mais tu n’avais pas non plus à te prendre pour un Apollon. Des yeux, je roulais quand je t’entendis la suite. Je n’eus que le temps de reporter mon attention dans ta direction pour voir fuser ton doigt en direction de mon flanc. Par réflexe, mon abdomen je contractais. Mon ventre rentré, j’entamais un mouvement d’esquive avant de me contrôler. La chaleur au creux de ma paume me rappelait la présence de la tasse et son contenu. N’avions pas assez renverser pour la soirée ? Alors, je me contenais. Maitresse de sang froid, tel un serpent, je sifflais. Manifestation de ma désapprobation et avertissement à ne pas recommencer qui t’était adressé. « M’embêter ? C’est un euphémisme ! » raillais-je ensuite. Je ramenais alors la tasse devant moi, l’érigeant en barrière te dissuadant de renouveler toute tentative intempestive. « À l’égal de ta prétention. » Regard dédaigneux, tu te révélais de plus en plus présomptueux. « Tu n’as pourtant encore rien d’un homme. » Ni le physique, ni le comportement, depuis notre première rencontre, je n’avais eu tort de te considérer comme un enfant. Bien que les termes d’adolescents en proie à ses hormones seraient certainement bien plus appropriés pour te qualifier. En somme, tout ce que je détestais le plus ! « Si tu ne délies ta langue alors je me considère libre de valider ma conclusion sur ton intention ! » À la liste de tes défauts s’ajoutait celui d’être un couard incapable d’assumer ni ses actes, ni ses pensées. Finalement, peut-être avais-tu raison de tant insister sur la beauté de ton visage, car tu étais dénuée de toute autre forme de qualité. « On peut s’y remettre ? » D’un léger mouvement de la tête, je désignais l’écran et cette vidéo nous attendant toujours patiemment. Ta tasse je te tendis également puisque celle-ci m’encombrait inutilement.
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
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Évidemment, aurais-je dû m’attendre à mieux de ta part, toi qui te défilais sous un faux prétexte plutôt que d’admettre la vérité. Tu te plaisais bien trop à désigner comme seule coupable d’une pensée qui jamais ne serait née si ne l’avais provoqué ! Avais-tu tant besoin de regonfler ton égo pour t’inventer que je puisse être intéressé ? Par toi ? Le promeneur de chien qui avait pour seule véritable compétence celle de m’exaspérer ? Ah, et vraisemblablement de te vanter aussi. À défaut d’entendre de compliments de la part d’autrui, tu ressentais le besoin de le revendiquer par toi-même ? Certes, tu étais beau, mais tu n’avais pas non plus à te prendre pour un Apollon. Des yeux, je roulais quand je t’entendis la suite. Je n’eus que le temps de reporter mon attention dans ta direction pour voir fuser ton doigt en direction de mon flanc. Par réflexe, mon abdomen je contractais. Mon ventre rentré, j’entamais un mouvement d’esquive avant de me contrôler. La chaleur au creux de ma paume me rappelait la présence de la tasse et son contenu. N’avions pas assez renverser pour la soirée ? Alors, je me contenais. Maitresse de sang froid, tel un serpent, je sifflais. Manifestation de ma désapprobation et avertissement à ne pas recommencer qui t’était adressé. « M’embêter ? C’est un euphémisme ! » raillais-je ensuite. Je ramenais alors la tasse devant moi, l’érigeant en barrière te dissuadant de renouveler toute tentative intempestive. « À l’égal de ta prétention. » Regard dédaigneux, tu te révélais de plus en plus présomptueux. « Tu n’as pourtant encore rien d’un homme. » Ni le physique, ni le comportement, depuis notre première rencontre, je n’avais eu tort de te considérer comme un enfant. Bien que les termes d’adolescents en proie à ses hormones seraient certainement bien plus appropriés pour te qualifier. En somme, tout ce que je détestais le plus ! « Si tu ne délies ta langue alors je me considère libre de valider ma conclusion sur ton intention ! » À la liste de tes défauts s’ajoutait celui d’être un couard incapable d’assumer ni ses actes, ni ses pensées. Finalement, peut-être avais-tu raison de tant insister sur la beauté de ton visage, car tu étais dénuée de toute autre forme de qualité. « On peut s’y remettre ? » D’un léger mouvement de la tête, je désignais l’écran et cette vidéo nous attendant toujours patiemment. Ta tasse je te tendis également puisque celle-ci m’encombrait inutilement. (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Sam 9 Déc - 23:19
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Sans doute étais-je trop enfantin à ton goût, toi qui me signifiait qu’encore une fois j’avais franchi la limite de l’acceptable. Ce n’était pas bien dur de le comprendre, ton regard, ta gestuelle et bientôt tes mots : tu n’allais pas me rendre la pareille, tu allais me faire rôtir sur place ! Ferais-je la dinde pour Noël le mois prochain ? Ou de chocolat de l’Avent ? Du Haneul fourré à la praline garnis d’éclats de noisettes pour les gumihos jusqu’au 24 décembre… Que demander de plus ?
Mes lèvres se pinçaient alors que je retrouvais un semblant de sérieux. J’aimais autant t’embêter que tu pouvais m’ennuyer quand tu décidais de ne plus être réceptive à mes jeux. J’écoutais sans un mot tes remarques, à moins que le mot correct ne fût « critiques », sur ma personne. Prétentieux, puéril, pervers, si ces trois P là j’étais à tes yeux alors je m’en contenterais. Je n’avais nullement besoin de te prouver que tu étais en tords, n’étais-ce pas ainsi que j’avais souhaité être depuis le lycée ? Ajoutez à cela « idiot » et « probablement suicidaire » même si la première option était certainement déjà dans ta tête, la seconde ne devrait sans doute pas tarder à trouver une place dans la liste également. « J’ai arrêté de vouloir être un homme à partir du lycée. Désolé chère Présidente mais tu devras me supporter comme ça jusqu’à ce que nos chemins se séparent. » La tasse entre tes doigts j’attrapais de nouveau et la levais comme si tu pouvais trinquer avec moi pour mon absolue non-envie d’évolution avant d’en boire une gorgée. Sans rien ajouté de plus, je me tournais dos à toi pour retourner m’asseoir, souris à la main, clavier orienté vers moi pour continuer ce que tu avais commencé. « La suppression risque de prendre jusqu’à demain matin, tu tiens vraiment à tout voir de tes déboires alcoolisés ? » Non je n’avais pas peur de ces scènes où tes fesses s’affichaient à l’écran, ni de celles où tu prenais ma main après le rapide bisou, ni de toutes les autres. Je m’en fichais pas mal à vrai dire, ton opinion sur ma personne était bien ancrée dans ton esprit, en quoi les voir ou non changerait quelque chose ? Ma question relevait plutôt d’une inquiétude, que je n’avouerais jamais même à moi-même, sur ta capacité à rester réveillée toute la nuit en sachant que le lendemain il y avait cours.
Peek-a-boo
I might die tonight
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Perfect HaRa
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Sans doute étais-je trop enfantin à ton goût, toi qui me signifiait qu’encore une fois j’avais franchi la limite de l’acceptable. Ce n’était pas bien dur de le comprendre, ton regard, ta gestuelle et bientôt tes mots : tu n’allais pas me rendre la pareille, tu allais me faire rôtir sur place ! Ferais-je la dinde pour Noël le mois prochain ? Ou de chocolat de l’Avent ? Du Haneul fourré à la praline garnis d’éclats de noisettes pour les gumihos jusqu’au 24 décembre… Que demander de plus ?Mes lèvres se pinçaient alors que je retrouvais un semblant de sérieux. J’aimais autant t’embêter que tu pouvais m’ennuyer quand tu décidais de ne plus être réceptive à mes jeux. J’écoutais sans un mot tes remarques, à moins que le mot correct ne fût « critiques », sur ma personne. Prétentieux, puéril, pervers, si ces trois P là j’étais à tes yeux alors je m’en contenterais. Je n’avais nullement besoin de te prouver que tu étais en tords, n’étais-ce pas ainsi que j’avais souhaité être depuis le lycée ? Ajoutez à cela « idiot » et « probablement suicidaire » même si la première option était certainement déjà dans ta tête, la seconde ne devrait sans doute pas tarder à trouver une place dans la liste également. « J’ai arrêté de vouloir être un homme à partir du lycée. Désolé chère Présidente mais tu devras me supporter comme ça jusqu’à ce que nos chemins se séparent. » La tasse entre tes doigts j’attrapais de nouveau et la levais comme si tu pouvais trinquer avec moi pour mon absolue non-envie d’évolution avant d’en boire une gorgée. Sans rien ajouté de plus, je me tournais dos à toi pour retourner m’asseoir, souris à la main, clavier orienté vers moi pour continuer ce que tu avais commencé. « La suppression risque de prendre jusqu’à demain matin, tu tiens vraiment à tout voir de tes déboires alcoolisés ? » Non je n’avais pas peur de ces scènes où tes fesses s’affichaient à l’écran, ni de celles où tu prenais ma main après le rapide bisou, ni de toutes les autres. Je m’en fichais pas mal à vrai dire, ton opinion sur ma personne était bien ancrée dans ton esprit, en quoi les voir ou non changerait quelque chose ? Ma question relevait plutôt d’une inquiétude, que je n’avouerais jamais même à moi-même, sur ta capacité à rester réveillée toute la nuit en sachant que le lendemain il y avait cours.
(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Lun 11 Déc - 16:09
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Tu te satisfaisais donc de ton état de gamin, que ce fut mentalement ou physiquement. Au moins, cette fois, tu le reconnaissais et même, tu l’assumais. Cependant, ne décelais-tu pas la perche que tu me tendais ? « Est-ce une façon de m’inciter à te renvoyer ? » Si pour m’épargner la peine de d’avoir à te supporter, il suffisait de séparer nos chemins se croisant un peu trop souvent, il ne me serait trop compliquer d’y remédier. Sur l’instant, bien évidemment, je pensais à ton petit boulot auprès de mon chien, car je n’abuserais de mon autorité pour te faire virer de la fraternité. Néanmoins, peut-être l’entendrais-tu comme un double avertissement ?
Ces tergiversions closes, nous semblions trouver un accord quant au fait de s’y remettre, à notre objectif de la soirée. Alors, à ton instar, je reprenais place sur mon siège, tournée vers l’écran. Cependant, tenterais-tu de faire une fois encore machine arrière ? Peine perdue ! « Oui, j’y tiens ! » te formulais-je non sans une certaine fermeté et autorité. Ne pas savoir, être dans le brouillard quant à mes gestes, dont tu tenais la connaissance et la preuve, ne m’était concevable. Puisque tu le savais déjà et qu’avec ou sans moi, cette vidéo, tu la visionnerais autant que je le sache également !
La lecture lancée, je fixais attentivement l’écran, ne laissant glisser vers yeux en direction de tes doigts sur le clavier lorsque ceux-ci s’y affairaient. Au bout de quelques minutes, je ne manquais pas de remarquer comme la vue semblait insister sur ma silhouette et plus précisément orientée sur mon fessier. Intérieurement, je fulminais. Je te maudissais et l’envie de t’étrangler me prenait. Néanmoins, je me contenais, te gratifiant seulement – pour le moment – d’une pique acerbe ? « Et sinon, il y a-t-il autre chose que ma personne dans cette vidéo ? » À en juger parce que je venais de visionner, je détenais le rôle principal de ton film. Puis, comme pour répondre à ma question, l’objectif de ton enregistrement changea balayant autour de toi les lieux que nous avions exploré. Y gagnais-tu un sursis ? Ce fut sans compter sur la bande son où, riant déjà silencieusement mais ironiquement à la question de Hiro nous concernant tous les deux, je perdis tout humour à l’entente de ta réponse ? « Au moins tout ça, quoi ??? Qu’as-tu osé sous-entendre là ? » D’un bout, j’avais sauté de ma chaise. Je ne savais si je me faisais glaciale ou bouillonnante de colère. Outre l’audace calomnieuse dont tu avais fait preuve dans ta réponse, de nouveaux doutes m’assaillaient soudainement. Quel genre de menteur étais-tu ? Colportais-tu souvent de pareilles absurdités sans en mesurer les potentielles conséquences ? Sur mon compte de surcroit ? Ou pire : « Est-ce que l’as raconté à qui que ce soit ? » Tu n’aurais pas fait ça ? Pourquoi ne m’étais-je davantage méfiée plus tôt ? J’extrapolais, mais maintenant, je prenais conscience à quel point tu avais pu déblatéré à ton aise dès que j’avais le dos tourné. « Ce… Ce que tu as vu mais n’aurait jamais dû voir ! » D’un pas, je me reculais, mes bras se croisant devant moi, comme pour me protéger. Comme si je pouvais encore me préserver de ton regard qui n’en avait déjà que trop vu. Le malaise que j’étais parvenue à dissiper au fil des jours en ta présence était de retour. Le doute, l’appréhension que chaque fois que tes yeux se posaient sur moi, tu ne revoies que ça. Tu ne recherches que ça. Tu ne penses qu’à ça. Pire encore, j’angoissais désormais que ta langue n’eut été bien pendue. Que tu te sois vantée du spectacle qui t’avait été offert à ton arrivée. De mon assurance, je me vidais. Voile froid sur mes épaules, mon teint se liquéfiait. Mon coeur se pinçait. Malgré moi, mes yeux s’humidifiaient. C’était si humiliant. Je te détestais tellement…
Peek-a-boo
You want to die ?
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Perfect HaRa
« Play the game again
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Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Tu te satisfaisais donc de ton état de gamin, que ce fut mentalement ou physiquement. Au moins, cette fois, tu le reconnaissais et même, tu l’assumais. Cependant, ne décelais-tu pas la perche que tu me tendais ? « Est-ce une façon de m’inciter à te renvoyer ? » Si pour m’épargner la peine de d’avoir à te supporter, il suffisait de séparer nos chemins se croisant un peu trop souvent, il ne me serait trop compliquer d’y remédier. Sur l’instant, bien évidemment, je pensais à ton petit boulot auprès de mon chien, car je n’abuserais de mon autorité pour te faire virer de la fraternité. Néanmoins, peut-être l’entendrais-tu comme un double avertissement ? Ces tergiversions closes, nous semblions trouver un accord quant au fait de s’y remettre, à notre objectif de la soirée. Alors, à ton instar, je reprenais place sur mon siège, tournée vers l’écran. Cependant, tenterais-tu de faire une fois encore machine arrière ? Peine perdue ! « Oui, j’y tiens ! » te formulais-je non sans une certaine fermeté et autorité. Ne pas savoir, être dans le brouillard quant à mes gestes, dont tu tenais la connaissance et la preuve, ne m’était concevable. Puisque tu le savais déjà et qu’avec ou sans moi, cette vidéo, tu la visionnerais autant que je le sache également !
La lecture lancée, je fixais attentivement l’écran, ne laissant glisser vers yeux en direction de tes doigts sur le clavier lorsque ceux-ci s’y affairaient. Au bout de quelques minutes, je ne manquais pas de remarquer comme la vue semblait insister sur ma silhouette et plus précisément orientée sur mon fessier. Intérieurement, je fulminais. Je te maudissais et l’envie de t’étrangler me prenait. Néanmoins, je me contenais, te gratifiant seulement – pour le moment – d’une pique acerbe ? « Et sinon, il y a-t-il autre chose que ma personne dans cette vidéo ? » À en juger parce que je venais de visionner, je détenais le rôle principal de ton film. Puis, comme pour répondre à ma question, l’objectif de ton enregistrement changea balayant autour de toi les lieux que nous avions exploré. Y gagnais-tu un sursis ? Ce fut sans compter sur la bande son où, riant déjà silencieusement mais ironiquement à la question de Hiro nous concernant tous les deux, je perdis tout humour à l’entente de ta réponse ? « Au moins tout ça, quoi ??? Qu’as-tu osé sous-entendre là ? » D’un bout, j’avais sauté de ma chaise. Je ne savais si je me faisais glaciale ou bouillonnante de colère. Outre l’audace calomnieuse dont tu avais fait preuve dans ta réponse, de nouveaux doutes m’assaillaient soudainement. Quel genre de menteur étais-tu ? Colportais-tu souvent de pareilles absurdités sans en mesurer les potentielles conséquences ? Sur mon compte de surcroit ? Ou pire : « Est-ce que l’as raconté à qui que ce soit ? » Tu n’aurais pas fait ça ? Pourquoi ne m’étais-je davantage méfiée plus tôt ? J’extrapolais, mais maintenant, je prenais conscience à quel point tu avais pu déblatéré à ton aise dès que j’avais le dos tourné. « Ce… Ce que tu as vu mais n’aurait jamais dû voir ! » D’un pas, je me reculais, mes bras se croisant devant moi, comme pour me protéger. Comme si je pouvais encore me préserver de ton regard qui n’en avait déjà que trop vu. Le malaise que j’étais parvenue à dissiper au fil des jours en ta présence était de retour. Le doute, l’appréhension que chaque fois que tes yeux se posaient sur moi, tu ne revoies que ça. Tu ne recherches que ça. Tu ne penses qu’à ça. Pire encore, j’angoissais désormais que ta langue n’eut été bien pendue. Que tu te sois vantée du spectacle qui t’avait été offert à ton arrivée. De mon assurance, je me vidais. Voile froid sur mes épaules, mon teint se liquéfiait. Mon coeur se pinçait. Malgré moi, mes yeux s’humidifiaient. C’était si humiliant. Je te détestais tellement…
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