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Peek-a-boo #Hara ♡
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Jeu 7 Déc - 0:43
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Après t’avoir guidé dans la simple façon de tenir cet outil informatique, mon bras revenait se poser sur la tour, la main pendante alors que je me satisfaisais de cette vision. Toi qui avais toujours eu le dessus depuis notre rencontre, appréciais-tu d’être une souris d’expérimentation soudainement ? De ce sourire j’étais incapable de me défaire. Indéniablement, cette vue de toi incapable d’avancer d’un seul millimètre m’amusait, bien plus divertissant que d’être mené en bateau. En tout cas dans un premier temps ! Rapidement, tel un chat voulant échapper à l’eau, tel un lion sur sa proie, je me jetais sur toi pour t’enlever cette arme de meurtre des doigts. Mon sourire avait disparu, la panique se lisait dans mon regard et mon cœur s’était lancé dans un sprint imprévu. Mes mains gardaient bien précieusement le plastique de la bouteille de revenir entre tes doigts menaçants alors que mes yeux te jugeaient de haut en bas. « woa… » Lançais-je doucement alors que je m’assurais que cette bouteille serait bien loin de ta personne et de ta portée. Je la plaçais même sur le bord du bureau, fermée, avec la tour entre toi et elle. Un instant, mon attention ne t’était plus accordée, vouant tout mon amour à ce clavier qui avait frôlé la mort. Mes doigts passaient sur les touches, voulant m’assurer que tu n’avais rien fait dans ta menace. « Mon pauvre bébé… » Soufflais-je comme un père à son enfant avant de poser les mains sur le rebord du bureau en te fixant.
« Bon. J’imagine qu’il faut mieux que je t’explique avant le massacre… » Pourquoi avais-tu même souhaité le faire de toi-même si tu ne connaissais rien à ce logiciel ? Si tu n’avais jamais touché un clavier mécha de ta vie ? Étais-tu maso ? Ou avais-tu espérer que, tel un film pour adolescente pré-pubère, j’allais passer mes bras autour de toi pour lentement te guider dans ton entreprise ? A cette pensée, le désespoir se lisait sur mon visage. Tu étais irrécupérable, vraiment, comment j’allais survivre des heures de montage avec un tel cas à mes côtés ? « Premièrement ! Cette touche, tu ne toucheras point ! » Annonçais-je en pointant du doigt le premier bouton latéral de ma souris. « Il lance une application de jeu, le deuxième, pareil. Tu ne touches pas. Tu n’en effleures même pas la surface. » Cela fait, même si j’avais oublié certains boutons sur le haut de la souris, je me décidais d’attaquer cette histoire de logiciel, pointant du doigt au fil de mon énumération. « Ici, tu reviens au début, ici à la fin, ici t’avance par millisecondes, ici tu recules par millisecondes, ici tu places un marqueur, ici tu supprimes la sélection, ça tu touches pas, ça non plus, ça non plus, ça tu t’en fiche… » Ainsi continuais la liste jusqu’à arriver à la fin de tout ce qui se trouvait sur l’écran. Loin d’être énervé dans cette énumération, je présumais simplement que tu arriverais à retenir l’essentiel de ce que je te disais pour, comme tu semblais le vouloir, faire ce découpage de toi-même. « Le clavier… Tu touches pas ça ni ça… ça non plus, ça non plus, ça non plus... Les touches tu me les tues pas en t’énervant parce que ça marche pas, il faut juste appuyer fort et correctement dessus… » Mon regard se posait enfin sur toi, me demandant si... En fait… Tu avais même retenu la moitié de ce que je venais de te dire ou si tu avais débranché ton cerveau à partir du moment où j’avais attaqué l’explication rapide du logiciel ?
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa 
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Après t’avoir guidé dans la simple façon de tenir cet outil informatique, mon bras revenait se poser sur la tour, la main pendante alors que je me satisfaisais de cette vision. Toi qui avais toujours eu le dessus depuis notre rencontre, appréciais-tu d’être une souris d’expérimentation soudainement ? De ce sourire j’étais incapable de me défaire. Indéniablement, cette vue de toi incapable d’avancer d’un seul millimètre m’amusait, bien plus divertissant que d’être mené en bateau. En tout cas dans un premier temps ! Rapidement, tel un chat voulant échapper à l’eau, tel un lion sur sa proie, je me jetais sur toi pour t’enlever cette arme de meurtre des doigts. Mon sourire avait disparu, la panique se lisait dans mon regard et mon cœur s’était lancé dans un sprint imprévu. Mes mains gardaient bien précieusement le plastique de la bouteille de revenir entre tes doigts menaçants alors que mes yeux te jugeaient de haut en bas. « woa… » Lançais-je doucement alors que je m’assurais que cette bouteille serait bien loin de ta personne et de ta portée. Je la plaçais même sur le bord du bureau, fermée, avec la tour entre toi et elle. Un instant, mon attention ne t’était plus accordée, vouant tout mon amour à ce clavier qui avait frôlé la mort. Mes doigts passaient sur les touches, voulant m’assurer que tu n’avais rien fait dans ta menace. « Mon pauvre bébé… » Soufflais-je comme un père à son enfant avant de poser les mains sur le rebord du bureau en te fixant. « Bon. J’imagine qu’il faut mieux que je t’explique avant le massacre… » Pourquoi avais-tu même souhaité le faire de toi-même si tu ne connaissais rien à ce logiciel ? Si tu n’avais jamais touché un clavier mécha de ta vie ? Étais-tu maso ? Ou avais-tu espérer que, tel un film pour adolescente pré-pubère, j’allais passer mes bras autour de toi pour lentement te guider dans ton entreprise ? A cette pensée, le désespoir se lisait sur mon visage. Tu étais irrécupérable, vraiment, comment j’allais survivre des heures de montage avec un tel cas à mes côtés ? « Premièrement ! Cette touche, tu ne toucheras point ! » Annonçais-je en pointant du doigt le premier bouton latéral de ma souris. « Il lance une application de jeu, le deuxième, pareil. Tu ne touches pas. Tu n’en effleures même pas la surface. » Cela fait, même si j’avais oublié certains boutons sur le haut de la souris, je me décidais d’attaquer cette histoire de logiciel, pointant du doigt au fil de mon énumération. « Ici, tu reviens au début, ici à la fin, ici t’avance par millisecondes, ici tu recules par millisecondes, ici tu places un marqueur, ici tu supprimes la sélection, ça tu touches pas, ça non plus, ça non plus, ça tu t’en fiche… » Ainsi continuais la liste jusqu’à arriver à la fin de tout ce qui se trouvait sur l’écran. Loin d’être énervé dans cette énumération, je présumais simplement que tu arriverais à retenir l’essentiel de ce que je te disais pour, comme tu semblais le vouloir, faire ce découpage de toi-même. « Le clavier… Tu touches pas ça ni ça… ça non plus, ça non plus, ça non plus... Les touches tu me les tues pas en t’énervant parce que ça marche pas, il faut juste appuyer fort et correctement dessus… » Mon regard se posait enfin sur toi, me demandant si... En fait… Tu avais même retenu la moitié de ce que je venais de te dire ou si tu avais débranché ton cerveau à partir du moment où j’avais attaqué l’explication rapide du logiciel ?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Jeu 7 Déc - 19:17
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Je me doutais que plus que des mots, un tel argument saurait te faire réagir. Te voir paniquer pour ton précieux clavier en serait presque mignon. À moins que le mot plus adéquat fut grotesque à voir la manière dont tu le couvais. Manquais-tu à ce point de vie sociale ? Discrètement, je roulais des yeux puis tendis l’oreille alors que tu entrepris quelques explications. Ou plutôt, une flopée d’arasantes explications. Si tu m’ennuyais ? Entre l’agacement et l’ennui, je ne saurais trancher car dès les premiers mots tu avais su m’insuffler l’envie de t’étriper. J’écoutais néanmoins jusqu’à ce que tu t’interrompes, tournant alors tes yeux vers moi avec un drôle d’air. « Pourquoi me regardes-tu comme ça ? » te demandais-je, las et un soupçon sur la défensive. Je pensais bien devenir ce que tu disais : « Es-tu en train de supposer que je ne suis pas dotée d’assez de concentration pour tout enregistrer ? » Parce que j’étais une fille ? Ou pour n’importe quelle raison faisant que tu me jugeais peut-être trop superficielle pour savoir apprendre ? En fait, tu avais des pulsions suicidaires, non ? À me chercher de la sorte, je l’envisageais de plus en plus fortement. « Néanmoins, je reconnais que c’est barbant et puis que tu es l’auteur de cette vidéo, je ne vois pas pourquoi je devrais me charger de ces suppressions. Fais-le toi, que je puisse admirer l’artiste ! » J’ironisais bien évidemment. Le masque de glace donna la presque illusion de fondre tandis que mes lèvres se fendirent sur un sourire. Ma main, j’approchais au-dessus du clavier, à croire que jamais je ne renoncerais totalement à l’envie de jouer : « Sinon, il serait dommage de raviver mon âme d’enfant et que je ne puisse résister à l’envie de toucher justement aux touches que tu m’as si désagréablement interdit. » Si ma voix se faisait mielleuse au début de ma phrase, progressivement, elle se fit plus grinçante jusqu’à ma conclusion. J’en avais en horreur la façon dont tu m’avais parlé et tu ne soupçonnais sans doute pas toute la cruauté et la sournoiserie que pourraient se réveiller avec mon âme d’enfant. Tu devrais te rappeler qu’en ce temps déjà, j’adorais pour animal de compagnie un immense serpent. N’avais-tu pas douté que cela puisse être évocateur de ma personnalité ?
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Je me doutais que plus que des mots, un tel argument saurait te faire réagir. Te voir paniquer pour ton précieux clavier en serait presque mignon. À moins que le mot plus adéquat fut grotesque à voir la manière dont tu le couvais. Manquais-tu à ce point de vie sociale ? Discrètement, je roulais des yeux puis tendis l’oreille alors que tu entrepris quelques explications. Ou plutôt, une flopée d’arasantes explications. Si tu m’ennuyais ? Entre l’agacement et l’ennui, je ne saurais trancher car dès les premiers mots tu avais su m’insuffler l’envie de t’étriper. J’écoutais néanmoins jusqu’à ce que tu t’interrompes, tournant alors tes yeux vers moi avec un drôle d’air. « Pourquoi me regardes-tu comme ça ? » te demandais-je, las et un soupçon sur la défensive. Je pensais bien devenir ce que tu disais : « Es-tu en train de supposer que je ne suis pas dotée d’assez de concentration pour tout enregistrer ? » Parce que j’étais une fille ? Ou pour n’importe quelle raison faisant que tu me jugeais peut-être trop superficielle pour savoir apprendre ? En fait, tu avais des pulsions suicidaires, non ? À me chercher de la sorte, je l’envisageais de plus en plus fortement. « Néanmoins, je reconnais que c’est barbant et puis que tu es l’auteur de cette vidéo, je ne vois pas pourquoi je devrais me charger de ces suppressions. Fais-le toi, que je puisse admirer l’artiste ! » J’ironisais bien évidemment. Le masque de glace donna la presque illusion de fondre tandis que mes lèvres se fendirent sur un sourire. Ma main, j’approchais au-dessus du clavier, à croire que jamais je ne renoncerais totalement à l’envie de jouer : « Sinon, il serait dommage de raviver mon âme d’enfant et que je ne puisse résister à l’envie de toucher justement aux touches que tu m’as si désagréablement interdit. » Si ma voix se faisait mielleuse au début de ma phrase, progressivement, elle se fit plus grinçante jusqu’à ma conclusion. J’en avais en horreur la façon dont tu m’avais parlé et tu ne soupçonnais sans doute pas toute la cruauté et la sournoiserie que pourraient se réveiller avec mon âme d’enfant. Tu devrais te rappeler qu’en ce temps déjà, j’adorais pour animal de compagnie un immense serpent. N’avais-tu pas douté que cela puisse être évocateur de ma personnalité ? (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Jeu 7 Déc - 21:11
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
« Tout à fait » lâchais-je sans mal à tes mots qui avaient su pointé du doigt ma pensée très précisément. Allais-tu encore t’énerver ? Je n’avais jamais songé ou voulu apprendre à quelqu’un comment utiliser mon pc, celui-ci venant d’être dépucelé du touché d’une femme par ta personne, alors oui, je me demandais : est-ce que tu avais retenu quelque chose de ce que je venais de te dire ? Mais cette question resterait sans réponse puisque tu semblais abandonner l’idée de faire tout de toi-même. Devais-je comprendre que tu n’avais rien retenu et faisais la fière pour garder ton image ? Ou que tu avais simplement mal interpréter mes mots quand je t'interdisais certaines touches ? « Tu peux les toucher si tu veux, je t’empêcherais pas de le faire. » Ce n’était pas comme si j’avais osé mettre la fonction formatage sur l’une d’elle, je n’étais pas assez fou pour cela. Tout ce que tu allais faire serait de nous retarder dans le montage en lançant des tas de programmes qui étaient inutiles à l’heure actuelle.
Je me redressais par la suite afin de prendre une chaise non loin et de m’installer près de toi, te laissant mon confortable siège de gamer pour soutenir ton poids plume. Doucement, j’attrapais la tour de mon pc pour la décaler un peu, juste un peu, assez pour être à l’aise dans mes mouvements par la suite. « J’imagine que tu vas vouloir voir la vidéo en entière ? » Sinon pourquoi aurais-tu voulu rester après m’avoir dit que cette scène de baiser était à supprimé, hm ?
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« Tout à fait » lâchais-je sans mal à tes mots qui avaient su pointé du doigt ma pensée très précisément. Allais-tu encore t’énerver ? Je n’avais jamais songé ou voulu apprendre à quelqu’un comment utiliser mon pc, celui-ci venant d’être dépucelé du touché d’une femme par ta personne, alors oui, je me demandais : est-ce que tu avais retenu quelque chose de ce que je venais de te dire ? Mais cette question resterait sans réponse puisque tu semblais abandonner l’idée de faire tout de toi-même. Devais-je comprendre que tu n’avais rien retenu et faisais la fière pour garder ton image ? Ou que tu avais simplement mal interpréter mes mots quand je t'interdisais certaines touches ? « Tu peux les toucher si tu veux, je t’empêcherais pas de le faire. » Ce n’était pas comme si j’avais osé mettre la fonction formatage sur l’une d’elle, je n’étais pas assez fou pour cela. Tout ce que tu allais faire serait de nous retarder dans le montage en lançant des tas de programmes qui étaient inutiles à l’heure actuelle.Je me redressais par la suite afin de prendre une chaise non loin et de m’installer près de toi, te laissant mon confortable siège de gamer pour soutenir ton poids plume. Doucement, j’attrapais la tour de mon pc pour la décaler un peu, juste un peu, assez pour être à l’aise dans mes mouvements par la suite. « J’imagine que tu vas vouloir voir la vidéo en entière ? » Sinon pourquoi aurais-tu voulu rester après m’avoir dit que cette scène de baiser était à supprimé, hm ?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Jeu 7 Déc - 21:47
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Mais pour qui te prenais-tu à oser remettre en question mes capacités intellectuelles ? Mais pourquoi avais-je à te supporter ? S’il y avait pas eu cette foutue vidéo, j’aurais décampé d’ici depuis longtemps ! Je ne savais même pas ce qu’il m’avait pris de m’égarer une poignée d’instants à rire avec toi. À laisser tes doigts me parcourir dans le dessein de me chatouiller. M’étais-je véritablement cognée la tête à un moment avant que tout ceci ne commence ? Cela aurait pu tout expliquer, mais je ne m’en souvenais, malheureusement.
Tu ne voyais véritablement aucun inconvénient à ce que je presse ces touches, ou tu le feignais ? À en juger comme tu t’éloignais en quête d’une chaise, sans être animée par la moindre appréhension, j’en convenais que tu devais être sincère. Ou alors complètement sot si tu n’avais toujours pas saisi que je serais parfaitement capable de le faire. « Au lieu de me dire de ne pas toucher comme si j’étais une enfant, quitte à m’expliquer le reste autant le justifier aussi. » Je n’étais Jethro que tu essayais de dresser avec des ordres simples et concis. Je n’étais pas comme lui à me laisser distraire au moindre papillon… Bon au moindre tout, sauf les papillons, je le reconnaissais. Néanmoins, là n’était pas le sujet. « Si tu as à un doute quant à ma capacité d’écoute, je vais vite le dissiper ! » Puisque tu m’avais offensé, ma fierté s’embrasait de te démontrer à quel point tu avais eu tort. Presque mot par mot, je reprenais tes explications, ne me trompant pas une seul fois dans les touches que je désignais et les informations auxquelles tu les avais associé. Peut-être comprendras-tu un jour, que plus encore qu’une élève de médecine, je suis une jeune femme qui a grandi dans un monde aussi fastueux qu’impitoyable au sein duquel, pour dominer, j’avais appris très jeune à analyser, enregistrer et comprendre. Les noms que je ne retenais ? Ils n’étaient que le fruit d’une sélection postérieure pour ne pas encombrer mon cerveau d’informations que je jugeais inutiles, après les avoir néanmoins gravé dans l’instant. « Maintenant, oui, reprenons cette vidéo depuis le début. » Aucune trace de ma personne ne devait y rester, même lorsque j’étais encore sobre. « Je ne tiens pas être davantage vue dans ce costume, » avouais-je d’une voix peut-être moins ferme et assurée que je ne l’aurais voulu. Si j’avais été fière de le porter sur le moment ? Oui, ce fut agréable de se sentir belle et à la fois un peu plus sexy que d’accoutumée. Si je n’en assumais pas pleinement le port avec le recul ? Un peu…
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Mais pour qui te prenais-tu à oser remettre en question mes capacités intellectuelles ? Mais pourquoi avais-je à te supporter ? S’il y avait pas eu cette foutue vidéo, j’aurais décampé d’ici depuis longtemps ! Je ne savais même pas ce qu’il m’avait pris de m’égarer une poignée d’instants à rire avec toi. À laisser tes doigts me parcourir dans le dessein de me chatouiller. M’étais-je véritablement cognée la tête à un moment avant que tout ceci ne commence ? Cela aurait pu tout expliquer, mais je ne m’en souvenais, malheureusement. Tu ne voyais véritablement aucun inconvénient à ce que je presse ces touches, ou tu le feignais ? À en juger comme tu t’éloignais en quête d’une chaise, sans être animée par la moindre appréhension, j’en convenais que tu devais être sincère. Ou alors complètement sot si tu n’avais toujours pas saisi que je serais parfaitement capable de le faire. « Au lieu de me dire de ne pas toucher comme si j’étais une enfant, quitte à m’expliquer le reste autant le justifier aussi. » Je n’étais Jethro que tu essayais de dresser avec des ordres simples et concis. Je n’étais pas comme lui à me laisser distraire au moindre papillon… Bon au moindre tout, sauf les papillons, je le reconnaissais. Néanmoins, là n’était pas le sujet. « Si tu as à un doute quant à ma capacité d’écoute, je vais vite le dissiper ! » Puisque tu m’avais offensé, ma fierté s’embrasait de te démontrer à quel point tu avais eu tort. Presque mot par mot, je reprenais tes explications, ne me trompant pas une seul fois dans les touches que je désignais et les informations auxquelles tu les avais associé. Peut-être comprendras-tu un jour, que plus encore qu’une élève de médecine, je suis une jeune femme qui a grandi dans un monde aussi fastueux qu’impitoyable au sein duquel, pour dominer, j’avais appris très jeune à analyser, enregistrer et comprendre. Les noms que je ne retenais ? Ils n’étaient que le fruit d’une sélection postérieure pour ne pas encombrer mon cerveau d’informations que je jugeais inutiles, après les avoir néanmoins gravé dans l’instant. « Maintenant, oui, reprenons cette vidéo depuis le début. » Aucune trace de ma personne ne devait y rester, même lorsque j’étais encore sobre. « Je ne tiens pas être davantage vue dans ce costume, » avouais-je d’une voix peut-être moins ferme et assurée que je ne l’aurais voulu. Si j’avais été fière de le porter sur le moment ? Oui, ce fut agréable de se sentir belle et à la fois un peu plus sexy que d’accoutumée. Si je n’en assumais pas pleinement le port avec le recul ? Un peu…
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Jeu 7 Déc - 22:05
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Restart! »
Finalement, ma question trouvait une réponse : je t’avais énervée. Encore une fois et loin d’être la dernière à mon avis. Silencieusement, je t’écoutais réciter tout ce que je venais de te dire avec une perfection sans nom. Venais-tu de gagner mon respect ? Ou de m’impressionner ? Pour une raison qui m’échappait, contre ma cage thoracique les battements de mon cœur semblaient plus puissants et mon esprit semblait si vide que je me contentais de poser les yeux sur toi sans un mot. Comment avais-tu tout retenu aussi vite ? Mon regard se posait de nouveau sur mon clavier puis le logiciel, véritablement choqué de ce qu’il venait de se passer. Après quelques instants béat, j’attrapais la souris pour remettre la vidéo au tout début, à l’extérieur du bâtiment où, dans mon costume de Mccree, je parlais pour faire l’intro de ma vidéo au feeling. « Désolé de t’avoir énervée encore une fois. » osais-je enfin prononcer, désireux de te faire comprendre que là n’avait été mon objectif premier. Si dans mon entreprise de tout t’expliquer j’avais omis les justifications, en hypothèse initiale j’avais posé celle de ta non envie de connaître les moindres détails. Hypothèse erronée venant donc faussé toute mon explication précédente. Sur pause j’appuyais lorsque sur la vidéo tu apparaissais enfin, jolie Mercy que tu étais, j’en soupirais en me rappelant la joie que j’avais eu de trouver un partenaire présumé pour l’aventure… « Ce costume te va vraiment bien… » Voix soufflée, les yeux rivés sur ta silhouette à l’écran, à croire que je me perdais dans mes pensées et… C’était sans doute le cas. Je me souvenais de cette nuit-là, non pas par vidéo, mais par souvenir, ce qui était bien plus marquant finalement.
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Finalement, ma question trouvait une réponse : je t’avais énervée. Encore une fois et loin d’être la dernière à mon avis. Silencieusement, je t’écoutais réciter tout ce que je venais de te dire avec une perfection sans nom. Venais-tu de gagner mon respect ? Ou de m’impressionner ? Pour une raison qui m’échappait, contre ma cage thoracique les battements de mon cœur semblaient plus puissants et mon esprit semblait si vide que je me contentais de poser les yeux sur toi sans un mot. Comment avais-tu tout retenu aussi vite ? Mon regard se posait de nouveau sur mon clavier puis le logiciel, véritablement choqué de ce qu’il venait de se passer. Après quelques instants béat, j’attrapais la souris pour remettre la vidéo au tout début, à l’extérieur du bâtiment où, dans mon costume de Mccree, je parlais pour faire l’intro de ma vidéo au feeling. « Désolé de t’avoir énervée encore une fois. » osais-je enfin prononcer, désireux de te faire comprendre que là n’avait été mon objectif premier. Si dans mon entreprise de tout t’expliquer j’avais omis les justifications, en hypothèse initiale j’avais posé celle de ta non envie de connaître les moindres détails. Hypothèse erronée venant donc faussé toute mon explication précédente. Sur pause j’appuyais lorsque sur la vidéo tu apparaissais enfin, jolie Mercy que tu étais, j’en soupirais en me rappelant la joie que j’avais eu de trouver un partenaire présumé pour l’aventure… « Ce costume te va vraiment bien… » Voix soufflée, les yeux rivés sur ta silhouette à l’écran, à croire que je me perdais dans mes pensées et… C’était sans doute le cas. Je me souvenais de cette nuit-là, non pas par vidéo, mais par souvenir, ce qui était bien plus marquant finalement. (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 8 Déc - 12:38
« Play the game again
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Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Des excuses ? Tu m’avais bien trop renfermée et irritée pour que j’y cède simplement avec un sourire. À la place, je me murais dans le silence. Parce que mon coeur semblait s’adoucir et se laisser berner par le timbre de ta voix mais mon esprit se refusait à t’accorder ma grâce. Je ne t’aimais pas, et je n’avais pas envie que cela change ! Non, je ne le voulais pas. Tu étais bien trop doué pour m’énerver pour que je puisse succomber à t’apprécier. Mon esprit restait borné sur le sujet.
Mes yeux rivés sur l’écran, je me vis apparaître dans ce costume. Foutu costume que je trouvais pourtant bien joli. Toi aussi, ce compliment tu l’émis. Étais-tu sincère ou cherchais-tu seulement à me convaincre de ne pas être coupée au montage ? Qu’importait, c’était peine perdue. Ce costume me chagrinait plus qu’autre chose à présent. D’ailleurs, mon corps parla de lui-même, tandis que je remontais les jambes devant moi, talons sur le rebord du coussin du fauteuil de bureau. « Je ne veux plus en entendre parler, » tranchais-je d’une voix aussi ferme que morne, trahissant une once de faiblesse. L’ombre de ma détresse. Je l’avais porté essentiellement dans l’idée de taquiner, de frustré un peu mon fiancé dans l’intention qu’il se manifeste. Non pas que je m’attendais à ce qu’il débarque pour la soirée mais… N’aurait-il pas pu me dire que j’étais belle ? Qu’il aimerait que je porte ce costume pour lui ? Que j’étais sexy ? Erreur sur toute la ligne, j’avais le pressentiment de l’avoir braqué et pour une fois, je n’avais trouvé la force de percer sa muraille de glace.
Un soupir, mon regard se détacha de l’écran et se posa, un peu par hasard, sur toi. Sur ton torse que je remarquais encore dénudé. Infime vague de chaleur qui me monta aux joues, me rappelant vaguement la proximité que j’avais eu précédemment avec toi si légèrement vêtu. Prestement, je détournai la tête, à nouveau face à l’écran : « En plus d’être un voyeur, tu fais dans l’exhibitionnisme ? » D’un mouvement de menton dans ta direction, te refusant cependant l’attention de mes rétines fuyantes, je te désignais. « Il y a un vice que tu n’as pas ? » Je ne savais pas moi-même si je te raillais sincèrement ou si je plaisantais. Ma voix elle-même avait perdu de son aplomb. Tout ce que je souhaitais, que j’essayais de faire était de dissiper ce triste nuage qui semblait couvrir mes épaules. Ce sentiment maussade qui pesait sur mon coeur.
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Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Des excuses ? Tu m’avais bien trop renfermée et irritée pour que j’y cède simplement avec un sourire. À la place, je me murais dans le silence. Parce que mon coeur semblait s’adoucir et se laisser berner par le timbre de ta voix mais mon esprit se refusait à t’accorder ma grâce. Je ne t’aimais pas, et je n’avais pas envie que cela change ! Non, je ne le voulais pas. Tu étais bien trop doué pour m’énerver pour que je puisse succomber à t’apprécier. Mon esprit restait borné sur le sujet. Mes yeux rivés sur l’écran, je me vis apparaître dans ce costume. Foutu costume que je trouvais pourtant bien joli. Toi aussi, ce compliment tu l’émis. Étais-tu sincère ou cherchais-tu seulement à me convaincre de ne pas être coupée au montage ? Qu’importait, c’était peine perdue. Ce costume me chagrinait plus qu’autre chose à présent. D’ailleurs, mon corps parla de lui-même, tandis que je remontais les jambes devant moi, talons sur le rebord du coussin du fauteuil de bureau. « Je ne veux plus en entendre parler, » tranchais-je d’une voix aussi ferme que morne, trahissant une once de faiblesse. L’ombre de ma détresse. Je l’avais porté essentiellement dans l’idée de taquiner, de frustré un peu mon fiancé dans l’intention qu’il se manifeste. Non pas que je m’attendais à ce qu’il débarque pour la soirée mais… N’aurait-il pas pu me dire que j’étais belle ? Qu’il aimerait que je porte ce costume pour lui ? Que j’étais sexy ? Erreur sur toute la ligne, j’avais le pressentiment de l’avoir braqué et pour une fois, je n’avais trouvé la force de percer sa muraille de glace.
Un soupir, mon regard se détacha de l’écran et se posa, un peu par hasard, sur toi. Sur ton torse que je remarquais encore dénudé. Infime vague de chaleur qui me monta aux joues, me rappelant vaguement la proximité que j’avais eu précédemment avec toi si légèrement vêtu. Prestement, je détournai la tête, à nouveau face à l’écran : « En plus d’être un voyeur, tu fais dans l’exhibitionnisme ? » D’un mouvement de menton dans ta direction, te refusant cependant l’attention de mes rétines fuyantes, je te désignais. « Il y a un vice que tu n’as pas ? » Je ne savais pas moi-même si je te raillais sincèrement ou si je plaisantais. Ma voix elle-même avait perdu de son aplomb. Tout ce que je souhaitais, que j’essayais de faire était de dissiper ce triste nuage qui semblait couvrir mes épaules. Ce sentiment maussade qui pesait sur mon coeur.
(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 8 Déc - 16:07
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Ta voix, tes gestes, tes chutes et même tes cris, tout me revenait en mémoire avec une facilité déconcertante. Ce qui me sortait de cette bulle de souvenir, bien trop douce pour être proche de la réalité, c'était ta voix. Annonçant un refus de vouloir en parler, te tassant sur toi même, sans même avoir besoin d'avoir pris des cours de psychologie je pouvais pressentir que quelque chose était arrivé. Était ce grave? Important? Soudainement je me demandais: aurais je dû vous raccompagner jusqu'à votre aile toi et Na Ri? Si proche nous n'avions jamais été, je ne pouvais pourtant pas me sortir de la tête cette voix bien trop triste pour t'appartenir. Tapant doucement les touches du clavier pour sélectionner le début de la partie à supprimé, je faisais en sorte de ne pas te poser de question, ne faire comme si de rien n'était.. mais tu ne semblais de cet avis. M'imposant une nouvelle fois ce timbre de voix dans lequel nulle force ne se trouvait, un soupir passait mes lèvres alors que mes gestes j'arrêtais. Tu m'agaçais, indéniablement, non, pire, tu m'énervais. Vraiment. « Tu m'énerve. » Lançais je en me levant de mon siège sans te lancer un seul regard, prenant la direction de la porte sans prendre la peine d'enfiler un t-shirt.« Bouge pas. » Sur ces mots je t'abandonnais en ce lieu sans t'indiquer où je me dirigeais sur un coup d'impulsivité. Peut être que c'était idiot, peut être que tu partirais pendant les quelques minutes où j'allais être absent ou alors que tu me jugerais à mon retour.. Je ne savais véritablement et je ne voulais y penser pour le moment.
Peek-a-boo
I might die tonight
I might die tonight
Perfect HaRa
« A fox who wants to have fun, that’s me
Aren’t you attracted to me? Then excuse me
It’ll be fun, I’ll include you here
Restart! »
Ta voix, tes gestes, tes chutes et même tes cris, tout me revenait en mémoire avec une facilité déconcertante. Ce qui me sortait de cette bulle de souvenir, bien trop douce pour être proche de la réalité, c'était ta voix. Annonçant un refus de vouloir en parler, te tassant sur toi même, sans même avoir besoin d'avoir pris des cours de psychologie je pouvais pressentir que quelque chose était arrivé. Était ce grave? Important? Soudainement je me demandais: aurais je dû vous raccompagner jusqu'à votre aile toi et Na Ri? Si proche nous n'avions jamais été, je ne pouvais pourtant pas me sortir de la tête cette voix bien trop triste pour t'appartenir. Tapant doucement les touches du clavier pour sélectionner le début de la partie à supprimé, je faisais en sorte de ne pas te poser de question, ne faire comme si de rien n'était.. mais tu ne semblais de cet avis. M'imposant une nouvelle fois ce timbre de voix dans lequel nulle force ne se trouvait, un soupir passait mes lèvres alors que mes gestes j'arrêtais. Tu m'agaçais, indéniablement, non, pire, tu m'énervais. Vraiment. « Tu m'énerve. » Lançais je en me levant de mon siège sans te lancer un seul regard, prenant la direction de la porte sans prendre la peine d'enfiler un t-shirt.« Bouge pas. » Sur ces mots je t'abandonnais en ce lieu sans t'indiquer où je me dirigeais sur un coup d'impulsivité. Peut être que c'était idiot, peut être que tu partirais pendant les quelques minutes où j'allais être absent ou alors que tu me jugerais à mon retour.. Je ne savais véritablement et je ne voulais y penser pour le moment.(c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 8 Déc - 16:44
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Je t’énervais ? Voilà qui mériterait presque de m’arracher un rire ironique. Un rire qui ne fut. Néanmoins, tu ne m’envoyais pas désolée pour autant. Si je pouvais te rendre ne serait-ce que la moitié des ressentiments et l’exaspération que tu me suscitais, alors ce serait une vague consolation à ton apparition dans mon existence. D’ailleurs, une fois de plus, tu me donnes une bonne raison de m’énerver après toi. Où allais-tu comme ça ? J’eus tout juste le temps d’ouvrir la bouche que tu m’assénais d’un ordre et disparaissais. « Non mais celui-là… » pestais-je pour moi-même, désormais seule dans cette pièce. Je n’en revenais pas de ton toupet ! À mon tour énervée, je croisais les bras devant moi. Prête à faire le pied de grue pour te recevoir comme tu le méritais lorsque tu reviendrais. Puis, tes mots résonnèrent en rappel à mes oreilles. De quel droit t’étais-tu permis de m’asséner de l’ordre de ne pas bouger ? Pour qui me prenais-tu ? Évidemment que j’allais bouger ! De ma chaise, je me levais, traversais ta chambre et jetais un regard dans le couloir où je ne t’apercevais déjà plus. Prête à me lancer à ta recherche au bout de trois pas, j’y renonçais. Après tout, pourquoi devrais-je me donner le mal de te suivre ? Je m’en retournais dans ta chambre où t’attendre afin d’avoir tout à loisir de te déverser ma façon de penser quant à ton comportement. Cependant, impossible de rester inactive, et puis, si je ne souhaitais que nous ne passions la nuit et plus encore sur cette satané vidéo, puisque tu m’avais expliqué, autant que j’avance dans les suppressions en ton absence. Je repris donc place sur mon siège et m’employais à effacer cette première séquence m’affichant dans ce costume que je maudissais à présent.
Peek-a-boo
You want to die ?
You want to die ?
Perfect HaRa
« Play the game again
Let’s press the button, hurry like kung fu
Don’t be surprised even if I change my mind
Aren’t you attracted to me? Then excuse me »
Je t’énervais ? Voilà qui mériterait presque de m’arracher un rire ironique. Un rire qui ne fut. Néanmoins, tu ne m’envoyais pas désolée pour autant. Si je pouvais te rendre ne serait-ce que la moitié des ressentiments et l’exaspération que tu me suscitais, alors ce serait une vague consolation à ton apparition dans mon existence. D’ailleurs, une fois de plus, tu me donnes une bonne raison de m’énerver après toi. Où allais-tu comme ça ? J’eus tout juste le temps d’ouvrir la bouche que tu m’assénais d’un ordre et disparaissais. « Non mais celui-là… » pestais-je pour moi-même, désormais seule dans cette pièce. Je n’en revenais pas de ton toupet ! À mon tour énervée, je croisais les bras devant moi. Prête à faire le pied de grue pour te recevoir comme tu le méritais lorsque tu reviendrais. Puis, tes mots résonnèrent en rappel à mes oreilles. De quel droit t’étais-tu permis de m’asséner de l’ordre de ne pas bouger ? Pour qui me prenais-tu ? Évidemment que j’allais bouger ! De ma chaise, je me levais, traversais ta chambre et jetais un regard dans le couloir où je ne t’apercevais déjà plus. Prête à me lancer à ta recherche au bout de trois pas, j’y renonçais. Après tout, pourquoi devrais-je me donner le mal de te suivre ? Je m’en retournais dans ta chambre où t’attendre afin d’avoir tout à loisir de te déverser ma façon de penser quant à ton comportement. Cependant, impossible de rester inactive, et puis, si je ne souhaitais que nous ne passions la nuit et plus encore sur cette satané vidéo, puisque tu m’avais expliqué, autant que j’avance dans les suppressions en ton absence. Je repris donc place sur mon siège et m’employais à effacer cette première séquence m’affichant dans ce costume que je maudissais à présent. (c) DΛNDELION
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 8 Déc - 17:01
« A fox who wants to have fun, that’s me
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Restart! »
Qu’espérais-je en agissant de la sorte ? Dans mon élan, je n’avais pas pris en compte que tu prendrais mal mes mots, mais maintenant que j’étais sorti, je m’en rendais compte. Encore une fois : j’allais passer un sale quart d’heure. De mes lèvres, un soupir s’échappait alors que le plan semblait ne pas être bien difficile à réaliser. N’étais-tu pas déjà en train de m’insulter dans ma chambre le temps que je revienne ? Ta tristesse n’avait-elle déjà été balayée par ta haine de ma personne ? Mes mains se posaient sur ce comptoir face à moi alors que j’étais condamné à attendre un instant encore. Mes yeux se posaient sur un point invisible lorsque ce bruit m’annonçait que tout était fin prêt. Avais-je décidé de faire sauter le dortoir ? Pas encore, ça au moins je savais que c’était sans danger. Une fois tout prêt, je m’afférais à ne pas avoir à subir de remontrance le lendemain de ta part, certain que tu ne manquerais pas de me coller le fer de ces outils sales sur le visage afin de me réveiller…
Après quelques minutes hors de ma chambre, je revenais vers celle-ci plus tranquillement, certain que l’envie de m’emmener à l’hôpital ne te viendrait pas encore. Tu l’avais dit toi-même : trop de paperasse. Alors en sage renard que j’étais, je ne t’en ferais pas faire. La porte je poussais et te voyais travailler sur le montage, m’amenant un vague sourire. Amusé ? Attendri ? Un instant je me demandais si un goût pour ce genre d’activité te viendrait avant qu’il ne soit balayé par l’évidence de ton manque de temps. Sans un mot, je posais ce que j’étais parti chercher à ta gauche, assez loin du clavier pour que tu ne songes à mettre un coup dedans pour le voir périr encore une fois. Du verre chaud de la tasse émanait une légère fumée au parfum sucré. Si jamais je n’avais cherché à manier des outils de cuisine, au moins le chocolat était à ma portée ! Meilleur ami de l’hiver, meilleur ami en cas de déprime, n’avais-tu besoin d’une dose de sucre pour me crier dessus à nouveau comme tu savais si bien le faire ?
Peek-a-boo
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Qu’espérais-je en agissant de la sorte ? Dans mon élan, je n’avais pas pris en compte que tu prendrais mal mes mots, mais maintenant que j’étais sorti, je m’en rendais compte. Encore une fois : j’allais passer un sale quart d’heure. De mes lèvres, un soupir s’échappait alors que le plan semblait ne pas être bien difficile à réaliser. N’étais-tu pas déjà en train de m’insulter dans ma chambre le temps que je revienne ? Ta tristesse n’avait-elle déjà été balayée par ta haine de ma personne ? Mes mains se posaient sur ce comptoir face à moi alors que j’étais condamné à attendre un instant encore. Mes yeux se posaient sur un point invisible lorsque ce bruit m’annonçait que tout était fin prêt. Avais-je décidé de faire sauter le dortoir ? Pas encore, ça au moins je savais que c’était sans danger. Une fois tout prêt, je m’afférais à ne pas avoir à subir de remontrance le lendemain de ta part, certain que tu ne manquerais pas de me coller le fer de ces outils sales sur le visage afin de me réveiller… Après quelques minutes hors de ma chambre, je revenais vers celle-ci plus tranquillement, certain que l’envie de m’emmener à l’hôpital ne te viendrait pas encore. Tu l’avais dit toi-même : trop de paperasse. Alors en sage renard que j’étais, je ne t’en ferais pas faire. La porte je poussais et te voyais travailler sur le montage, m’amenant un vague sourire. Amusé ? Attendri ? Un instant je me demandais si un goût pour ce genre d’activité te viendrait avant qu’il ne soit balayé par l’évidence de ton manque de temps. Sans un mot, je posais ce que j’étais parti chercher à ta gauche, assez loin du clavier pour que tu ne songes à mettre un coup dedans pour le voir périr encore une fois. Du verre chaud de la tasse émanait une légère fumée au parfum sucré. Si jamais je n’avais cherché à manier des outils de cuisine, au moins le chocolat était à ma portée ! Meilleur ami de l’hiver, meilleur ami en cas de déprime, n’avais-tu besoin d’une dose de sucre pour me crier dessus à nouveau comme tu savais si bien le faire ?
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Re: Peek-a-boo #Hara ♡ | Ven 8 Déc - 20:21
« Play the game again
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Aren’t you attracted to me? Then excuse me » Pas certain que m’occuper l’esprit à supprimer et donc au préalable visionner la vidéo de cette soirée fut-ce le meilleur des remèdes pour calmer mes nerfs. Voire tout au contraire ? Pourtant, je me souvenais vaguement m’être amusée. Au réveil malgré l’état nauséeux et les maux de têtes carabinés, j’avais la sensation d’avoir passé un agréablement moment. Pourquoi avec le recul n’en éprouvais-je plus qu’amertume ? Était-ce si mal d’apprécier de temps en temps les moments insouciants et quelque peu irresponsable ? Quand avais-je commencé à me retrouver si enchainée ? Je soupirais. Fatigue et dépit, je ne t’entendis revenir à l’entrée et en conséquence, je sursautais à nouveau légèrement lorsque je sentis ta présence juste à côté. À te voir déposer cette tasse de chocolat chaud qui vraisemblablement m’étais destinée. Des paupières, je battis, incrédule. Fixant quelques instants la tasse, je reportais ensuite mes yeux vers toi qui reprenais place, toujours aussi peu vêtu. « Ai-je parlé en coréen sans m’en rendre compte ? » Avais-je prononcé des mots que tu n’avais pas compris ? Dont tu t’étais mépris ? Pour cette raison, croyant devoir répondre à nouvel ordre de ma part, que tu t’étais si soudainement énervé avant de t’exécuter ? Je n’y voyais guère d’autres explications. Tout comme, je ne voyais difficilement autre chose que la peau de ton torse toujours dénudée.
Alors, sans un mot, je me levais, me dirigeais vers ton placard et me permis de fouiller parmi tes vêtements. J’y dénichais un sweet, au hasard, puis revenais sur mes pas. Revenais à toi. « Lève-toi ! » Anticipant ta potentielle résistance, je t’attrapais par le bras et t’incitais ainsi à t’exécuter. Face à toi, comme si tu étais un enfant, je saisissais le pull correctement dans mes deux mains et le montais par-dessus ta tête afin de l’enfiler. Le cou passé, j’entrepris de glisser tes bras dans les manches également. « Il me semblait pourtant t’avoir expliquer dès le premier jour que je n’étais pas là pour vous couver, » râlais-je vaguement en achevant mon entreprise. Puis, je m’en retournais à proximité de mon siège. De l’anse de la tasse, je m’emparais et ton chocolat chaud je te rapportais : « Merci mais non merci, je ne bois pas de lait. » Présenté entre nous deux, je te signifiais de le reprendre car je ne le consommerais. Quant à ton intention, je ne savais qu’en penser. Je n’étais pas certaine de comprendre pourquoi tu avais fait ça, et je l’étais encore d’avoir envie de m’interroger sur ce que je pouvais éprouver s’il s’agissait là d’un geste sincère, mais maladroit. Alors, je préférais penser que ce n’était que le résultat d’une méprise de ta part, n’est-ce pas ?
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Pas certain que m’occuper l’esprit à supprimer et donc au préalable visionner la vidéo de cette soirée fut-ce le meilleur des remèdes pour calmer mes nerfs. Voire tout au contraire ? Pourtant, je me souvenais vaguement m’être amusée. Au réveil malgré l’état nauséeux et les maux de têtes carabinés, j’avais la sensation d’avoir passé un agréablement moment. Pourquoi avec le recul n’en éprouvais-je plus qu’amertume ? Était-ce si mal d’apprécier de temps en temps les moments insouciants et quelque peu irresponsable ? Quand avais-je commencé à me retrouver si enchainée ? Je soupirais. Fatigue et dépit, je ne t’entendis revenir à l’entrée et en conséquence, je sursautais à nouveau légèrement lorsque je sentis ta présence juste à côté. À te voir déposer cette tasse de chocolat chaud qui vraisemblablement m’étais destinée. Des paupières, je battis, incrédule. Fixant quelques instants la tasse, je reportais ensuite mes yeux vers toi qui reprenais place, toujours aussi peu vêtu. « Ai-je parlé en coréen sans m’en rendre compte ? » Avais-je prononcé des mots que tu n’avais pas compris ? Dont tu t’étais mépris ? Pour cette raison, croyant devoir répondre à nouvel ordre de ma part, que tu t’étais si soudainement énervé avant de t’exécuter ? Je n’y voyais guère d’autres explications. Tout comme, je ne voyais difficilement autre chose que la peau de ton torse toujours dénudée.
Alors, sans un mot, je me levais, me dirigeais vers ton placard et me permis de fouiller parmi tes vêtements. J’y dénichais un sweet, au hasard, puis revenais sur mes pas. Revenais à toi. « Lève-toi ! » Anticipant ta potentielle résistance, je t’attrapais par le bras et t’incitais ainsi à t’exécuter. Face à toi, comme si tu étais un enfant, je saisissais le pull correctement dans mes deux mains et le montais par-dessus ta tête afin de l’enfiler. Le cou passé, j’entrepris de glisser tes bras dans les manches également. « Il me semblait pourtant t’avoir expliquer dès le premier jour que je n’étais pas là pour vous couver, » râlais-je vaguement en achevant mon entreprise. Puis, je m’en retournais à proximité de mon siège. De l’anse de la tasse, je m’emparais et ton chocolat chaud je te rapportais : « Merci mais non merci, je ne bois pas de lait. » Présenté entre nous deux, je te signifiais de le reprendre car je ne le consommerais. Quant à ton intention, je ne savais qu’en penser. Je n’étais pas certaine de comprendre pourquoi tu avais fait ça, et je l’étais encore d’avoir envie de m’interroger sur ce que je pouvais éprouver s’il s’agissait là d’un geste sincère, mais maladroit. Alors, je préférais penser que ce n’était que le résultat d’une méprise de ta part, n’est-ce pas ? (c) DΛNDELION
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