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Le rêve d'une vie... #HARA ♥
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Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 8:52
Doux rayons de soleil qui effleurait mon visage par delà les grands mes fins rideaux blancs, tout doucement mes paupières s’ouvrirent. Un peu difficilement, je montais une main afin de les frotter. Sur mon sein gauche, un léger poids semblait peser mais je n’y prêtais attention. Avec délectation, je m’étirais. Je profitais des derniers instants à savourer le moelleux de ma couette et mon oreiller. Puis, je me glissais hors de la couverture. Nouvel étirement face à la fenêtre, j’entendis du mouvement en provenance du pied du lit. Jethro lui aussi quittait son confortable panier, s’étirant, baillant, pour se mettre en marche à ma suite tandis que je traversais la pièce, truffe levée, oreilles attentives et sa fière queue élégante au vent.
À pas feutres, de mes petons nus sur le sol, dans la cuisine je me rendais. Mon compagnon canidé sur les talons, la première étape obligatoire s’avérait évidemment de remplir sa gamelle. Une caresse de long de son échine alors qu’il avait plongé le museau pour dévorer ses croquettes, je m’en allais ensuite allumer la bouilloire. Puis, j’ouvris le placard dont je sortis machinalement, sans réfléchir, deux tasses que je déposais sur le plan de travail central avant d’ouvrir le réfrigérateur en quête de la brique de lait d’amande.
Le rêve d'une vie...
C'est l'Amour
C'est l'Amour
Perfect HaRa 
« Les rêves qui sommeillent dans nos coeurs
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Doux rayons de soleil qui effleurait mon visage par delà les grands mes fins rideaux blancs, tout doucement mes paupières s’ouvrirent. Un peu difficilement, je montais une main afin de les frotter. Sur mon sein gauche, un léger poids semblait peser mais je n’y prêtais attention. Avec délectation, je m’étirais. Je profitais des derniers instants à savourer le moelleux de ma couette et mon oreiller. Puis, je me glissais hors de la couverture. Nouvel étirement face à la fenêtre, j’entendis du mouvement en provenance du pied du lit. Jethro lui aussi quittait son confortable panier, s’étirant, baillant, pour se mettre en marche à ma suite tandis que je traversais la pièce, truffe levée, oreilles attentives et sa fière queue élégante au vent.
À pas feutres, de mes petons nus sur le sol, dans la cuisine je me rendais. Mon compagnon canidé sur les talons, la première étape obligatoire s’avérait évidemment de remplir sa gamelle. Une caresse de long de son échine alors qu’il avait plongé le museau pour dévorer ses croquettes, je m’en allais ensuite allumer la bouilloire. Puis, j’ouvris le placard dont je sortis machinalement, sans réfléchir, deux tasses que je déposais sur le plan de travail central avant d’ouvrir le réfrigérateur en quête de la brique de lait d’amande.
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 9:10
Couinements enfantins, mon corps je bougeais à la recherche de cette chaleur perdue, de ce son si rassurant. En vain. Ma main je tendais dans le lit, le tâtonnant avant de donner de tous petits coups de pieds dans le lit, tel un enfant faisant un caprice. Encore une fois tu m’avais abandonné. Mes paupières j’ouvrais avant d’éternuer une première fois, puis une seconde. Dans le lit je roulais, des yeux je le dardais. Lui, le coupable. Cette masse duveteuse, me fixant de ses yeux fourbes de si bon matin : Mìngyùn. Une douce grimace je lui accordais avant de m’approcher pour déposer sur sa petite truffe un baiser. De quelques caresses je le gâtais avant de sortir du lit, enfin. Seulement vêtu d’un boxer, des cheveux bruns clairs en bataille dans lesquels je passais ma main, c’était en trainant des pieds que j’allais en cuisine. Etrangement, je semblais mourir de faim, chose étonnante sachant que je ne mangeais que très peu le matin. A croire qu’aujourd’hui ferait exception.
Mes pas je stoppais un instant pour les reprendre plus discrètement. Doucement, furtivement, je m’approchais de toi pour, par surprise, enrouler mes bras autour de ta taille. Sur ta mâchoire mes lèvres se posaient comme une habitude, contre ton cou je venais nicher mon visage par la suite. « Pourquoi tu m’as encore abandonné… » Soufflais-je contre ta peau qui m’avais tant manqué au réveil, alors j’en profitais maintenant.
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Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Couinements enfantins, mon corps je bougeais à la recherche de cette chaleur perdue, de ce son si rassurant. En vain. Ma main je tendais dans le lit, le tâtonnant avant de donner de tous petits coups de pieds dans le lit, tel un enfant faisant un caprice. Encore une fois tu m’avais abandonné. Mes paupières j’ouvrais avant d’éternuer une première fois, puis une seconde. Dans le lit je roulais, des yeux je le dardais. Lui, le coupable. Cette masse duveteuse, me fixant de ses yeux fourbes de si bon matin : Mìngyùn. Une douce grimace je lui accordais avant de m’approcher pour déposer sur sa petite truffe un baiser. De quelques caresses je le gâtais avant de sortir du lit, enfin. Seulement vêtu d’un boxer, des cheveux bruns clairs en bataille dans lesquels je passais ma main, c’était en trainant des pieds que j’allais en cuisine. Etrangement, je semblais mourir de faim, chose étonnante sachant que je ne mangeais que très peu le matin. A croire qu’aujourd’hui ferait exception.
Mes pas je stoppais un instant pour les reprendre plus discrètement. Doucement, furtivement, je m’approchais de toi pour, par surprise, enrouler mes bras autour de ta taille. Sur ta mâchoire mes lèvres se posaient comme une habitude, contre ton cou je venais nicher mon visage par la suite. « Pourquoi tu m’as encore abandonné… » Soufflais-je contre ta peau qui m’avais tant manqué au réveil, alors j’en profitais maintenant.
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 9:45
Ton incontournable brique de lait végétal, auquel je t'avais converti, dénichée, je l'extayais du réfrigérateur dont la porte se refermait. L'emballage hermétique et cartonné rejoignit les deux tasses. Dans un autre placard, je sortais ta précieuse boite de cacao en poudre. Et pas n'importe lequel ! D'une qualité raffinée, je te l'avais offert pour ton précédent anniversaire. Entre autre chose évidemment, mais je savais que tu trouvais aussi plaisir dans les choses simples que tu aimais.
Tendre rituel, moi qui te surpassais en terme d'être matinal alors que tu te défendais déjà honorablement, je m'affairais à préparer ton tant aimé chocolat chaud matinal. Grand enfant que tu étais. D'ailleurs, pensais-tu vraiment pouvoir me surprendre par ton approche ? Si je n'avais de sixième sens où l'ouïe particulièrement fine, Jethro lui ne pouvait pas te rater. Un léger changement dans son attitude me mit la puce à l'oreille. Je ne bronchais pour autant. De tes bras, je me laissais enlacer. Je m'abandonnais à la douceur, à la saveur de ton baiser et de ton souffle. "Je te manquais déjà ?" répondis-je dans un soupir d'aise. Mes mains je libérais. Sur moi même je tournais pour te faire face, pour déposer mes doigts sur ta nuque. "Tu aurais dû te réveiller avant pour me retenir..." Sur la pointe des pieds je me dressais et t'embrassais. "Devrais-je me faire pardonner ?"
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Ton incontournable brique de lait végétal, auquel je t'avais converti, dénichée, je l'extayais du réfrigérateur dont la porte se refermait. L'emballage hermétique et cartonné rejoignit les deux tasses. Dans un autre placard, je sortais ta précieuse boite de cacao en poudre. Et pas n'importe lequel ! D'une qualité raffinée, je te l'avais offert pour ton précédent anniversaire. Entre autre chose évidemment, mais je savais que tu trouvais aussi plaisir dans les choses simples que tu aimais.
Tendre rituel, moi qui te surpassais en terme d'être matinal alors que tu te défendais déjà honorablement, je m'affairais à préparer ton tant aimé chocolat chaud matinal. Grand enfant que tu étais. D'ailleurs, pensais-tu vraiment pouvoir me surprendre par ton approche ? Si je n'avais de sixième sens où l'ouïe particulièrement fine, Jethro lui ne pouvait pas te rater. Un léger changement dans son attitude me mit la puce à l'oreille. Je ne bronchais pour autant. De tes bras, je me laissais enlacer. Je m'abandonnais à la douceur, à la saveur de ton baiser et de ton souffle. "Je te manquais déjà ?" répondis-je dans un soupir d'aise. Mes mains je libérais. Sur moi même je tournais pour te faire face, pour déposer mes doigts sur ta nuque. "Tu aurais dû te réveiller avant pour me retenir..." Sur la pointe des pieds je me dressais et t'embrassais. "Devrais-je me faire pardonner ?"
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 10:05
« Hmm… » Soufflais-je contre l’épiderme de ton cou, trop désireux de t’accaparer pour moi seul pour même te voir quitter le lit de ta seule personne. En te sentant bouger, mon étreinte je défaisais légèrement, mon visage je reculais, t’offrant plus de liberté d’action. Sur ta taille mes mains se posaient ensuite, dans tes pupilles je me perdais alors que de ta voix tu me berçais délicieusement. Avais-je la sensation d’être sur un nuage de bonheur ? Assurément je n’en étais pas loin. Dans ton approche, je t’accompagnais, te soutenant de ma prise sur ta taille pour répondre à ce baiser si chaste, si rapide. Peut-être trop rapide au vu de la façon dont tu m’avais abandonné ce matin. « Tu aurais pu me réveiller aussi… Avec des bisous ou des câlins… » Je ne demandais un réveil coquin, seulement de t’avoir près de moi en ouvrant les yeux. Que pouvais-je demander de plus ? Vers le plafond mon regard je levais un instant avant de me délecter de ton cou une nouvelle fois. Plus longuement, plus délicatement, nombres baisers je déposais sur cette peau aussi soyeuse que la soie. « Hmm… Tu pourrais… » Soufflais-je entre deux baisers tandis que, discrètement, mes doigts trouvaient refuge au creux de tes reins, te serrant un peu plus contre moi. « Viens prendre un bain avec moi… je le prépare pendant que tu fais le petit déjeuner. »
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« Hmm… » Soufflais-je contre l’épiderme de ton cou, trop désireux de t’accaparer pour moi seul pour même te voir quitter le lit de ta seule personne. En te sentant bouger, mon étreinte je défaisais légèrement, mon visage je reculais, t’offrant plus de liberté d’action. Sur ta taille mes mains se posaient ensuite, dans tes pupilles je me perdais alors que de ta voix tu me berçais délicieusement. Avais-je la sensation d’être sur un nuage de bonheur ? Assurément je n’en étais pas loin. Dans ton approche, je t’accompagnais, te soutenant de ma prise sur ta taille pour répondre à ce baiser si chaste, si rapide. Peut-être trop rapide au vu de la façon dont tu m’avais abandonné ce matin. « Tu aurais pu me réveiller aussi… Avec des bisous ou des câlins… » Je ne demandais un réveil coquin, seulement de t’avoir près de moi en ouvrant les yeux. Que pouvais-je demander de plus ? Vers le plafond mon regard je levais un instant avant de me délecter de ton cou une nouvelle fois. Plus longuement, plus délicatement, nombres baisers je déposais sur cette peau aussi soyeuse que la soie. « Hmm… Tu pourrais… » Soufflais-je entre deux baisers tandis que, discrètement, mes doigts trouvaient refuge au creux de tes reins, te serrant un peu plus contre moi. « Viens prendre un bain avec moi… je le prépare pendant que tu fais le petit déjeuner. » (c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 12:41
Goût de tes lèvres imprégné par ce petit baiser, subtilement, discrètement, les miennes j'humectais du timide bout de ma langue que tu entrapercevrais à peine. De ce petit délice, jamais je ne me lasserais. L'air malicieux, mon regard je défiais. Je feignais de réfléchir à ta plainte matinale. J'aurais pu... Mais n'aimais-je pas trop t'entendre quémander de si bons matins après mes attentions ? Et puis, je n'aurais pas voulu voler ce rôle à ce petit être qui le remplissait si bien : "Je pensais que tu préférais te réveiller avec ceux de Mìngyùn," rétorquais-je en esquissant une moue jalouse. Moue qui laissa rapidement place à un nouveau sourire doucement étiré tandis que ton visage tu revenais enfouir au creux de mon cou. Que de baisers, ma peau tu couvrais. Si je n'étais gourmande, il était des péchés mignons auxquels je ne savais résister à l'instar de celui dont tu me comblais actuellement. Au contact de tes doigts, le bas de mon dos légèrement se cambrait. Souple, je me laissais bien volontairement attirer à toi. Me coller à toi. Je m'imprégnais de ta chaleur qui avait pourtant emplie mes draps toute la nuit. Comment m'en lasserais-je ?
Néanmoins, mes mains sur son torse je glissais. Je déposais t'intimant par une douce pression de reculer. Afin que je puisse te regarder. Que je puisse t'adresser mon petit air en coin mutin et soupçonneux à la fois. "Tu crois ?"1 Coup d'oeil par-dessus mon épaule, j'ecartais soigneusement du bras les objets que je manipulais précédement. La place faite, paumes appuyées sur le rebord, d'un bond agile, je me soulevais et m'asseyais sur le plan de travail en marbre. Jambes lentement battantes dans le vide, je te faisais face. De mes doigts s'immiscant juste sur le rebord de l'élastique de ton sous-vêtement, subtilement, je t'appelais à te rapprocher. "Serait-ce raisonnable ?" te demandais-je d'une suave et un soupçon espiègle. "Un bain juste après le petit-déjeuner ne serait trop conseillé... Devrions-nous, nous dépenser un peu avant ?" En contre-bas, ton visage, je regardais. J'admirais comme tu étais beau dès le matin, même dépeigné.
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Goût de tes lèvres imprégné par ce petit baiser, subtilement, discrètement, les miennes j'humectais du timide bout de ma langue que tu entrapercevrais à peine. De ce petit délice, jamais je ne me lasserais. L'air malicieux, mon regard je défiais. Je feignais de réfléchir à ta plainte matinale. J'aurais pu... Mais n'aimais-je pas trop t'entendre quémander de si bons matins après mes attentions ? Et puis, je n'aurais pas voulu voler ce rôle à ce petit être qui le remplissait si bien : "Je pensais que tu préférais te réveiller avec ceux de Mìngyùn," rétorquais-je en esquissant une moue jalouse. Moue qui laissa rapidement place à un nouveau sourire doucement étiré tandis que ton visage tu revenais enfouir au creux de mon cou. Que de baisers, ma peau tu couvrais. Si je n'étais gourmande, il était des péchés mignons auxquels je ne savais résister à l'instar de celui dont tu me comblais actuellement. Au contact de tes doigts, le bas de mon dos légèrement se cambrait. Souple, je me laissais bien volontairement attirer à toi. Me coller à toi. Je m'imprégnais de ta chaleur qui avait pourtant emplie mes draps toute la nuit. Comment m'en lasserais-je ?
Néanmoins, mes mains sur son torse je glissais. Je déposais t'intimant par une douce pression de reculer. Afin que je puisse te regarder. Que je puisse t'adresser mon petit air en coin mutin et soupçonneux à la fois. "Tu crois ?"1 Coup d'oeil par-dessus mon épaule, j'ecartais soigneusement du bras les objets que je manipulais précédement. La place faite, paumes appuyées sur le rebord, d'un bond agile, je me soulevais et m'asseyais sur le plan de travail en marbre. Jambes lentement battantes dans le vide, je te faisais face. De mes doigts s'immiscant juste sur le rebord de l'élastique de ton sous-vêtement, subtilement, je t'appelais à te rapprocher. "Serait-ce raisonnable ?" te demandais-je d'une suave et un soupçon espiègle. "Un bain juste après le petit-déjeuner ne serait trop conseillé... Devrions-nous, nous dépenser un peu avant ?" En contre-bas, ton visage, je regardais. J'admirais comme tu étais beau dès le matin, même dépeigné.
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 19:21
D’une légère grimace je répondais à tes mots, le nez retroussé légèrement pour te prouver que tu ne saurais m’embêter de la sorte. Je te préférais toi, que toi, ne l’avais-tu encore compris ? Alors que j’avais ce sentiment de répétition coincé dans un recoin de mon cœur ? Un instant, tes doigts effleuraient la surface de celui-ci, me repoussant sans que je ne comprenne ton objectif premier. De mes bras tu t’échappais, sous mes yeux tu t’installais sur le plan de travail alors que ma proposition ne semblait te plaire. Avais-tu une autre idée en tête ? De si bon matin ? Doux frisson réveillant mon organisme à ton touché, vers toi je m’approchais naturellement, trouvant refuge entre tes jambes. Sur tes cuisses mes mains se posaient délicatement, les effleurant, les gratifiant de légères caresses. Un sourire je t’offrais, persuadé de comprendre le but de cette proposition tout en sachant inconsciemment que, gumiho que tu avais été, tu serais bien capable de rapidement détourner la situation. « Je pensais faire les deux en même temps… Mais j’ai un soudain intérêt pour tout autre chose. » Regard voilé d’une lueur que tu ne devais que trop bien connaître depuis le temps, sur ton cou le dos de mes doigts se déposaient. Effleurant ton épiderme tel une chose précieuse, fragile, vers ta clavicule ceux-ci se dirigeaient pour rencontrer la bretelle de cette fine dentelle couvrant ta peau. La glissant entre deux doigts dans mon mouvement, vers l’extérieur de ton épaule je la guidais le plus délicatement possible, découvrant ta peau sous mes pupilles attentives.
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D’une légère grimace je répondais à tes mots, le nez retroussé légèrement pour te prouver que tu ne saurais m’embêter de la sorte. Je te préférais toi, que toi, ne l’avais-tu encore compris ? Alors que j’avais ce sentiment de répétition coincé dans un recoin de mon cœur ? Un instant, tes doigts effleuraient la surface de celui-ci, me repoussant sans que je ne comprenne ton objectif premier. De mes bras tu t’échappais, sous mes yeux tu t’installais sur le plan de travail alors que ma proposition ne semblait te plaire. Avais-tu une autre idée en tête ? De si bon matin ? Doux frisson réveillant mon organisme à ton touché, vers toi je m’approchais naturellement, trouvant refuge entre tes jambes. Sur tes cuisses mes mains se posaient délicatement, les effleurant, les gratifiant de légères caresses. Un sourire je t’offrais, persuadé de comprendre le but de cette proposition tout en sachant inconsciemment que, gumiho que tu avais été, tu serais bien capable de rapidement détourner la situation. « Je pensais faire les deux en même temps… Mais j’ai un soudain intérêt pour tout autre chose. » Regard voilé d’une lueur que tu ne devais que trop bien connaître depuis le temps, sur ton cou le dos de mes doigts se déposaient. Effleurant ton épiderme tel une chose précieuse, fragile, vers ta clavicule ceux-ci se dirigeaient pour rencontrer la bretelle de cette fine dentelle couvrant ta peau. La glissant entre deux doigts dans mon mouvement, vers l’extérieur de ton épaule je la guidais le plus délicatement possible, découvrant ta peau sous mes pupilles attentives. (c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 19:38
Je me doutais qu’à la fois, tu viendrais à moi, viendrais à mon piège, comme tu devais très certainement envisager la possibilité que j’avais autre chose en tête. Auquel, tu ne te tromperais. Évidemment, je jouais sur les mots pour insinuer dans ton esprit une idée qui ne correspondait à celle que j’entendais. Aimais-je m’amuser quelque peu à t’étourdir de si bon matin ? Je le confessais. D’autant que toi non plus, tu n’étais pas à la peine en la matière. Et ceux depuis les premiers instants où nous nous étions rencontrés… Un instant, brièvement, une étrange sensation s’empara de moi. La seconde suivante, elle se dissipait. S’effaçait, tandis qu’entre mes cuisses couvertes de tes paumes, tu te frayais un chemin jusqu’au plus près de moi. Touché de tes doigts sur ma peau, tu me ferais en effet presque regretter de ne t’avoir réveillé un peu plus tôt. Néanmoins, jeu indéniable dans lequel nous nous engagions tous les deux tacitement, à ton attention reportée sur ma bretelle, je répondais. « Je ne pensais pas à la lessive, mais si tu as envie de faire des tâches ménagères pour te dépenser, qui serait-ce pour t’en empêcher ? » De mes bras, ta taille, j’entourais. De mon minois redressé vers le tien j’en appelais après tes baisers. « Néanmoins, je crois qu’avant tout, la maitresse de maison souffre d’un cruel manque d’attention… » Après tout, si mes lèvres étaient venues se poser sur les tiennes, tu ne m’avais encore accordé ce plaisir. Comment pourrais-je mener à bien une journée si elle ne connaissait par être embrassée par celui que j’aimais ?
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Je me doutais qu’à la fois, tu viendrais à moi, viendrais à mon piège, comme tu devais très certainement envisager la possibilité que j’avais autre chose en tête. Auquel, tu ne te tromperais. Évidemment, je jouais sur les mots pour insinuer dans ton esprit une idée qui ne correspondait à celle que j’entendais. Aimais-je m’amuser quelque peu à t’étourdir de si bon matin ? Je le confessais. D’autant que toi non plus, tu n’étais pas à la peine en la matière. Et ceux depuis les premiers instants où nous nous étions rencontrés… Un instant, brièvement, une étrange sensation s’empara de moi. La seconde suivante, elle se dissipait. S’effaçait, tandis qu’entre mes cuisses couvertes de tes paumes, tu te frayais un chemin jusqu’au plus près de moi. Touché de tes doigts sur ma peau, tu me ferais en effet presque regretter de ne t’avoir réveillé un peu plus tôt. Néanmoins, jeu indéniable dans lequel nous nous engagions tous les deux tacitement, à ton attention reportée sur ma bretelle, je répondais. « Je ne pensais pas à la lessive, mais si tu as envie de faire des tâches ménagères pour te dépenser, qui serait-ce pour t’en empêcher ? » De mes bras, ta taille, j’entourais. De mon minois redressé vers le tien j’en appelais après tes baisers. « Néanmoins, je crois qu’avant tout, la maitresse de maison souffre d’un cruel manque d’attention… » Après tout, si mes lèvres étaient venues se poser sur les tiennes, tu ne m’avais encore accordé ce plaisir. Comment pourrais-je mener à bien une journée si elle ne connaissait par être embrassée par celui que j’aimais ?
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 19:52
Magie rompue par tes mots, c’était bien vers tes traits que mon attention se portait ensuite. D’un rire j’accueillais ce que je pensais être une boutade de ta part, comment pourrais-je avoir envie d’une telle chose dans cette situation ? Encore une fois, tu eus le don d’alléger mon cœur, de me divertir bien que tout était si différent d’avant. Un « avant » que je ne souhaitais me souvenir car empli de mensonges envers ma propre personne, d’ignorance volontaire sur ces sentiments qui eut bien trop vite trouvés place dans mon cœur. Sur ta nuque ma main se reposait, abandonnant le tissu qui te couvrait à lui-même pour m’occuper de toi. Ne venais-tu pas de me réclamer de l’attention ? Si un instant je fus surpris et immobile, sachant combien je souhaitais te couvrir d’amour au quotidien, le suivant c’était avec une mission en tête que je volais tes lèvres rapidement. Peut-être trop rapidement d’ailleurs, mais cette attention je te l’offrirais. Autant que tu le désirais. Ma main encore sur ta cuisse remontait à ta taille, te serrant contre mon torse ; de l’autre, ton visage je rapprochais du mien. A nouveau, me voilà à capturer tes lèvres, plus longuement mais tout aussi chastement que le doux baiser dont tu m’avais gratifié auparavant. Première étape d’une longue série pour t’offrir le sentiment d’être la femme la plus choyée sur Terre.
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Magie rompue par tes mots, c’était bien vers tes traits que mon attention se portait ensuite. D’un rire j’accueillais ce que je pensais être une boutade de ta part, comment pourrais-je avoir envie d’une telle chose dans cette situation ? Encore une fois, tu eus le don d’alléger mon cœur, de me divertir bien que tout était si différent d’avant. Un « avant » que je ne souhaitais me souvenir car empli de mensonges envers ma propre personne, d’ignorance volontaire sur ces sentiments qui eut bien trop vite trouvés place dans mon cœur. Sur ta nuque ma main se reposait, abandonnant le tissu qui te couvrait à lui-même pour m’occuper de toi. Ne venais-tu pas de me réclamer de l’attention ? Si un instant je fus surpris et immobile, sachant combien je souhaitais te couvrir d’amour au quotidien, le suivant c’était avec une mission en tête que je volais tes lèvres rapidement. Peut-être trop rapidement d’ailleurs, mais cette attention je te l’offrirais. Autant que tu le désirais. Ma main encore sur ta cuisse remontait à ta taille, te serrant contre mon torse ; de l’autre, ton visage je rapprochais du mien. A nouveau, me voilà à capturer tes lèvres, plus longuement mais tout aussi chastement que le doux baiser dont tu m’avais gratifié auparavant. Première étape d’une longue série pour t’offrir le sentiment d’être la femme la plus choyée sur Terre.(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 20:06
Princesse capricieuse comme j’avais été élevé, une telle habitude ne saurait complètement quitter le sang qui coulait dans mes veines. Parfois, j’aimais aussi réclamer après toi. Me faire désirer ou bien manifester mes envies. N’aurais-je présentement pas déjà un peu trop envie de toi dès le matin ? Baiser éphémère, tu me frustrais. Si tes mains procuraient de la chaleur à mon épiderme. Si j’en trouvais toujours plus contre ton torse. Contre ton corps. Mon visage légèrement froncé, je ne déridais. Enfant mécontente, tu savais pertinemment que tu ne m’avais véritablement donné satisfaction. Me punissais-tu en retour ? Ou bien, corrigeais-tu cet essai par un second baiser plus tendre, plus prolongé. Pourquoi te faisais-tu si chaste ? Une main je gardais sur taille tandis que l’autre je montais à ton cou, effleurant ta mâchoire de mon pouce. Le dos tendu, je me grandis d’autant qu’il m’était permis. Avant que ton baiser tu ne rompes, tes lèvres, je venais capturer. Les garder miennes. Demander la permission d’entrée à ses gardiennes pour que ma langue puisse atteindre la mienne. Mais à peine effleurée, je me rétractais finalement, me reculais très légèrement. « Je crois que les enfants nous regardent… » te murmurais-je tandis que sans guère s’éloignées, nos lèvres se séparaient. Du coin de l’oeil, je jetais un regard glissé sur le côté où en effet, nos deux curieux poilus étaient assis l’un à côté de l’autre à nous observer. Nous fixer non sans une certaine insistance.
Le rêve d'une vie...
C'est l'Amour
C'est l'Amour
Perfect HaRa
« Les rêves qui sommeillent dans nos coeurs
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Princesse capricieuse comme j’avais été élevé, une telle habitude ne saurait complètement quitter le sang qui coulait dans mes veines. Parfois, j’aimais aussi réclamer après toi. Me faire désirer ou bien manifester mes envies. N’aurais-je présentement pas déjà un peu trop envie de toi dès le matin ? Baiser éphémère, tu me frustrais. Si tes mains procuraient de la chaleur à mon épiderme. Si j’en trouvais toujours plus contre ton torse. Contre ton corps. Mon visage légèrement froncé, je ne déridais. Enfant mécontente, tu savais pertinemment que tu ne m’avais véritablement donné satisfaction. Me punissais-tu en retour ? Ou bien, corrigeais-tu cet essai par un second baiser plus tendre, plus prolongé. Pourquoi te faisais-tu si chaste ? Une main je gardais sur taille tandis que l’autre je montais à ton cou, effleurant ta mâchoire de mon pouce. Le dos tendu, je me grandis d’autant qu’il m’était permis. Avant que ton baiser tu ne rompes, tes lèvres, je venais capturer. Les garder miennes. Demander la permission d’entrée à ses gardiennes pour que ma langue puisse atteindre la mienne. Mais à peine effleurée, je me rétractais finalement, me reculais très légèrement. « Je crois que les enfants nous regardent… » te murmurais-je tandis que sans guère s’éloignées, nos lèvres se séparaient. Du coin de l’oeil, je jetais un regard glissé sur le côté où en effet, nos deux curieux poilus étaient assis l’un à côté de l’autre à nous observer. Nous fixer non sans une certaine insistance.
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 30 Déc - 20:23
Quels genres d’attentions attendais-tu de ma personne ? Si c’était chastement que je t’embrassais, tu ne semblais de cet avis et, bien rapidement, me le faisais comprendre. Mais à l’inverse, si je m’étais montré plus aventureux, ne m’aurais-tu pas repoussé ? Gente féminine qu’il m’était parfois difficile à cerner, il ne fallait pas cependant d’avantage d’essais de ta part pour que, ton souhait ne fut exaucé. De mon muscle, je rencontrais le tien dans un ballet qui n’était que bien trop court. Jouais-tu avec moi ? Encore ? Les sourcils froncés, je ne saurais m’empêcher de te rendre la pareille, l’avais-tu oublié ? Néanmoins, à cette frustration tu venais donner une cause, ou plutôt deux. Brièvement, vers eux je tournais les yeux, silencieux, immobile un instant. Finalement… Avoir des animaux aimant était bien, sauf quand on désirait garder son intimité. Vers toi mon regard se reposait avant que, soudainement, sans prévenir, ton corps je ne soulève pour filer dans la chambre à coucher. Du pied je refermais la porte derrière moi dans un claquement, sur les draps je te déposais délicatement. « C’est mieux ici ? » demandais-je avec une dévotion sans faille.
Le rêve d'une vie...
C'est l'Amour
C'est l'Amour
Perfect HaRa
« Les rêves qui sommeillent dans nos coeurs
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Quels genres d’attentions attendais-tu de ma personne ? Si c’était chastement que je t’embrassais, tu ne semblais de cet avis et, bien rapidement, me le faisais comprendre. Mais à l’inverse, si je m’étais montré plus aventureux, ne m’aurais-tu pas repoussé ? Gente féminine qu’il m’était parfois difficile à cerner, il ne fallait pas cependant d’avantage d’essais de ta part pour que, ton souhait ne fut exaucé. De mon muscle, je rencontrais le tien dans un ballet qui n’était que bien trop court. Jouais-tu avec moi ? Encore ? Les sourcils froncés, je ne saurais m’empêcher de te rendre la pareille, l’avais-tu oublié ? Néanmoins, à cette frustration tu venais donner une cause, ou plutôt deux. Brièvement, vers eux je tournais les yeux, silencieux, immobile un instant. Finalement… Avoir des animaux aimant était bien, sauf quand on désirait garder son intimité. Vers toi mon regard se reposait avant que, soudainement, sans prévenir, ton corps je ne soulève pour filer dans la chambre à coucher. Du pied je refermais la porte derrière moi dans un claquement, sur les draps je te déposais délicatement. « C’est mieux ici ? » demandais-je avec une dévotion sans faille.(c) DΛNDELION
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