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Le rêve d'une vie... #HARA ♥
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 6 Jan - 13:57
Non, tu me le dirais sans doute jamais assez. Jamais au point que je me lasse. Que je ne cesse de me languir et d’être enveloppée de plaisir au son de ses mots. D’autant plus lorsque c’était dans cette langue que tu les prononçais. Deux étrangers d’horizons différents, cette langue que nous pouvions tous deux considérés comme natale, je ne saurais expliquer pourquoi elle me grisait tant. Mais assurément, d’entre toutes, c’était que je préférais pour dire je t’aime. Pour t’entendre me dire que tu m’aimes. Je voudrais être tienne encore plus que tu ne m’appartiennes. Ou peut-être pas. Le parfait équilibre ne semblions l’avoir trouvé, n’ayant d’yeux que l’un pour l’autre. N’ayant d’autre destin que de partager celui-ci.
Sans résister, avec délice, je te laissais m’embrasser sans que tes mots je n’ai eu le temps de te retourner. Ils m’emplissaient pourtant, à l’instar de ce baiser si léger sur mes lèvres déposés. Tu savais également comme j’affectionnais la subtilité, le suggérer. Ces douces satisfactions mères de légères frustrations malignes. Celles qui entretenaient le désir. J’apprêtais ensuite à te formuler l’aveu de sentiments que j’éprouvais et que tu méritais. Mais au moment où mes lèvres s’entrouvrir, d’un doute, je fus assaillie. « Minute ! » D’un léger pas, je me reculais. Autour de nous, le décors j’observais. Nos animaux, puis sur toi mon regard se posait. Quelque chose clochait. Cette impression précédente me revenait encore plus présente. Mais je ne parvenais encore à mettre le doigt dessus. Et de ton côté, le ne le remarquais-tu ?
Le rêve d'une vie...
C'est l'Amour
C'est l'Amour
Perfect HaRa 
« Les rêves qui sommeillent dans nos coeurs
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Non, tu me le dirais sans doute jamais assez. Jamais au point que je me lasse. Que je ne cesse de me languir et d’être enveloppée de plaisir au son de ses mots. D’autant plus lorsque c’était dans cette langue que tu les prononçais. Deux étrangers d’horizons différents, cette langue que nous pouvions tous deux considérés comme natale, je ne saurais expliquer pourquoi elle me grisait tant. Mais assurément, d’entre toutes, c’était que je préférais pour dire je t’aime. Pour t’entendre me dire que tu m’aimes. Je voudrais être tienne encore plus que tu ne m’appartiennes. Ou peut-être pas. Le parfait équilibre ne semblions l’avoir trouvé, n’ayant d’yeux que l’un pour l’autre. N’ayant d’autre destin que de partager celui-ci.
Sans résister, avec délice, je te laissais m’embrasser sans que tes mots je n’ai eu le temps de te retourner. Ils m’emplissaient pourtant, à l’instar de ce baiser si léger sur mes lèvres déposés. Tu savais également comme j’affectionnais la subtilité, le suggérer. Ces douces satisfactions mères de légères frustrations malignes. Celles qui entretenaient le désir. J’apprêtais ensuite à te formuler l’aveu de sentiments que j’éprouvais et que tu méritais. Mais au moment où mes lèvres s’entrouvrir, d’un doute, je fus assaillie. « Minute ! » D’un léger pas, je me reculais. Autour de nous, le décors j’observais. Nos animaux, puis sur toi mon regard se posait. Quelque chose clochait. Cette impression précédente me revenait encore plus présente. Mais je ne parvenais encore à mettre le doigt dessus. Et de ton côté, le ne le remarquais-tu ?
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 9 Jan - 18:04
Si ce baiser eut un sentiment familier dans son exécution, son effet fut celui d’une ivresse nouvelle. Douce drogue à laquelle je semblais goûter pour la première fois, elle semblait pourtant m’avoir été introduite il y a un moment de cela. Familier et inconnu, euphorisant et apaisant, je ne savais qui de la passion ou de la nouveauté emportait sur l’autre. Alors je préférais la première, plus vibrante, plus exaltante et intéressante ; bien plus proche de la vérité. Si tenter de dire que tout cela puisse l’être.
A ta réaction ma tête s’inclinait sur le côté, très légèrement, si canidé je fus été, mes oreilles sans aucun doute se serait dressées sur mon crâne dans une interrogation des plus visibles. « Hm? » Autour de nous je regardais, me demandant si aujourd’hui encore, curieux tu avais amené. Femme parfaite que tu étais, j’avais arrêté de compter les prétendants que ta beauté pouvait attirée ; qu’ils soient désireux de te garder sous surveillance ou déterminés à prendre ma place, un à un j’étais prêt à évincer. Pourtant, d’ici, nulle âme n’était à apercevoir, alors que cherchais-tu précisément ? « Qu’est-ce qui t’arrive mon ange ? » Tout un tas de possibilités passaient dans mon cerveau, toutes sauf celle qui devait te travailler, après tout, n’étais-je le seul à avoir cette étrange sensation? Ne le prendrais-tu pas mal si j’osais formuler cette idée à haute voix ? Je ne désirais créer un problème, une dispute, pas avec toi ; bien que les réconciliations savaient se faire apprécier, pas un seul instant je ne serais partisan de l’idée de créer une douleur pour la pensée par la suite de cette façon.
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Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
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Dans le doux secret de l'oubli
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Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Si ce baiser eut un sentiment familier dans son exécution, son effet fut celui d’une ivresse nouvelle. Douce drogue à laquelle je semblais goûter pour la première fois, elle semblait pourtant m’avoir été introduite il y a un moment de cela. Familier et inconnu, euphorisant et apaisant, je ne savais qui de la passion ou de la nouveauté emportait sur l’autre. Alors je préférais la première, plus vibrante, plus exaltante et intéressante ; bien plus proche de la vérité. Si tenter de dire que tout cela puisse l’être. A ta réaction ma tête s’inclinait sur le côté, très légèrement, si canidé je fus été, mes oreilles sans aucun doute se serait dressées sur mon crâne dans une interrogation des plus visibles. « Hm? » Autour de nous je regardais, me demandant si aujourd’hui encore, curieux tu avais amené. Femme parfaite que tu étais, j’avais arrêté de compter les prétendants que ta beauté pouvait attirée ; qu’ils soient désireux de te garder sous surveillance ou déterminés à prendre ma place, un à un j’étais prêt à évincer. Pourtant, d’ici, nulle âme n’était à apercevoir, alors que cherchais-tu précisément ? « Qu’est-ce qui t’arrive mon ange ? » Tout un tas de possibilités passaient dans mon cerveau, toutes sauf celle qui devait te travailler, après tout, n’étais-je le seul à avoir cette étrange sensation? Ne le prendrais-tu pas mal si j’osais formuler cette idée à haute voix ? Je ne désirais créer un problème, une dispute, pas avec toi ; bien que les réconciliations savaient se faire apprécier, pas un seul instant je ne serais partisan de l’idée de créer une douleur pour la pensée par la suite de cette façon.
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 9 Jan - 19:32
Vraiment, j’avais l’inexorable impression que quelque chose ne tournait pas rond. Mais quoi ? Toi, tu ne semblais rien remarquer. Devrais-je insister ? Passer outre pour continuer à savourer la douceur tentatrice de ce moment ? Sans doute. Je m’y résignais, bien que tes mots résonnaient comme étrangement dans ma tête. Pourquoi tout ceci me paraissait aussi naturel que… Comment le définir ? Je n’y parvenais. Vraiment, mon esprit n’était que trop embrouillé et pourtant, le soleil ne tapait pas encore si fort à cette heure matinale. « Ton ange… » répétais-je dans un murmure légèrement songeuse, tandis que je continuais dans mon intention de laisser couler. De n’apprécier que l’instant présent en ta présence. Et afin de m’en enivrer davantage, mes bras renouaient avec ta taille dans une tendre étreinte. Plus près, je me rapprochais jusqu’à ce que ma poitrine rencontre la peau de ton torse. Je m’apprêtais à m’y lover quand soudainement, j’eus le déclic : « Yah, mais… MAIS ! » Il se passait quoi là ??? Brusquement, j’avais bondi en arrière. Les yeux écarquillés, je croisais mes bras devant ma poitrine dénudée. Qu’est-ce que je faisais ici, dans cette tenue, avec TOI ??? « NYAH ! NE ME REGARDE PAS ! » Et aussitôt sans attendre, gardant un bras bien pressé contre ma poitrine afin de la cacher, de l’autre, je montais la paume de ma main devant tes yeux afin d’obstruer ta vue. Cette fois-ci, j’avais vraiment le sentiment de renouer avec une situation que trop familière. Vaguement déjà vécue…
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Vraiment, j’avais l’inexorable impression que quelque chose ne tournait pas rond. Mais quoi ? Toi, tu ne semblais rien remarquer. Devrais-je insister ? Passer outre pour continuer à savourer la douceur tentatrice de ce moment ? Sans doute. Je m’y résignais, bien que tes mots résonnaient comme étrangement dans ma tête. Pourquoi tout ceci me paraissait aussi naturel que… Comment le définir ? Je n’y parvenais. Vraiment, mon esprit n’était que trop embrouillé et pourtant, le soleil ne tapait pas encore si fort à cette heure matinale. « Ton ange… » répétais-je dans un murmure légèrement songeuse, tandis que je continuais dans mon intention de laisser couler. De n’apprécier que l’instant présent en ta présence. Et afin de m’en enivrer davantage, mes bras renouaient avec ta taille dans une tendre étreinte. Plus près, je me rapprochais jusqu’à ce que ma poitrine rencontre la peau de ton torse. Je m’apprêtais à m’y lover quand soudainement, j’eus le déclic : « Yah, mais… MAIS ! » Il se passait quoi là ??? Brusquement, j’avais bondi en arrière. Les yeux écarquillés, je croisais mes bras devant ma poitrine dénudée. Qu’est-ce que je faisais ici, dans cette tenue, avec TOI ??? « NYAH ! NE ME REGARDE PAS ! » Et aussitôt sans attendre, gardant un bras bien pressé contre ma poitrine afin de la cacher, de l’autre, je montais la paume de ma main devant tes yeux afin d’obstruer ta vue. Cette fois-ci, j’avais vraiment le sentiment de renouer avec une situation que trop familière. Vaguement déjà vécue…
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 13 Jan - 10:11
Tes doutes, tes peurs, j’étais disposé à écouter, à apaiser. Mais tu ne semblais vouloir m’en faire part, préférant sans doute jouer la carte de la femme forte une fois encore. Savais-tu que j’étais là pour t’épauler ? Te guider si besoin ou simplement t’accompagner en cas de moments difficiles ? Peut-être en avais-tu conscience puisqu’entre mes bras tu revenais te blottir un instant. Court instant. Presque éphémère à la façon dont tu bondissais en arrière par la suite. Féline qui eut présidé une assemblée de canidé, je te regardais avec étonnement. Cette situation semblait familière, ta main couvrant mes yeux également. Pourquoi tout ceci me semblait aussi adapté qu’étrange ? Un instant confus, ma tête s’inclinait très légèrement, imperceptiblement, sur le côté. « Pourquoi j’ai une sensation de déjà vécu… » Un jour, je me souvenais de cette main couvrant mes yeux… de cet ordre de faire face au mur avant que l’histoire des gumiho tu ne me raconte… Tout ceci semblait si proche et si éloigné à la fois, si bien que ce sentiment étrange qui s’était installé en moi ne faisait que revenir un peu plus fort. Que s’était-il passé entre temps ? « Comment on s’est mis ensemble ? » te demandais-je, plutôt osais-je de demander, d’une voix incertaine, remplie de doute. A croire que l’amnésie m’avait frappé car pas un seul instant je n’avais le souvenir d’avoir acheté cet appartement avec toi, de t’avoir un jour emmené quelque part ou encore même d’être simplement sorti avec toi comme un couple devrait le faire de temps à autre… Rien, le néant absolu, l’incompréhension.
Encore une fois, toi à mes côtés, dans une aventure étrange je mettais les pieds.
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Sam 13 Jan - 21:43
Quoi ? Pourquoi ? Comment en était-on arrivé là ? Qu’est-ce que ce scénario improbable ? Que faisions-nous là, toi et moi ? Quelques instants auparavant dans les bras l’un de l’autre, ma poitrine dévoilée, nos lèvres… Et toutes les images depuis le réveil défilèrent dans mon esprit. Tes mots, ton souffle, tes caresses, le son de ta voix, le touché de tes doigts, le goût de tes lèvres… Précipitamment, j’ôtais ma main aveuglant des yeux, gardant mon autre bras bien fermement devant ma poitrine dans l’espoir que tu n’en vois rien. Mais n’en avais-tu pas déjà trop vu ? De l’eau du bassin au creux de ma paume, je la montais jusqu’à mes lèvres, m’entêtant vainement à essayer d’y essuyer toute trace de tiennes mais… N’avais-tu pas été jusqu’à glisser ta langue dans ma bouche ? Quelle partie de mon corps n’avais-tu pas touché ? Je gesticulais dans des réactions nerveuses de rejet. L’eau de la piscine ne saurait me laver et dans dégoût désemparé, ce fut à peine si je t’écoutais. Jusqu’à ces mots parviennent à mes oreilles : « Mis ensemble ? » Nous ? Toi et moi ? Ensemble ? Ahahah non ! La situation pouvait prêter à s’y méprendre, mais non ! Non ! En aucune façon ! D’ailleurs, je te le stipulais aussi clairement que fermement : « Mais on ne s’est JAMAIS mis ensemble ! » Et ça ne risquait pas d’arriver ! Certainement pas ! C’était tout simplement impossible ! Nous ne… Nous ne… Enfin, il y avait quantités de raisons pour que ne nous puissions être un couple à tels points qu’elles se bousculaient et qu’aucune ne me venait présentement, explicitement en tête. Mais, elles existaient ! Forcément ! Tout ce qui venait de se produire ne pouvait être réel ! L’un de nous s’était cogné la tête, ou devait être en train de rêver…Oui, c’était ça ! Bien sûr, ce n’était qu’un rêve ! Ou plutôt un cauchemar. « Pince-moi ! » t’ordonnais-je pour avoir l’assurance que tout ceci était faux. Pour que la douleur me permette de me réveille. À condition que… « Non plutôt, si c’est un rêve, ce ne peut-être le mien ! » Parce que jamais, mon imaginaire et mon inconscient ne pourrait créer une pareille fantaisie ! Sans ménagement, du bout de mes doigts, je pinçais la peau sensible de ton bras.
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Quoi ? Pourquoi ? Comment en était-on arrivé là ? Qu’est-ce que ce scénario improbable ? Que faisions-nous là, toi et moi ? Quelques instants auparavant dans les bras l’un de l’autre, ma poitrine dévoilée, nos lèvres… Et toutes les images depuis le réveil défilèrent dans mon esprit. Tes mots, ton souffle, tes caresses, le son de ta voix, le touché de tes doigts, le goût de tes lèvres… Précipitamment, j’ôtais ma main aveuglant des yeux, gardant mon autre bras bien fermement devant ma poitrine dans l’espoir que tu n’en vois rien. Mais n’en avais-tu pas déjà trop vu ? De l’eau du bassin au creux de ma paume, je la montais jusqu’à mes lèvres, m’entêtant vainement à essayer d’y essuyer toute trace de tiennes mais… N’avais-tu pas été jusqu’à glisser ta langue dans ma bouche ? Quelle partie de mon corps n’avais-tu pas touché ? Je gesticulais dans des réactions nerveuses de rejet. L’eau de la piscine ne saurait me laver et dans dégoût désemparé, ce fut à peine si je t’écoutais. Jusqu’à ces mots parviennent à mes oreilles : « Mis ensemble ? » Nous ? Toi et moi ? Ensemble ? Ahahah non ! La situation pouvait prêter à s’y méprendre, mais non ! Non ! En aucune façon ! D’ailleurs, je te le stipulais aussi clairement que fermement : « Mais on ne s’est JAMAIS mis ensemble ! » Et ça ne risquait pas d’arriver ! Certainement pas ! C’était tout simplement impossible ! Nous ne… Nous ne… Enfin, il y avait quantités de raisons pour que ne nous puissions être un couple à tels points qu’elles se bousculaient et qu’aucune ne me venait présentement, explicitement en tête. Mais, elles existaient ! Forcément ! Tout ce qui venait de se produire ne pouvait être réel ! L’un de nous s’était cogné la tête, ou devait être en train de rêver…Oui, c’était ça ! Bien sûr, ce n’était qu’un rêve ! Ou plutôt un cauchemar. « Pince-moi ! » t’ordonnais-je pour avoir l’assurance que tout ceci était faux. Pour que la douleur me permette de me réveille. À condition que… « Non plutôt, si c’est un rêve, ce ne peut-être le mien ! » Parce que jamais, mon imaginaire et mon inconscient ne pourrait créer une pareille fantaisie ! Sans ménagement, du bout de mes doigts, je pinçais la peau sensible de ton bras.(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 16 Jan - 15:48
Alors que l’incompréhension prenait le pas sur tout le bonheur et l’insouciance qui m’avait habité précédemment, de ton côté, tu ne semblais supporter l’idée que nos lèvres aient pu venir à se rencontrer. D’un sourcil arqué j’accueillais tes gestes, me demandant si cela fut si terrible pour toi alors que, l’instant précédent, c’était bien toi qui demandait après mes attentions et mon amour. N’était-ce ironique ? Cependant je ne savais te le reprocher. Quand bien même cela puisse être insultant, je n’arrivais à m’énerver ou m’indigner d’un tel comportement de ta part sans pour autant en connaître la raison exacte. Les lèvres pincées un instant, le suivant une plainte tu faisais passer entre celles-ci. Mon bras je t’ôtais de toute prise en un geste, alors qu’une légère grimace prenait place sur mes traits. « Yah ! » Un soupir suivait cette onomatopée alors qu’un pas en arrière j’effectuais. Non pour moi, mais bien pour toi. Tu ne supporterais ma présence aussi près de ta personne en étant aussi peu vêtue n’est-ce pas ? Si ce sentiment était étrange sur le moment, il me semblait pourtant si naturel, si habituel… si commun. Comme si, jamais, je n’avais pu poser la main sur toi un jour de quelque façon que ce soit. « Comment ça pourrait être un rêve au juste ? De nous deux, je ne suis pas le plus tête en l’air ? Pourtant je n’arrive pas à le concevoir. » Si un songe nous partagions, celui-ci ne serait-il pas supposé être bien différent ? Jamais, me connaissant, je n’aurais rêvé être en couple avec quelqu’un… Mais si nous n’étions ensemble… que faisions-nous là au juste ? « Mais c’est quoi ce bordel… ? » Soufflais-je à moi-même, une main perdue dans mes cheveux déjà en bataille de la nuit précédente.
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Alors que l’incompréhension prenait le pas sur tout le bonheur et l’insouciance qui m’avait habité précédemment, de ton côté, tu ne semblais supporter l’idée que nos lèvres aient pu venir à se rencontrer. D’un sourcil arqué j’accueillais tes gestes, me demandant si cela fut si terrible pour toi alors que, l’instant précédent, c’était bien toi qui demandait après mes attentions et mon amour. N’était-ce ironique ? Cependant je ne savais te le reprocher. Quand bien même cela puisse être insultant, je n’arrivais à m’énerver ou m’indigner d’un tel comportement de ta part sans pour autant en connaître la raison exacte. Les lèvres pincées un instant, le suivant une plainte tu faisais passer entre celles-ci. Mon bras je t’ôtais de toute prise en un geste, alors qu’une légère grimace prenait place sur mes traits. « Yah ! » Un soupir suivait cette onomatopée alors qu’un pas en arrière j’effectuais. Non pour moi, mais bien pour toi. Tu ne supporterais ma présence aussi près de ta personne en étant aussi peu vêtue n’est-ce pas ? Si ce sentiment était étrange sur le moment, il me semblait pourtant si naturel, si habituel… si commun. Comme si, jamais, je n’avais pu poser la main sur toi un jour de quelque façon que ce soit. « Comment ça pourrait être un rêve au juste ? De nous deux, je ne suis pas le plus tête en l’air ? Pourtant je n’arrive pas à le concevoir. » Si un songe nous partagions, celui-ci ne serait-il pas supposé être bien différent ? Jamais, me connaissant, je n’aurais rêvé être en couple avec quelqu’un… Mais si nous n’étions ensemble… que faisions-nous là au juste ? « Mais c’est quoi ce bordel… ? » Soufflais-je à moi-même, une main perdue dans mes cheveux déjà en bataille de la nuit précédente. (c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 16 Jan - 17:10
Alors que je te pinçais, tu gémissais sans nous extraire pour autant de ce monde que j’étais persuadée factice. Toi au contraire, tu assurais qu’il ne le pouvait. Alors comment l’expliquais-tu ? Que toi et moi, nous… On… Enfin, tu savais aussi bien que moi ce qui venait de se passer pas la peine de repasser la scène en boucle. Il valait mieux oublié. Avant d’accepter ce bonheur que la réalité ne nous permettrait. Et toi non plus, tu ne trouvais réponse. À ton tour, tu te perdais en interrogation qui ne manqua de me faire railler : « Je ne sais pas ! Trouve la solution puisque tu es si certain que ce n’est pas un rêve ! » À demi, je me tournais, croisant de nouveau les bras bien devant ma poitrine. Cette nudité se révélait tout de même extrêmement gênante. En direction du bord, mes yeux glissaient mais l’extrémité de la piscine où le haut de mon pyjama j’avais laissé me paraissait bien loin. Soudain, une petite lanterne s’illumina dans mon esprit. « J’ai une idée… » Je te faisais une nouvelle fois face. Un bras, je déliais mais avant que l’envie ne te prenne, je te prévenais : « Lève les yeux ! » Que tu ne t’avises à les poser sur ma chair dénudée. Puis, tandis que je les surveillais par l’intensité des miens, j’ordonnais : « Embrasse-moi à nouveau ! » Non, je ne divaguais pas et non comme je pressentais que tu allais le rétorquer je n’en redemandais pas ! « Si c’était toujours aussi… agréable, alors c’est un rêve. » Je déglutis légèrement à l’aveu honteux que j’eus pu prendre plaisir à recevoir tes baisers et tes caresses. Timidement, mes doigts revirent effleurer chaque côté de ta taille. Mon regard ne flanchait pas pour autant. « Sinon, c’est la réalité et nous avons été drogué ou je ne sais pas quoi avec les effets ne retombent ! » Oui, voilà, si nous ne rêvions pas alors nous devions être sous l’affluence de produits illicites, ingérés malgré nous très certainement, nous ayant faire perdre l’esprit. Après nous être réveillé côte à côte, nous nous sommes perdus dans notre folle imagination encore invraisemblable tandis que nos sens se sont exaltés de manière injustifiée. À présent que j’avais repris conscience, le goût de tes lèvres, assurément, je ne saurais apprécier… N’était-ce pas ?
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Alors que je te pinçais, tu gémissais sans nous extraire pour autant de ce monde que j’étais persuadée factice. Toi au contraire, tu assurais qu’il ne le pouvait. Alors comment l’expliquais-tu ? Que toi et moi, nous… On… Enfin, tu savais aussi bien que moi ce qui venait de se passer pas la peine de repasser la scène en boucle. Il valait mieux oublié. Avant d’accepter ce bonheur que la réalité ne nous permettrait. Et toi non plus, tu ne trouvais réponse. À ton tour, tu te perdais en interrogation qui ne manqua de me faire railler : « Je ne sais pas ! Trouve la solution puisque tu es si certain que ce n’est pas un rêve ! » À demi, je me tournais, croisant de nouveau les bras bien devant ma poitrine. Cette nudité se révélait tout de même extrêmement gênante. En direction du bord, mes yeux glissaient mais l’extrémité de la piscine où le haut de mon pyjama j’avais laissé me paraissait bien loin. Soudain, une petite lanterne s’illumina dans mon esprit. « J’ai une idée… » Je te faisais une nouvelle fois face. Un bras, je déliais mais avant que l’envie ne te prenne, je te prévenais : « Lève les yeux ! » Que tu ne t’avises à les poser sur ma chair dénudée. Puis, tandis que je les surveillais par l’intensité des miens, j’ordonnais : « Embrasse-moi à nouveau ! » Non, je ne divaguais pas et non comme je pressentais que tu allais le rétorquer je n’en redemandais pas ! « Si c’était toujours aussi… agréable, alors c’est un rêve. » Je déglutis légèrement à l’aveu honteux que j’eus pu prendre plaisir à recevoir tes baisers et tes caresses. Timidement, mes doigts revirent effleurer chaque côté de ta taille. Mon regard ne flanchait pas pour autant. « Sinon, c’est la réalité et nous avons été drogué ou je ne sais pas quoi avec les effets ne retombent ! » Oui, voilà, si nous ne rêvions pas alors nous devions être sous l’affluence de produits illicites, ingérés malgré nous très certainement, nous ayant faire perdre l’esprit. Après nous être réveillé côte à côte, nous nous sommes perdus dans notre folle imagination encore invraisemblable tandis que nos sens se sont exaltés de manière injustifiée. À présent que j’avais repris conscience, le goût de tes lèvres, assurément, je ne saurais apprécier… N’était-ce pas ?(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 16 Jan - 18:04
A ta remarque, un regard sombre je levais vers toi, faussement boudeur. Comment pourrais-je trouver une explication rationnelle à tout cela de moi-même ? Les narines je venais même à retrousser dès que le dos tu me tournais, tel un enfant, tel l’homme immature que j’étais finalement. Néanmoins par la suite, autour de nous je regardais, tentant de comprendre quel était le sens de tout cela mais aussi l’endroit où nous nous trouvions. J’avais le sentiment de le connaitre alors qu’en y réfléchissant, jamais je n’y avait mis les pieds. Comment pouvions-nous nous trouver ici tous deux, sans savoir comment ni pourquoi, encore moins depuis combien de temps. Notre routine s’était installée sans que je ne parvienne à m’en souvenir, mon envie de te rendre heureuse n’était feinte… « Hm ? » soufflais-je en pendant t’entendre parler et je ne rêvais pas, comble de l’ironie dans cette situation qui s’y prêtait pourtant bien. A ton ordre, je levais les yeux vers le ciel pour, pratiquement de suite, les baisser à nouveau vers les tiens. « Pardon ? J’ai pas envie de.. » De me prendre une gifle. Mais à ton explication je ne pouvais qu’approuver silencieusement finalement. Du moins pour toi, car de mon côté, je risquais d’apprécier l’échange dans tous les cas mais tu n’avais à le savoir n’est-ce pas ?
Par-dessus tes bras je passais les miens, à mi-chemin entre la chute de tes reins et la naissance de tes omoplates mes mains trouvaient refuge. Alors qu’innocemment bien qu’égoïstement, je te rapprochais de moi, à tes lèvres je me penchais. Quand bien même la situation semblait déroutante, cette sensation était des plus familières, bien plus encore lorsque la pulpe de tes lèvres je cueillais une nouvelle fois. Contrairement à tout à l’heure où c’était avec assurance et légèreté que je t’avais embrassé, cette fois-ci, sans doute, pourrais-tu sentir ma timidité. Mon insécurité. Je ne voulais me faire rejeter alors que je savais qu’il y avait une chance sur deux pour que ce soit le cas. Bien qu’à cet instant, une interrogation naissait dans mon esprit : jouais-tu de mon innocence et ma crédulité pour me charrier de bon matin ?
Le rêve d'une vie...
C'est l'Amour
C'est l'Amour
Perfect HaRa
« Les rêves qui sommeillent dans nos coeurs
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
A ta remarque, un regard sombre je levais vers toi, faussement boudeur. Comment pourrais-je trouver une explication rationnelle à tout cela de moi-même ? Les narines je venais même à retrousser dès que le dos tu me tournais, tel un enfant, tel l’homme immature que j’étais finalement. Néanmoins par la suite, autour de nous je regardais, tentant de comprendre quel était le sens de tout cela mais aussi l’endroit où nous nous trouvions. J’avais le sentiment de le connaitre alors qu’en y réfléchissant, jamais je n’y avait mis les pieds. Comment pouvions-nous nous trouver ici tous deux, sans savoir comment ni pourquoi, encore moins depuis combien de temps. Notre routine s’était installée sans que je ne parvienne à m’en souvenir, mon envie de te rendre heureuse n’était feinte… « Hm ? » soufflais-je en pendant t’entendre parler et je ne rêvais pas, comble de l’ironie dans cette situation qui s’y prêtait pourtant bien. A ton ordre, je levais les yeux vers le ciel pour, pratiquement de suite, les baisser à nouveau vers les tiens. « Pardon ? J’ai pas envie de.. » De me prendre une gifle. Mais à ton explication je ne pouvais qu’approuver silencieusement finalement. Du moins pour toi, car de mon côté, je risquais d’apprécier l’échange dans tous les cas mais tu n’avais à le savoir n’est-ce pas ? Par-dessus tes bras je passais les miens, à mi-chemin entre la chute de tes reins et la naissance de tes omoplates mes mains trouvaient refuge. Alors qu’innocemment bien qu’égoïstement, je te rapprochais de moi, à tes lèvres je me penchais. Quand bien même la situation semblait déroutante, cette sensation était des plus familières, bien plus encore lorsque la pulpe de tes lèvres je cueillais une nouvelle fois. Contrairement à tout à l’heure où c’était avec assurance et légèreté que je t’avais embrassé, cette fois-ci, sans doute, pourrais-tu sentir ma timidité. Mon insécurité. Je ne voulais me faire rejeter alors que je savais qu’il y avait une chance sur deux pour que ce soit le cas. Bien qu’à cet instant, une interrogation naissait dans mon esprit : jouais-tu de mon innocence et ma crédulité pour me charrier de bon matin ?
(c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 16 Jan - 18:54
Tu n’avais pas envie ? Spontanément, mes sourcils se fronçaient. Oserais-tu prétendre que soudainement, tu n’éprouvais plus le moindre désir à mon égard ? Certes, j’en revendiquais tout autant mais un homme et une femme, c’était différent. Un homme normalement constitué ne refusait les doux plaisirs qu’une femme lui proposait. Une femme en revanche savait se montrer plus difficile. Non ? Face à ton début de refus, je me sentis vexée, pour ne pas dire déçue… Si j’attendais après ce baiser que j’étais certaine de désapprouver ? Peut-être… Juste parce que j’avais besoin de vérifier !
Pourtant, malgré l’annonce de ta réticence, de tes bras tu m’entourais, délicatement. Plus timidement que précédemment me semblait-il déceler. Que t’apprêtais-tu à faire ? Suspendue à tes gestes, coeur papillonnant et joue empourprée contre ma volonté, j’attendais. J’espérais. Si j’étais honnête, je reconnaitrais que je m’impatientais de ce baiser. Pourtant, je savais que jamais je ne devrais lui donner trop de signification. Pour toi n’était-ce pas une banalité que d’embrasser n’importe quelle fille qui se présentait ? Combien en avais-tu déjà embrassé pour être aussi doué ? Car assurément, sur la brise du plaisir mon coeur s’envolait à ce touché. Celui de tes lèvres sur les miennes. Celui qui encore une fois me parut trop court. Aussi exceptionnel que familier. Aussi décontenançant que confortable. Enivrant. « Je crois que nous sommes bien en train de rêver… » Au diable, le rêve ou la réalité, le plus important n’était-il pas de savourer ? Dans tes bras, j’aimais me laisser aller. Par tes doigts, j’aimais être caressé. Par tes baisers, je brûlais d’être dévorée. Alors, mes paumes sur ton flanc, je posais un peu plus franchement. Un sourire s’épanouit sur mes traits : « Rêver ne saurait être pécher ? » Lové contre toi, mes mains je remontais jusqu’à ton cou, jusqu’à l’os de ta mâchoire que de mes doigts j’effleurais. Sur la pointe des pieds redressée, tes lèvres une énième fois je venais cueillir. Ta bouche, ta langue, de toi je voulais tout posséder. Tout consumer. Le creux de mes reins se cambrait mais ne suffisait à satisfaire mon insatiable envie d’être toujours plus près. De ne faire qu’un avec toi.
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C'est l'Amour
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Au creux de la nuit
Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
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Habillent nos chagrins de bonheur
Dans le doux secret de l'oubli
Ecoute ton rêve et demain
Le soleil brillera toujours
Même si ton coeur a l'âme en peine
Il faut y croire quand même »
Tu n’avais pas envie ? Spontanément, mes sourcils se fronçaient. Oserais-tu prétendre que soudainement, tu n’éprouvais plus le moindre désir à mon égard ? Certes, j’en revendiquais tout autant mais un homme et une femme, c’était différent. Un homme normalement constitué ne refusait les doux plaisirs qu’une femme lui proposait. Une femme en revanche savait se montrer plus difficile. Non ? Face à ton début de refus, je me sentis vexée, pour ne pas dire déçue… Si j’attendais après ce baiser que j’étais certaine de désapprouver ? Peut-être… Juste parce que j’avais besoin de vérifier !
Pourtant, malgré l’annonce de ta réticence, de tes bras tu m’entourais, délicatement. Plus timidement que précédemment me semblait-il déceler. Que t’apprêtais-tu à faire ? Suspendue à tes gestes, coeur papillonnant et joue empourprée contre ma volonté, j’attendais. J’espérais. Si j’étais honnête, je reconnaitrais que je m’impatientais de ce baiser. Pourtant, je savais que jamais je ne devrais lui donner trop de signification. Pour toi n’était-ce pas une banalité que d’embrasser n’importe quelle fille qui se présentait ? Combien en avais-tu déjà embrassé pour être aussi doué ? Car assurément, sur la brise du plaisir mon coeur s’envolait à ce touché. Celui de tes lèvres sur les miennes. Celui qui encore une fois me parut trop court. Aussi exceptionnel que familier. Aussi décontenançant que confortable. Enivrant. « Je crois que nous sommes bien en train de rêver… » Au diable, le rêve ou la réalité, le plus important n’était-il pas de savourer ? Dans tes bras, j’aimais me laisser aller. Par tes doigts, j’aimais être caressé. Par tes baisers, je brûlais d’être dévorée. Alors, mes paumes sur ton flanc, je posais un peu plus franchement. Un sourire s’épanouit sur mes traits : « Rêver ne saurait être pécher ? » Lové contre toi, mes mains je remontais jusqu’à ton cou, jusqu’à l’os de ta mâchoire que de mes doigts j’effleurais. Sur la pointe des pieds redressée, tes lèvres une énième fois je venais cueillir. Ta bouche, ta langue, de toi je voulais tout posséder. Tout consumer. Le creux de mes reins se cambrait mais ne suffisait à satisfaire mon insatiable envie d’être toujours plus près. De ne faire qu’un avec toi. (c) DΛNDELION
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Re: Le rêve d'une vie... #HARA ♥ | Mar 16 Jan - 21:15
De tes lèvres, je ne désirais me détacher. Crainte de la réalité ou désir égoïste de prolonger ce petit plaisir qui devrait être quotidien ; je ne savais décider quelle en était la raison. Pourtant, je le savais, je devais le rompre. Alors je m’exécutais bien que peu désireux d'entendre ton verdict sur cet échange aussi léger que bref. Ce n'était la vérité sur notre présence ici qui faisait battre d'inquiétude mon cœur, mais bien ton ressenti. Avais-tu détester ? Aimer ? Étais-tu dégoûtée au point de, comme précédemment, vouloir laver tes lèvres de ce touché ? Les miennes je pinçais, silencieux, appréhendant ton verdict. Lorsqu'enfin, celui-ci tombait.
Un rêve.
De ma personne, tu ne t'éloignais. Sur moi, tes mains ne s'abattaient qu'en caresses. Ainsi, innocemment, je venais à le comprendre : ce baiser t'avait plu. Mais une question continuait à chercher réponse dans mon esprit, inlassablement, redondante... Ne venais-tu pas de te jouer de ma personne ? Sur la pulpe de mes lèvres en manque des tiennes se dessinait un faible sourire, léger, imperceptible. Dans ce regard curieux et quelque peu anxieux qui t'étais précédemment offert brillait à présent une pointe de malice. Désir silencieux de me venger de cette blague que tu me faisais d'une façon bien trop convaincante pour que tu n'aies eu pour seule envie de te divertir. Avais-je fait quelque chose qui méritait tel châtiment ? Si le doute s'installait, de ton geste tu le balayais. Une fraction de seconde suffisait à l'oublier, à me contenter de ce que tu m'offrais, ce que tu voulais. Glissant de leur refuge pour en trouver un nouveau, c'était sur tes reins que mes mains, à présent, reposaient. Contre moi, je désirais te garder autant que tu semblais vouloir t'y loger. Mais t'offrirais-je d'avantage après cette frayeur inutile que tu m'avais offert ? Ce sentiment était toujours là, toujours présent, je ne savais le faire partir. Mais le bonheur que je ressentais, n'était-il pas plus important ? Plus grisant ? De tes lèvres, je me détachais, leur offrant un baiser rapide des miennes avant de détailler amoureusement ces traits qu'étaient les tiens. « La vie avec moi est si parfaite pour que tu en parle de cette façon ? » Légère blague soufflée à quelques centimètres de ton visage alors qu'un instant après, sur ta joue cette fois, je déposais un baiser et cette prise que j'avais sur toi se transformait en étreinte. Le nez logé contre le creux de ton cou, paupières fermées, je ne saurais trouvé meilleur sentiment que celui de me trouver entre tes bras.
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De tes lèvres, je ne désirais me détacher. Crainte de la réalité ou désir égoïste de prolonger ce petit plaisir qui devrait être quotidien ; je ne savais décider quelle en était la raison. Pourtant, je le savais, je devais le rompre. Alors je m’exécutais bien que peu désireux d'entendre ton verdict sur cet échange aussi léger que bref. Ce n'était la vérité sur notre présence ici qui faisait battre d'inquiétude mon cœur, mais bien ton ressenti. Avais-tu détester ? Aimer ? Étais-tu dégoûtée au point de, comme précédemment, vouloir laver tes lèvres de ce touché ? Les miennes je pinçais, silencieux, appréhendant ton verdict. Lorsqu'enfin, celui-ci tombait.Un rêve.
De ma personne, tu ne t'éloignais. Sur moi, tes mains ne s'abattaient qu'en caresses. Ainsi, innocemment, je venais à le comprendre : ce baiser t'avait plu. Mais une question continuait à chercher réponse dans mon esprit, inlassablement, redondante... Ne venais-tu pas de te jouer de ma personne ? Sur la pulpe de mes lèvres en manque des tiennes se dessinait un faible sourire, léger, imperceptible. Dans ce regard curieux et quelque peu anxieux qui t'étais précédemment offert brillait à présent une pointe de malice. Désir silencieux de me venger de cette blague que tu me faisais d'une façon bien trop convaincante pour que tu n'aies eu pour seule envie de te divertir. Avais-je fait quelque chose qui méritait tel châtiment ? Si le doute s'installait, de ton geste tu le balayais. Une fraction de seconde suffisait à l'oublier, à me contenter de ce que tu m'offrais, ce que tu voulais. Glissant de leur refuge pour en trouver un nouveau, c'était sur tes reins que mes mains, à présent, reposaient. Contre moi, je désirais te garder autant que tu semblais vouloir t'y loger. Mais t'offrirais-je d'avantage après cette frayeur inutile que tu m'avais offert ? Ce sentiment était toujours là, toujours présent, je ne savais le faire partir. Mais le bonheur que je ressentais, n'était-il pas plus important ? Plus grisant ? De tes lèvres, je me détachais, leur offrant un baiser rapide des miennes avant de détailler amoureusement ces traits qu'étaient les tiens. « La vie avec moi est si parfaite pour que tu en parle de cette façon ? » Légère blague soufflée à quelques centimètres de ton visage alors qu'un instant après, sur ta joue cette fois, je déposais un baiser et cette prise que j'avais sur toi se transformait en étreinte. Le nez logé contre le creux de ton cou, paupières fermées, je ne saurais trouvé meilleur sentiment que celui de me trouver entre tes bras.
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