[EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥
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[EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:00 Citer EditerSupprimer
VOS DÉFIS SI VOUS LES ACCEPTEZ !
Jump ! Jump ! Demander aux passant de sauter au dessus de vos mains liées parce que ça porte bonheur askip
Chocolat Smile Manger du chocolat/un gâteau au chocolat avant un selfie de couple et faire son plus beau sourire ensuite
Chipper Flower Voler une fleur pour son/sa partenaire à Garden Flower.
Liptsick Essayez donc de maquiller votre lèvre d'un rouge intense dans une attraction mouvementée.
Stick Game Écrivez ou dessiner un aveu pour votre partenaire (sans qu'il le voit) sur un post-it, collez-le vous l'un l'autre sur le front avant de monter dans une attraction à sensations. Tachez de ne pas le perdre avant la fin, sinon, vous ne saurez jamais ce que votre partenaire a voulu vous dire.
The Voice Chanter i will always love you à son partenaire de cette manière devant tout le monde.
Jealousy La file d'attente est trop longue ? Vous commencez à vous ennuyer ? Et si vous feignez une bonne crise de jalousie démentielle pour impliquant de malheureux innocents pour tuer le temps ?
Swallow or Spit Rempli ta bouche de la boisson de ton choix avant de monter dans une attraction et tente de ne pas avaler, ni cracher avant la fin !
Touch me Le premier ferme les yeux, le second demande à un passant de coller un sticker quelque part sur son corps (celui du second). Sans rouvrir les yeux, le premier doit tenter de trouver le sticker avec ses mains tout d'abord et au bout de trois essais avec la bouche.
Love Your Booty Demandez un selfie à un agent de sécurité, et profitez en pour pincer son joli derrière !
Cotton Candy Passez par le stand de barbe à papa avant de monter dans une attraction qui éclabousse et tentez de sauver la précieuse boule de content de l'assaut des gouttes d'eau !
Join the Party Intégrez une parade pour exhiber votre plus belle danse nuptiale !
Ice Cream Kiss Mangez une glace en amoureux signifie une pour deux. En fermant les yeux c'est encore mieux et sans les mains bien évidemment...
Rollercoaster Embrassez-vous dans les montagnes russes en essayant d'immortaliser ce moment par un selfie !
Onion Ring Mimer une demande en mariage devant tout le monde, une fois une foule autour de vous sortir une onion ring en guise de bague.
I LOVE YOU Réussir à faire une annonce en haut-parleur (d’une attraction, partie du parc, pendant un spectacle ou autre…etc) pour déclarer sa flamme à son partenaire.
LOVE YOUR TIME !
Ma tâche s’achevait. Chaque gumiho était menotté à son partenaire et les binômes se dispersaient. Malgré un visage de marbre, de glace, je mentirais si je prétendais que mon coeur ne me pesait. Tout au contraire. Pour partie, je me serais volontiers passer de subir cette journée. J’avais hier envisagé me contenter d’organiser, surveiller et attendre. En somme : m’ennuyer, ressasser et lutter pour ne pas pleurer… Hors de question que je me laisse abattre ! Moi aussi, je profiterais de cette journée ! J’essaierais…
Alors, je me dirigeai sur le dernier gumiho qu’il restait : toi, Woo Haneul. La veille, j’étais venue t’annoncer que finalement pour cette journée, nous serions associés. Sur ta personne mes yeux se posaient. Inexplicablement, mon coeur s’allégeait, ne serait-ce qu’un peu. Un timide et mal assuré sourire poussait au coin de mes lèvres quand bien même je veillerais à te le dissimuler. La vérité était que dans ma peine, je trouvais réconfort à te savoir à mes côtés. Qu’au fond, j’étais contente de passer cette journée avec toi. Avec ton don, autant pour m’agacer que me changer les idées. Tu étais celui-ci vers qui ma confiance avait trouvé refuge.
Néanmoins, à présent juste en face de toi, je ne t’en montrais rien. Je me retenais de te témoigner quelque sentiment positif à ton égard. Je ne saurais l’expliquer mais une barrière je préférais conserver. Sans guère de précaution, dans un geste précipité de ta main gauche je me saisissais, l’entourait de son bracelet et te présenta le mien pour que tu l’y rattaches avec les menottes également. Dans mon empressement pour dissiper un malaise manifeste qui n’avait pas lieu d’être, je ne remarquais l’erreur que je commettais…
XOXO
Libre à vous de rp maintenant, les règles sont les mêmes que pour le reste du forum. La liste des défis à relever si vous souhaitez pimenter votre journées se trouve ci-dessous. Vous pouvez utiliser les dés ou non. En bref, c'est tout comme vous voulez, les bb ! Kiffez bien votre love
Alors, je me dirigeai sur le dernier gumiho qu’il restait : toi, Woo Haneul. La veille, j’étais venue t’annoncer que finalement pour cette journée, nous serions associés. Sur ta personne mes yeux se posaient. Inexplicablement, mon coeur s’allégeait, ne serait-ce qu’un peu. Un timide et mal assuré sourire poussait au coin de mes lèvres quand bien même je veillerais à te le dissimuler. La vérité était que dans ma peine, je trouvais réconfort à te savoir à mes côtés. Qu’au fond, j’étais contente de passer cette journée avec toi. Avec ton don, autant pour m’agacer que me changer les idées. Tu étais celui-ci vers qui ma confiance avait trouvé refuge.
Néanmoins, à présent juste en face de toi, je ne t’en montrais rien. Je me retenais de te témoigner quelque sentiment positif à ton égard. Je ne saurais l’expliquer mais une barrière je préférais conserver. Sans guère de précaution, dans un geste précipité de ta main gauche je me saisissais, l’entourait de son bracelet et te présenta le mien pour que tu l’y rattaches avec les menottes également. Dans mon empressement pour dissiper un malaise manifeste qui n’avait pas lieu d’être, je ne remarquais l’erreur que je commettais…
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:32 Citer EditerSupprimer
Devrais-je en cueillir une pour toi ? Les yeux rivés sur le parterre de fleur ornant l’entrée du parc, assis à son bord, j’attendais patiemment que tu aies fini ta ronde. Jaune ou rouge ? Le rouge faisait trop passionné, le jaune trop commun… Avec les pétales d’une des fleurs je jouais alors pensivement, réfléchissant en plus à comment aborder cette journée qui, de toute évidence, ne serait de tout repos pour moi. Pas après avoir appris la nouvelle… Un soupir passait mes lèvres et, avant que je ne me rende compte de quoi que ce soit, je sentais quelque chose de doux contre mon poignet gauche. Mes yeux se posaient sur ce dernier avant de voir la fourrure rose tendue vers moi et… ta personne à mes côtés. D’abord étonné, je me saisissais pourtant de ce que tu me tendais pour le passer autour de ton poignet avec douceur, très certainement plus que toi en tout cas.
Une fois fait, je me levais enfin. D’un côté, je me disais que j’allais devoir survivre à une journée avec toi qui ne semblait d’humeur à plaisanter, d’un autre… j’étais heureux que ta décision fût de la passer avec moi et non un autre. Car je me savais dévouer à te redonner le sourire, que je tacherais de ne pas faire d’erreurs ou te blesser. Car même dans ces moments où tu étais blessée et triste, je souhaitais être à tes côtés. « Alors ma princesse, tu veux commencer par quoi ? » Aujourd’hui je ferais en sorte de jouer le rôle du petit ami parfait pour panser ce cœur meurtri que devait être le tiens, à tes caprices je répondrais, aussi fous soient-ils ; tes envies je tenterais de deviner bien que… je me doutais que ce surnom te donnerais des sueurs froides…
Une fois fait, je me levais enfin. D’un côté, je me disais que j’allais devoir survivre à une journée avec toi qui ne semblait d’humeur à plaisanter, d’un autre… j’étais heureux que ta décision fût de la passer avec moi et non un autre. Car je me savais dévouer à te redonner le sourire, que je tacherais de ne pas faire d’erreurs ou te blesser. Car même dans ces moments où tu étais blessée et triste, je souhaitais être à tes côtés. « Alors ma princesse, tu veux commencer par quoi ? » Aujourd’hui je ferais en sorte de jouer le rôle du petit ami parfait pour panser ce cœur meurtri que devait être le tiens, à tes caprices je répondrais, aussi fous soient-ils ; tes envies je tenterais de deviner bien que… je me doutais que ce surnom te donnerais des sueurs froides…
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:37 Citer EditerSupprimer
Tes doigts sur ma peau, je sentis leur touché au niveau de mon poignet. Ce fut avec bien plus de douceur que je ne t’en avais accordé que du bracelet de la menotte tu l’entourais, mais dans mon esprit, rien ne se passait. Comme éteinte, je n’avais véritablement conscience de ce qui m’entourait. De ton geste, de ces menottes qui d’ordinaire m’auraient mis plus que mal à l’aise avec néanmoins la volonté de prouver que j’étais capable d’assumer. Mais pas aujourd’hui, vague à l’âme morose qui s’était permis de m’envahir une fois les autres partis, il sembla que seul le son de ta voix m’en extirpa.
Je redressais mon visage jusqu’au tien. Tes traits qui se dotaient d’autant de tendresse qu’ils m’inspiraient une once d’agacement. Comment pouvais-tu être si naturellement adorablement exaspérant ? Des cils je battais un instant puis me détournais, jetant un regard vague sur ce qui nous entourait, comme si je raccrochais à la réalité de notre environnement. « Hum… Ne vaut-il pas mieux commencer de bonne heure par les attractions les plus fréquentées où la queue sera trop longue dans la journée ? » Organisée et pragmatique comme d’accoutumée, sans doute saurais-tu me le faire remarquer. Railler mon manque d’impulsivité voire m’être en doute encore une fois ma capacité à m’amuser. Et j’aurais à coeur de le prouver ! Autant à toi qu’à moi-même ! Comme une envie de tout balayer… « Et non, je n’ai pas peur des attractions à sensations ! » rétorquais-je par anticipation de ta supposition qui me paraissait que bien trop évidente. Au contraire, j’aimais cela même s’il y avait un temps indéniable depuis la dernière fois où j’avais mis les pieds dans un parc d’attraction.
Malgré toi, voilà que je me sentais piquée dans mon orgueil. Peut-être n’étais-tu – assurément même – le véritable responsable de ma sensibilité à fleur de peau, mais aujourd’hui, ce serait surtout qu’elle s’abattrait. Alors avant que nous nous engagions dans une direction ou une autre, un fin sourire narquois sur mes lèvres se dessina : « À moins que tu ne veuilles d’entrée de jeu tenter de relever l’un des défis figurants sur la liste ? »
Je redressais mon visage jusqu’au tien. Tes traits qui se dotaient d’autant de tendresse qu’ils m’inspiraient une once d’agacement. Comment pouvais-tu être si naturellement adorablement exaspérant ? Des cils je battais un instant puis me détournais, jetant un regard vague sur ce qui nous entourait, comme si je raccrochais à la réalité de notre environnement. « Hum… Ne vaut-il pas mieux commencer de bonne heure par les attractions les plus fréquentées où la queue sera trop longue dans la journée ? » Organisée et pragmatique comme d’accoutumée, sans doute saurais-tu me le faire remarquer. Railler mon manque d’impulsivité voire m’être en doute encore une fois ma capacité à m’amuser. Et j’aurais à coeur de le prouver ! Autant à toi qu’à moi-même ! Comme une envie de tout balayer… « Et non, je n’ai pas peur des attractions à sensations ! » rétorquais-je par anticipation de ta supposition qui me paraissait que bien trop évidente. Au contraire, j’aimais cela même s’il y avait un temps indéniable depuis la dernière fois où j’avais mis les pieds dans un parc d’attraction.
Malgré toi, voilà que je me sentais piquée dans mon orgueil. Peut-être n’étais-tu – assurément même – le véritable responsable de ma sensibilité à fleur de peau, mais aujourd’hui, ce serait surtout qu’elle s’abattrait. Alors avant que nous nous engagions dans une direction ou une autre, un fin sourire narquois sur mes lèvres se dessina : « À moins que tu ne veuilles d’entrée de jeu tenter de relever l’un des défis figurants sur la liste ? »
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:39 Citer EditerSupprimer
La tête légèrement penchée sur le côté, j’observais ces traits qu’étaient les tiens. Bien moins vifs qu’à leur accoutumée, bien plus tristes également. Malgré mon sourire, malgré la douceur qui m’habitait, ne pouvais-tu sentir l’inquiétude qui m’habitait ? Je souhaitais te voir heureuse, épanouie, à n’importe quel prix. Même si cela signifiait être ridicule ou faire des choses que je n’aimais. Ton souhait j’attendais alors, silencieusement, avant qu’enfin, ta décision ne tombe. Enfin… Etait-ce une vraie décision ? Ne me parlais-tu pas là plus de pratique que de ce que ton cœur te dictait ? Te dictait-il quelque chose même ? Ma lèvre inférieure je venais à mordre, embêté devant ce constat. Tu n’étais d’humeur à suivre tes désirs alors, devrais-je dans un premier temps te guider ? Te proposer des activités et te rendre d’humeur festive au maximum ? Sans pour autant réussir à t’arracher fou rire et larme de bonheur, arriverais-je à te donner envie de quelque chose aujourd’hui ? « J’ai jamais dit le contraire. » annonçais-je en te voyant prendre la mouche sans que je n’aie prononcé le moindre mot. Ce n’était plus des pincettes que j’allais devoir prendre avec toi aujourd’hui et je venais même à douter de réussir à accomplir cette mission que je m’étais fixé…
Néanmoins, je ne perdais espoir ! Je devais y arriver ! D’une petite fleur rouge je me saisissais, la plus jolie que je trouvais, pour me placer face à toi ensuite. Sans un mot, celle-ci je glissais dans ta chevelure de ma main libre pour, ensuite, faire un pas en arrière et contempler le résultat. Non seulement j’admirais la fleur qui bougeait au gré de la brise matinale mais également ta tenue pour en venir à la conclusion suivante : « Ma princesse est vraiment la plus jolie. » Ce pas en arrière précédemment effectué, me voilà qui le refaisait en avant, un grand sourire aux lèvres. « Je dois te trouver un diadème aujourd’hui. » Telle était ma conclusion avant de me décider à répondre à ta question, un peu plus sérieusement. « Il y en a un que tu préfères ? Ou tu veux qu’on choisisse au hasard ? »
Sans prévenir, de ta main menottée je me saisissais pour commencer à avancer dans le parc d’attraction. Mes pas je calquais sur les tiens pour que tu n’aies à te presser tandis que je tentais d’évaluer le niveau s’insouciance que je pouvais avoir aujourd’hui. Me montrer trop enjoué n’était probablement pas le mieux mais à être trop sérieux non plus, ça ne me ressemblait pas qui plus est. Pourtant je m’inquiétais vraiment derrière cette façade que tu voyais, je désirais t’aider sans savoir comment… Après tout, de ma rupture j’avais fait un virage à cent quatre-vingt degrés, seul, sans demander d’aide à mon entourage et sans particulièrement en recevoir.
Néanmoins, je ne perdais espoir ! Je devais y arriver ! D’une petite fleur rouge je me saisissais, la plus jolie que je trouvais, pour me placer face à toi ensuite. Sans un mot, celle-ci je glissais dans ta chevelure de ma main libre pour, ensuite, faire un pas en arrière et contempler le résultat. Non seulement j’admirais la fleur qui bougeait au gré de la brise matinale mais également ta tenue pour en venir à la conclusion suivante : « Ma princesse est vraiment la plus jolie. » Ce pas en arrière précédemment effectué, me voilà qui le refaisait en avant, un grand sourire aux lèvres. « Je dois te trouver un diadème aujourd’hui. » Telle était ma conclusion avant de me décider à répondre à ta question, un peu plus sérieusement. « Il y en a un que tu préfères ? Ou tu veux qu’on choisisse au hasard ? »
Sans prévenir, de ta main menottée je me saisissais pour commencer à avancer dans le parc d’attraction. Mes pas je calquais sur les tiens pour que tu n’aies à te presser tandis que je tentais d’évaluer le niveau s’insouciance que je pouvais avoir aujourd’hui. Me montrer trop enjoué n’était probablement pas le mieux mais à être trop sérieux non plus, ça ne me ressemblait pas qui plus est. Pourtant je m’inquiétais vraiment derrière cette façade que tu voyais, je désirais t’aider sans savoir comment… Après tout, de ma rupture j’avais fait un virage à cent quatre-vingt degrés, seul, sans demander d’aide à mon entourage et sans particulièrement en recevoir.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:46 Citer EditerSupprimer
À ma question tu ne répondis de suite, et comme si tu n’avais pas semblé à quel point je n’étais pas disposée à t’entendre m’embêter, tu fis vraisemblablement tout pour me provoquer. Ne pouvais-tu pas t’en empêcher ? Tout d’abord étonnée de voir ta main se diriger vers ma chevelure que tu ornais d’une fleur illégalement cueillie. Je te regardais avec une curiosité perplexe jusqu’à ce que tu te remis à parler. Instantanément, d’un regard de glace je te dardais. Et tu souriais stupidement alors que tu me réduisais à l’état de chien de concours que dont tu serais fier du poil lustré. Intérieurement, je fulminais. Je grondais de l’envie de t’étrangler. Mais encore une fois, tu me surpris. D’une part d’autant plus énervée de t’entendre changer de sujet pour revenir au précédent comme si de rien n’était, je fus ensuite d’autre part décontenancée par le contact de tes doigts se fermant sur ma main. Un instant, je me figeais. Mes yeux s’écarquillaient. Sous l’effet de la stupéfaction, sur la distance de quelques pas je ne résidais. Pas bien longtemps avant que soudainement, je ne freine. Mes doigts répondirent à la prise des tiens avec une fermeté qui davantage de mon ressentiment que d’une quelconque tendresse. « Ça va ? Tu es content ? » te demandais-je sèchement. L’étreinte sur ta main je resserrais en témoignage de mon indignation pour ce geste. Mais que croyais-tu au juste ? « Tu es satisfait de pouvoir te pavaner avec la jolie poupée ? » Brusquement, cette main je la lâchais, la rejetais dans le tintement de nos menottes dont les bracelets cognèrent notre chair. « Toi aussi, tu veux exhiber ton trophée ? » C’était bon pour toi ? Puisque je n’étais plus celle d’un autre, tu pensais que j’étais à toi ? Que tu pouvais me traiter comme ça ? Ta jolie petite chose qui t’appartenait ? De ma main libre, j’ôtais et jetais la fleur dans mes cheveux. « Eh bien, je t’emmerde ! Je ne suis pas que ça bordel ! Alors ton diadème tu peux te le carrer ! » Ma voix claqua avec agressivité. Qu’importait la vulgarité de mon langage ! Qu’importait que la scène attire des regards. « A quoi ai-je pensé en voulant passer la journée avec toi… » soufflais-je pour moi-même à la suite en me retournant. En m’apprêtant à me détourner et m’en aller, réaction instinctive sans réfléchir, mais la douloureuse résistance à mon poignet me rappela vite à l’ordre. Dans mon élan, ton corps n’accompagnant le mien me contraignit à revenir en arrière d’un pas maladroit. « Aish ! Foutues menottes ! » sifflais-je agacée, irritée, impatiente, maudissant déjà cette satanée journée. Je redressais néanmoins la tête à hauteur de ton visage. « Amène-toi ! » t’ordonnais-je d’une voix dont l’autorité et l’implacabilité furent bafouée par ma gorge nouée. J’aurais voulu fuir et m’isoler, mais je le pouvais, alors au fond de mes yeux, je te le demandais Ne rends pas les choses plus difficiles qu’elles ne le sont déjà. Sinon, je sentais que j’allais craquer…
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:49 Citer EditerSupprimer
A peine avais-tu freiné que vers toi je me tournais, curieux et un brin inquiet. L’incompréhension de ton geste s’en suivait par celui de tes propos. Sourcils froncés, un air probablement stupide sur mes traits à cause de ma perdition, je t’écoutais sans comprendre la plus petite chose de tes accusations. La jolie poupée ? Mon trophée ? Que sous-entendais-tu par-là ? La première idée qui me venait fut naturellement celle de ce fiancé avec qui tu avais rompus… T’avait-il considéré de cette façon ? A vouloir t’inonder de bonheur, à vouloir te donner de l’importance à ma façon, tu avais mal interpréter la situation et mon comportement. Silencieux car incapable de savoir comment me défendre sans te blesser, à ton regard planté dans le mien, je comprenais que tu n’étais énervée mais blessée. Ta main libre j’attrapais de la mienne, te tirant gentiment dans un endroit un peu plus à l’écart pour parler plus confortablement. « Je te considère pas comme une poupée ou un trophée. » soufflais-je en marchant à reculons. Quelques coups d’œil je jetais derrière moi pour éviter toute collision avant de me stopper, ne lâchant ta main pour autant. « Écoute-moi bien. Je ne te considère pas comme un objet, comme une poupée ou je ne sais quoi. Je… » Une grande inspiration je prenais avant de t’offrir un petit sourire, triste, bien que sincère et délicat. « Je suis pas doué pour remonter le moral, encore plus après une rupture. Je sais faire que l’idiot, te donner beaucoup d’attention et tenter de t’énerver ou te faire rire en faisant n’importe quoi. » Ta main je lâchais en me rendant compte que je la tenais toujours, certain que tu ne tenais à avoir ce genre de contact avec moi vu l’état dans lequel je t’avais mise involontairement. « Tu dois le savoir, si tu pleures le nouvel an alors il est dit que tu pleureras toute l’année. Mais si tu reçois de l’attention et, un… semblant d’a-amour… le premier jour, est-ce que tu n’en recevras pas pour le reste de l’année ? » Un silence je marquais suite à ces mots, évaluant ta capacité à croire ce que je disais, avant de t’offrir un sourire timide. Ma main libre remontait à ma nuque, gêné de toute évidence. N’étais-je en train d’aggraver mon cas… ? « C’est… Comme ça que je vois les choses… Désolé de t’avoir blessé. »
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 12:54 Citer EditerSupprimer
Cette journée était une mauvaise idée ! Dès le départ, c’était une mauvaise idée et encore plus à présent ! Hier, j’aurais dû ravaler ma fierté. Accepter de déléguer la gestion et la responsabilité de cette virée à quelqu’un d’autre. Mais qui ? En l’absence de Namseon, personne n’avait une telle légitimité et même à lui, très certainement, je n’aurais pu me résigner à lui remettre les clés de l’aventure. Cependant, à peine avions-nous décollé de l’entrée que déjà, je ne me sentais la solidité d’en supporter davantage. Présentement, alors que toi aussi tu me traitais de cette façon, que tu me rappelais mon sentiment de n’être que ce bel objet, vecteur d’intérêts, j’éprouvais la seule envie d’être au fond de mon lit à pleurer, encore et encore, toutes les larmes de mon corps. Ses larmes qu’avant hier soir j’aurais dû verser. Les jumelles de celle que je n’avais pu contenir le jour d’encore avant, en secret, seule dans le noir alors que j’appréhendais la décision qui me taraudait. À présent, mon choix était fait et je n’y reviendrais… mais comment mon coeur pourrait-il être soulagé ?
Je te demandais de bien vouloir avancer, mais tout au contraire, ma main libre tu vins chercher pour mieux reculer. À ton souffle, je ne parvenais guère à t’accorder crédibilité, bien trop sur la défensive. Ma confiance écorchée. Confiance en la gente masculine qui était déjà si infime. Néanmoins, je te suivais notamment parce que je ne me sentais la vigueur pour batailler. Au contraire, je redoutais de trouver que chute et défaite. Alors quand tu te mis à me parler avec ce qui semblait être de la sincérité, pouvais-je te croire ? Pouvais-je abaisser la palissade ? Ranger les armes… Tes références culturelles semblables aux miennes, des balbutiements, ce mot que tu employais et tes excuses aussi, voyais-tu à la surface de mes yeux comme en cet instant je luttais pour ne pas m’effondrer ? Sans un mot, d’un pas hésitant je me rapprochais. Ma main menottée effectua un premier mouvement, avortée par son entrave. Je fis un pas de plus. Lentement, ma main libre j’effleurais ton flanc, poursuivant l’engagement mal assuré de mon bras entamant de t’étreindre à hauteur de la taille. J’osais à peine m’approcher d’un pas de plus que j’effectuais pourtant. Sur ton torse, je posais tout d’abord mon front. Puis, je montais ma main rattachée à la tienne jusqu’à l’emplacement de ton coeur sur lequel ma paume se déposa. Je tournais la tête de côté, affirmant finalement un peu plus mon étreinte en m’appuyant véritablement contre toi. « Laisse-moi… rester comme ça… juste quelques instants, s’il te plait… » Je voulais juste m’accorder un moment de répit. Un moment où je m’appuierais sur quelqu’un sans tomber. Mes yeux je fermais. Durant quelques instants, je m’efforçais de ne pas penser. Sur mes sens je me concentrais. J’entendais le brouhaha ambiant. Je sentais les mouvements de ta respiration et la chaleur de ton corps. Dans ma paume, je crus ressentir aussi les battements de ton coeur. J’avais l’impression d’être un morceau de glace comparé à toi.
Je te demandais de bien vouloir avancer, mais tout au contraire, ma main libre tu vins chercher pour mieux reculer. À ton souffle, je ne parvenais guère à t’accorder crédibilité, bien trop sur la défensive. Ma confiance écorchée. Confiance en la gente masculine qui était déjà si infime. Néanmoins, je te suivais notamment parce que je ne me sentais la vigueur pour batailler. Au contraire, je redoutais de trouver que chute et défaite. Alors quand tu te mis à me parler avec ce qui semblait être de la sincérité, pouvais-je te croire ? Pouvais-je abaisser la palissade ? Ranger les armes… Tes références culturelles semblables aux miennes, des balbutiements, ce mot que tu employais et tes excuses aussi, voyais-tu à la surface de mes yeux comme en cet instant je luttais pour ne pas m’effondrer ? Sans un mot, d’un pas hésitant je me rapprochais. Ma main menottée effectua un premier mouvement, avortée par son entrave. Je fis un pas de plus. Lentement, ma main libre j’effleurais ton flanc, poursuivant l’engagement mal assuré de mon bras entamant de t’étreindre à hauteur de la taille. J’osais à peine m’approcher d’un pas de plus que j’effectuais pourtant. Sur ton torse, je posais tout d’abord mon front. Puis, je montais ma main rattachée à la tienne jusqu’à l’emplacement de ton coeur sur lequel ma paume se déposa. Je tournais la tête de côté, affirmant finalement un peu plus mon étreinte en m’appuyant véritablement contre toi. « Laisse-moi… rester comme ça… juste quelques instants, s’il te plait… » Je voulais juste m’accorder un moment de répit. Un moment où je m’appuierais sur quelqu’un sans tomber. Mes yeux je fermais. Durant quelques instants, je m’efforçais de ne pas penser. Sur mes sens je me concentrais. J’entendais le brouhaha ambiant. Je sentais les mouvements de ta respiration et la chaleur de ton corps. Dans ma paume, je crus ressentir aussi les battements de ton coeur. J’avais l’impression d’être un morceau de glace comparé à toi.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 15:38 Citer EditerSupprimer
Incertain quant à mes explications, seule la gêne et la maladresse habitait mon corps à cet instant. Ma nuque je venais à masser dans un espoir vain de soulager ce sentiment, mon regard je gardais sur tes traits bien qu’aucune confiance ne s’en dégageait. Peu importait combien ta beauté semblait irréelle, comparable à une poupée ou une déesse, ne tu pouvais l’être. N’avais-tu ta propre opinion, tes humeurs, tes convictions ? Comment pouvais-tu avoir été considérer ainsi par une quelconque personne dans ta vie ? Cela me paraissait si improbable mais l’éventualité, au vu du monde dans lequel tu grandissais depuis ta naissance, était envisageable malheureusement. Un monde que jamais je ne comprendrais, jamais je n’envierais. Ma liberté m’était trop précieuse, mon cœur je voulais suivre sans avoir compte à rendre, sans avoir à subir de conséquences. C’était puéril de ma part, mais c’était la vie à laquelle j’aspirais depuis tant d’année, une vie que je dirigeais peu à peu dans ce sens. Sans contraintes, sans attaches, cavalier libre et solitaire mais qui jamais ne le ressentirais. Du moins, c’était ainsi que l’histoire avait commencé à s’écrire jusqu’à l’apparition d’un élément perturbateur, une variable imprévue et imprévisible dans l’équation de ma vie. Celle qui serait capable de me faire regretter tout départ, celle qui me manquerait si je venais à simplement partir quelques temps chez mes parents : toi. Une variable qui s’était liée à bon nombres d’éléments sans que je ne le remarque, qui continuait à le faire sous mes yeux impuissants.
Que pouvais-je bien faire ? Que pouvais-je bien dire ? Mon esprit était vidé, blanc et silencieux. Un brouhaha incompréhensible qui ne savait pourtant se faire bruyant, le seul qui semblait pouvoir s’exprimer était ce cœur. Un palpitant qui s’agitait à te sentir me serrer dans tes bras, à entendre ta demande que, pour une fois, tu formulais si clairement. Etait-ce tes mots qui m’avaient ainsi braquer ? Ou l’hésitation et la timidité qui s’étaient dégagés de tes gestes ? Sous tes doigts, mon cœur s’agitait. Comme si je voulais te le faire oublier, ma main prisonnière venait se poser sur la tienne. A moins que je ne souhaitais t’offrir plus de tendresse encore ? Je ne comprenais mes agissements pourtant si évidents, je ne voulais les comprendre. L’idée seule de cette éventualité, aussi infime fut-elle, me retournait les intestins alors ça ne pouvait être. Nombreuses étaient les excuses qui passaient mon esprit à cet instant, bon nombres étaient totalement stupides, véritablement improbables mais je m’en contentais. Car je ne pouvais l’être pour bon nombre de raisons et je ne voulais l’être. Encore aujourd’hui, ne devais-je te redonner le sourire ? Plus encore que la fois dernière alors quoi qu’il puisse se passer, quoi que je puisse ressentir ou penser, je ne m’en préoccuperais. Contre moi je te serrais un peu plus, avec l’espoir que tu ne sentes ce cœur battre. Contre le haut de ton crâne mon menton je reposais délicatement ; espérant que ce n’était le geste de trop. « Tu peux rester autant que tu veux… » Quelques mots soufflés que j’espérais tu n’entendrais pas, pourtant je voulais que tu les entendes. De simples mots génériques servant à te réconforter temporairement alors qu’ils n’exprimaient qu’une envie grandissante et égoïste de te garder entre mes bras.
Que pouvais-je bien faire ? Que pouvais-je bien dire ? Mon esprit était vidé, blanc et silencieux. Un brouhaha incompréhensible qui ne savait pourtant se faire bruyant, le seul qui semblait pouvoir s’exprimer était ce cœur. Un palpitant qui s’agitait à te sentir me serrer dans tes bras, à entendre ta demande que, pour une fois, tu formulais si clairement. Etait-ce tes mots qui m’avaient ainsi braquer ? Ou l’hésitation et la timidité qui s’étaient dégagés de tes gestes ? Sous tes doigts, mon cœur s’agitait. Comme si je voulais te le faire oublier, ma main prisonnière venait se poser sur la tienne. A moins que je ne souhaitais t’offrir plus de tendresse encore ? Je ne comprenais mes agissements pourtant si évidents, je ne voulais les comprendre. L’idée seule de cette éventualité, aussi infime fut-elle, me retournait les intestins alors ça ne pouvait être. Nombreuses étaient les excuses qui passaient mon esprit à cet instant, bon nombres étaient totalement stupides, véritablement improbables mais je m’en contentais. Car je ne pouvais l’être pour bon nombre de raisons et je ne voulais l’être. Encore aujourd’hui, ne devais-je te redonner le sourire ? Plus encore que la fois dernière alors quoi qu’il puisse se passer, quoi que je puisse ressentir ou penser, je ne m’en préoccuperais. Contre moi je te serrais un peu plus, avec l’espoir que tu ne sentes ce cœur battre. Contre le haut de ton crâne mon menton je reposais délicatement ; espérant que ce n’était le geste de trop. « Tu peux rester autant que tu veux… » Quelques mots soufflés que j’espérais tu n’entendrais pas, pourtant je voulais que tu les entendes. De simples mots génériques servant à te réconforter temporairement alors qu’ils n’exprimaient qu’une envie grandissante et égoïste de te garder entre mes bras.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 16:30 Citer EditerSupprimer
Malgré moi, ma confiance te revenait. Née de l’obligation, elle semblerait s’être ancrée et chaque fois que je te la retirais, que j’essayais, et elle revenait. Solidement accrochée. Comme un pilier sur lequel me reposer. Et cela m’effrayait. Je saisissais la moindre brèche pour espérer l’affaiblir, la briser parce que j’avais peur de trop y croire et d’être encore une fois désillusionnée. Ces moments que j’avais passé en ta compagnie, j’en avais aussi gardé de bons souvenirs en vérité. Malgré ce que je prétendais. Raison pour laquelle, tu étais celui avec qui j’avais voulu resté aujourd’hui. Cependant, j’avais peur. Peur de la chute. Peur que de ma confiance que je t’accordais je ne puisse encore une fois que sortir blessée.
Mais ne disait-on pas que la peur n’évite pas le danger ?
À travers ta chaleur, je me ressourçais. Pas longtemps, quoi que je perdis brièvement la notion du temps, juste assez pour rassembler la force d’affronter cette journée. Je ne t’avais pas choisi pour que la tienne soit gâchée. Alors, soudainement, je redressais la tête. Celle-ci cogna contre ton menton. Brièvement, je grimaçais sous la douleur, puis passais outre relevant mon visage en direction du tien : « Et alors, ce premier défi ! On le choisit ? » Et je m’écartais, ragaillardie car non, je ne me laisserais pas abattre et toutes tes prochaines taquineries, je te les renverrais ! « Oh ! J’ai une idée ! Prends le plan ! » Je te tendis le dépliant tandis que je me munissais de la fiche des défis et t’incitais aussitôt à me suivre à la recherche d’une surface plane où les déposer tous les deux. Une fois fait, je pris ta main menottée dans la mienne qui lui était rattachée. Montant mon regard jusqu’à toi, je t’expliquais : « Les yeux fermés, tous les deux, chacun notre tour, nous allons guider à l’aveugle la main de l’autre pour choisir le prochain défi et aussi la première attraction par laquelle commencer ! » Peut-être y eut-il dans mes yeux une légère lueur interrogative demandant ton consentement, cependant, je ne l’attendis pour mettre le procédé en application. « Ferme les yeux ! » t’ordonnais-je d’une voix ferme mais néanmoins agrémentée d’un zeste d’enthousiasme avant d’en faire de même avec mes propres paupières. « Laisse-toi aller, hein ! » te dis-je tandis que j’essayais de guider ta main dont l’index devait pointer le plan du parc. Puisque personnellement, je ne savais par quoi commencer, autant laisser le hasard trancher. L’hésitation de ma main guide arrêtée, nous pouvions rouvrir les yeux et première destination : Let’s Twist !
Mais ne disait-on pas que la peur n’évite pas le danger ?
À travers ta chaleur, je me ressourçais. Pas longtemps, quoi que je perdis brièvement la notion du temps, juste assez pour rassembler la force d’affronter cette journée. Je ne t’avais pas choisi pour que la tienne soit gâchée. Alors, soudainement, je redressais la tête. Celle-ci cogna contre ton menton. Brièvement, je grimaçais sous la douleur, puis passais outre relevant mon visage en direction du tien : « Et alors, ce premier défi ! On le choisit ? » Et je m’écartais, ragaillardie car non, je ne me laisserais pas abattre et toutes tes prochaines taquineries, je te les renverrais ! « Oh ! J’ai une idée ! Prends le plan ! » Je te tendis le dépliant tandis que je me munissais de la fiche des défis et t’incitais aussitôt à me suivre à la recherche d’une surface plane où les déposer tous les deux. Une fois fait, je pris ta main menottée dans la mienne qui lui était rattachée. Montant mon regard jusqu’à toi, je t’expliquais : « Les yeux fermés, tous les deux, chacun notre tour, nous allons guider à l’aveugle la main de l’autre pour choisir le prochain défi et aussi la première attraction par laquelle commencer ! » Peut-être y eut-il dans mes yeux une légère lueur interrogative demandant ton consentement, cependant, je ne l’attendis pour mettre le procédé en application. « Ferme les yeux ! » t’ordonnais-je d’une voix ferme mais néanmoins agrémentée d’un zeste d’enthousiasme avant d’en faire de même avec mes propres paupières. « Laisse-toi aller, hein ! » te dis-je tandis que j’essayais de guider ta main dont l’index devait pointer le plan du parc. Puisque personnellement, je ne savais par quoi commencer, autant laisser le hasard trancher. L’hésitation de ma main guide arrêtée, nous pouvions rouvrir les yeux et première destination : Let’s Twist !
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 19:19 Citer EditerSupprimer
Moment d’égarement de ma part bien vite rattrapé par ce coup dans mon menton. Une plainte, légère, passait mes lèvres en sentant mes dents s’entrechoquées ; naturellement la tête je relevais pour te laisser filer. Déjà ? Pourquoi me sentais-je si triste de te voir t’éloigner ? Ce n’était pourtant pas comme si j’avais le pouvoir de te garder indéfiniment dans mes bras… A ta proposition, un sourire s’inscrivait sur mes lèvres, faible et délicat, un brin gêné par toutes ces pensées en bataille qui m’habitaient et m’embrouillaient. Docilement, entre mes doigts, je récupérais ce plan que tu me tendais, silencieusement, j’écoutais ta proposition pour me contenter d’hocher la tête. N’étais-tu pas un brin trop enthousiaste soudainement ? L’impression que tu manquais de te briser au moindre choc transparaissait à mes yeux inquiets mais ne devrais-je jouer le jeu jusqu’au bout ? Faire mine de l’ignorer pour te voir sourire sincèrement, donner l’impression de n’être au courant pour que tu sois embarrassée… Mon rôle de bouffon au service de sa Reine je remplirais encore aujourd’hui, docilement, sans me plaindre. C’était le plus confortable, tant pour toi que pour moi.
En sentant le papier plastifié du plan sous la pulpe de mon doigt, je rouvrais les yeux pour y voir un manège à sensation. Enfin, c’était considérer ainsi en tout cas. « Tu n’as pas peur des manèges à sensations…. J’attendrais de voir pour en avoir la confirmation. » C’est que, mine de rien, je m’attendais à sentir tes doigts serrer les miens, voir les réduire en poussières si vraiment tu venais à avoir peur. A moins que je ne l’espérais purement et simplement ? Que tu aies peur, que tu t’appuies sur moi et me fasse confiance pour te rassurer… Mais n’était-ce là un stéréotype de la femme fragile et faible qui avait besoin d’un homme fort et courageux pour vivre ? Pouvais-je penser de la sorte avec toi ?
De ta main je me saisissais agilement pour l’élever dans les airs par la suite, au niveau de ton visage. « A ton tour, ferme les yeux et laisses toi faire. » Tes yeux j’attendais que tu fermes et, à ce moment, la réalisation de mes mots me frappait. Venais-je de te demander de te laisser faire avec les yeux fermés ? J’espérais que tu ne comprennes, que tu ne prêtes attention à cette demande qui semblait tout sauf innocente à mes yeux et que tu obéisses simplement. Quoi que, est-ce que ce n’était pas pire ? Un brin hésitant, je finissais néanmoins par fermer les yeux également pour désigner à l’aveugle le défi qu’il nous incomberait de remplir : jealousy.
En sentant le papier plastifié du plan sous la pulpe de mon doigt, je rouvrais les yeux pour y voir un manège à sensation. Enfin, c’était considérer ainsi en tout cas. « Tu n’as pas peur des manèges à sensations…. J’attendrais de voir pour en avoir la confirmation. » C’est que, mine de rien, je m’attendais à sentir tes doigts serrer les miens, voir les réduire en poussières si vraiment tu venais à avoir peur. A moins que je ne l’espérais purement et simplement ? Que tu aies peur, que tu t’appuies sur moi et me fasse confiance pour te rassurer… Mais n’était-ce là un stéréotype de la femme fragile et faible qui avait besoin d’un homme fort et courageux pour vivre ? Pouvais-je penser de la sorte avec toi ?
De ta main je me saisissais agilement pour l’élever dans les airs par la suite, au niveau de ton visage. « A ton tour, ferme les yeux et laisses toi faire. » Tes yeux j’attendais que tu fermes et, à ce moment, la réalisation de mes mots me frappait. Venais-je de te demander de te laisser faire avec les yeux fermés ? J’espérais que tu ne comprennes, que tu ne prêtes attention à cette demande qui semblait tout sauf innocente à mes yeux et que tu obéisses simplement. Quoi que, est-ce que ce n’était pas pire ? Un brin hésitant, je finissais néanmoins par fermer les yeux également pour désigner à l’aveugle le défi qu’il nous incomberait de remplir : jealousy.
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