[EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Ven 16 Fév - 22:56 Citer EditerSupprimer
Mon procédé sembla bien commencer à en juger par la première attraction désignée. Un manège à sensation, qui sans être tout près ne se situait non plus à l’autre bout du parc. Le hasard aurait aussi très bien pu nous entrainer dans des attractions pour enfants. L’aurions-nous fait ? Probablement. Aujourd’hui, j’avais décidé de totalement me laisser aller. Essayer de ne pas penser. Sourire quitte à me forcer. Dans l’espoir vain de l’oublier. Et je savais qu’au moins sur tes idioties je pourrais compter pour m’occuper les idées. À la condition que tu ne recommences comme précédemment. Face à ton insinuation, je soutins ton regard. Sans que je ne prononce mot tu comprendrais très bien ce qu’il signifiait. Je te le prouverais que les manèges ne m’effraient !
Puis, ce fut à ton tour de guider ma main à l’aveugle pour sélectionner notre premier défi à relever. Étant l’investigatrice de cette idée, sans résister je m’exécutais lorsque tu me dis de fermer les yeux et de me laisser faire. J’obtempérais sans broncher. Même dès lors que mes paupières me plongèrent dans l’obscurité, j’espérais que tu ne tarderais. Avant que les souvenirs ne reviennent. Finalement, le contact de mon doigt sur le papier me sauva de l’appel des abysses qui m’attiraient à elles. J’ouvris les yeux et : jealousy. Je grimaçais. Je souffrais. Je saignais. Mais je ne renonçais ! « Allons-y ! » Puisque c’était le jeu, je m’y plierais. Peut-être trouverais-je loisir à me défouler, m’amuser par le biais d’une telle mascarade ?
Nous marchâmes ainsi, le long de l’avenue des boutiques de Global Fair, puis traversions une partie de American Adventure. Mes yeux balayaient les alentours en chemin. Je cherchais en vain comment empêcher mes pensées de dériver. Comment ne pas y penser, encore et encore. Penser à lui. Alors sur ce trajet, pas un mot je ne t’adressais jusqu’à ce que nous atteignîmes notre destination. Avant que nous nous engagions dans la queue, je remarquais la faible affluence à cette heure-ci. « Hum… Il n’y a pas encore grand monde… » Si nous voulions mettre le défi en application, il n’aurait qu’un effet moindre, voire pas du tout. « Gardons-le plutôt pour un moment plus opportun ! » Quitte à jouer, autant ne pas le faire dans la demie mesure. Je ressortais alors la fiche et en désignais un autre pour compenser. « Faisons celui-ci en attendant ? » Mon doigt sur le papier pointait en direction de Swallow or Spit. Je l’avais choisi sans concerter le hasard, et alors ? « Les règles sont faites pour être transgressées, non ? » rétorquais-je avec une once de malice en présageant le fond de ta pensée. Et sans attendre, je bifurquais de l’entrée pour me diriger vers un stand de boisson. Enfin, je m’apprêtais à le faire mais avant de tirer sur les menottes une nouvelle fois, je t’attendis.
Puis, ce fut à ton tour de guider ma main à l’aveugle pour sélectionner notre premier défi à relever. Étant l’investigatrice de cette idée, sans résister je m’exécutais lorsque tu me dis de fermer les yeux et de me laisser faire. J’obtempérais sans broncher. Même dès lors que mes paupières me plongèrent dans l’obscurité, j’espérais que tu ne tarderais. Avant que les souvenirs ne reviennent. Finalement, le contact de mon doigt sur le papier me sauva de l’appel des abysses qui m’attiraient à elles. J’ouvris les yeux et : jealousy. Je grimaçais. Je souffrais. Je saignais. Mais je ne renonçais ! « Allons-y ! » Puisque c’était le jeu, je m’y plierais. Peut-être trouverais-je loisir à me défouler, m’amuser par le biais d’une telle mascarade ?
Nous marchâmes ainsi, le long de l’avenue des boutiques de Global Fair, puis traversions une partie de American Adventure. Mes yeux balayaient les alentours en chemin. Je cherchais en vain comment empêcher mes pensées de dériver. Comment ne pas y penser, encore et encore. Penser à lui. Alors sur ce trajet, pas un mot je ne t’adressais jusqu’à ce que nous atteignîmes notre destination. Avant que nous nous engagions dans la queue, je remarquais la faible affluence à cette heure-ci. « Hum… Il n’y a pas encore grand monde… » Si nous voulions mettre le défi en application, il n’aurait qu’un effet moindre, voire pas du tout. « Gardons-le plutôt pour un moment plus opportun ! » Quitte à jouer, autant ne pas le faire dans la demie mesure. Je ressortais alors la fiche et en désignais un autre pour compenser. « Faisons celui-ci en attendant ? » Mon doigt sur le papier pointait en direction de Swallow or Spit. Je l’avais choisi sans concerter le hasard, et alors ? « Les règles sont faites pour être transgressées, non ? » rétorquais-je avec une once de malice en présageant le fond de ta pensée. Et sans attendre, je bifurquais de l’entrée pour me diriger vers un stand de boisson. Enfin, je m’apprêtais à le faire mais avant de tirer sur les menottes une nouvelle fois, je t’attendis.
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 15:04 Citer EditerSupprimer
A plusieurs reprises, discrètement, mes yeux se tournaient vers toi lors de cette marche vers notre destination. A quoi pensais-tu pour être si silencieuse ? Que cherchais-tu pour ainsi regarder autour de nous ? J’eus bien du mal à t’imaginer trépigner d’impatience de mettre la main sur l’attraction où nous nous rendions, comme une enfant qui aurait attendu ce moment depuis trop longtemps ; alors l’hypothèse était que tu ne cherchais à trouver quelque chose mais à t’échapper. Etais-tu mal à l’aise après m’avoir enlacé de la sorte ? Après m’avoir demandé si tu pouvais rester ainsi quelques instants ? Cela pourrait bien te ressembler tout en m’apparaissant si étrange venant de toi. A tout hasard… étais-tu venu précédemment ici avec ton fiancé ? Tu n’aurais certainement pas choisis un endroit aussi intime pour une sortie avec la fraternité… ou peut-être bien que si ? Tant de questions s’enchaînaient dans mon esprit sans qu’aucune ne parvienne à trouver réponse ou concordance malgré le temps que j’y passais. Alors, dans un sens, ce fut bien malgré moi que je me faisais silencieux jusqu’à notre arrivée à destination, lieu peu bondé en ce vendredi matin, comme je m’y attendais : tu repoussais le défi à une prochaine attraction. « Je suis d’accord. » Parce qu’aussi peu de gens, ce n’était pas amusant, pas assez drôle et sans grande répercussion ; parce qu’il fallait, pour s’amuser comme des gumihos qui respectaient, provoquer une scène de grande envergure, comme personne n’en avait jamais fait. Tu en étais capable n’est-ce pas ? Je t’en savais capable.
Mon air amusé à cette idée fut bien rapidement remplacé par celui de la curiosité : quel défi souhaitais-tu que nous réalisions ? A voir le nom de celui, mes pupilles se relevaient vers toi mais pour une raison différente de ce à quoi tu pensais. « Je suis parfaitement d’accord avec ça, je pensais plutôt à autre chose… » En te voyant te diriger vers le stand de boisson, naturellement je te suivais, calquant, une fois de plus, le rythme de mes pas aux tiens. « J’ai hâte de te voir devenir un hamster ! » Avouais-je enfin joyeusement, légèrement alors que nous approchions du stand. « On est d’accord qu’on prend rien avec des bulles ? » Les bulles étaient mon pire ennemi et, je le savais, je risquais de perdre très rapidement si je devais garder cette chose dans ma bouche pendant toute une attraction… Tu ne voulais pas devenir une Princesse Hamster trempée, n’est-ce pas ?
Mon air amusé à cette idée fut bien rapidement remplacé par celui de la curiosité : quel défi souhaitais-tu que nous réalisions ? A voir le nom de celui, mes pupilles se relevaient vers toi mais pour une raison différente de ce à quoi tu pensais. « Je suis parfaitement d’accord avec ça, je pensais plutôt à autre chose… » En te voyant te diriger vers le stand de boisson, naturellement je te suivais, calquant, une fois de plus, le rythme de mes pas aux tiens. « J’ai hâte de te voir devenir un hamster ! » Avouais-je enfin joyeusement, légèrement alors que nous approchions du stand. « On est d’accord qu’on prend rien avec des bulles ? » Les bulles étaient mon pire ennemi et, je le savais, je risquais de perdre très rapidement si je devais garder cette chose dans ma bouche pendant toute une attraction… Tu ne voulais pas devenir une Princesse Hamster trempée, n’est-ce pas ?
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 16:52 Citer EditerSupprimer
Me menant la danse en direction du stand de vente de boisson, je me contentais de t’adresser un regard foncé accompagné d’une légère moue désapprobatrice tandis que tu faisais référence à un hamster. Tu saurais que même la bouche pleine, je restais toujours digne et élégante ! Ainsi au lieu de rétorquer, pour l’instant, j’accélérais seulement mon train de marche. Il y aurait fort à parier que je te promènerais ainsi une bonne partie de la journée. Cependant, je te savais capable d’en faire tout autant.
Alors, nous nous enfilions dans la file pour commander deux boissons. Le nombre de clients avant nous s’avérait raisonnable. Vraisemblablement juste assez pour nous laisser le temps de nous embêter. Et pour une fois, je serais bien la première à saisir la perche que tu venais de me tendre pour me moquer. « Non, nous ne sommes pas d’accord. » répondis-je d’une voix presque innocente et étonnée. Puis, cette lueur déconcertée, je l’effaçais pour manifester plus de fermeté : « Aurais-tu peur d’échouer ? » sous-entendais-je avec un petit sourire en coin pour te provoquer. « Chaque fois, je dois t’imaginer plus joueur que tu ne l’aies vraiment. » Je soupirais, prétendument déçue. D’infimes mouvements de tête, j’évinçais cette déception et redressais mon regard brillant de malice en direction du tien. « Comment dit-on déjà ? Que de la gueule ? » Discrètement, je te tirais presque le bout de ma langue d’entre mes lèvres, puis je te tournais les talons pour me remettre dans le sens de la file, soupirant à nouveau : « Et m’en priver en plus, le seul jour de l’année où je peux me permettre de consommer du soda… » Cruel égoïste que tu étais, culpabiliserais-tu au moins de me refuser ce péché de gourmandise ? Tombais-tu dans le panneau quant à ma mascarade ? Avais-je réussi à faire un germer un léger doute dans ton esprit ? Quoi qu’il en fut, alors que nos les visiteurs nous précédant s’en allèrent, je me précipitais un pas en avant afin de te prendre de vitesse. « Deux coca-cola cherry zero ! » Je passais ainsi la commande sans te demander ton avis et me retournais ensuite vers toi le temps de la préparation des boissons. « Oups, je crois qu’il y a des bulles dedans. » L’air innocemment gaffeuse et désolée, je pinçais les lèvres tandis qu’un sourire se nichait en leur coin. Commande fin prête, je te laissais payer. Après tout, n’étais-je pas celle qui te fournissait ton salaire ? Enfin, mes grands-parents mais par résumé ou extrapolation, nous pouvions nous permettre une telle conclusion. Chose faite, je te tendais ta boisson et revenais sur nos pas précédents.
De retour au pied de l’attraction et engagés dans la file d’attente cette fois-ci, j’en profitais porter la paille à mes lèvres et gouter à ce petit péché que je m’accordais exceptionnellement. « Hum ! » Dès la première gorgée avalée, je ne pus cacher mon plaisir à ce gout pétillant et sucré. Du bout de ma langue, j’esquissais très discrètement un geste comme pour essuyer mes lèvres toutes aussi sucrées à présent, tandis que mes yeux glissèrent sur toi. Je te jaugeai, avec le peu de recul que nos menottes nous permettait et concluais : « Le plus petit des grands héros… Ça pourrait presque bien t’aller ! » Puisque j’allais être un hamster, tu en serais un aussi. « Alors soit ! Tu seras mon Hamtaro ! » J’eus l’intention de porter ma main libre à ta joue mais son attache à la tienne m’en empêcha. Tant pis, je bâtis des cils pour te taquiner encore un peu et ajoutais : « Et je serais ta Bijou… »
Alors, nous nous enfilions dans la file pour commander deux boissons. Le nombre de clients avant nous s’avérait raisonnable. Vraisemblablement juste assez pour nous laisser le temps de nous embêter. Et pour une fois, je serais bien la première à saisir la perche que tu venais de me tendre pour me moquer. « Non, nous ne sommes pas d’accord. » répondis-je d’une voix presque innocente et étonnée. Puis, cette lueur déconcertée, je l’effaçais pour manifester plus de fermeté : « Aurais-tu peur d’échouer ? » sous-entendais-je avec un petit sourire en coin pour te provoquer. « Chaque fois, je dois t’imaginer plus joueur que tu ne l’aies vraiment. » Je soupirais, prétendument déçue. D’infimes mouvements de tête, j’évinçais cette déception et redressais mon regard brillant de malice en direction du tien. « Comment dit-on déjà ? Que de la gueule ? » Discrètement, je te tirais presque le bout de ma langue d’entre mes lèvres, puis je te tournais les talons pour me remettre dans le sens de la file, soupirant à nouveau : « Et m’en priver en plus, le seul jour de l’année où je peux me permettre de consommer du soda… » Cruel égoïste que tu étais, culpabiliserais-tu au moins de me refuser ce péché de gourmandise ? Tombais-tu dans le panneau quant à ma mascarade ? Avais-je réussi à faire un germer un léger doute dans ton esprit ? Quoi qu’il en fut, alors que nos les visiteurs nous précédant s’en allèrent, je me précipitais un pas en avant afin de te prendre de vitesse. « Deux coca-cola cherry zero ! » Je passais ainsi la commande sans te demander ton avis et me retournais ensuite vers toi le temps de la préparation des boissons. « Oups, je crois qu’il y a des bulles dedans. » L’air innocemment gaffeuse et désolée, je pinçais les lèvres tandis qu’un sourire se nichait en leur coin. Commande fin prête, je te laissais payer. Après tout, n’étais-je pas celle qui te fournissait ton salaire ? Enfin, mes grands-parents mais par résumé ou extrapolation, nous pouvions nous permettre une telle conclusion. Chose faite, je te tendais ta boisson et revenais sur nos pas précédents.
De retour au pied de l’attraction et engagés dans la file d’attente cette fois-ci, j’en profitais porter la paille à mes lèvres et gouter à ce petit péché que je m’accordais exceptionnellement. « Hum ! » Dès la première gorgée avalée, je ne pus cacher mon plaisir à ce gout pétillant et sucré. Du bout de ma langue, j’esquissais très discrètement un geste comme pour essuyer mes lèvres toutes aussi sucrées à présent, tandis que mes yeux glissèrent sur toi. Je te jaugeai, avec le peu de recul que nos menottes nous permettait et concluais : « Le plus petit des grands héros… Ça pourrait presque bien t’aller ! » Puisque j’allais être un hamster, tu en serais un aussi. « Alors soit ! Tu seras mon Hamtaro ! » J’eus l’intention de porter ma main libre à ta joue mais son attache à la tienne m’en empêcha. Tant pis, je bâtis des cils pour te taquiner encore un peu et ajoutais : « Et je serais ta Bijou… »
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 18:05 Citer EditerSupprimer
Quelle blague me faisais-tu là ? Mes yeux s’arrondissaient à tes mots, étonné, presque choqué. Nous n’étions pas d’accord ? Me faisais-tu comprendre que tu désirais une boisson gazeuse pour ce défi ? Plus important encore : y avais-tu pensé de toi-même, ou venais-je de t’offrir cette idée sur un plateau d’argent pour me torturer, moi, ton souffre-douleur ? « Non... c’est… » Quelques mots soufflés qui montraient à la fois mon embarras et mon envie de me sauver de là. Je ne voulais pas vivre ça, vraiment… Etais-je à deux doigts de te supplier ? Très certainement, tu ne pouvais pas me dire de garder une boisson comme ça dans la bouche pendant plusieurs minutes quand son ingestion était fondamentalement difficile pour moi ! Sur mes traits s’installait un air résigné en comprenant que tu n’en ferais qu’à ta tête quoi que je puisse en dire. « J’ai horreur des boissons gazeuses… » Mélodie du désespoir dont le destinataire était encore incertain, contre le comptoir, je posais mon coude droit pour poser deux doigts à ma tempe. Un soupir m’échappait, discret mais si profond que mes poumons semblaient s’être vidés de tout l’oxygène qui les habitaient. Espérais-tu me faire croire que tu n’avais pas fait exprès de choisir du coca ? Sur le moment, j’avais envie de me venger. Pas une vengeance méchante mais un simple pincement de joue qui te ferait comprendre que je ne gobais pas ton embarras mensonger. Néanmoins, je n’eus véritablement le temps de le faire que me voilà à devoir payer notre commande, enfin ta commande pour nous deux. J’avais fait beaucoup d’expérience stupide, dangereuse, pourtant, c’était bien celle-ci qui me faisait le plus peur…
La boisson en main, je n’arrivais à me résoudre à goûter. Au moins, il fallait avouer une chose : le violet sur la bouteille était beau. Mais c’était bien le seul point positif et il était loin de me donner envie de tenter l’expérience. Narines retroussées légèrement en fixant la bouteille d’un air inquiet, nos pas nous guidaient lentement mais surement vers ce qui allait s’annoncer comme l’enfer sur Terre pour moi. J’arquais un sourcil à tes propos, me demandant ce que tu pouvais bien avoir en tête pour sortir une telle chose. « Hamtaro ? » Un nom qui m’évoquait quelques souvenirs lointain, très lointain. A tout hasard : regarderais-tu aussi des dessins animés étant petite ? Cette révélation m’étonnait autant qu’elle m’attendrissait en imaginant cette petite enfant que tu devais être, installée avec ton serpent sur le canapé devant Hamtaro. Très certainement que vous ne deviez le regarder pour les mêmes raisons mais… C’était adorable à imaginer malgré tout. « Alors tu regardais aussi des dessins animés étant petite… » Pouvais-tu vraiment juger mon choix de programmes télé de Noël après ça ? Instinctivement, je portais la paille à mes lèvres pour boire une gorgée de la boisson et… rapidement grimacer.
Presque arrivés à l’attraction, je me mettais à sautiller sur place en chouinant. Encore une fois, comme un enfant même si mes propos suivant étaient biens différents de ce qu’un enfant dirait. « Je déteste vraiment le coca… » Mes dents allaient fondre, ma bouche allait s’enflammer... Et je n’osais même pas imaginer la réaction qui allait se produire avec les remous du manège ! Est-ce que ça n’allait pas faire des bulles ? De la mousse ? Une émission de gaz avec l’agitation ? Comme en cours de chimie au lycée. Si j’en suivais cette logique, ne devais-je pas ouvrir la bouche pour faire partir le gaz ? … Mais dans un manège en mouvement c’était impossible. « Mais Bijou te va bien. Devrais-je t’appeler « ma bijou chérie » pour le reste de la journée ? » Malgré la torture qui allait suivre, je tentais de garder ma bonne humeur et mon optimisme. Peut-être que ça ne serait pas si terrible après tout ! Très certainement… Je l’espérais en tout cas !
Le tour de manège s’arrêtait enfin, laissant partir les participants précédents. Enfin, la torture allait commencer pour moi… Un soupir et il était temps de remplir mes joues de ce liquide pétillant et sucré. La première sensation fut horrible, les bulles éclatant contre ma langue mais alors la suite était inexprimable. Pas encore dans le manège que me voilà à vouloir cracher le contenu de ma cavité buccale. Comment tenir avec ça en bouche tout ce temps ?! Rapidement, mon nez venait à se boucher petit à petit, ma tête se penchait en arrière et, main devant la bouche, j’entrouvrais cette dernière pour essayer de supporter la sensation. Dernier espoir : gonfler les joues. C’est ce que je faisais finalement pour placer le liquide différemment dans ma bouche. Déjà, cela devenait plus supportable bien que toujours difficile pour le non expérimenté des boissons pétillantes que j’étais.
------
Réussite : Haneul sort du manège sans avoir avaler la boisson mais il a les larmes aux yeux, le nez bouché et l’envie, très forte, de tout recracher rapidement. Il sait pourtant qu’il ne peut le faire, pas devant Hera, alors il prend sur lui avec beaucoup de difficultés et ne rêve que d’une chose : de l’eau !
Echec : Haneul n’a pas résister le temps de l’attraction avec le gaz émit par la boisson et les remous, mais loin d’être le genre à cracher : il préfèrera avaler le soda. Encore une fois, son rêve à la sortie sera une bonne bouteille d’eau !
La boisson en main, je n’arrivais à me résoudre à goûter. Au moins, il fallait avouer une chose : le violet sur la bouteille était beau. Mais c’était bien le seul point positif et il était loin de me donner envie de tenter l’expérience. Narines retroussées légèrement en fixant la bouteille d’un air inquiet, nos pas nous guidaient lentement mais surement vers ce qui allait s’annoncer comme l’enfer sur Terre pour moi. J’arquais un sourcil à tes propos, me demandant ce que tu pouvais bien avoir en tête pour sortir une telle chose. « Hamtaro ? » Un nom qui m’évoquait quelques souvenirs lointain, très lointain. A tout hasard : regarderais-tu aussi des dessins animés étant petite ? Cette révélation m’étonnait autant qu’elle m’attendrissait en imaginant cette petite enfant que tu devais être, installée avec ton serpent sur le canapé devant Hamtaro. Très certainement que vous ne deviez le regarder pour les mêmes raisons mais… C’était adorable à imaginer malgré tout. « Alors tu regardais aussi des dessins animés étant petite… » Pouvais-tu vraiment juger mon choix de programmes télé de Noël après ça ? Instinctivement, je portais la paille à mes lèvres pour boire une gorgée de la boisson et… rapidement grimacer.
Presque arrivés à l’attraction, je me mettais à sautiller sur place en chouinant. Encore une fois, comme un enfant même si mes propos suivant étaient biens différents de ce qu’un enfant dirait. « Je déteste vraiment le coca… » Mes dents allaient fondre, ma bouche allait s’enflammer... Et je n’osais même pas imaginer la réaction qui allait se produire avec les remous du manège ! Est-ce que ça n’allait pas faire des bulles ? De la mousse ? Une émission de gaz avec l’agitation ? Comme en cours de chimie au lycée. Si j’en suivais cette logique, ne devais-je pas ouvrir la bouche pour faire partir le gaz ? … Mais dans un manège en mouvement c’était impossible. « Mais Bijou te va bien. Devrais-je t’appeler « ma bijou chérie » pour le reste de la journée ? » Malgré la torture qui allait suivre, je tentais de garder ma bonne humeur et mon optimisme. Peut-être que ça ne serait pas si terrible après tout ! Très certainement… Je l’espérais en tout cas !
Le tour de manège s’arrêtait enfin, laissant partir les participants précédents. Enfin, la torture allait commencer pour moi… Un soupir et il était temps de remplir mes joues de ce liquide pétillant et sucré. La première sensation fut horrible, les bulles éclatant contre ma langue mais alors la suite était inexprimable. Pas encore dans le manège que me voilà à vouloir cracher le contenu de ma cavité buccale. Comment tenir avec ça en bouche tout ce temps ?! Rapidement, mon nez venait à se boucher petit à petit, ma tête se penchait en arrière et, main devant la bouche, j’entrouvrais cette dernière pour essayer de supporter la sensation. Dernier espoir : gonfler les joues. C’est ce que je faisais finalement pour placer le liquide différemment dans ma bouche. Déjà, cela devenait plus supportable bien que toujours difficile pour le non expérimenté des boissons pétillantes que j’étais.
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Réussite : Haneul sort du manège sans avoir avaler la boisson mais il a les larmes aux yeux, le nez bouché et l’envie, très forte, de tout recracher rapidement. Il sait pourtant qu’il ne peut le faire, pas devant Hera, alors il prend sur lui avec beaucoup de difficultés et ne rêve que d’une chose : de l’eau !
Echec : Haneul n’a pas résister le temps de l’attraction avec le gaz émit par la boisson et les remous, mais loin d’être le genre à cracher : il préfèrera avaler le soda. Encore une fois, son rêve à la sortie sera une bonne bouteille d’eau !
La Doyenne
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 18:05 Citer EditerSupprimer
Le membre 'Woo Haneul' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Ton pire cauchemar mais en pire.
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 19:19 Citer EditerSupprimer
Cette remarque, j’aurais presque pu la parier. À peine les mots étaient-ils sortis de ma bouche que je me doutais que tu en serais pour partie étonnée. Mais était-ce vraiment si improbable que j’ai pu aussi regardé des dessins animés étant petite ? Je ne pensais pas non et ne manquais pas de le rétorquer. « Yah, j’ai été une enfant aussi ! » Ne me voyais-tu donc toujours que comme la fille trop stricte, rigide, coincée et ennuyante ? Si j’aimais t’étonner, ta perception de ma personne n’en restant pas moins vexante. M’accorderais-tu un autre regard un jour où resterais-tu inexorablement fixé sur ta toute première idée ? Pour la peine, je ne ressentais même pas l’envie de m’excuser alors que tu exprimais ton dégoût pour la boisson que j’avais choisi. Bien fait ! Je croisais les bras… je voulus croiser les bras devant en dos en te tournant à demi le dos, mais encore une fois ma main se trouva entraver par le poids de la tienne. Et non, présentement, je ne souhaitais joindre ton bras aux miens alors je renonçais. Détournant la tête néanmoins, je marmonnais : « Tu n’avais qu’à le dire aussi ! » Qu’importait que tu l’entendes ou non au milieu du brouhaha de la file de visiteurs et de l’attractions au sein de laquelle quelques cris stridents provenaient.
Mon regard détourné, comme si j’étais désireuse de t’ignorer malgré notre lien qui nous rattachait – et attirait les curiosités –, mes yeux glissèrent de nouveau dans ta direction tandis que tu proposais de m’attribuer encore un nouveau surnom. Aimais-tu tant donner des petits noms aux gens ou étais-je un cas particulier ? Quoi qu’il en fut, je me rapprochais derechef. « Je ne me souvenais d’un hamtaro aussi rapide en besogne, » insinuais-je que tu te permettais rudement familier de ton montrer, plus que familier, comme un parfait Valentin attaché à sa petite amie. Si je ne l’appréciais ? Je ne savais, et n’y pensais en vérité. Je tenais juste à te rappeler de rester méfiant et ne surtout pas devenir trop confiant. Quoique n’était-ce pas cela qui te rendait en partie amusant ? Tout autant qu’agaçant… Que de questions tu provoquais encore dans mon esprit. Des interrogations vite arrêtées par l’attraction qui s’immobilisait. À notre tour d’y grimper !
Coca en bouche, nous prenions siège l’un à côté de l’autre, à commencer par batailler entre nos menottes et les barres de sécurité de l’attraction. Une première épreuve pour ne pas laisser passer une goutte du liquide au-delà de la barrière de nos lèvres. Une simple introduction à ce qui nous attendait par la suite. Tandis que les bras et sièges de l’attraction tournaient et se retournaient, que nombreux passagers criaient, nous devions garder la bouche bien close et résister à la pénible sensation des bulles. Alors se prononcer sur notre appréciation du manège serait sans doute difficile, mais ce qui était certain ce fut la délivrance à l’arrêt.
Nous en descendîmes donc et tandis que tes yeux et tout ton visage témoignaient de ton supplice. Malgré quelques vaisseaux pigmentant mes yeux également, je me supposais bien plus fraiche que tu ne l’étais. Et pour cause, dès lors que nous fûmes éloignés de quelques pas, j’entrouvris la bouche pour dévoiler que : « Oups ! C’était trop bon, je ne pouvais pas laisser gâcher mon seul soda de l’année ! » Feignant l’innocence, je déposais mes doigts joints de ma main droite, emportant cette fois la tienne au passage, devant ma bouche. Et oui, j’avais avalé. « Je suis fière de toi ! Hamtaro Oppa ! » J’aurais pu t’assener d’une tape dans le dos mais à la place, je me servis de ma main gauche pour appuyer légèrement sur ta bajoue du bout de mon index. « Tu as relevé le premier défi ! » Pour une fois, j’acceptais ma défaite et l’avais provoqué de mon propre chef. Peut-être fut-ce car encore plus plaisant de te savoir lutter seul ? « Je suis bonne joueuse aujourd’hui, je veux bien t’accorder un voeu pour te récompenser ! »
Mon regard détourné, comme si j’étais désireuse de t’ignorer malgré notre lien qui nous rattachait – et attirait les curiosités –, mes yeux glissèrent de nouveau dans ta direction tandis que tu proposais de m’attribuer encore un nouveau surnom. Aimais-tu tant donner des petits noms aux gens ou étais-je un cas particulier ? Quoi qu’il en fut, je me rapprochais derechef. « Je ne me souvenais d’un hamtaro aussi rapide en besogne, » insinuais-je que tu te permettais rudement familier de ton montrer, plus que familier, comme un parfait Valentin attaché à sa petite amie. Si je ne l’appréciais ? Je ne savais, et n’y pensais en vérité. Je tenais juste à te rappeler de rester méfiant et ne surtout pas devenir trop confiant. Quoique n’était-ce pas cela qui te rendait en partie amusant ? Tout autant qu’agaçant… Que de questions tu provoquais encore dans mon esprit. Des interrogations vite arrêtées par l’attraction qui s’immobilisait. À notre tour d’y grimper !
Coca en bouche, nous prenions siège l’un à côté de l’autre, à commencer par batailler entre nos menottes et les barres de sécurité de l’attraction. Une première épreuve pour ne pas laisser passer une goutte du liquide au-delà de la barrière de nos lèvres. Une simple introduction à ce qui nous attendait par la suite. Tandis que les bras et sièges de l’attraction tournaient et se retournaient, que nombreux passagers criaient, nous devions garder la bouche bien close et résister à la pénible sensation des bulles. Alors se prononcer sur notre appréciation du manège serait sans doute difficile, mais ce qui était certain ce fut la délivrance à l’arrêt.
Nous en descendîmes donc et tandis que tes yeux et tout ton visage témoignaient de ton supplice. Malgré quelques vaisseaux pigmentant mes yeux également, je me supposais bien plus fraiche que tu ne l’étais. Et pour cause, dès lors que nous fûmes éloignés de quelques pas, j’entrouvris la bouche pour dévoiler que : « Oups ! C’était trop bon, je ne pouvais pas laisser gâcher mon seul soda de l’année ! » Feignant l’innocence, je déposais mes doigts joints de ma main droite, emportant cette fois la tienne au passage, devant ma bouche. Et oui, j’avais avalé. « Je suis fière de toi ! Hamtaro Oppa ! » J’aurais pu t’assener d’une tape dans le dos mais à la place, je me servis de ma main gauche pour appuyer légèrement sur ta bajoue du bout de mon index. « Tu as relevé le premier défi ! » Pour une fois, j’acceptais ma défaite et l’avais provoqué de mon propre chef. Peut-être fut-ce car encore plus plaisant de te savoir lutter seul ? « Je suis bonne joueuse aujourd’hui, je veux bien t’accorder un voeu pour te récompenser ! »
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 20:21 Citer EditerSupprimer
Sans doute aurais-je pu apprécier cette attraction dans d’autres circonstances. Quelle ne fut pas la tentation d’avaler le soda qui se trouvait dans ma bouche par moment… Le pire devait certainement être lorsque le manège s’était mis à tourner dans le sens inverse brusquement, trop brusquement en tout cas pour que je ne m’y habitue dans un premier temps. Mais après une longue et douloureuse torture, enfin, la fin s’annonçait. Le soulagement. L’heure de la délivrance. Car c’était ainsi que je me sentais : à deux doigt de chanter « libéré, délivré » en plein milieu du parc. Mais avant de l’envisager, nous devions voir les résultats de ce défi et, surtout, régler ce problème de bouche pleine. Je ne savais par quel miracle je n’avais avalé mais, en voyant que tu l’avais fait, je me sentais… trahi ? Idiot ? Un mélange des deux probablement. Alors que les larmes perlaient à mes yeux, que j’avais du sucre de partout dans la bouche, que mes joues et mes gencives piquaient, tu semblais si rayonnante et si heureuse que je ne pouvais t’en vouloir d’aucune façon. N’était-ce un mal pour un bien ? Alors malgré mes yeux brillants, j’esquissais un sourire faiblement, très faiblement et très bref.
Que faisais-tu... avec cette main… qui s’approchait de ma joue ?
Suspicieux, j’eus la confirmation de tes intentions lorsque tu commençais à appuyer sur ma joue de ton index. Maintenant que j’avais survécu tu voulais me faire cracher ? D’ailleurs, devais-je cracher ou avaler ? Je ne voulais pas avaler ce mélange de coca et de salive, mais le cracher ? En sachant que tu devais me suivre partout ? Hors de question… Encore quelques secondes de torture avant de me résoudre à déglutir et, par conséquent, avaler la boisson pétillante qui ne semblait plus trop l’être. On dirait plutôt une sorte de liquide sucré bizarre surmonté d’une mousse qui me donnerait presque la nausée. Je reniflais discrètement en t’écoutant parler de vœu sans avoir été mis au courant d’une telle chose au préalable. Mon seul souhait était d’avoir de l’eau. Mais sans doute que ne devais-je utiliser cette opportunité pour quelque chose d’aussi petit… De ma main droite, je venais cueillir les quelques larmes qui s’étaient formés au coin de mes yeux sans même chercher à le cacher d’aucune façon. « Devrait-on partir du principe que le perdant de chaque pari de ce type doit un vœu à l’autre ? » Petit à petit, ne recommencions-nous pas à instaurer des règles qui nous étaient propre ? Comme cette nuit-là au bar…
Tout en sortant de l’attraction pour aller récupérer nos affaires déposées non loin, ma main prisonnière tenant la tienne, je réfléchissais à cette question de vœu avec tout mon sérieux. « Premièrement… » J’attrapais ma bouteille de coca pour te la tendre sans une once d’hésitation. « Tu auras droit à double dose de coca cette année. Heureuse ma Bijou chérie ? » Je n’avais pas l’intention d’abandonner ce surnom, pas alors que j’en avais décidé ainsi ! Quant à ma bouteille, elle était si remplie pour le peu que j’en avais bu qu’on pourrait presque la croire pleine. « Ensuite, concernant le vœu que tu me dois, je vais l’utiliser pour avoir une réponse qui m’intéresse depuis un moment. » Depuis un long moment même et à laquelle je n’avais pu avoir de réponses bien qu’il y en avait une autre tout aussi intéressante, pour ne pas dire qu’elle l’était davantage. Néanmoins pour la suivante, j’attendais une autre victoire de ma part ou une autre opportunité. Qui sait ? Un jour peut-être me livrerais-tu quelques secrets sans que je n’ai ni à te surprendre ni à devoir jouer avec toi ? « La dernière fois qu’on a joué au jeu des vérités au bar, tu m’as fait réfléchir sur la raison de ta présence ici, à la Yonsei. Depuis je suis curieux de savoir laquelle des propositions était la bonne… La première, la troisième ou la quatrième ? »
Que faisais-tu... avec cette main… qui s’approchait de ma joue ?
Suspicieux, j’eus la confirmation de tes intentions lorsque tu commençais à appuyer sur ma joue de ton index. Maintenant que j’avais survécu tu voulais me faire cracher ? D’ailleurs, devais-je cracher ou avaler ? Je ne voulais pas avaler ce mélange de coca et de salive, mais le cracher ? En sachant que tu devais me suivre partout ? Hors de question… Encore quelques secondes de torture avant de me résoudre à déglutir et, par conséquent, avaler la boisson pétillante qui ne semblait plus trop l’être. On dirait plutôt une sorte de liquide sucré bizarre surmonté d’une mousse qui me donnerait presque la nausée. Je reniflais discrètement en t’écoutant parler de vœu sans avoir été mis au courant d’une telle chose au préalable. Mon seul souhait était d’avoir de l’eau. Mais sans doute que ne devais-je utiliser cette opportunité pour quelque chose d’aussi petit… De ma main droite, je venais cueillir les quelques larmes qui s’étaient formés au coin de mes yeux sans même chercher à le cacher d’aucune façon. « Devrait-on partir du principe que le perdant de chaque pari de ce type doit un vœu à l’autre ? » Petit à petit, ne recommencions-nous pas à instaurer des règles qui nous étaient propre ? Comme cette nuit-là au bar…
Tout en sortant de l’attraction pour aller récupérer nos affaires déposées non loin, ma main prisonnière tenant la tienne, je réfléchissais à cette question de vœu avec tout mon sérieux. « Premièrement… » J’attrapais ma bouteille de coca pour te la tendre sans une once d’hésitation. « Tu auras droit à double dose de coca cette année. Heureuse ma Bijou chérie ? » Je n’avais pas l’intention d’abandonner ce surnom, pas alors que j’en avais décidé ainsi ! Quant à ma bouteille, elle était si remplie pour le peu que j’en avais bu qu’on pourrait presque la croire pleine. « Ensuite, concernant le vœu que tu me dois, je vais l’utiliser pour avoir une réponse qui m’intéresse depuis un moment. » Depuis un long moment même et à laquelle je n’avais pu avoir de réponses bien qu’il y en avait une autre tout aussi intéressante, pour ne pas dire qu’elle l’était davantage. Néanmoins pour la suivante, j’attendais une autre victoire de ma part ou une autre opportunité. Qui sait ? Un jour peut-être me livrerais-tu quelques secrets sans que je n’ai ni à te surprendre ni à devoir jouer avec toi ? « La dernière fois qu’on a joué au jeu des vérités au bar, tu m’as fait réfléchir sur la raison de ta présence ici, à la Yonsei. Depuis je suis curieux de savoir laquelle des propositions était la bonne… La première, la troisième ou la quatrième ? »
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mar 27 Fév - 23:11 Citer EditerSupprimer
Je n’étais pas peu fière de te l’avoir fait à l’envers, mais puisque nous avions décidé de placer cette journée sous le signe de la bonne humeur et de l’amusement, alors, je me prêtais bien au jeu des défis, des voeux et pourquoi pas des gages ? « Hum… Je dirais plutôt que celui qui réussit aura le droit à un voeu auprès de l’autre ! » La nuance était peut-être infime mais indéniable. Certains challenges, la plupart, n’impliquait pas forcément un gagnant et un perdant. Ils se réalisaient à deux, donc : « En cas d’échec commun, un gage chacun ou on tire au sort ? » Si nous corsions au fur et à mesure le concept d’enrichissement des péripéties de la journée ? Il semblerait. Et comme un écho dans ma mémoire, j’eus une vague impression de déjà vu. Comme le souvenir d’un rituel entre nous que nous aurions instauré inconsciemment ? Pourtant, je ne m’en souvenais distinctement. Des fragments de vie hachuré qui me donnèrent une vague migraine éphémère. Par le son de ta voix, tu m’apportas la réponse salvatrice. Le jeu de la vérité ? Le bar ? La raison de ma présence à la Yonsei ? Pourquoi t’en avais-je parlé ? J’essayais de me remémorer le principe de ce jeu de la vérité. De me rappeler : « Les propositions… » répétais-je dans un souffle, décontenancée. Mais impossible de te répondre, car je ne savais pas. Je ne savais plus. Je prenais conscience à quel point j’avais pu oublié des pans dans le soirée. Il était vrai que j’avais déjà été surprise par mon réveil dans ton lit. Sans parler de la perte de ma bague. Quelle ironie avec le recul ! À croire que c’était le… Destin ? Le hasard avait-il tant d’humour pour que nous ayons choisi ce terme dans notre langue natale commune afin de nommer le chaton que nous avions justement recueilli cette nuit là ? Le seul élément dont je gardais la certitude d’ailleurs.
Coincée, je me sentais piégée par ton interrogation. J’étais incapable de savoir ce qui se cachait derrière la première, la troisième ou la quatrième position. J’aurais pu en sélectionner une au hasard. Mais j’eus le pressentiment qu’un tel choix ne serait judicieux. Je n’aimais pas mentir. Je ne souhaitais pas te mentir en affirmant une option dont j’ignorais la véritable signification. Alors, je me précipitais sur la première diversion qui me traversa l’esprit. Ou plutôt, sur laquelle mes yeux se posèrent. « Oh ! Je veux faire cette attraction ! » De ma main libre – enfin celle tenant encore la bouteille que tu m’avais offerte quelques instants auparavant – je désignais le Rolling X-Train. Dans ma lancée, j’entamais de me diriger vers les montages russes à looping, lorsqu’inéluctablement le bracelet de ma menotte cogna contre mon poignet. « Aish… » Allais-je finir par ne plus me faire avoir ? Pour cela la meilleure solution serait de… Mes yeux glissèrent discrètement en direction de nos mains liées. Je déglutis puis m’ébrouais de la tête. Non, je ne pouvais envisager de prendre ta main comme tu le faisais pourtant avec tellement de facilité. Ton insouciance, je ne savais si je l’enviais ou la détestais. C’était dur pour moi de supporter ton attitude, tu ne le soupçonnais pas ? Je redressais la tête néanmoins. « Bon, d’accord… Je ne peux pas te répondre comme ça car je ne me souviens pas assez précisément ce que j’ai pu dire ce soir là… » Après un soupir, je confessais les lacunes de ma mémoire à propos de cette fameuse soirée où j’avais vraiment beaucoup trop bu. « Et pourquoi tu t’en souviens encore toi ? C’était il y a deux mois et tu avais bu tout aussi ! » C’était injuste ! Aurais-tu encore triché cette fois là aussi ?
Coincée, je me sentais piégée par ton interrogation. J’étais incapable de savoir ce qui se cachait derrière la première, la troisième ou la quatrième position. J’aurais pu en sélectionner une au hasard. Mais j’eus le pressentiment qu’un tel choix ne serait judicieux. Je n’aimais pas mentir. Je ne souhaitais pas te mentir en affirmant une option dont j’ignorais la véritable signification. Alors, je me précipitais sur la première diversion qui me traversa l’esprit. Ou plutôt, sur laquelle mes yeux se posèrent. « Oh ! Je veux faire cette attraction ! » De ma main libre – enfin celle tenant encore la bouteille que tu m’avais offerte quelques instants auparavant – je désignais le Rolling X-Train. Dans ma lancée, j’entamais de me diriger vers les montages russes à looping, lorsqu’inéluctablement le bracelet de ma menotte cogna contre mon poignet. « Aish… » Allais-je finir par ne plus me faire avoir ? Pour cela la meilleure solution serait de… Mes yeux glissèrent discrètement en direction de nos mains liées. Je déglutis puis m’ébrouais de la tête. Non, je ne pouvais envisager de prendre ta main comme tu le faisais pourtant avec tellement de facilité. Ton insouciance, je ne savais si je l’enviais ou la détestais. C’était dur pour moi de supporter ton attitude, tu ne le soupçonnais pas ? Je redressais la tête néanmoins. « Bon, d’accord… Je ne peux pas te répondre comme ça car je ne me souviens pas assez précisément ce que j’ai pu dire ce soir là… » Après un soupir, je confessais les lacunes de ma mémoire à propos de cette fameuse soirée où j’avais vraiment beaucoup trop bu. « Et pourquoi tu t’en souviens encore toi ? C’était il y a deux mois et tu avais bu tout aussi ! » C’était injuste ! Aurais-tu encore triché cette fois là aussi ?
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mer 28 Fév - 4:45 Citer EditerSupprimer
Convenant d’un accord commun sur le sort qui nous incomberait en cas d’échec d’un des paris que tu avais prévu –car de toute évidence, à mes yeux, tu étais l’organisatrice de tout cela, de l’idée même de faire un événement à celui des détails les plus insignifiants–, je profitais donc de cette chance pour tenter d’avoir la réponse à cette question qui m’avait fait tourner en rond bien longtemps. Cette question à cause de laquelle j’avais du boire un shooter il y a de cela plusieurs semaines. Cette interrogation que je n’avais oubliée malgré le temps et l’alcool mais que tu semblais, étrangement, vouloir détourner. Alors cette fois, je ne bougerais pas malgré la menotte que je sentais tirer sur mon bras, je ne te suivrais et, à l’instar d’un pilier, je resterais sur place pour que tu y répondes. Sans doute comprenais-tu mon intention à te voir pester gentiment de la sorte et, surtout, à voir comme tu te tournais vers moi.
Fin sourire étirant mes lèvres, anticipation brillant dans mes iris, j’attendais l’explication de ton comportement avec impatience bien qu’une fois fait… Celle-ci me décevait quelque peu, bien que prévisible. Trop prévisible même à voir comme tu avais bu ce soir-là. Certainement que tu ne t’en rappelais plus… Mais dès la première question ? N’était-ce pas un peu radical comme blackout ? « J’ai une bonne mémoire pour ce qui m’intéresse en plus de ne pas avoir bu autant qu’à mon habitude. » Finalement, je rompais la distance nous séparant d’un pas en avant, t’indiquant que j’étais fin prêt à te suivre vers cette attraction que tu désirais faire. Néanmoins, avant cela, de ton poignet je me saisissais bien qu’étreint par la menotte déjà et je glissais mes lèvres au creux de ton oreille, à croire que j’eus quelques secrets à te confier. « En plus j’avais une certaine jeune femme à surveiller. Comment je pourrais boire à tout oublier et me clamer de confiance ensuite ? » Je n’étais irresponsable et insouciant à ce point, j’avais pris mon rôle au sérieux malgré… le dérapage qui avait failli se produire. Mais si tu ne te souvenais de ce que tu avais dit, tu ne devais t’en souvenir aussi. La mémoire ne t’était certainement pas revenue après tout ce temps pas vrai ?
Un brin inquiet à cette idée, ce fut dans tes iris que je me perdais quelques secondes ; essayant vainement de sonder ton âme, de savoir à quoi tu pouvais bien penser, ce que tu pouvais avoir gardé comme souvenir de cette soirée précisément… Avais-tu vraiment tout oublié ? Notre jeu de vérité, les interactions que nous avions eus, la danse, notre retour avec Mìngyùn… Avais-tu vraiment tout oublié froidement ? Ce n’était pas comme si je pouvais t’en vouloir, n’avais-tu pas voulu tout oublier et t’amuser le temps d’une nuit ? Pour sûr tu avais réussi… Sur ton nez, je posais mon index droit, le poussant doucement alors que sur mes traits, ce fut une expression hautaine qui prenait place. « Ne pense même pas à sortir boire avec n’importe qui et encore moins seule, compris ? L’alcool ne te réussit vraiment pas… Tu le sais au moins ? » L’idée que tu puisses sortir boire avec un autre m’inquiétait plus que raison, l’idée que tu sois triste et seule était encore pire. Que pouvait-il bien arriver si tu pensais qu’un seul verre ne te ferait rien même si tu étais seule, un verre, ça semblait si inoffensif, mais sur toi… Sur toi ça serait un carnage malgré tout…
Fin sourire étirant mes lèvres, anticipation brillant dans mes iris, j’attendais l’explication de ton comportement avec impatience bien qu’une fois fait… Celle-ci me décevait quelque peu, bien que prévisible. Trop prévisible même à voir comme tu avais bu ce soir-là. Certainement que tu ne t’en rappelais plus… Mais dès la première question ? N’était-ce pas un peu radical comme blackout ? « J’ai une bonne mémoire pour ce qui m’intéresse en plus de ne pas avoir bu autant qu’à mon habitude. » Finalement, je rompais la distance nous séparant d’un pas en avant, t’indiquant que j’étais fin prêt à te suivre vers cette attraction que tu désirais faire. Néanmoins, avant cela, de ton poignet je me saisissais bien qu’étreint par la menotte déjà et je glissais mes lèvres au creux de ton oreille, à croire que j’eus quelques secrets à te confier. « En plus j’avais une certaine jeune femme à surveiller. Comment je pourrais boire à tout oublier et me clamer de confiance ensuite ? » Je n’étais irresponsable et insouciant à ce point, j’avais pris mon rôle au sérieux malgré… le dérapage qui avait failli se produire. Mais si tu ne te souvenais de ce que tu avais dit, tu ne devais t’en souvenir aussi. La mémoire ne t’était certainement pas revenue après tout ce temps pas vrai ?
Un brin inquiet à cette idée, ce fut dans tes iris que je me perdais quelques secondes ; essayant vainement de sonder ton âme, de savoir à quoi tu pouvais bien penser, ce que tu pouvais avoir gardé comme souvenir de cette soirée précisément… Avais-tu vraiment tout oublié ? Notre jeu de vérité, les interactions que nous avions eus, la danse, notre retour avec Mìngyùn… Avais-tu vraiment tout oublié froidement ? Ce n’était pas comme si je pouvais t’en vouloir, n’avais-tu pas voulu tout oublier et t’amuser le temps d’une nuit ? Pour sûr tu avais réussi… Sur ton nez, je posais mon index droit, le poussant doucement alors que sur mes traits, ce fut une expression hautaine qui prenait place. « Ne pense même pas à sortir boire avec n’importe qui et encore moins seule, compris ? L’alcool ne te réussit vraiment pas… Tu le sais au moins ? » L’idée que tu puisses sortir boire avec un autre m’inquiétait plus que raison, l’idée que tu sois triste et seule était encore pire. Que pouvait-il bien arriver si tu pensais qu’un seul verre ne te ferait rien même si tu étais seule, un verre, ça semblait si inoffensif, mais sur toi… Sur toi ça serait un carnage malgré tout…
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Re: [EVENT GUMI] #HARA : COTTON CANDY ♥ | Mer 28 Fév - 9:57 Citer EditerSupprimer
Un léger rictus se dessina en une moue sur mes traits. Pourquoi une telle injustice ? Et buvais-tu donc tant que cela d’ordinaire ? Décidément, je n’en oubliais que trop souvent aussi ta véritable personnalité de débauché. Intérieurement, j’en soupirais. Mais d’extérieur, tu ne m’en laissas par le temps. Au contact de tes doigts, à l’approche de ton visage, mon souffle se coupa. Pourquoi me sentis-je ainsi tenue en haleine ? Pourquoi eus-je à nouveau une impression de déjà tandis que les battements de mon coeur s’emballèrent. Que t’apprêtais-tu à faire ? Juste te pencher à mon oreille. Mais mon coeur n’eus guère le temps d’être soulagé que la sensation de ton souffle sur ma peau me déroba un frisson. Mes yeux grands ouverts rencontrèrent les tiens à leur recul. Ils furetèrent, s’interrogèrent quant à la raison qui poussaient ces derniers à les fixer de la sorte. Qu’avais-je encore oublier cette fois-ci ? Qu’avais-je encore fait d’absurde ? Après t’avoir embrasser sur la joue Halloween, je ne t’avais pas… Piquant un fard, je montais ma main au poing fermé sur la bouteille devant mes lèvres, tandis que de ton index tu manquas de me faire loucher à le porter ainsi sur le bout de mon nez. « Yah ! Je suis au courant, merci ! » Je chassais ta main à l’aide de la mienne. « Combien de fois devrais-je te répéter que je ne bois presque jamais ? » Franchement, seulement deux personnes avaient déjà dû me voir plus d’une voix en état d’ébriété, et malheureusement, il avait fallu que tu sois l’un d’eux. « Et je ne compte pas boire seule ! T’ai-je l’air si pathétique et désespérée ? » J’allais très bien, merci ! Ou pas, mais en tout cas, j’avais trop dignité pour me morfondre et me laisser sombrer. Je ne regrettais pas et ne regretterais, jamais, ma décision ! « Quant à sortir avec n’importe qui… » D’un pas, je me reculais légèrement sans ôter mon poignet de l’entrave de tes doigts. Du regard, je te jaugeais. « Dois-je vraiment y renoncer ? » Oui, je sous-entendais bien que tu représentais un spécimen de n’importe qui. Tout autant que je te demandais si tu souhaitais véritablement que plus nous sortions boire un verre – ou plus – à l’avenir. Pour ma part, sincèrement, je ne dirais pas non à réitérer l’expérience. Si c’était toi, je pouvais avoir confiance. À mon tour, je t’imitais et de ma main non entraver, je déposais de bout de mon index sur ton nez. « Et puisque je te dois un voeu, je vais répondre à ta question. Même si je ne me souviens plus des propositions, je connais la bonne réponse : j’ai été envoyé à la Yonsei par mon père contre mon gré pour que je fasse ma propre expérience, forcée, de la vie. Satisfait ? » Et si tu ne l’étais, tu devrais t’en contenter. Je ne voyais l’utilité de rentrer dans les détails. Ma vie ne te concernait pas encore à ce point là.
Je rangeais la seconde bouteille de coca dans mon sac, puis, geste te surprenant certainement, je libérais mon poignet, non pas pour échapper à tes doigts mais pour les entrelacer des miens. Je te prenais par la main, avec la tendresse et la proximité digne d’un vrai couple. Et je te souriais. « Je crois que c’est le bon, je me sens bien échauffée pour une bonne crise de jalousie ! » Les montagnes russes comme celles-ci faisaient toujours partie des attractions ayant les files d’attentes les plus longues, bien qu’encore raisonnable, idéalement située, nous aurons assurément publique pour admirer la performance. Je t’entrainais alors ainsi à nous engager dans la queue de cette étape suivante. Lequel de nous deux lancerait en premier les hostilités ?
Je rangeais la seconde bouteille de coca dans mon sac, puis, geste te surprenant certainement, je libérais mon poignet, non pas pour échapper à tes doigts mais pour les entrelacer des miens. Je te prenais par la main, avec la tendresse et la proximité digne d’un vrai couple. Et je te souriais. « Je crois que c’est le bon, je me sens bien échauffée pour une bonne crise de jalousie ! » Les montagnes russes comme celles-ci faisaient toujours partie des attractions ayant les files d’attentes les plus longues, bien qu’encore raisonnable, idéalement située, nous aurons assurément publique pour admirer la performance. Je t’entrainais alors ainsi à nous engager dans la queue de cette étape suivante. Lequel de nous deux lancerait en premier les hostilités ?
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