14 février 2018.
Tenue •
Seo Eon et Ji Eun étaient toujours en train de s’amuser avec l’autre quand ils se voyaient et c’était précisément ce que Ji Eun aimait quand elle était avec lui. Elle n’avait pas besoin de se demander comment agir pour lui plaire, il suffisait juste de dire la première chose qui lui passait par la tête et il avait toujours assez de répartie pour surenchérir. Ces dernières années, elle avait du mal à être elle-même avec les gens mais avec lui, ça avait été naturel dès le début. Elle rigola en entendant Seo Eon se plaindre du travail.  « Pff… tous les jours sont synonymes de glandage pour toi, non ? » insista t-elle en le fusillant du regard. Elle haussait les épaules à sa réplique, il n’avait pas vraiment tort et elle n’était pas non plus le genre de fille à suivre les modes, mais venant de la bouche de Seo Eon, ça sonnait un peu faux. Elle le fixa quelques secondes. « Et moi je ne savais pas que tu n’aimais pas ça… je suis certaine que parmi toutes les filles que tu côtoies, beaucoup s’habillent bien plus découvertes que moi malgré le temps, juste pour te plaire… tu leur fais la morale à chaque fois ? » Quelque part, ça devait être amusant à voir mais les filles ne devaient pas beaucoup aimer. La majorité d’entre elles mettaient sans doute énormément de temps à choisir leur tenue pour plaire à Seo Eon… alors si il leur reprochait d’être des moutons, il ne les reverrait sans doute plus. Elle, ça ne la dérangeait pas vraiment, parce qu’elle savait que c’était exceptionnel qu’elle s’habille comme ça. Elle rigola en entendant la voix trop grave de Seo Eon.  « Ça, ça veut dire que tu ne laisserais pas ta fille traîner avec un gars comme toi ? » Elle secoua la tête.  « Autant tenir la main, c’est une action qu’un père et une fille peuvent faire, autant te tenir par le bras, c’est purement réservé à son petit copain. Mais bon, puisque tu m’as donné tes gants, si tu me le demandes, je le ferai. » affirma t-elle, le même sourire en coin sur les lèvres que lui. Il n’allait probablement lui demander une telle chose, mais si il le faisait, elle se serait faite prendre à son propre jeu.

 14 février 2018.
Tenue -
Si seulement le glandage était ce qui caractérisait ses journées, il en serait tout simplement heureux. Même s’il n’était certainement pas l’étudiant le plus assidu des cours, que ses présences en cours se résumaient surtout à une chaise vide ou strapontin jamais déplié, il avait l’impression que le temps lui manquait parce qu’il jonglait entre trop de chose, ou parce qu’il errait sans savoir ce qu’il voulait vraiment. « Aïe ! C’est ainsi que tu me vois ? », il fit semblant de souffrir de cette remarque en mimant une subite douleur à la poitrine. Il n’en était pas offusqué, loin de là, cette image qu’on pouvait avoir de lui, au final, n’était pas vraiment en décalage avec la réalité. Il perdait son temps, souvent à ne faire que des choses futiles. « Oh, dois-je en déduire que tu t’es faite jolie pour moi, et non parce que tu avais simplement envie de défier le froid de février ? », un sourire malicieux s’esquisse et laisse voir ses dents. Il n’avait pas l’impression que les filles qu’il côtoyait s’habillait de la sorte pour lui. S’il pouvait le dire, sans se faire jeter des pierres, c’était presque comme s’il les avait déjà trouvé comme ça : victime de la mode, ou en des termes plus agréables, aussi portée sur leur apparence. « Absolument ! Toi-même tu le sais. » Plus il l’écoute et plus il a envie de rire, il s’en retient. « T’es bizarre toi, ce n’est pas plutôt le contraire ?  » Il lui fait une pichenette avant de remettre sa main au fond de sa poche. Il ne savait pas si c’était sa façon à elle de lui demander de lui tenir la main, avec ce mensonge aussi évident, mais il préféra faire comme si de rien n’était.« Fais-toi emporter par la foule alors, j’irais te chercher au coin des enfants perdus héhé ».  

 14 février 2018.
Tenue •
Elle ne s’attendit pas à voir Seo Eon se pincer le coeur avec une mine offensée, alors face à ce cinéma, elle explosa de rire. Il avait toujours des réactions inattendues et exagérées et c’était ce qu’elle aimait chez lui, aussi. Quand elle se remit de ça, elle prit  une mine inquiète, comme si le pire des drames était arrivé. « Aigo aigo, oppa tu as mal quelque part ? Tu veux un bisou magique ? » demanda t-elle, d’extérieur très sérieuse et inquiète, pour rentrer dans le jeu du garçon. Elle savait très bien qu’il ne faisait que mimer cette douleur mais c’était marrant. Elle fut cependant bien plus perplexe face à la question de Seo Eon. Ignorait-il vraiment ça ou pensait-il qu’elle s’habillait en général de cette façon pour n’importe quel garçon ? Quitte à sortir le jour de la saint-valentin et agir comme un couple, elle avait fait les choses à fond. « Laisse-moi te dire que je ne suis pas du style à défier ce qui est ingagnable. Mais bon ne t’en fais pas, pour être certaine de te faire plaisir, la prochaine fois je viendrai en polaire et avec un bonnet, même s’il fait quarante degrés. » affirma t-elle en rigolant. En effet, elle savait qu’il se pensait indigne des relations sérieuses et des gentilles filles. Elle savait qu’il n’aimait pas s’engager et qu’il en avait peur, elle l’avait vu de suite et il le sous-entendait souvent. Elle le fixa de manière perplexe. Le contraire ? En tant que petite fille, elle avait plus souvent tenu la main de son père que tenu son bras… « Hey » râla t-elle, en faisant une moue. « Si je me perds vraiment dans la foule, comment tu vas faire ? Tu seras si paniqué que tu vas devenir fou ! » affirma t-elle, en plaisantant même si elle ne le montrait pas.

 14 février 2018.
Tenue -
Un bisou magique, cela faisait longtemps qu’il n’avait pas entendu ses deux mots réunis et il ne s’attendait pas à les entendre de la bouche de Ji Eun. Il pouffa de rire, ce décalage entre ses mots et cet expression faussement sérieuse, il l’a trouvé à cet instant plutôt provocante et différente des autres jours. « Tu me donnes le poison et maintenant le remède ? T’es marrante toi alors » répondit-il en haussant les épaules avec nonchalance. Si ce n’était pas elle mais une autre, il aurait peut-être joué sur ces mots pour en profiter, mais avec elle, c’était différent. Il aimait bien les choses comme elles étaient, c’était beaucoup plus marrant maintenant. « Oppa ? Ce n’est plus Appa ? » demanda-t-il, un sourire en coin. Il était repassé au oppa du coin, et non plus le appa, l’ajusshi qui emmenait sa fille sortir. Il s’en fichait éperdument du sobriquet qu’elle pouvait lui donner, mais il ne pouvait pas s’empêcher de le relever. « Je ne te savais pas du genre aussi extrême ! Je note qu’on évitera de se voir durant cette période, avec une tenue du genre, j’aurais trop chaud pour toi et je ne voudrais pas être responsable si jamais tu faisais un malaise. » Il marqua une courte pause, avant de finalement ajouter, pour réajuster le tir, « Babo, j’te dis simplement de t’habiller selon les saisons et non la mode. Après, libre à toi de venir avec un polaire, si c’est ton sens pointu de la mode qui te le commande », il ironisait, il la provoquait juste un petit peu mais jamais il n’irait dire que son sens de la mode était douteux. Elle était jolie, comme elle était venue tantôt, mais il faisait juste un peu trop froid pour qu’elle reste ainsi toute la journée. « C’est toi qui a refusé mon bras, ne va pas te plaindre si jamais tu te perds et puis, je te l’ai dit, je te retrouverais au coin des enfants perdus. », il lui fit à nouveau une pichenette, une façon qu'elle imprime le propos, ou alors, de lui dire, tu ne m'écoutes vraiment pas, Yoo Ji Eun.
 

 14 février 2018.
Tenue •
Ji Eun se mit à sourire en le voyant exploser de rire. C’était le but de son intervention, qu’il sourit au lieu de continuer à mimer une grosse blessure. Elle n’avait, en aucun cas, prévu de lui faire un bisou magique où que ce soit. Il avait passé l’âge d’y croire et elle n’avait pas l’âge d’en faire, puisqu’elle n’était pas encore une mère. Elle trouvait, d’ailleurs, que le bisou magique était une invention particulièrement stupide et elle était stupéfaite que cela fonctionne sur les enfants. Cela dit, leur innocence était mignonne, elle ne s’en moquait pas trop. Imitant Seo Eon, elle haussa les épaules d’un air nonchalant lorsqu’il releva qu’elle avait cessé de l’appeler appa. « En fait, si j’y réfléchis une troisième fois, un père ne serait jamais aussi immature… » compléta t-elle, un sourire sur les lèvres pour enlever toute possibilité d’agression. Ce n’était pas méchant comme remarque, après tout. « C’est surtout que tu voudras pas sentir l’odeur de transpiration qui émanera de moi à ce moment-là, n’est-ce pas ? » corrigea t-elle avec un regard accusateur. « Bien sûr que je m’habille en fonction des saisons », dit-elle cette fois-ci plus sérieusement. « Normalement, je ne porte que les habits confortables en fonction du temps et de mon état d’esprit. Je ne suis pas du tout branchée mode, cette fois-ci j’ai fait un effort en pensant que ce serait mieux pour toi. Visiblement non. » rajouta t-elle, sur le ton de l’humour cette fois-ci. Elle le fixa de longues secondes. Être appelée au micro en tant qu’enfant perdu ne lui plaisait pas du tout. « Si tu viens me chercher aux enfants perdus, ils vont tous penser que tu es un père trop jeune et tu seras mal regardé par tout le monde. Tu es sûr de vouloir prendre le risque ? » Elle jugea qu’inverser la situation était mieux. Si c’était lui qui se mettait à ne pas aimer l’idée… elle pouvait tourner les choses comme ça l’arrangeait.

 14 février 2018.
Tenue -
Peu importe le sobriquet dont elle voulait l’affubler, Seo Eon s’en moquait un peu, car le plus drôle était de la voir se mêler les pinceaux et tenter de se rattraper. Elle avait du répondant et ne se laissait pas faire, elle était bavarde et cet aspect de sa personnalité le surprenait toujours. « Pourquoi ? Elle est si horrible que ça l’odeur de ta transpiration ? Merci de me prévenir alors, je note que je dois te ramener un déodorant… même si je ne suis pas certain que ça y fasse quelque chose » répondit-il en se pinçant le nez et s’écartant de la demoiselle, avant de rire sans qu’un son ne traverse le seuil de ses lèvres.  Il racontait de la merde, il le savait et elle aussi, mais il ne pouvait pas s’en empêcher, après tout, il ne faisait qu’aller dans le sens de ses propos. Rien de plus, ni de moins. « Oh, tu t’es habillée en pensant à moi ? Quel honneur ! Je ne savais pas que j’occupais ton esprit même dans ses moments-là », sa voix se fit aguicheuse, mais les haussements de sourcil répétitif qu’il avait le tournait en ridicule et c’était parfaitement volontaire. Il ne voulait pas qu’elle le prenne trop au sérieux quand il disait ce genre d’ânerie, surtout pas elle. « Depuis quand je me préoccupe du regard des autres ? Qu’ils pensent ce qu’ils veulent, c’pas ma faute si ma fille, aussi grande soit-elle, est aussi stupide pour réussir à perdre son chemin. »
 

 14 février 2018.
Tenue •
Il déformait toujours ce qu’elle disait pour se moquer d’elle ! « Je n’ai pas dit que je puais quand je transpirais ! » affirma t-elle, faussement outrée. Au final, elle l’avait sous-entendu et elle le savait très bien. Elle avait aussi parfaitement conscience qu’il plaisantait. « Bref. » Il valait mieux ne pas s’attarder là-dessus, Ji Eun savait très bien que les sujets débordaient vite avec Seo Eon. Elle eut alors un grand sourire et dit « Si tu veux m’offrir un déodorant pour la White Day, je ne le refuserai pas. Cela dit un parfum serait un peu plus charmant… mais bon, est-ce que tu es charmant au moins ? Autant qu’un gosse de sept ans » . Elle se faisait les questions et les réponses, retournant la situation de son côté, se doutant qu’il ferait de même et qu’au final ce sujet pouvait encore durer des heures à ce rythme. Elle cligna des yeux plusieurs fois d’affilé en le fixant quand il prit son ton aguicheur pour essayer de la taquiner. « Oh mais mon cher Seo Eon oppa, je pense à toi à tout moment de la journée, comment peux-tu douter une seule seconde de mon amour ? » S’il voulait jouer à ça, elle allait y jouer – et c’était avec un visage très sérieux qu’elle avait dit ça, même si elle plaisantait. En revanche, elle croisa ses bras sur sa poitrine quand il essaya de la faire passer pour une enfant imbécile. Il n’y avait que lui pour faire, quand tout le monde la pensait trop mature pour tout – et ça faisait du bien, de devenir une enfant en sa présence, de plaisanter sur n’importe quoi sans se soucier de rien. Même les plus matures avaient besoin de ça. « Excuse-moi, ce n’est pas ta fille qui est stupide pour perdre son chemin, c’est le père qui est indigne pour ne pas faire attention à elle ! » répliqua t-elle, scandalisée.

 14 février 2018.
Tenue -
Avec Seo Eon, les conversations absurdes, sans tête ni queue, pouvaient durer très longtemps. Non pas parce qu’il ne savait pas s’arrêter, mais juste parce qu’il n’était jamais pressé. Mais parce qu’elle passa à autre chose, il en faisait de même. « Cool, t’as l’air d’en vouloir un, donc tu sais à quoi t’attendre, merci bien car j’ai pas besoin de trop chercher quoi t’offrir !  » rétorqua-t-il aussi tôt avec dédain, car après tout, il était tout à fait capable de lui offrir un déodorant. Dans son élan, et en entrant dans son jeu, il continua d’un ton encore plus enjoué « T’inquiètes, je te prendrais celui qui te permettra de transpirer sans puer, comme ça, tu seras charmante à rencontrer » rétorqua-t-il aussi tôt avec dédain, car après tout, il était tout à fait capable de lui offrir un déodorant. Pourquoi ? Parce qu’il venait de lui dire qu’il le ferait, et parce qu’il voulait faire honneur à ses sept ans d’âge mental. En vérité, il allait y réfléchir, du moins, le jour où il aura traversé les portes automatiques du centre commercial dans l’idée d’aller acheter une bricole pour la demoiselle. « Parce que ce n’est pas du tout mon cas » finit-il par dire après l’avoir observé quelque instant sans chercher à réfléchir pour autant à sa réponse. Cette dernière lui venait spontanément et son sourire avait disparu un instant avant de revenir à l’attaque. « Alors, t’as eu un pincement au cœur ? » De oppa, il repassait à appa, il s’y habituait et ne cherchait plus à relever ce petit changement syllabique. « Qui te dit que c’est pas une façon pour lui de se faire la malle et profiter du parc tout seul ? Sois sage et peut-être que je te tiendrais la main pour éviter que tu te plaignes que je ne fasse pas attention à toi. »
 

 14 février 2018.
Tenue •
Peut-être allaient passer plus de temps à se chamailler ici qu’à l’intérieur du parc… les connaissant, c’était probable, mais ça ne dérangeait pas Ji Eun. Le lieu n’était pas important, c’était la présence de Seo Eon qui l’était. « Pff, t’es un radin, tu vas pas m’offrir un déodorant quand même ? J’ai eu du mal à les fabriquer tes chocolats tu sais ! Ingrat ! » Et quand elle disait avoir eu du mal, ce n’était pas une expression. « Et de toute façon, je compte pas te rencontrer cet été. Si je le fais, tu vas pas arrêter de m’embêter en me reparlant de ça. »  C’était faux ; elle aimait bien être avec lui et son anniversaire était en été, elle le savait, alors elle le verrait l’été aussi. C’était simplement histoire de répondre quelque chose, peu importe quoi. Elle fit un visage outré face à sa réponse. Il ne pensait pas à elle ?! Elle le regarda droit dans les yeux, mimant une expression triste, presque au bord des larmes. Mais quand le sourire du jeune garçon fut de retour, Ji Eun se remit à rigoler également. « Dommage que tu ne sois pas allé jusqu’au bout, j’avais préparé tout un cinéma de la fille vexée par les propos de son copain… on fera ça une prochaine fois, tant pis. » . Elle haussa les épaules. « Sauf que si tu profites de la promenade du parc tout seul, je ne te donnerai pas mes chocolats. Est-ce que ce ce n’est pas juste à cause de ça qu’on se rencontre aujourd’hui, après tout ? »  Elle ne disait que la vérité. Ils n’étaient pas en couple, si ce n’était pas pour ça, ils n’avaient aucune raison d’organiser un rendez-vous pour la saint-valentin.« Alors, tu cèdes ? »  dit-elle en souriant, avançant sa main vers lui. Au final, elle ne voyait même pas pourquoi ils avaient débattu si longtemps pour décider de ça.

 14 février 2018.
Tenue -
« Jamais contente dis-moi ! Tu viens tout juste de dire que si je t’offrais un déodorant pour la White Day, tu ne refuserais pas » répliqua-t-il, haussant les épaules et tentant d’imiter grossièrement la voix de Jieun. Il ne faisait que l’enquiquiner, mais si elle continuait ainsi, l’idée risquait de définitivement germer dans son esprit. Peut-il être devait-il la laisser espérer qu’il lui offre autre chose ? Il se posait la question, mais il était partagé car il ne voulait pas manquer la mine dépitée de la demoiselle si jamais il lui offrait qu’une déodorant. « Ce serait difficile de t’en fabriquer un » murmura-t-il pensif, avant de réagir à sa déclaration « oh vraiment ? Bon bah je vais devoir soudoyer quelqu’un pour aller à la plage.. tu ne me laisses pas le choix ! ». Des paroles en l’air, mais il ne put s’empêcher un instant à Taewoo. Ce serait drôle de l’emmener lui, rien que de l’imaginer en train de faire la tronche arracha un rire au sango.

Copain, il buta sur le mot mais il ne le releva pas car elle ne faisait que plaisanter tout comme lui ne cessait de le faire. Tant qu’elle ne le prenait pas au sérieux, tout lui allait. Après tout, elle en était même arrivé à l’appeler ‘Appa’. « Eww… Je ne peux pas en goûter un ? Histoire de voir si ça vaut le coup de venir te chercher au coin des enfants perdus si jamais tu te perds ?  », il était curieux et lorgnait sur le sac de la demoiselle car ils ne pouvaient être que là. Il n’imaginait pas sa précieuse boîte de chocolat dans les poches de cette dernière car, une bousculade et une boîte de chocolat perdue qui ne saurait trouver refuge au coin des enfants perdus. Il lui tend la main, paume ouverte « un chocolat histoire de me motiver ? » Il l’embêtait. Sa spécialité.