Agitée, perturbée, tu ne sais pas vraiment ce que tu dois faire. Tes chaussures à la main, t’es déjà prête à fuir. Au fond de toi, tu sais ce qu’il s’est passé, ou du moins, comment la nuit s’est terminée. Mais tu doutes encore de la façon dont tu vas devoir le gérer, cette douleur qui s’éveille dans ton coeur, un peu plus forte encore à chaque nouvelle découverte. Tu restes interdite, sans oser bouger lorsque tu sens ses mains se poser sur ton bras. Ton regard perdu dans le sien, tes lèvres qui se pincent sous la frustration de ne pas pouvoir partir, pas encore. « Parler de quoi ? Aucun de nous se souvient de c’qui s’est passé. » Voilà une bien triste constatation. Une part de toi se demande comment tu as pu tomber dans ses bras une nouvelle fois, mais une autre sait, sans aucune hésitation, que t’en es encore arrivée là parce que tu l’aimes. Même après toutes ces disputes, même après toutes ces vérités découvertes. Tu ne peux pas t’en empêcher, c’est bien plus fort que toi. Et finalement, peut-être que tu es déjà en train de regretter ça. Toi qui espérait pouvoir être assez forte pour ne plus avoir à succomber face à lui, te rend compte qu’il te suffit de quelques verres pour que toutes tes promesses faites à toi-même se retrouvent balayées d’un seul coup. Tu te trouves stupide de l’aimer autant, alors que tout semble devenu impossible entre vous. Et ça te déchire le coeur, un peu plus encore. Tu te laisses finalement retomber sur le lit, les yeux observant le sol. Que dire, que faire. Tout est trop confus pour savoir quelle serait la meilleure attitude à adopter. Ton esprit sûrement encore embué par tout ce que tu as consommé la veille. Puis vient cette autre découverte, que tu aurais voulu éviter. Cette encre sur ton poignet, ce motif, qui ressemble trait pour trait à celui qu’il aborde lui aussi. Tes yeux qui s’écarquillent, encore un moment de cette nuit dont tu es incapable de te souvenir. Tu peux déjà sentir ces larmes prêtes à se déverser, mais tu reprends simplement tou souffle, pour éviter d’en arriver là. « Quoi ? Me dit pas que… Merde, merde, merde… Non, j’peux pas le croire ! » T’es au bord de la crise de panique, alors que tout ce qui te reste de ces dernières heures n’est qu’un néant qui te terrifie. Tu te relèves à nouveau brusquement, le bousculant au passage. Tu retournes dans la salle de bains, persuadée de pouvoir enlever cette marque, alors que tu passes ton bras sous l’eau, frottant sur cette lune. Mais il n’y a qu’une douleur vive qui te fait t’arrêter dans tes gestes bien plus rapidement que prévu. « C’est une blague putain… » Tu te mordilles l’intérieur de la joue, tentant une nouvelle fois de retirer ce tatouage, comprenant que ça ne disparaîtra pas, pas comme ça. Et à cette simple idée, une larme perle sur ta joue, que tu essuies d’un mouvement vif. « Merde ! Pourquoi ça s’en va pas putain… » Le robinet que tu fermes, avant de t’accroupir, prendre ta tête dans tes mains. Désabusée, perdue, alors que tout semble n’être qu’une vaste blague. Des secondes, peut-être une minute, à rester comme ça, avant de repartir vers la chambre, récupérant une nouvelle fois tes affaires. « Tu sais quoi ? Il s’est rien passé hier soir, voilà. Tu t’en souviens pas, moi non plus, le problème est réglé ! » Ta lucidité revenue, et un voile sur ton visage qui apparait, alors que tu es toujours incapable de dire ce qui a bien pu se passer entre vous. « Ca changera rien. Qu’est-ce que ça pourrait bien changer de toute façon hein… T’as bien ta Sawan là qui t’attends. J’crois qu’il vaut mieux qu’on oublie tout ça… » Ca te tord le coeur d’en arriver là, mais tu ne veux plus avoir à faire d’autres découvertes. Parce que t’as ce sentiment que chacune d’entre elle te ramène à ce que vous auriez pu être, si cette fille n’avait pas fait partie de l’équation. Une blessure de plus, que tu n’es pas sûre de pouvoir soigner, pas cette fois.

[size=15]Je voulais parler de nous Ye Won… au final, je me fichais de cette soirée. Je voulais qu’on puisse parler de ce qui c’était passé. De toutes ces idées qu’elle s’était mise en tête. Qu’elle me laisse lui expliquer, lui faire comprendre qu’au fond tout ça ce n’était qu’un mauvais moment. Que… je l’aime. Plus que n’importe qui et même plus que ma propre vie. Putain, ne voit-elle pas à quel point je peux me détruire pour elle ? Je me fous de savoir ce qui se passera demain, la seule chose qui me terrifie c’est qu’elle ne soit plus là. Et j’ai mal au cœur putain ! J’ai envie de vomir à cette idée. Je suis dévasté, alors qu’elle évoque seulement cette nuit. Mais pour moi c’est tellement plus. Je vois plus loin, je vois ce nous qui devait exister. Ces moments qu’on avait passé ensembles. Ces promesses qu’on s’était faite. Bordel, j’y croyais moi. Et je refuse de croire qu’elle peut partir comme si rien de tout ça n’avait existé. Troublé, je ravale cette tristesse mal placée, l’observant prendre conscience de cette marque indélébile. Et son attitude me refroidie, si glaciale, si perturbée alors que je la suis des yeux. Je suis aussi perdu qu’elle, incapable de comprendre, de savoir comment réagir à tout ça. Je ne suis pas fou au point de croire que c’est une bonne chose. Mais… une part de moi s’entête à croire qu’il y a toujours ce quelque chose entre nous. Cette folie qui nous a fait basculer hier soir. Ces sensations trop fortes pour nous, qu’on est incapable de contrôler. Pourquoi cherche-t-elle à me fuir de la sorte ? Ne le voit-elle pas ? Son inconscient crie mon nom, tout comme le mien s’obstine à hurler le sien. J’ai besoin d’elle, autant qu’elle a besoin de moi. Et je me fous d’être prétentieux, d’être juste un idiot qui croit encore à ses rêves. Je veux que tout ça soit vrai. Pourtant, je reste planté là, l’entendant râler dans la salle de bain alors que je perds doucement mes moyens. Je me sens perdu, si triste aussi… tout ce qui m’entoure tourne autour de moi. Ce tatouage que je regarde me fait mal. Preuve d’une nuit d’ivresse, d’un moment d’égarement… et peut-être même d’un au revoir… je frissonne à cette idée. Le souffle coupé par l’angoisse, je la regarde revenir dans la chambre démuni face à sa colère. Je sais qu’elle doit se haïr, se flagellé mentalement d’avoir céder une fois de plus. Mais moi aussi je me suis laissé prendre, parce-que je n’avais pas envie de lutter Ye Won. Je t’aime ! Et je n’en peux plus de le garder pour moi. Et une nouvelle fois ses mots me brisent. Le problème est réglé ? Ses paroles sont tellement violentes. Comme si je n’étais qu’un « problème » dans sa vie. Je me sens désemparé tout à coup, encore plus lorsqu’elle évoque encore Sawan. Et une nouvelle fois, mon sang bouilli. Je ne supporte plus ce prénom, ni même tout ce qu’elle représente. Je la hais tellement si elle savait. Je ne veux plus jamais entendre parler d’elle… je reste silencieux. Encaissant toutes ces reproches qui me blessent. Mais ces secondes sont trop rapides, j’ai peur qu’elle ne me laisse seul. Alors je m’empresse brusquement « Arrête avec ça ! »je suis agacé. Contrarié qu’elle ose encore parler d’elle. Ne voit-elle pas tout le mal qu’elle nous a fait ? « Je m’en fous d’elle putain Ye Won. Je lui adresserai plus jamais la parole, je la reverrai plus jamais. » Mais c’est trop tard n’est-ce pas ? Je tente encore de me raccrocher à ce genre de promesses. Persuadé de ce que je dis, je reviens à nouveau vers elle pour l’empêcher d’avancer. « S’il te plait. Ne me dis pas que je suis juste un problème dans ta vie. Je peux pas te croire. » c’est trop facile de me venir me donner de l’espoir et après s’enfuir. Je ne veux pas de ça entre nous. Mon regard perdu dans le sien, je déteste voir ses yeux humides. Tout comme je déteste cette lueur que j’y vois. Je n’ai pas envie de croire encore à cette fin. Je n’ai pas envie que tout ça se termine une fois de plus. « Me fuis pas… » je t’en supplie, aime-moi Ye Won. Aime-moi comme je t’aime. Aime-moi au point de pouvoir tout affronter et assez pour oublier… aime moi plus fort pour me pardonner… « Si… si tu franchis cette porte… ça voudra dire qu’il n’y a plus rien… » Dis-moi que c’est faux, que tout n’est pas terminé. 

Un prénom qui revient à ton esprit, qui te rappelle une nouvelle fois à quel point il a su tourner la page sur vous, avant de revenir dans ta vie. Même si tu ne sais toujours pas comment le gérer, comment encaisser le simple fait qu’il soit encore aussi proche d’une autre, à tel point qu’elle ai réussi à le forcer à prendre de la drogue. Tout semblait revenir en ordre, avant que la tempête ne s’abatte une fois de plus, torturant davantage encore ton coeur au passage. Laissant ce goût âcre dans la bouche, et les sentiments réduits en cendres. Et maintenant, te voilà dans cette chambre, à te rendre compte que tu as été faible face à lui, une fois de plus. Comme une évidence certaine, à chaque fois qu’il est proche de toi, même si tu voudrais l’éviter. Mais ton corps continue inlassablement de le réclamer. Ton être tout entier hurle à l’idée de le fuir, même si cela te semble nécessaire. Ton coeur et ton esprit en désaccord, depuis cette fameuse nuit. Pourtant, tu tentes encore de savoir ce qui serait le mieux pour toi, sans être sûre de tes choix. « Le problème Il Kyang, c’est qu’elle est toujours là. Et si elle a réussi à en arriver là la dernière fois, dieu seul sait jusqu’ou elle pourrait aller pour rester avec toi. » Une vérité que tu t’efforces de croire, de faire comprendre malgré ta voix tremblante, montrant cette faiblesse certaine au fond de toi. Parce qu’au fond de toi, tu t’es déjà persuadée que si elle a osé le faire sombrer de la sorte, c’est qu’elle aussi, ressent ce que toi tu as toujours ressenti pour lui. Mais qui es-tu devenue pour prétendre pouvoir reprendre ta place, après tout ce qu’elle a partagé avec lui ? Est-ce logique d’espérer qu’il ai pu continuer de t’aimer même en étant avec elle ? Tout ça tourne encore en boucle dans ton esprit, même si tu sembles l’avoir oublié le temps d’une nuit. Et voilà que tu t’avances vers cette porte, celle qui te permettra de fuir à ton tour. De marquer la fin d’une nuit dont les souvenirs resteront perdus dans cette simple chambre. Un regard en sa direction, une fatalité qui se dessine certainement devant vous, et ce choix à faire qui te paraît impossible. Sans avoir le temps d’y penser convenablement. « J’sais plus quoi penser. J’vais être honnête avec toi, j’en suis venue à me demander si c’était pas les souvenirs de celui que t’étais avant la drogue qui t’ont poussé à revenir dans ma vie. Et ça, c’est trop dur à porter. Regarde nous… » Tes bras qui se lèvent avant de retomber lourdement le long de ton corps, et une nouvelle perle d’eau qui glisse sur ta joue, sans que tu ne prennes le temps de l’effacer. « On n’est plus les mêmes. On n’est plus des gamins qui se soucient à peine du lendemain. Tout ça c’est terminé. Mais j’crois que t’as pendant un temps réussi à le retrouver avec quelqu’un d’autre, et que c’est tout ce dont t’avais besoin. Moi, j’serais incapable de te redonner ça. » Un soupire, une idée implantée dans ton crâne qui est sûrement loin de la vérité, mais à laquelle tu te raccroches depuis qu’il a osé te parler d’elle. Certainement parce que ça semble plus simple comme ça. « T’as réussi à passer à autre chose une fois, t’y arriveras une seconde fois. Moi, j’ai besoin de le faire une bonne fois pour toute. » Des mots qui te transpercent le coeur à peine prononcés, qui sonnent cette fin inévitable depuis des semaines. Tu ne pensais pas être celle qui l’annoncerait, pourtant tu sais que ça devient nécessaire, si tu veux pouvoir tourner la page un jour. « Cette nuit… C’était une erreur. Elle a gagné. C’est triste à dire, mais c’est comme ça. J’rivaliserais jamais avec elle, et j’en ai de toute façon pas la force. J’suis désolée… » Et à ces mots, tu quittes cette chambre. Tu aurais envie de hurler ta rage, cette tristesse qui t’englobe toute entière. Mais il te faut prendre sur toi, quelques minutes de plus. Un trajet en ascenseur qui te paraît être une éternité, pendant lequel tu te contiens, tente de garder contenance. Et c’est encore pire face au réceptionniste, payant la note faramineuse d’une nuit ou l’inconnu a pris toute la place. Une nuit que tu tâcheras d’oublier davantage encore. Un lendemain que tu tenteras d’effacer de ta mémoire, même si tu sais que c’est impossible. Et quand enfin, l’air frais vient fouetter ton visage, tu laisses finalement tes larmes se verser, sans penser à ces autres autour de toi, qui t’observent du coin de l’oeil. Tes jambes qui te traînent déjà dans les rues, sans que tu ne saches exactement vers ou tu vas. Des regrets qui se forment en toi, te demandant si cette décision que tu viens de prendre est la bonne ou non. Une part de toi pourtant sait que tu ne pourras pas supporter d’autres épreuves. D’autres vérités cachées, d’autres souvenirs douloureux. D’autres blessures qui pourraient se rajouter à ce coeur meurtri et qui ne sait plus comment se soigner correctement. Peut-être que pendant un temps, tu as cru qu’il saurait t’aider à te réparer, mais avec ces derniers aveux, tu n’es plus sûre de rien. Alors même si les remords seront difficiles à réprimer, tu te forces déjà à croire que c’était la meilleure chose à faire, même si l’oublier sera bien plus compliqué encore que tu ne le penses.

Je n’aurais jamais pensé souffrir autant. Je n’aurais jamais cru que quelqu’un pouvait me faire autant de mal. Avoir cette souffrance qui s’empare de moi, qui me dévore de l’intérieur. Je pensais que la vie était facile avant tout ça. J’avais cru que mes conneries pouvaient être réparées avec le temps. Qu’il fallait juste y croire pour que quelque chose change. Mais je m’étais trompé… en réalité il y a certaines blessures qui sont irréparables. Des actes qu’on ne peut effacer, des bêtises qui nous poursuivront toujours. Et aujourd’hui je m’en rends compte plus que n’importe quel jour. La douleur que j’ai ressentie face à la déception de mes parents n’avait rien de comparable avec ce que je ressens. Même ces disputes, ces mots trop durs qu’on se disait. Je restais persuadé quelque part qu’on pourrait les gommer à force de courage… et parce qu’il y avait ce truc entre nous. Ces sentiments qu’on n’osait s’avouer l’un et l’autre. Mais ses paroles me transpercent le cœur et m’anéantissent. « Un souvenir de ce que j’étais.. » est-ce possible de résumer tous ces derniers mois avec cette seule phrase ? Je suis bouleversé, je n’ose plus bouger. J’ai tellement mal…tout s’emmêle dans ma tête. Et pourtant ses mots me paraissent être évidents désormais. En réalité ce n’était pas le nouveau moi qu’elle voulait. Ce n’était pas ce nous… c’était celui que j’étais avant. Ce type qui lui avait facilité la vie, qui l’avait rendu meilleure… mais qui avait été trop con pour rester avec elle. Et brusquement je ne sais plus quoi faire face à cette vérité. Comme si tout mon monde venait de s’écrouler. Plus aucune certitude, plus aucun espoir de revoir cette lueur amoureuse dans ses yeux. Il n’y aura plus rien désormais… et cette fatalité me fait perdre la raison. Le sol s’écroule sous mes pieds, tandis que mon regard apeuré reste scotché à elle. Sa voix me parait lointaine désormais, pourtant j’écoute chacun de ses mots avec une crainte énorme. Parce qu’ils prennent sens dans mon esprit. Parce qu’ils sonnent tous juste… je n’ai plus rien à quoi me raccrocher. Plus rien ne veut franchir mes lèvres, alors qu’elle prononce ces paroles qui finissent de m’achever. Je ne suis pas assez courageux Ye Won… je n’ai plus la force de te retenir. Je suis trop faible pour te dire que j’ai peur… que je ne veux pas avancer sans toi. Regarde-moi putain ! Regarde le lâche que je suis alors que tu me tournes le dos. Incapable de te dire le mal que tu me fais. Cette souffrance trop grande qui me prend à la gorge. Tout est comme ralenti… autour de moi, plus rien n’existe à part sa silhouette qui s’éloigne. Une seconde de plus alors qu’elle s’enfuit par cette porte avant de la refermer sur… moi. Je déglutis, ravagé par la tristesse et la solitude qui envahi mon cœur. Machinalement je la suis, bloqué derrière cette porte sans être capable de l’ouvrir pour lui courir après… alors c’est comme ça que tout se termine entre nous ? De quelques paroles, de quelques gestes on a tout balayé… et je finis par comprendre pourquoi je n’ai jamais eu le courage de l’affronter avant ça. Pourquoi je n’avais pas eu le courage de mettre un terme à notre histoire. Pare-que j’avais peur de vivre ce genre de scène, peur de devoir dire des mots que je ne penserais pas, peur de devoir affronter cette réalité. « Nous devons avancer chacun de notre côté. » Je n’étais pas prêt à le faire et encore moins aujourd’hui. Pourtant, je me retrouve seul… un lourd silence qui envahi la pièce… le cœur lourd, les mains tremblantes alors que des larmes franchissent enfin mes yeux… la tête posé sur la porte, je revois ces images de nous deux. Toutes ces choses que j’avais espérées… tout n’était qu’une illusion… un vieux souvenir auquel on se raccrochait… et je sombre doucement, lentement dans un tourbillon sans fin… je me laisserais retomber lourdement au sol, adossé à la porte qui venait de mettre une fin à notre histoire. Souvenirs d’une nuit qui ne me reviendrait pas. Souffrance de toute une vie qui désormais m’engloutirait. Frustré, blessé et anéanti, je laisserais ces perles salées souiller mes joues. A l’abri des regards, des jugements sur ce que j’étais, je n’ai plus eut la force de bouger. Je voulais simplement qu’on m’oublie. Au fil des heures, d’une solitude sans pareille, d’un monde nouveau sans elle, je devais affronter à nouveau l’extérieur. Revoir ces visages, ces regards qui me persécuteraient. Une souffrance trop présent pour rester debout. Et cette nuit je me noierais de nouveau dans l’ivresse… pour ne plus jamais espérer un jour avec elle.