Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang.
Invité
Invité
Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 21:45 Citer EditerSupprimer
BANG Jordan
Péter dans le bus et attendre que les gens se retournent pour se croire à The Voice.
#MYSTÉRIEUX | #LUNATIQUE | #TALENTUEUX | #IMPATIENT | #PROTECTEUR |
#POSSESSIF | #FRANC | #BAGARREUR | #PERTINENT | #FÊTARD |
NOM : Bang. PRÉNOM : Jordan. ÂGE & DATE DE NAISSANCE : 24 ans & 18 décembre. ORIGINES : Coréenne. NATIONALITÉ : anglaise. CLASSE SOCIALE : aisée. ORIENTATION SEXUELLE : homosexuel. CURSUS UNIVERSITAIRE : doctorat en Arts Plastiques. MÉTIER : mannequin. Code du règlement : tic et tac. J'aurais préféré des boobs perso.
TU VEUX T'INVESTIR? : Oui, je ne suis pas là pour glander qu'est-ce que tu crois ?
“ Rumour has it :on dit de moi que j'aurais perdu ma virginité en couchant avec mon meilleur ami, ce qui est vrai + je serais un énorme fumeur, ce qui est vrai également + j'aurais violé une fille juste parce que j'étais fortement alcoolisé, ceci étant faux + je suis fortement impulsif et trop bagarreur, ceci est à moitié vrai + e serais un homme à femmes, ce qui est faux + j'aurais un frère jumeau dans l'établissement, faux évidemment + j'aurais grandis dans la même maison d'enfants que percy, ce qui est vrai + je serais bipolaire, vrai également + je serais un grand fan des personnages de Marvel et plus particulièrement Iron Man, chose qui est vrai + j'aurais du sang espagnol, ce qui est faux + je serais secrètement amoureux de mon meilleur ami, il est clair que c'est vrai malheureusement + je serais atteins du sida, chose totalement fausse + je serais papa d'un petit garçon de trois ans, ce qui est totalement faux sauf si percy est une femme + je possèderais un bébé chien loup blanc portant le nom de Persian, ce qui est totalement vrai + le nom de mon chien serait en réalité celui de Percy en version modifié, chose qui est vrai + j'aurais déjà fait l'amour avec percy dans plusieurs lieux public, chose qui est magnifiquement vrai + je serais un homme possédant un QI supérieur à Einstein, ce qui est faux
TU VEUX T'INVESTIR? : Oui, je ne suis pas là pour glander qu'est-ce que tu crois ?
“ Rumour has it :on dit de moi que j'aurais perdu ma virginité en couchant avec mon meilleur ami, ce qui est vrai + je serais un énorme fumeur, ce qui est vrai également + j'aurais violé une fille juste parce que j'étais fortement alcoolisé, ceci étant faux + je suis fortement impulsif et trop bagarreur, ceci est à moitié vrai + e serais un homme à femmes, ce qui est faux + j'aurais un frère jumeau dans l'établissement, faux évidemment + j'aurais grandis dans la même maison d'enfants que percy, ce qui est vrai + je serais bipolaire, vrai également + je serais un grand fan des personnages de Marvel et plus particulièrement Iron Man, chose qui est vrai + j'aurais du sang espagnol, ce qui est faux + je serais secrètement amoureux de mon meilleur ami, il est clair que c'est vrai malheureusement + je serais atteins du sida, chose totalement fausse + je serais papa d'un petit garçon de trois ans, ce qui est totalement faux sauf si percy est une femme + je possèderais un bébé chien loup blanc portant le nom de Persian, ce qui est totalement vrai + le nom de mon chien serait en réalité celui de Percy en version modifié, chose qui est vrai + j'aurais déjà fait l'amour avec percy dans plusieurs lieux public, chose qui est magnifiquement vrai + je serais un homme possédant un QI supérieur à Einstein, ce qui est faux
“ Caractère :
Les études, c'est un peu comme un but dans la vie. Il faut s'en donner les moyens et y arriver pour servir à quelque chose. Être quelqu'un. Vous y avez cru ? Non. Si Jordan est ici, c'est simplement par obligation familiale. L'image de la famille est importante et heureusement qu'il se souci ne serait-ce qu'un peu. Les études n'ont jamais été sa tasse de thé, mais plus un moyen d'entretenir l'image de la famille adoptive. Il ne trouve que peu d'intérêt aux salles de cours et trouve peu d'intérêt en quoi que ce soit qui puisse exister. On lui a diagnostiqué très tôt sa bipolarité et un des premiers symptômes de cette maladie mentale - appelons les choses comme elles le sont - c'est de ne pas pouvoir fixer un objectif, de ne pas parvenir à se concentrer plusieurs heures sur une seule chose. Et il ne faut absolument pas que les actes de sa vie soient trop redondants au risque de le lasser. Il est peut-être talentueux au point de transformer en or tout ce qu'il touche, il ne s'en donne pas les moyens jusqu'au bout et alors, l'or finit par se transformer en plomb. On qualifie la bipolarité comme deux extrêmes ; les deux pôles. Il ne faut pas oublier tout ce qui se trouve entre ces dits pôles. Plusieurs sentiments contraires. Pas seulement, le rire ou les pleurs. Pas seulement, la colère ou la joie. Il y a les périodes de profondes dépressions, les peurs de l'oublie, les envies de meurtre, les envies de suicide. Il y a les périodes de profondes joies, l'énergie à revendre, les paroles qui défilent comme un moulin à vent, les idées qui s'enchaînent au point de ne pas pouvoir les suivre et d'en avoir peur. C'est un vrai cercle vicieux et il n'y a souvent aucun élément déclencheur. C'est juste dans son cerveau. Un fil inversé. Un fil dénudé. Un court-circuit. Mais n'ayez pas peur, il n'est pas toujours dingue. Parfois, il est normal. Oui, parfois. Mais qu'est-ce que la normalité, vous le savez, vous ?
Jordan a tendance à croire que tout est acquis. Que les amitiés qu'ils tissent le resteront à jamais peu importe ce qui se passe. Il croit également que rien ne peut lui échapper. Des choses. Des personnes. Certes, il étouffe. Certes, il protège un peu trop. On lui en veut généralement beaucoup de nicher son nez où il ne devrait pas. Il aime. Il est possessif. Il est un homme qui ne se cache de rien - et de toute façon, il mentirait très mal - la franchise est son principal atout. Ou son principal défaut puisque souvent il parle sans réellement réfléchir. Il garde sa part de secret, d'ailleurs il est très difficile d'en savoir plus sur lui. D'un naturel mystérieux, il semble toujours cacher quelque chose. Cela intrigue. Cela dérange. Cela gêne. Cela énerve. Peu importe, personne ne pourra jamais le faire taire. Il est peut-être plus prudent de mâcher ses mots, car même s'il ne cherche pas la bagarre, même s'il ne la provoque pas, il peut aisément y participer. Il ne fuit pas les ennuis, il ne fuit pas non plus les conflits. Il est comme un bonbon fourré à l'arsenic. Avouez que la comparaison est charmante. Malgré cela, il est d'un tempérament lunatique. Le jour et la nuit. Le sourire et la morosité. C'est comme si vous aviez prononcé quelque chose qu'il ne fallait pas. Comme s'il était fragile et facilement froissable. Je ne parle pas de susceptibilité.
La joie de vivre l'habite. Il n'est pas simplement qu'une boule de nerfs. Il n'est pas seulement qu'un pauvre suicidaire. Il est aussi un gars qui ose et aime s'amuser. Faire la fête, boire et fumer à ne plus avoir de gorge et d'estomac, à ramper sur le sol en ayant le fou rire, à se tordre les boyaux. Il n'est pas juste une personne aigri. Il est aussi un type de nature emmerdeuse qui ramène sa fraise à toutes les partys. Ce n'est pas comme si c'était interdit. Savez-vous qu'il peut être un précieux fournisseur ? Son traitement contre sa bipolarité, il ne le prend quasiment jamais ou seulement pour planer. Si vous avez envie, il peut vous vendre quelques-uns de ses cachetons pour vous faire décoller avec lui. Il n'est pas radin. Il n'est pas égoïste, ou pas avec ça tout du moins. Il n'a pas peur du danger. Il joue avec elle jusqu'au point de non-retour. Il aime la vie. Il aime la mort. Il aime le sexe. Il aime tout ce qui peut lui être jubilatoire. Tout doit lui être servi sur un plateau d'argent. Tout ce qu'il veut, quoi qu'il veuille, il ne peut pas attendre 107 ans pour l'obtenir. C'est maintenant. Généralement, on lui cède rapidement, parce qu'il est tellement chiant sinon. Passé ça, il peut vraiment être un ami. Il suffit d'apprendre à le cerner et le tour est joué. Mais il est difficile d'y parvenir et rare sont ceux qui y sont parvenus jusqu'à ce jour.
Je voguerai sur un océan de larmes, bercé par un mistral de joie, de légèreté, sous un ciel bleu bonheur.
Les études, c'est un peu comme un but dans la vie. Il faut s'en donner les moyens et y arriver pour servir à quelque chose. Être quelqu'un. Vous y avez cru ? Non. Si Jordan est ici, c'est simplement par obligation familiale. L'image de la famille est importante et heureusement qu'il se souci ne serait-ce qu'un peu. Les études n'ont jamais été sa tasse de thé, mais plus un moyen d'entretenir l'image de la famille adoptive. Il ne trouve que peu d'intérêt aux salles de cours et trouve peu d'intérêt en quoi que ce soit qui puisse exister. On lui a diagnostiqué très tôt sa bipolarité et un des premiers symptômes de cette maladie mentale - appelons les choses comme elles le sont - c'est de ne pas pouvoir fixer un objectif, de ne pas parvenir à se concentrer plusieurs heures sur une seule chose. Et il ne faut absolument pas que les actes de sa vie soient trop redondants au risque de le lasser. Il est peut-être talentueux au point de transformer en or tout ce qu'il touche, il ne s'en donne pas les moyens jusqu'au bout et alors, l'or finit par se transformer en plomb. On qualifie la bipolarité comme deux extrêmes ; les deux pôles. Il ne faut pas oublier tout ce qui se trouve entre ces dits pôles. Plusieurs sentiments contraires. Pas seulement, le rire ou les pleurs. Pas seulement, la colère ou la joie. Il y a les périodes de profondes dépressions, les peurs de l'oublie, les envies de meurtre, les envies de suicide. Il y a les périodes de profondes joies, l'énergie à revendre, les paroles qui défilent comme un moulin à vent, les idées qui s'enchaînent au point de ne pas pouvoir les suivre et d'en avoir peur. C'est un vrai cercle vicieux et il n'y a souvent aucun élément déclencheur. C'est juste dans son cerveau. Un fil inversé. Un fil dénudé. Un court-circuit. Mais n'ayez pas peur, il n'est pas toujours dingue. Parfois, il est normal. Oui, parfois. Mais qu'est-ce que la normalité, vous le savez, vous ?
La nuit seule est ma confidente, je lui murmure mon secret qui se perd à jamais. Englouti par les ténèbres et l'oubli.
Jordan a tendance à croire que tout est acquis. Que les amitiés qu'ils tissent le resteront à jamais peu importe ce qui se passe. Il croit également que rien ne peut lui échapper. Des choses. Des personnes. Certes, il étouffe. Certes, il protège un peu trop. On lui en veut généralement beaucoup de nicher son nez où il ne devrait pas. Il aime. Il est possessif. Il est un homme qui ne se cache de rien - et de toute façon, il mentirait très mal - la franchise est son principal atout. Ou son principal défaut puisque souvent il parle sans réellement réfléchir. Il garde sa part de secret, d'ailleurs il est très difficile d'en savoir plus sur lui. D'un naturel mystérieux, il semble toujours cacher quelque chose. Cela intrigue. Cela dérange. Cela gêne. Cela énerve. Peu importe, personne ne pourra jamais le faire taire. Il est peut-être plus prudent de mâcher ses mots, car même s'il ne cherche pas la bagarre, même s'il ne la provoque pas, il peut aisément y participer. Il ne fuit pas les ennuis, il ne fuit pas non plus les conflits. Il est comme un bonbon fourré à l'arsenic. Avouez que la comparaison est charmante. Malgré cela, il est d'un tempérament lunatique. Le jour et la nuit. Le sourire et la morosité. C'est comme si vous aviez prononcé quelque chose qu'il ne fallait pas. Comme s'il était fragile et facilement froissable. Je ne parle pas de susceptibilité.
"Tout ce qu'on fait dans la vie est insignifiant mais il est très important de le faire. Nous laissons une part de nous même sur tout ce que nous touchons."
La joie de vivre l'habite. Il n'est pas simplement qu'une boule de nerfs. Il n'est pas seulement qu'un pauvre suicidaire. Il est aussi un gars qui ose et aime s'amuser. Faire la fête, boire et fumer à ne plus avoir de gorge et d'estomac, à ramper sur le sol en ayant le fou rire, à se tordre les boyaux. Il n'est pas juste une personne aigri. Il est aussi un type de nature emmerdeuse qui ramène sa fraise à toutes les partys. Ce n'est pas comme si c'était interdit. Savez-vous qu'il peut être un précieux fournisseur ? Son traitement contre sa bipolarité, il ne le prend quasiment jamais ou seulement pour planer. Si vous avez envie, il peut vous vendre quelques-uns de ses cachetons pour vous faire décoller avec lui. Il n'est pas radin. Il n'est pas égoïste, ou pas avec ça tout du moins. Il n'a pas peur du danger. Il joue avec elle jusqu'au point de non-retour. Il aime la vie. Il aime la mort. Il aime le sexe. Il aime tout ce qui peut lui être jubilatoire. Tout doit lui être servi sur un plateau d'argent. Tout ce qu'il veut, quoi qu'il veuille, il ne peut pas attendre 107 ans pour l'obtenir. C'est maintenant. Généralement, on lui cède rapidement, parce qu'il est tellement chiant sinon. Passé ça, il peut vraiment être un ami. Il suffit d'apprendre à le cerner et le tour est joué. Mais il est difficile d'y parvenir et rare sont ceux qui y sont parvenus jusqu'à ce jour.
“ Once upon a time :
De mon enfance, je ne me souviens de presque rien. Cela fait tellement longtemps que mes parents sont morts que je ne me souviens même plus de leur visage. Il y a juste quelques bribes de souvenirs qui me reviennent comme jouer au jeu de société avec une femme dont je ne vois pas le visage. Faire du vélo dans la cour avec un homme qui me tiens pour m'aider à pédaler sans tomber mais quand j'essaie de me souvenir de ce visage, tout devient flou. J'ai dû, à un moment donné, glisser ses souvenirs dans un coin refoulé de ma mémoire et je n'ai plus aucun contrôle sur les images qui peuvent apparaître. Ils sont morts alors que j'avais dix ans. En dix années, les souvenirs ne se tarissent pas me direz-vous, et pourtant, chez moi, elles sont perdues. Comme une amnésie. La cause de leur mort m'est totalement inconnue. Pour me protéger ou pour me le cacher, personne n'a daigné m'en dire davantage et je le regrette. Peut-on faire son deuil sans savoir ce qu'il leur est arrivé ? Tout ce que je sais, c'est que l'on m'a enlevé de mon domicile pour m'emmener dans une maison pour enfants. Un orphelinat vulgairement parlant et Dieu sait combien je déteste ce mot. Les orphelins ne le sont pas vraiment puisqu'ils ont tout de même des parents malgré qu'ils soient morts ou bien qu'ils se soient fait abandonner. J'ai des parents, mais on m'étiquetait tout de même comme un enfant libre que des adultes pouvaient se plaire à choisir pour fonder une famille. Incapable d'avoir des enfants par leur propre moyen, ils venaient, choisissaient comme on choisirait un jouet dans une boutique et repartait avec leur nouvelle acquisition, heureux. Je ne sais pas si j'ai enfin réussi à me faire à cette idée d'achat.
Dans cette maison pour enfants, j'y suis resté quatre ans. La première année a été dure et je l'étais, moi aussi. C'est à ce moment-là que l'on décela ma maladie – tout du moins, qu'ils en prirent conscience – et je n'étais pas là pour adoucir les mœurs. On me demandait d'être sage, d'être un enfant-modèle pour quand les visiteurs viendraient pour nous « choisir ». Je n'étais pas d'accord. C'est sûrement ça qui fit que jusqu'à l'âge de 14 ans, on ne me désira pas. Durant ces 4 années, j'ai rencontré Percy qui deviendra mon compagnon d'infortune. Je n'avais que lui pour me comprendre et m'apprécier tel que j'étais sans que je l'entende me demander d'être un enfant-modèle. Avec lui, je savais que je pouvais rester naturel sans qu'il me juge outre mesure. On a tissé des liens très forts lui et moi, au point d'en devenir des meilleurs amis. Je considère d'ailleurs que nous étions des frères. Je n'ai jamais eu de frère, mais je savais que je pouvais aisément le placer à ce rang. En vérité, nous étions plus que ça. C'était comme si, tous les deux, nous n'étions qu'une et même personne. J'étais lui et il était moi. Jamais l'un sans l'autre. Mais tout changea quand la date fatidique approcha.
Lui et moi, nous avions 14 ans. Et ce jour-là devint la plus terrible de mon existence. Une famille l'avait choisi. Lui. Celui qui m'appartenait m'était arraché par un couple qui croyait avoir la bonne conscience d'adopter un enfant plus âgé. J'ai hurlé, j'ai pleuré, on a dû m'enfermer pour que je n'interfère pas dans l'adoption. Et après cela, je ne l'ai plus revu. Je suis passé par la case dépression, la case colère, la case pleure, la case 'envie de suicide et de meurtre'. Une semaine après, c'est moi que l'on adopta. Une femme et un homme qui devinrent mes parents et qui me donnèrent le droit à un second souffle. À une nouvelle vie, loin de ces murs bleu et gris.
J'ai trouvé leur maison vraiment très grande. Je me souvenais de celle dans laquelle j'avais grandi, mais celle-ci était vraiment immense. Une bâtisse avec un si grand terrain que je pouvais me faire un terrain de football. À mon avis, ça me paraissait comme étant vraiment immense aussi, je cru pendant longtemps que d'autres gens vivaient ici, un peu comme dans un immeuble et je n'osais jamais grimper à l'étage de peur de croiser des étrangers. L'homme devenu mon père est un chirurgien et la femme devenue ma mère est une directrice artistique chez Apple. Je ne comprenais pas à cette époque que leur travail méritait une aussi grande maison. J'ai toutefois vite appris que je pouvais avoir tout ce que je désirais quand je le demandais. À mes 16 ans, j'eus même le droit de me servir de la carte bancaire de mon père sans vraiment avoir besoin de compter. C'était le paradis, moi qui ai passé mon enfance à me priver.
Les études ne m'ont jamais vraiment passionné mais n'ayant pas vraiment autre chose à faire, je m'y suis accoutumé sans vraiment exceller. J'avais de bonnes notes et c'est ce qui comptait sans non plus être à la tête de l'école. C'est à mes 17 ans que ma mère me trouva un job. En fait, un de ses amis recherchait des modèles pour un nouveau casting et elle m'y inscrit sans même m'en informer au préalable. Il paraît que j'ai la carrure, que j'ai aussi l'audace et la force. Que je sais assez bien ce que je veux et que mon physique serait parfait pour ce rôle. Sans m'en offusquer, je me suis pris au jeu. Tellement que ça a fini par me plaire. Il faut croire que ce métier était fait pour moi. Sans mettre les études de côté, je suis devenu un mannequin. Je défile, je m'affiche dans quelques magazines de mode. Autant dire que ma mère a eu le nez fin sur ce coup-là. Et je ne la remercierai jamais assez parce que c'est grâce à elle qu'au final, j'ai pu retrouver Percy.
J'ai 21 ans et un vernissage est organisé pour une marque de vêtements pour laquelle j'ai été choisi parmi les autres mannequins de l'agence. Son visage m'est apparu et j'ai cru que c'était un rêve. Je l'aurai reconnu entre mille. Ses yeux, sa bouche, sa façon de marcher. J'ai voulu lui sauter dans les bras, le serrer contre moi aussi fort que les 14 années loin de lui m'en avaient empêché, mais je n'ai fait que lui offrir un verre. Tout simplement. Nous avons parlé, nous avons bu, nous sommes montés à l'étage et là, nos retrouvailles se sont faites. Grisés par l'alcool, nos corps, nos reins, nos hanches se sont confondus. C'est ce soir-là que j'ai perdu ma virginité. Et ce soir-là que je ne l'ai plus quitté.
Je suis rentré dans cet établissement simplement pour dorer le blason familial. Pour perpétuer l'image, l'honneur. Plus par obligation que par choix mais peu importe ça ne me gêne pas. J'ai toujours été doué pour me défouler en dessin, en peinture ou en sculpture. Je me suis dirigé dans les arts plastiques, mon échappatoire d'un côté, moi qui ne parviens à me concentrer sur aucune autre matière. Même si beaucoup d'élèves me prennent pour l'élève piston, je m'en contre fou. Je ne suis pas ici pour me faire nécessairement des amis. J'ai Percy et cela me suffit.
Dans cette maison pour enfants, j'y suis resté quatre ans. La première année a été dure et je l'étais, moi aussi. C'est à ce moment-là que l'on décela ma maladie – tout du moins, qu'ils en prirent conscience – et je n'étais pas là pour adoucir les mœurs. On me demandait d'être sage, d'être un enfant-modèle pour quand les visiteurs viendraient pour nous « choisir ». Je n'étais pas d'accord. C'est sûrement ça qui fit que jusqu'à l'âge de 14 ans, on ne me désira pas. Durant ces 4 années, j'ai rencontré Percy qui deviendra mon compagnon d'infortune. Je n'avais que lui pour me comprendre et m'apprécier tel que j'étais sans que je l'entende me demander d'être un enfant-modèle. Avec lui, je savais que je pouvais rester naturel sans qu'il me juge outre mesure. On a tissé des liens très forts lui et moi, au point d'en devenir des meilleurs amis. Je considère d'ailleurs que nous étions des frères. Je n'ai jamais eu de frère, mais je savais que je pouvais aisément le placer à ce rang. En vérité, nous étions plus que ça. C'était comme si, tous les deux, nous n'étions qu'une et même personne. J'étais lui et il était moi. Jamais l'un sans l'autre. Mais tout changea quand la date fatidique approcha.
Lui et moi, nous avions 14 ans. Et ce jour-là devint la plus terrible de mon existence. Une famille l'avait choisi. Lui. Celui qui m'appartenait m'était arraché par un couple qui croyait avoir la bonne conscience d'adopter un enfant plus âgé. J'ai hurlé, j'ai pleuré, on a dû m'enfermer pour que je n'interfère pas dans l'adoption. Et après cela, je ne l'ai plus revu. Je suis passé par la case dépression, la case colère, la case pleure, la case 'envie de suicide et de meurtre'. Une semaine après, c'est moi que l'on adopta. Une femme et un homme qui devinrent mes parents et qui me donnèrent le droit à un second souffle. À une nouvelle vie, loin de ces murs bleu et gris.
J'ai trouvé leur maison vraiment très grande. Je me souvenais de celle dans laquelle j'avais grandi, mais celle-ci était vraiment immense. Une bâtisse avec un si grand terrain que je pouvais me faire un terrain de football. À mon avis, ça me paraissait comme étant vraiment immense aussi, je cru pendant longtemps que d'autres gens vivaient ici, un peu comme dans un immeuble et je n'osais jamais grimper à l'étage de peur de croiser des étrangers. L'homme devenu mon père est un chirurgien et la femme devenue ma mère est une directrice artistique chez Apple. Je ne comprenais pas à cette époque que leur travail méritait une aussi grande maison. J'ai toutefois vite appris que je pouvais avoir tout ce que je désirais quand je le demandais. À mes 16 ans, j'eus même le droit de me servir de la carte bancaire de mon père sans vraiment avoir besoin de compter. C'était le paradis, moi qui ai passé mon enfance à me priver.
Les études ne m'ont jamais vraiment passionné mais n'ayant pas vraiment autre chose à faire, je m'y suis accoutumé sans vraiment exceller. J'avais de bonnes notes et c'est ce qui comptait sans non plus être à la tête de l'école. C'est à mes 17 ans que ma mère me trouva un job. En fait, un de ses amis recherchait des modèles pour un nouveau casting et elle m'y inscrit sans même m'en informer au préalable. Il paraît que j'ai la carrure, que j'ai aussi l'audace et la force. Que je sais assez bien ce que je veux et que mon physique serait parfait pour ce rôle. Sans m'en offusquer, je me suis pris au jeu. Tellement que ça a fini par me plaire. Il faut croire que ce métier était fait pour moi. Sans mettre les études de côté, je suis devenu un mannequin. Je défile, je m'affiche dans quelques magazines de mode. Autant dire que ma mère a eu le nez fin sur ce coup-là. Et je ne la remercierai jamais assez parce que c'est grâce à elle qu'au final, j'ai pu retrouver Percy.
J'ai 21 ans et un vernissage est organisé pour une marque de vêtements pour laquelle j'ai été choisi parmi les autres mannequins de l'agence. Son visage m'est apparu et j'ai cru que c'était un rêve. Je l'aurai reconnu entre mille. Ses yeux, sa bouche, sa façon de marcher. J'ai voulu lui sauter dans les bras, le serrer contre moi aussi fort que les 14 années loin de lui m'en avaient empêché, mais je n'ai fait que lui offrir un verre. Tout simplement. Nous avons parlé, nous avons bu, nous sommes montés à l'étage et là, nos retrouvailles se sont faites. Grisés par l'alcool, nos corps, nos reins, nos hanches se sont confondus. C'est ce soir-là que j'ai perdu ma virginité. Et ce soir-là que je ne l'ai plus quitté.
Je suis rentré dans cet établissement simplement pour dorer le blason familial. Pour perpétuer l'image, l'honneur. Plus par obligation que par choix mais peu importe ça ne me gêne pas. J'ai toujours été doué pour me défouler en dessin, en peinture ou en sculpture. Je me suis dirigé dans les arts plastiques, mon échappatoire d'un côté, moi qui ne parviens à me concentrer sur aucune autre matière. Même si beaucoup d'élèves me prennent pour l'élève piston, je m'en contre fou. Je ne suis pas ici pour me faire nécessairement des amis. J'ai Percy et cela me suffit.
Maggie
Shake your body babe.
Maggie, 25 ans, perdu quelque part en France. C'est le soir et je fais ma fiche de présentation, les jambes croisés avec un bon smoothie fraichement préparé et une clope fumante juste à côté. Quoi dire de plus si ce n'est que la geek en moi à fait irruption en voyant ce forum dans les limbes d'un top-site populaire. Et sinon, t'aime le mélange kiwi/fraise ? Parce que moi, je me régale, là. J'en ai encore plein les babines !
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
POUR UN PV/SCÉNARIO PRIS :
▲▼GO SANG GIL ( Ulzzang ) ✎ bang jordan
“ Help from my friend : un coup de main pour le bottin plz, remplis le code ci-dessous et essaye de ne pas gaffer keupin.
▲▼
- Code:
[url=http://http://shaketheworld.tropfun.net/u296][b]▲[/b][/url][url=http://http://shaketheworld.tropfun.net/t835-m-go-sang-il-bang-jordan]▼[/url] <taken>GO SANG GIL ( Ulzzang )</taken> ✎ bang jordan
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 21:49 Citer EditerSupprimer
boum je grille tout le monde
bienvenue sur le forum, ce pv est niquel ps, ta signature st trop belle + les smoothie c'est la vie
bienvenue sur le forum, ce pv est niquel ps, ta signature st trop belle + les smoothie c'est la vie
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 21:52 Citer EditerSupprimer
une chose : prepare you to die
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 22:11 Citer EditerSupprimer
t'es beau tu sais
mais tu touche un cheveu de bago et je te refais ta façade l'ami
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 22:28 Citer EditerSupprimer
Hello Hello ! ~
Yaaaaaah, j'ai l'air de quoi avec mon ice-tea à côté de moi, alors que toi t'as un super smoothie ?! Je t'envie voui
Donc, bon choix de PV, je pense que ça va pas mal plaire, et j'avoue que tes rumeurs en valent le détour ! Surtout bipolaire, je suis toujours interessée par ce genre de côté, il me tarde de lire ça en détails dans ta fiche. Et faire l'amour dans des lieux publics, j'admire l'audace, j'aime
Fighting pour ta fiche !
Yaaaaaah, j'ai l'air de quoi avec mon ice-tea à côté de moi, alors que toi t'as un super smoothie ?! Je t'envie voui
Donc, bon choix de PV, je pense que ça va pas mal plaire, et j'avoue que tes rumeurs en valent le détour ! Surtout bipolaire, je suis toujours interessée par ce genre de côté, il me tarde de lire ça en détails dans ta fiche. Et faire l'amour dans des lieux publics, j'admire l'audace, j'aime
Fighting pour ta fiche !
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 23:12 Citer EditerSupprimer
bienvenue chez les fous :04:
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 23:28 Citer EditerSupprimer
Oh bienvenue !
Bon courage pour ta fiche
Et puis bin eh bien moi j'aime beaucoup ta tête /la fille qui passait juste par là/
Bon courage pour ta fiche
Et puis bin eh bien moi j'aime beaucoup ta tête /la fille qui passait juste par là/
Invité
Invité
Invité
Invité
Re: Bang Jordan ► Gang Bang dans ma Mustang. | Mer 28 Jan - 23:51 Citer EditerSupprimer
Bienvenue à la maison
et puis, kiwi/fraise
et puis, kiwi/fraise
Contenu sponsorisé