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1, 2, 3, 4, 5[EVENT SANGO RP4] Camping in the rain...
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Dim 29 Jan - 12:58
Meeyung a beau essayer de ma rassurer, je ne reste pas convaincu par le fait que cette cabane va résister à la tempête de ce soir. On est peut-être justement à la tempête de trop pour elle. Mais au moins on est tous ensemble. Au pire on mourra tous ensemble, au mieux on sera ensemble pour fêter notre survie. Je suis d’ailleurs soulagé de voir arriver les derniers groupes et de voir qu’on est enfin au complet dans la cabane. Surtout que maintenant, Miran et Suah sont là, tout va bien. On est tous trempés de la tête aux pieds, mais je crois que pour le moment c’est un détail et l’important c’est que tout le monde soit en sécurité. Je me sers dans le paquet de bonbons de Meeyung pour me remettre de mes émotions. Je vois Suah changer de chaussettes et je me dis que j’aurais dû prévoir de faire la même chose mais c’est trop tard maintenant. Le seul truc que j’ai dans mon sac c’est une couverture. Couverture que je sors et que j’offre gentiment à Miran, Suah et Meeyung. Si elles se collent les unes aux autres, ça passe à trois dessous. « Réchauffez-vous. ». Puis sous les conseils de Jaesun je pars à la recherche de couverture dans la vielle armoire au fond de la cabane Peu importe l’état, je prends. Pas envie qu’on meurt tous de froid. Ça serait bête maintenant qu’on a trouvé un moyen de se mettre à l’abri et d’échapper à la pluie et au vent.
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Meeyung a beau essayer de ma rassurer, je ne reste pas convaincu par le fait que cette cabane va résister à la tempête de ce soir. On est peut-être justement à la tempête de trop pour elle. Mais au moins on est tous ensemble. Au pire on mourra tous ensemble, au mieux on sera ensemble pour fêter notre survie. Je suis d’ailleurs soulagé de voir arriver les derniers groupes et de voir qu’on est enfin au complet dans la cabane. Surtout que maintenant, Miran et Suah sont là, tout va bien. On est tous trempés de la tête aux pieds, mais je crois que pour le moment c’est un détail et l’important c’est que tout le monde soit en sécurité. Je me sers dans le paquet de bonbons de Meeyung pour me remettre de mes émotions. Je vois Suah changer de chaussettes et je me dis que j’aurais dû prévoir de faire la même chose mais c’est trop tard maintenant. Le seul truc que j’ai dans mon sac c’est une couverture. Couverture que je sors et que j’offre gentiment à Miran, Suah et Meeyung. Si elles se collent les unes aux autres, ça passe à trois dessous. « Réchauffez-vous. ». Puis sous les conseils de Jaesun je pars à la recherche de couverture dans la vielle armoire au fond de la cabane Peu importe l’état, je prends. Pas envie qu’on meurt tous de froid. Ça serait bête maintenant qu’on a trouvé un moyen de se mettre à l’abri et d’échapper à la pluie et au vent.La Doyenne
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Dim 29 Jan - 12:58
Le membre 'Lee Jung Min' a effectué l'action suivante : Lancer de dés
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Ton pire cauchemar mais en pire.
'ACTION & ATTAQUE !' :
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Dim 12 Fév - 1:10
Mes paroles ne semblent pas convaincre des masses mon petit Jung Min. Pourtant, moi, j’y crois… Je ne veux pas donner de faux espoirs à mes camarades mais je me dis que si cette tente a tenu jusqu’à maintenant (et, vu son âge, elle a dû en connaitre beaucoup d’autres des tempêtes de ce genre), elle tiendra encore un petit moment. Ou, en tout cas, suffisamment pour nous permettre de nous abriter jusqu’à ce que le soleil ne repointe le bout de son nez et que l’on soit à plusieurs centaines de kilomètres d’ici. Mais, en attendant, il nous faut parvenir à passer la nuit et vu comment c’est parti, celle-ci risque d’être très longue. Histoire de détendre un peu l’atmosphère, je décide donc de proposer quelques bonbons et, après que certains requins se soient servis, j’en fais de même, avant de replacer de nouveau le paquet dans mon sac pour le troquer contre un gros pull que j’avais décidé d’amener avec moi (sait-on jamais), malgré le beau temps qui avait normalement été annoncé par les météorologues. Et, très franchement, j’ai plutôt bien fait. Celui-ci est légèrement humide (forcément) mais, au moins, j’aurais moins froid. D’ailleurs, en parlant de froid, Jae Sun finit par évoquer le fait que quelques couvertures puissent se trouver dans la cabane et alors que je m’apprête à me lever pour aller chercher avec lui, Jung Min me devance et le suit, après nous avoir gentiment fait don de sa propre couverture. Un sourire prend alors possession de mon visage, tandis que je le gratifie d’un « Merci, Jung Minnie ! » Puis, me tournant vers Mi Ran, le tout en arborant une expression un brin malicieuse, je laisse échapper : « Il est vraiment mignon, Jung Minnie ! Pas vrai, Mimi ?! » Il m’arrive peut-être d’être un peu larguée parfois mais je ne suis pas née de la dernière pluie et, durant ce court séjour de dix jours, j’ai a de nombreuses reprises pu remarquer qu’il y avait un petit quelque chose entre ces deux-là. Même un aveugle l’aurait certainement remarqué, d’ailleurs…
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Mes paroles ne semblent pas convaincre des masses mon petit Jung Min. Pourtant, moi, j’y crois… Je ne veux pas donner de faux espoirs à mes camarades mais je me dis que si cette tente a tenu jusqu’à maintenant (et, vu son âge, elle a dû en connaitre beaucoup d’autres des tempêtes de ce genre), elle tiendra encore un petit moment. Ou, en tout cas, suffisamment pour nous permettre de nous abriter jusqu’à ce que le soleil ne repointe le bout de son nez et que l’on soit à plusieurs centaines de kilomètres d’ici. Mais, en attendant, il nous faut parvenir à passer la nuit et vu comment c’est parti, celle-ci risque d’être très longue. Histoire de détendre un peu l’atmosphère, je décide donc de proposer quelques bonbons et, après que certains requins se soient servis, j’en fais de même, avant de replacer de nouveau le paquet dans mon sac pour le troquer contre un gros pull que j’avais décidé d’amener avec moi (sait-on jamais), malgré le beau temps qui avait normalement été annoncé par les météorologues. Et, très franchement, j’ai plutôt bien fait. Celui-ci est légèrement humide (forcément) mais, au moins, j’aurais moins froid. D’ailleurs, en parlant de froid, Jae Sun finit par évoquer le fait que quelques couvertures puissent se trouver dans la cabane et alors que je m’apprête à me lever pour aller chercher avec lui, Jung Min me devance et le suit, après nous avoir gentiment fait don de sa propre couverture. Un sourire prend alors possession de mon visage, tandis que je le gratifie d’un « Merci, Jung Minnie ! » Puis, me tournant vers Mi Ran, le tout en arborant une expression un brin malicieuse, je laisse échapper : « Il est vraiment mignon, Jung Minnie ! Pas vrai, Mimi ?! » Il m’arrive peut-être d’être un peu larguée parfois mais je ne suis pas née de la dernière pluie et, durant ce court séjour de dix jours, j’ai a de nombreuses reprises pu remarquer qu’il y avait un petit quelque chose entre ces deux-là. Même un aveugle l’aurait certainement remarqué, d’ailleurs… Ahn Dae Won
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Mer 15 Fév - 19:47
Quand le feu vert est donné, je ne me fais pas prier pour re-hisser mon sac sur mon épaule, en grande hâte, et pour quitter la tente, suivi de mes camarades. Pas l’temps d’niaiser, comme on dit. Faut qu’on se mette à l’abri et le plus vite possible. Toutefois, cette tâche s’avère pas forcément aussi facile que je l’avais espéré. De nombreux Sango perdent d’ailleurs l’équilibre en tentant de rejoindre la cabane, à commencer par Ivy qui se trouvait juste à côté de moi et qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, sortie complètement de mon champ de vision. M’arrêtant donc, je jette un coup d’œil vers l’arrière et aperçois cette dernière se battre pour récupérer son pied alors à moitié avalé par la boue, pour finalement se casser la gueule comme une merde. Ce qui, sur le coup, m’arrache un faible rire, je l’avoue. Mais comme j’suis pas non plus un salopard, j’finis par rebrousser chemin, non sans la gratifier d’un « Bah alors ! On tient plus sur ses jambes ? » avant de me saisir de son sac. « Donne-moi ça ! » Ouais… Il m’arrive d’être un peu galant, parfois. « Mais n’en fais pas une habitude, hein ?! » Sur ces mots, je la gratifie d’un sourire, un brin moqueur, et reprends ma route jusqu’à la cabane, en compagnie de la jeune femme. Une fois cette dernière atteinte, je pose ensuite nos affaires dans un coin et me frotte les mains l’une contre l’autre, avant de piocher plusieurs bonbons dans le paquet que nous tend gentiment Mee Yung. Revenant ensuite vers Ivy, je lui en propose quelques-uns et m’accroupis ensuite à côté de mon sac pour en extirper un sweat que je tends à la jeune femme. « Tiens, mets ça ! Tu vas te transformer en glaçon, sinon… » Ouais… Je suis définitivement trop bon avec elle…
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Quand le feu vert est donné, je ne me fais pas prier pour re-hisser mon sac sur mon épaule, en grande hâte, et pour quitter la tente, suivi de mes camarades. Pas l’temps d’niaiser, comme on dit. Faut qu’on se mette à l’abri et le plus vite possible. Toutefois, cette tâche s’avère pas forcément aussi facile que je l’avais espéré. De nombreux Sango perdent d’ailleurs l’équilibre en tentant de rejoindre la cabane, à commencer par Ivy qui se trouvait juste à côté de moi et qui, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, sortie complètement de mon champ de vision. M’arrêtant donc, je jette un coup d’œil vers l’arrière et aperçois cette dernière se battre pour récupérer son pied alors à moitié avalé par la boue, pour finalement se casser la gueule comme une merde. Ce qui, sur le coup, m’arrache un faible rire, je l’avoue. Mais comme j’suis pas non plus un salopard, j’finis par rebrousser chemin, non sans la gratifier d’un « Bah alors ! On tient plus sur ses jambes ? » avant de me saisir de son sac. « Donne-moi ça ! » Ouais… Il m’arrive d’être un peu galant, parfois. « Mais n’en fais pas une habitude, hein ?! » Sur ces mots, je la gratifie d’un sourire, un brin moqueur, et reprends ma route jusqu’à la cabane, en compagnie de la jeune femme. Une fois cette dernière atteinte, je pose ensuite nos affaires dans un coin et me frotte les mains l’une contre l’autre, avant de piocher plusieurs bonbons dans le paquet que nous tend gentiment Mee Yung. Revenant ensuite vers Ivy, je lui en propose quelques-uns et m’accroupis ensuite à côté de mon sac pour en extirper un sweat que je tends à la jeune femme. « Tiens, mets ça ! Tu vas te transformer en glaçon, sinon… » Ouais… Je suis définitivement trop bon avec elle…  | IT'S YOU He looks at her like he just realized |
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Jeu 16 Fév - 21:51
Ivy abandonna sa chaussure dans la boue. Ce fût grâce à Nam Kyung qu'elle parvint à extirper son pied de la terre gloutonne, mais ce fût avec un pied nu qu'elle continua d'avancer. Et heureusement, il poussa la galanterie jusqu'à prendre son sac à dos. Elle le lui aurait fait remarqué en temps normal qu'il était étrangement galant, c'était presque douteux. Elle aurait voulu répondre au coréen avec humour, mais son attention était trop concentrée sur le fait d'avancer et de rester debout. Tout en s'accrochant à son bras lorsqu'elle se sentait glisser sur le sol humide, elle finit par arriver à la cabane. Okay donc la baroude, la vraie c'était ça... Elle n'était pas sûre de vraiment apprécier. Une fois dans la cabane, elle se laissa tomber au sol, complètement rincée (dans tous les sens du terme) par cette petite douche improvisée. Elle fit un petit « non » de la tête à Nam Kyung qui proposait des bonbons offerts par Mee Yung, Ivy avait trop froid pour en prendre, ses doigts étaient rougies. C'est qu'elle était frileuse la néo-zélandaise. D'ailleurs le coréen sembla le remarquer et il finit par lui tendre un sweat qu'elle attrapa sans se faire prier, pour l'enfiler dans la foulée. « Mais c'est pour ça c'est c'est la fin du monde ! Sir Nam Kyung et sa bonté ont ouvert les portes de l'enfer. Pour une fois qu'c'pas un plan de Mo Yeon.... » Elle arrivait à nouveau à plaisanter, c'était plutôt bon signe, elle se réchauffait. Elle roula des yeux à la remarque de Jung Hwa, elle avait pu remarquer durant ce séjour qu'il avait un don pour les punchlines ringardes. Mais c'est Olympe qui la piqua au vif. En sécurité hein ? « Pour le moment tu dis, mais avec toi miss catastrophe le toit va bientôt s'envoler. » Elle prit son sac que Nam Kyung avait posé au sol, et trouva son briquet dans la pochette sur le devant. « Vous pensez qu'on peut faire un feu ou quelque chose ? Juste le temps de se sécher. » Parce que d'ici quelques heures l'air étouffant de l'été allait attaquer à nouveau.
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Ivy abandonna sa chaussure dans la boue. Ce fût grâce à Nam Kyung qu'elle parvint à extirper son pied de la terre gloutonne, mais ce fût avec un pied nu qu'elle continua d'avancer. Et heureusement, il poussa la galanterie jusqu'à prendre son sac à dos. Elle le lui aurait fait remarqué en temps normal qu'il était étrangement galant, c'était presque douteux. Elle aurait voulu répondre au coréen avec humour, mais son attention était trop concentrée sur le fait d'avancer et de rester debout. Tout en s'accrochant à son bras lorsqu'elle se sentait glisser sur le sol humide, elle finit par arriver à la cabane. Okay donc la baroude, la vraie c'était ça... Elle n'était pas sûre de vraiment apprécier. Une fois dans la cabane, elle se laissa tomber au sol, complètement rincée (dans tous les sens du terme) par cette petite douche improvisée. Elle fit un petit « non » de la tête à Nam Kyung qui proposait des bonbons offerts par Mee Yung, Ivy avait trop froid pour en prendre, ses doigts étaient rougies. C'est qu'elle était frileuse la néo-zélandaise. D'ailleurs le coréen sembla le remarquer et il finit par lui tendre un sweat qu'elle attrapa sans se faire prier, pour l'enfiler dans la foulée. « Mais c'est pour ça c'est c'est la fin du monde ! Sir Nam Kyung et sa bonté ont ouvert les portes de l'enfer. Pour une fois qu'c'pas un plan de Mo Yeon.... » Elle arrivait à nouveau à plaisanter, c'était plutôt bon signe, elle se réchauffait. Elle roula des yeux à la remarque de Jung Hwa, elle avait pu remarquer durant ce séjour qu'il avait un don pour les punchlines ringardes. Mais c'est Olympe qui la piqua au vif. En sécurité hein ? « Pour le moment tu dis, mais avec toi miss catastrophe le toit va bientôt s'envoler. » Elle prit son sac que Nam Kyung avait posé au sol, et trouva son briquet dans la pochette sur le devant. « Vous pensez qu'on peut faire un feu ou quelque chose ? Juste le temps de se sécher. » Parce que d'ici quelques heures l'air étouffant de l'été allait attaquer à nouveau. Invité
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Ven 17 Fév - 2:22
Dormir dans une tente à trois est déjà plutôt chiant en soi, car niveau espace on ne peut pas dire que ce soit le grand luxe. Alors pas la peine de préciser que devoir dormir dans cette petite cabane de pécheurs menaçant de s’effondrer à tout moment, et ce entouré de vingt personnes, ne me réjouit pas des masses. Mais nous n’avons pas le choix. En tout cas, j’essaye de m’en convaincre fortement alors que, comme une grande majorité de mes camarades, je peine à avancer dans toute cette boue. Parce que c’est pas facile de marcher sur ce truc dans lequel vous avez l’impression de vous enfoncer toujours un peu plus à chaque fois que vous faites un pas en avant. Impression d’ailleurs accentuée par le poids de nos sacs que l’on doit également porter jusqu’au nouvel abri. C’est pourquoi, lorsque j’atteins enfin celui-ci, je m’empresse de jeter à terre mes affaires et jette un coup d’œil autour de moi, avant de laisser échapper un soupir de lassitude. Honnêtement, c’est encore pire que je le craignais… Durant ces dix derniers jours, je suis déjà venu jeter un coup d’œil dans cette cabane et, si sur le coup elle m’avait paru plutôt petite, à présent cette dernière me donne l’impression d’être minuscule. Mais voyons le bon côté des choses. S’il fait vraiment trop froid, on pourra toujours se serrer les uns contre les autres pour se tenir chaud. Non pas que cette perspective me plaise beaucoup mais c’est peut-être la seule solution qu’on aura si Jae Sun et Jung Min ne dégotent pas de couvertures. Mais, en attendant, je dois trouver un moyen de contenter mon appétit que notre petite escapade nocturne à quelque peu ouvert. M’approchant donc de Jung Hwa qui se goinfre seul dans son coin, je lui prends son paquet de chips des mains. « Tu sais pas que dans ce genre de situations, il faut être solidaire ?! T’pourrais partager avec les autres, quand même ! » Laissant échapper un rire, je m’assois à côté de mon meilleur ami et pioche dans son paquet, avant de le lui rendre. Observant ensuite mes camarades, histoire de vérifier que tout le monde est bien là (oui, j’sais que j’aurais pu y penser avant mais mieux vaut tard que jamais, non ?), je finis par m’exclamer à l’intention de Jung Hwa : « Dommage que Ji Soo ne soit pas là. J’suis sûr que t’aurais kiffé pouvoir la prendre dans tes bras, le tout en lui faisant croire que c’est juste pour pas qu’elle ait froid ! » Ouais, ouais, ouais... Je ne peux décidément pas m'en empêcher...
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Dormir dans une tente à trois est déjà plutôt chiant en soi, car niveau espace on ne peut pas dire que ce soit le grand luxe. Alors pas la peine de préciser que devoir dormir dans cette petite cabane de pécheurs menaçant de s’effondrer à tout moment, et ce entouré de vingt personnes, ne me réjouit pas des masses. Mais nous n’avons pas le choix. En tout cas, j’essaye de m’en convaincre fortement alors que, comme une grande majorité de mes camarades, je peine à avancer dans toute cette boue. Parce que c’est pas facile de marcher sur ce truc dans lequel vous avez l’impression de vous enfoncer toujours un peu plus à chaque fois que vous faites un pas en avant. Impression d’ailleurs accentuée par le poids de nos sacs que l’on doit également porter jusqu’au nouvel abri. C’est pourquoi, lorsque j’atteins enfin celui-ci, je m’empresse de jeter à terre mes affaires et jette un coup d’œil autour de moi, avant de laisser échapper un soupir de lassitude. Honnêtement, c’est encore pire que je le craignais… Durant ces dix derniers jours, je suis déjà venu jeter un coup d’œil dans cette cabane et, si sur le coup elle m’avait paru plutôt petite, à présent cette dernière me donne l’impression d’être minuscule. Mais voyons le bon côté des choses. S’il fait vraiment trop froid, on pourra toujours se serrer les uns contre les autres pour se tenir chaud. Non pas que cette perspective me plaise beaucoup mais c’est peut-être la seule solution qu’on aura si Jae Sun et Jung Min ne dégotent pas de couvertures. Mais, en attendant, je dois trouver un moyen de contenter mon appétit que notre petite escapade nocturne à quelque peu ouvert. M’approchant donc de Jung Hwa qui se goinfre seul dans son coin, je lui prends son paquet de chips des mains. « Tu sais pas que dans ce genre de situations, il faut être solidaire ?! T’pourrais partager avec les autres, quand même ! » Laissant échapper un rire, je m’assois à côté de mon meilleur ami et pioche dans son paquet, avant de le lui rendre. Observant ensuite mes camarades, histoire de vérifier que tout le monde est bien là (oui, j’sais que j’aurais pu y penser avant mais mieux vaut tard que jamais, non ?), je finis par m’exclamer à l’intention de Jung Hwa : « Dommage que Ji Soo ne soit pas là. J’suis sûr que t’aurais kiffé pouvoir la prendre dans tes bras, le tout en lui faisant croire que c’est juste pour pas qu’elle ait froid ! » Ouais, ouais, ouais... Je ne peux décidément pas m'en empêcher...Invité
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Mar 21 Mar - 19:39
C’est drôle comme au début du séjour, ils s’amusaient à se faire peur dans cette cabane de pêcheur « hantée. » Cette nuit-là, ils sont bien contents de s’y réfugier et de s’y réchauffer un peu, pas à l’abris de l’humidité mais au moins à couvert du vent et de la pluie torrentielle. Dans tout ça, Miran papillonne des cils pour Jung Min qu’elle remercie pour les couvertures. Elle sourit doucement à la remarque de Mee Yung, le regardant s’activer dans tous les sens tandis qu’elle hoche silencieusement la tête en tirant sur un bonbon, l’air sans doute un peu bête. Du reste, la cabane n’est pas si grande que ça, elle ne regorge pas de couvertures non plus. Miran décide alors de céder sa place, estimant qu’elle s’est assez réchauffée pour laisser sa place à ceux qui en auraient plus besoin qu’elle. Elle fouille dans son sac à la recherche d’un gros pull qu’elle sait avoir laissé dans le fond. Il a un peu pris la flotte mais qu’importe, il reste chaud et elle l’enfile. Elle songe alors à l’idée lancée par Ivy et grimace. « Un feu ? Je ne pense pas. Je ne vois pas de bois ici et je doute qu’aller en chercher dehors serait vraiment utile vu que toute la vallée prend l’eau à cette heure-là ! » Elle esquisse un petit rire amer, sans parler du fait qu’un feu d’intérieur est plutôt dangereux. « Et surtout, évitons de cramer notre dernier toit ! » Elle s’approche d’une petite fenêtre qu’elle gratte un peu pour y voir plus clair. Pas de ciel plus clair à l’horizon. Les branches se plient et le lac ondule à côté d’eux. « On pourra toujours tester la résistance des tentes demain, laquelle survivra au déluge. » Elle hausse les épaules et s’installe à même le sol au pieds d’un mur. Elle pointe Olympe, Ivy et Nam Kyung du doigt en plaisantant. « Vous trois, vous êtes hors compétition. »
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C’est drôle comme au début du séjour, ils s’amusaient à se faire peur dans cette cabane de pêcheur « hantée. » Cette nuit-là, ils sont bien contents de s’y réfugier et de s’y réchauffer un peu, pas à l’abris de l’humidité mais au moins à couvert du vent et de la pluie torrentielle. Dans tout ça, Miran papillonne des cils pour Jung Min qu’elle remercie pour les couvertures. Elle sourit doucement à la remarque de Mee Yung, le regardant s’activer dans tous les sens tandis qu’elle hoche silencieusement la tête en tirant sur un bonbon, l’air sans doute un peu bête. Du reste, la cabane n’est pas si grande que ça, elle ne regorge pas de couvertures non plus. Miran décide alors de céder sa place, estimant qu’elle s’est assez réchauffée pour laisser sa place à ceux qui en auraient plus besoin qu’elle. Elle fouille dans son sac à la recherche d’un gros pull qu’elle sait avoir laissé dans le fond. Il a un peu pris la flotte mais qu’importe, il reste chaud et elle l’enfile. Elle songe alors à l’idée lancée par Ivy et grimace. « Un feu ? Je ne pense pas. Je ne vois pas de bois ici et je doute qu’aller en chercher dehors serait vraiment utile vu que toute la vallée prend l’eau à cette heure-là ! » Elle esquisse un petit rire amer, sans parler du fait qu’un feu d’intérieur est plutôt dangereux. « Et surtout, évitons de cramer notre dernier toit ! » Elle s’approche d’une petite fenêtre qu’elle gratte un peu pour y voir plus clair. Pas de ciel plus clair à l’horizon. Les branches se plient et le lac ondule à côté d’eux. « On pourra toujours tester la résistance des tentes demain, laquelle survivra au déluge. » Elle hausse les épaules et s’installe à même le sol au pieds d’un mur. Elle pointe Olympe, Ivy et Nam Kyung du doigt en plaisantant. « Vous trois, vous êtes hors compétition. »Invité
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Re: [EVENT SANGO RP4] Camping in the rain... | Mer 29 Mar - 20:22
Je n'ai absolument pas suivi le cours des événements, tout se passant comme si nous étions tous dans un film. Un film avec un humour bien noir. Je n'avais pas prévu de me retrouver trempée jusqu'aux os, les tentes totalement détruites, quelques affaires flottant même au sol, le corps sale par la boue et ne sachant pas comment survivre à cette pluie torrentielle. J'ai vraiment le sentiment d'être dans une émission d'aventuriers et j'ai beau en être une, je le suis uniquement dans certaines conditions. Pas celle-là du moins, ça ne fait pas partie de mon expérience. Mais maintenant je sais. Heureusement qu'il y a cette cabane, perdue, abandonnée, qui peut, peut-être nous aider. Du moins je l'espère. Et lorsque nous arrivons sur les lieux je suis rassurée de voir qu'elle n'a pas été inondée et qu'elle est intacte, bien plus que nos tentes. « Tout le monde est là ? ». Je ne sais même pas pourquoi je pose la question. Tant pis si certains se sont perdus dans le flot d'eau, je ne suis pas responsable et personne ne l'est. Mais, tout le monde semble être présent, la preuve est que la petite cabane se remplit quand même rapidement, me demandant si elle va tenir jusqu'à la fin de la tempête. « C'est qui encore qui a eu cette stupide idée ? » dis-je en essayant d'essorer l'eau dans mes vêtements. Vu notre état, je suis certaine que l'on va tous tomber malades d'ici trois-quatre jours. « Foutu pour foutu » dis-je en réponse à Suah, « mais je préfère être sous un. . . toit qu'être sous la pluie ». Ici au moins il y a un minimum de sécurité, pas forcément pour moi, mais pour les autres. La pluie je connais, certes pas sous cette forme-là, mais j'ai une petite expérience des heures passées sous la pluie. Jung Min parvient quand même à trouver des couvertures, par miracle, pour pouvoir nous réchauffer. Et bien pour une fois, il a su utiliser son intelligence pour nous aider à sortir de ce pétrin. Des couvertures sont forcément la bienvenue dans ce merdier. Et c'est peu de le dire ! J'essaye de m'installer confortablement dans un coin, sans un mot en plus, regardant la pluie, attendant que cela passe, espérant que cela passe. « De toute manière, demain, on part. C'est notre dernière nuit, alors profitons . . . autant qu'on peut ». Je rigole, de manière sarcastique. Il y a mieux pour profiter mais nous n'avons pas le choix. Nous sommes tous coincés dans cette cabane, jusqu'à ce que la pluie cesse et même si elle cesse que va t-on faire ? Nos tentes sont mortes. La seule solution est d'attendre le levé du soleil et que le bus revienne nous chercher. Alors attendons . . . patiemment.
Et les heures passent, mais la pluie persiste. Chacun essaye de faire passer le temps, mais tout le monde fatigue, les yeux se ferment parfois, mais chacun se fait rapidement réveiller par un voisin trop agité ou pour tenir en éveil tout le monde, sait-on jamais ce qu'il peut arriver si tout le monde sommeille. On reste tous vigilants. Et moi aussi. De toute manière la pluie est bien trop forte pour que je puisse m'endormir. Alors j'attends, comme tout le monde. Et les heures passent encore et encore. Le soleil finit alors par pointer le bout de son nez et la pluie cesse soudainement, donnant un aspect de fin du monde à l'environnement, tout en illuminant l'endroit d'une douce lumière. Le coucher de soleil est beau mais je ne parviens pas à en profiter réellement. Je me sens . . . bizarre, comme une vieille chaussette toute dégueulasse, ayant été abandonnée pendant des années dans un coin de maison. Je me lève alors, sortant enfin de la cabane, m'étirant, ayant quelques douleurs après être restée dans la même position pendant de très longues heures, mes yeux rougis et gonflés. « Il est temps de partir », dis-je dans murmure, faisant signe aux autres d'aller ramasser nos dernières petites choses qui traînent à cause de la tempête. On ressemble tous à des zombies, les cernes aussi longues que notre nez, le visage bouffi et le corps endolori. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire me demandant si ça ne serait pas sympathique de nous prendre, une dernière fois,en photo, mais je ne préfère pas proposer l'idée au risque de me faire tuer et je n'ai aucune énergie pour me défendre. Tout est rapidement emballé, mettant ainsi fin à ces quelques jours de camping. Enfin ! Je jette un rapide coup d’œil à l'emplacement. Ce camping je risque de m'en rappeler toute ma vie, surtout le dernier soir . . . Et je rentre dans le bus, heureuse malgré tout de rentrer à Séoul, au dortoir moi qui ne suis pourtant pas dans une telle optique, mais l'épuisement, l'énervement, la frustration, me donnent l'envie de rentrer au plus vite.
Et forcément, quelques jours après, tous les sangos sont tombés malades ! Depuis, il est préférable de ne pas parler de camping au sein du dortoir, du moins . . . pour l'instant !
Camping in the rain
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Je n'ai absolument pas suivi le cours des événements, tout se passant comme si nous étions tous dans un film. Un film avec un humour bien noir. Je n'avais pas prévu de me retrouver trempée jusqu'aux os, les tentes totalement détruites, quelques affaires flottant même au sol, le corps sale par la boue et ne sachant pas comment survivre à cette pluie torrentielle. J'ai vraiment le sentiment d'être dans une émission d'aventuriers et j'ai beau en être une, je le suis uniquement dans certaines conditions. Pas celle-là du moins, ça ne fait pas partie de mon expérience. Mais maintenant je sais. Heureusement qu'il y a cette cabane, perdue, abandonnée, qui peut, peut-être nous aider. Du moins je l'espère. Et lorsque nous arrivons sur les lieux je suis rassurée de voir qu'elle n'a pas été inondée et qu'elle est intacte, bien plus que nos tentes. « Tout le monde est là ? ». Je ne sais même pas pourquoi je pose la question. Tant pis si certains se sont perdus dans le flot d'eau, je ne suis pas responsable et personne ne l'est. Mais, tout le monde semble être présent, la preuve est que la petite cabane se remplit quand même rapidement, me demandant si elle va tenir jusqu'à la fin de la tempête. « C'est qui encore qui a eu cette stupide idée ? » dis-je en essayant d'essorer l'eau dans mes vêtements. Vu notre état, je suis certaine que l'on va tous tomber malades d'ici trois-quatre jours. « Foutu pour foutu » dis-je en réponse à Suah, « mais je préfère être sous un. . . toit qu'être sous la pluie ». Ici au moins il y a un minimum de sécurité, pas forcément pour moi, mais pour les autres. La pluie je connais, certes pas sous cette forme-là, mais j'ai une petite expérience des heures passées sous la pluie. Jung Min parvient quand même à trouver des couvertures, par miracle, pour pouvoir nous réchauffer. Et bien pour une fois, il a su utiliser son intelligence pour nous aider à sortir de ce pétrin. Des couvertures sont forcément la bienvenue dans ce merdier. Et c'est peu de le dire ! J'essaye de m'installer confortablement dans un coin, sans un mot en plus, regardant la pluie, attendant que cela passe, espérant que cela passe. « De toute manière, demain, on part. C'est notre dernière nuit, alors profitons . . . autant qu'on peut ». Je rigole, de manière sarcastique. Il y a mieux pour profiter mais nous n'avons pas le choix. Nous sommes tous coincés dans cette cabane, jusqu'à ce que la pluie cesse et même si elle cesse que va t-on faire ? Nos tentes sont mortes. La seule solution est d'attendre le levé du soleil et que le bus revienne nous chercher. Alors attendons . . . patiemment.Et les heures passent, mais la pluie persiste. Chacun essaye de faire passer le temps, mais tout le monde fatigue, les yeux se ferment parfois, mais chacun se fait rapidement réveiller par un voisin trop agité ou pour tenir en éveil tout le monde, sait-on jamais ce qu'il peut arriver si tout le monde sommeille. On reste tous vigilants. Et moi aussi. De toute manière la pluie est bien trop forte pour que je puisse m'endormir. Alors j'attends, comme tout le monde. Et les heures passent encore et encore. Le soleil finit alors par pointer le bout de son nez et la pluie cesse soudainement, donnant un aspect de fin du monde à l'environnement, tout en illuminant l'endroit d'une douce lumière. Le coucher de soleil est beau mais je ne parviens pas à en profiter réellement. Je me sens . . . bizarre, comme une vieille chaussette toute dégueulasse, ayant été abandonnée pendant des années dans un coin de maison. Je me lève alors, sortant enfin de la cabane, m'étirant, ayant quelques douleurs après être restée dans la même position pendant de très longues heures, mes yeux rougis et gonflés. « Il est temps de partir », dis-je dans murmure, faisant signe aux autres d'aller ramasser nos dernières petites choses qui traînent à cause de la tempête. On ressemble tous à des zombies, les cernes aussi longues que notre nez, le visage bouffi et le corps endolori. Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire me demandant si ça ne serait pas sympathique de nous prendre, une dernière fois,en photo, mais je ne préfère pas proposer l'idée au risque de me faire tuer et je n'ai aucune énergie pour me défendre. Tout est rapidement emballé, mettant ainsi fin à ces quelques jours de camping. Enfin ! Je jette un rapide coup d’œil à l'emplacement. Ce camping je risque de m'en rappeler toute ma vie, surtout le dernier soir . . . Et je rentre dans le bus, heureuse malgré tout de rentrer à Séoul, au dortoir moi qui ne suis pourtant pas dans une telle optique, mais l'épuisement, l'énervement, la frustration, me donnent l'envie de rentrer au plus vite.
Et forcément, quelques jours après, tous les sangos sont tombés malades ! Depuis, il est préférable de ne pas parler de camping au sein du dortoir, du moins . . . pour l'instant !
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